La peur selon Sylvain Rochex : Réaction de la permaculture en ville.

Par Karaba30quicouve

Après visionnage de la vidéo de Sylvain Rochex – merci à lui, ça a du bon la quantique : monsieur avait décidé de déserter la scène numérique, sa roulotte sédentaire nous avait manquée, avouons-le ! Après avoir écouté Sylvain Rochex, donc, que j’ai toujours eu des difficultés à lire en raison de la richesse de son vocabulaire et de la complexité de sa pensée, j’opte pour une réaction suite à mes observations. La peur, donc. Sacré débat ! Psychologique, psychanalytique, philosophique, sociologique, politique : nous en passerons et des bien pires.

L’idée étant ici de distiller Rochex (si je l’ai bien compris) dans ma pratique et sa restitution écrite. Je constate, pour ma part, que cette peur dans laquelle nous semblons avoir tous grandi et ce quelles que soient nos billes de départ (farwest, campagne, pavé, soie, etc.) agit sur le biotope, sa fragilité et les énergies qui l’animent. Certains phénomènes d’interdépendance énergétique exècrent la peur : je crois que la biodynamie, biodiversité et autres signifiés pour parler et défendre le vivant est un équilibre précaire dont la précarité sociale peut et doit parler. Parce qu’elle le défend en silence et avec une grande efficacité.

Assez des discours qui pointent du doigt le pauvre destructeur, énergivore et inconscient. Il existe, c’est un fait. J’en ai fait partie et il m’arrive d’y retourner (la quantique, toujours ou, pour le dire autrement : il n’y a que les cons et bla et bla) : les ondes, les pressions, le Linky et les obligations liées à la précarité, surtout quand on vieillit ! On ne met pas ses papiers à jour et on ne se pointe pas devant un tribunal pour menaces de mort avec ses idées complotistes sur la jardinière qui empêche le gouvernement de vous atteindre avec ses ondes et la possibilité de guérir d’un cancer avec son esprit… Non on ne fait pas ça : on dit « oui j’ai fait la bêtise, oui je vais voir le psychiatre oui j’en ai besoin, monsieur ». Et cela en dépit de la peur, donc. De devoir faire un séjour au trou, se médicamenter et trahir l’énergie biodynamique dont on dépend toujours : les liens énergétiques sont des ondes, aussi. Et ces ondes-là vous sont vitales et réciproquement.

Donc, la peur : on l’affronte par contre elle ne passe pas. Parce que les liens énergétiques ne sont pas coupés (malgré les volontés malveillantes : d’une poucave, d’un élu jaloux, du gouvernement. Tout cela à la fois, pourquoi pas ?) Et, comme souvent, elle se transforme : en rage incontrôlable que seules des énergies biodynamiques peuvent apaiser.

Voir l’article sur la permaculture citadine : le ménage, l’hygiène, les cosmétiques, les plantes intérieures, le chat. Tout y passe : où sommes-nous, c’est où la lumière, la caisse et mamoule ? Cette peur devient énergie et ce n’est pas le but du retour à la Terre : elle est palpable par l’environnement direct. Jeunesse énergivore, voisinage « actif » et handicapés de tout poil : c’est le retour au Far West ! La donnée indispensable alors : la patience. Or, les gens patients et agités (pleurs, cris, fous rires, etc.) font très peur.

En général. Pendant ce temps, les plantes poussent et s’adaptent, bébé Carter fait son apparition, le chat apprécie l’absence du chien et le voisinage le changement. On repeint sa balustrade en vert parce que l’immeuble est pourri, on parle aux gens sans crier, on insiste sur le caractère indispensable de l’écologie sans culpabiliser qui que se soit. On tricote, on coud des serviettes hygiéniques lavables et on en propose aux copines, on refait son dentifrice, on jette les cosmétiques (ou on les offre à sa nièce pour se déguiser, c’est selon !) et le chat, les plantes et bébé Carter apprécient : la peur se dissipe et cela se voit. Bien sûr, le travail sur les énergies, lui, est invisible : pour Simone Rancifos, Macron ou encore le voisin franc-maçon en qui on n’a pas confiance mais on le dissimule pour ne pas attiser la peur.

La boucle n’est jamais vraiment bouclée : chaque changement modifie les ondes énergétiques de votre permaculture citadine (c’est plus fréquenté que la campagne, pardi !). Alors, la grâce de la permaculture, à nouveau, s’accompagne de rigueur et de foi, sinon rien

Karaba30quicouve

Un Commentaire

  1. @falali, momone et consorts (cad les salopes jalouses, énergivores et égocentriques que je bouffe au petit dej !) : « avait manqué », et quelques coquilles (un peu comme les maj, pas les mages, huhuhu ^^). C’est que le navajo, les chamanes, toussa toussa… Et les algorithmes gouvernementaux qui repèrent les projets « intelligents », potentiellement nuisibles à l’ordre établi ou encore les mkultras échappés de l’abattoir sont un peu comme vous : vendus, artificiels et inaptes à l’évolution…

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