– Dans que état sommes nous, dans quelle état j’erre ?

– DANS QUEL ÉTAT SOMMES NOUS ? DANS QUEL ÉTAT J’ERRE ?

 Posté le 04/10/2020

état gère

Nous sommes dans un état contradictoire;

Nous sommes dans un état de contradicteurs, de menteurs; de malins….

Nous sommes dans un état d’énervement; c’est certain,

mais on digère, naturellement, cet état en l’état….

Qu’est-ce que l’étagère?

  • En pratique, un support bien droit, mural, qui doit permettre de maintenir des écrits, écrits pour certains depuis longtemps, et qui sont des fondements, fixés, solidement, et qui ne doivent jamais tomber, une fonction forte.

Qu’est-ce que l’état gère?

  • En théorie, un support bien droit, moral, qui doit permettre de maintenir des écrits, écrits pour certains depuis longtemps, et qui sont des fondements, fixés, solidement, pour ne point tomber; une fonction forte.

Mais….les murs ont déjà trembler, et des maçons, francs, non pas par nature, mais plutôt par voeux, prières ou incantations, ont fini par tomber, décrocher;

Même si l’officiel nous montre et nous résume l’histoire, avec une conviction de vainqueur, d’officier droit comme l’équerre, assez carré ou tordu pour se servir, d’un ou plusieurs compas, gnongnon, et même de ses frères, au nom du père; ainsi font….

C’est une histoire …. triangulaire…. aux angles sanguinaires, jetant un oeil de sorts on pourrait dire aux pouvoirs mortels, tant ils se sentent immortels, sur des contrés entières. C’est un état de fait, de fer, à défaire.

Qu’il y a des faux vaincus, et des faux-culs vint (mais des vins doux, et des vins cuits aussi) sorte d’adversaires sous la coupe, regroupant le con-tenant et le con-tenu, mais qui peuvent boire un verre de vin dans un ballon, dans un cercle, privé, pour partager la Terre qui a fait leurs richesses avec ses largesses, sous le contrôle, la supervision, la comptabilité, la manipulation, le vice, de géants-gérants-descendants-ascendants fortunés n’ayant même plus d’état, géographique, psychique, moral, pour rien, pour tout, mais pas pour tous.

Qu’il y a les tas, de purs Un, et donc composés d’un macérat de semi-hommes-semi-machines sélectionnés, programmées, superposés au fil du temps et recouvrant les parties des géants et des gens, qu’ils grattent bien accrochés par des fils barbelés, qui piquent tout ce qu’ils peuvent..

Les tas de pantins ou de marionnettes choisis-élus qui font la forme, informent à Sion et se sont mis en marche rampant devant leurs grands maîtres et, aboyant au travers des écrans en même temps, sur leurs esclaves, serviteurs, laquais environnants, qui en profitent également, illégalement pour en faire autant sur la base de la pyramide, la base de ceux qui savent, qu’ils peuvent ensemble déclencher le basculement, l’effondrement, Résister.

Les Grands Invisibles gèrent, « milicent », et jouent au casino de la vie et de la mort avec des pions corrompus, ou menacés, mais potentiellement transformables, malléables, éjectables, injectables, ceci afin de récupérer un corps, du sang, une énergie, une âme;

Leur sous mission, la soumission.

Mais…., impossible, inacceptable pour ce système, l’insoumission….

Cette lueur, cet éclair déclenché au croisement inopiné d’une synchronicité majeure, donc imprévisible, indétectable même au dela des tortures, et pourtant presque visible, en tout cas ressenti profondément, et qui déclenche une récupération du système, et l’activation d’une lumière qui restera pour toujours allumée, pour protéger, se réchauffer et ne pas se désorienter;

Mais…., les fréquences de récupération, de ré-activation, les courants sur les lignes, ont toujours serpenté, ondulé modulé selon chacun, selon l’élément déclencheur et la fréquence croisée; et c’est là leur problème, la peur majeure, d’où leur emportement dans une guerre de l’électromagnétisation avec des fréquences qu’ils pensent maîtriser face au réveil de l’être, avant l’éveil de la conscience par des fréquences qu’ils n’arriveront jamais plus à manipuler, c’est un état de fait.

« le réveil sonne, je dois me lever, la tête qui raisonne d’une nuit agité …. »

Au goût du jour, levant, il y a cette phrase, bien significative :

  • Comment en sommes nous arriver là ?…. !?

Combien de personnes se posent des questions?

  • cherches une réponse ?…. !

Combien de personnes esclaves ne s’en poseraient même pas?

  • S’il n’y avait pas cette peur de s’en poser encore plus ? ….

Combien de personnes esclaves, numéros, ne s’en posent même plus.

  • De peur de voir les réponses ….

Et pourtant….

 » le réveil sonne, je dois me lever, la tête qui raisonne …. »

Pourtant, l’accès exponentiel à l’information, et ce depuis la nuit des temps, à permis de progresser, dans sa plus pure définition; et doit, devrait, permettre d’approfondir nos capacités de mémorisation, de réflexion, dont découle l’action adéquate, instinctive, nécessaire.

Pourtant, l’accès exponentiel à l’information, et ce depuis la nuit des temps, à permis à certains, avec les pires applications, d’endormir et remplacer nos capacités de mémorisation, de réflexion et d’action, par manipulation des fils qui nous relient, par dissection sélective de nos brins d’adn pour nous reformater à leur guise de trou duc. De guise….

Mais….

« le réveil sonne, je dois me lever. »

Mais nous savons, de Marseille, pour l’exemple, que les remparts qui ont été construit et dont certains ont été démolis, ne sont pas toujours tournés vers la mer, mais vers l’intérieur; que les bulles, que les barrières que l’on se pose et s’impose ne sont là que pour être franchies, dépassées, éclatées, évaporées, dissoutes. Des passés, un présent.

Car nous vivons de réalités, de lumières en direct sur nos corps, dans nos chairs, que les jours sont faits de constats bien concrets, actuellement trop amers, mais avec toujours une lumière et des ombres qui nous traversent ou que nous réfléchissons, si nous réfléchissons bien.

Lorsque nous ouvrons les yeux, presque les « d’yeux » en même temps pour ne voir qu’un, dès ce premier jour exposé à la vue, à la vie, c’est bien pour voir, découvrir et vivre les réalités des jours de cette vie, et ne faire qu’un, contre des rayons qui éblouissent parfois, contre des flots de mensonges destinés à vous faire couler si vous refusez leurs bouées.

Nour revivons chaque jour , avec le soleil ou la pluie, avec un parasol ou un parapluie, survivant aux coup de tonnerre et aux ennuis, à leurs envies, et nous avançons, immobiles dans à la nuit, vers ce jour sans peur de se faire griller, ni de se noyer, sans peur de crever vu que c’est inné.

Pour le sauvetage, le regonflage ou le réallumage, ou pour le redémarrage, il existe des gilets pour se signaler, se sécuriser et se réchauffer, se responsabiliser, ensemble, sans manches pour ne plus être tenu par.

Mondialement, le jaune est un état de fait, et fait pour défaire les tas et amas de déchets, des chefs formant l’état mondial.

Alors….Dans quel état sommes nous ?

« le réveil sonne…. »

 

Sortez du moule

Post-cryptum, sans télégraphe, télépartie:

sourire

C’est un état de fait, pour un autre à défaire

Arkébi

Initialement proposé le 04/10/2020

Un Commentaire

  1. Il faut dire que l’établi se ment tout seul, en hululant à la lune « Si j’avais un marteau ! »
    Il faut dire que les tables au-devant du tableau complètement noir se couvrent de jouvenceaux quand les moissons sont finies.
    Quant à l’État, blotti au nord de la senne pour ne pas être emporté par le courant, il ne sert à rien qu’à empêcher la société des sociétés de vive sa vraie vie, au grand dam de Gustav Landauer.

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