Le Revenu Universel de Macron : « un risque réel de régression sociale »….

Encore une « entourloupe » du président des riches, avec sa nouvelle loi, qui porte un nom qui fait dans la confusion avec le vrai revenu universel porté par le Mouvement Français pour un Revenu de Base.  Lisez bien cette interview réalisée par Mr Mondialisation, pour comprendre comment Macron, ce pur produit du capitalisme/mondialiste, va encore tirer vers le bas, les plus fragiles d’entre nous, avec ce revenu sous conditions. Partagez ! Volti

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Source Mr Mondialisation

Ce 13 septembre, Emmanuel Macron a annoncé la mise en place d’un Revenu Universel d’Activité afin de fusionner les minimums sociaux existants. Alors que la proposition n’a aucun lien avec le « revenu universel » porté de longue date par certaines associations et économistes, le Président récupère de manière insidieuse une expression populaire à des fins politiques. Pire, argumentent les membres duMouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB) dans l’interview qui suit, le dispositif vidé de sa substance pourrait être le synonyme d’une régression sociale. Interview éclairante.

Mr Mondialisation : Dans son « plan pauvreté » présenté jeudi 13 septembre, Emmanuel Macron annonce la mise en place d’un « revenu universel d’activité ». Est-ce la bonne nouvelle tant attendue pour lutter contre la misère ?

MFRB : Pour l’instant, il est quasiment impossible de répondre à cette question, même si nous pouvons déjà deviner ce qui se profile. Le revenu universel d’activité (RUA) proposé par le gouvernement a été annoncé comme une fusion de certaines aides, mais nous ne savons pas encore quel en sera le montant ni quels minima sociaux seront concernés. Ce que l’on sait néanmoins, c’est qu’une contrepartie sera demandée en échange de l’allocation de ce revenu, qui conditionnera son versement à l’acceptation d’une des deux propositions d’emplois jugées « raisonnables ». Mais raisonnables d’après qui ? Selon quels critères ? Ce conditionnement à une aide aussi importante représente indéniablement un risque réel de régression sociale et un danger pour les publics ciblés par ce pan de la protection sociale. Nous entrons dans une forme d’obligation au travail, à l’heure des bullshits jobs chers à David Graeber, de l’automatisation croissante et d’un déficit réel d’offres d’emplois par rapport au nombre de demandes. C’est pourquoi nous craignons que cette proposition de « revenu universel d’activité » n’aboutisse à une précarisation accentuée des personnes déjà en grande difficulté.

C’est un dévoiement pur et simple de l’idée même de revenu universel. Par rapport à ce que nous défendons au sein du Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB), nous pouvons d’ores et déjà affirmer que la proposition d’Emmanuel Macron n’a absolument rien à voir avec un revenu de base, qui est par définition universel (versé à l’ensemble de la communauté), inconditionnel (sans exigence de contrepartie) et individuel (et non pas versé sur une base de ménage). En l’occurrence, le RUA n’a rien d’universel puisqu’il n’est destiné qu’aux personnes en recherche d’emploi, et rien d’inconditionnel puisqu’il ne permet pas de refuser plus de deux emplois sous peine de le perdre.

Le revenu de base doit constituer un pilier de la protection sociale. Le RUA semble être davantage un moyen de la déconstruire. À l’inverse, nous défendons un revenu de liberté dans l’emploi, le couple ou la famille permettant l’émancipation de l’individu et la valorisation des activités non lucratives.

Mr Mondialisation : Ce n’est pas la première fois que l’expression « revenu universel » est détournée. Que vous inspirent ces récupérations politiques ?

MFRB : De Manuel Valls, qui avait proposé un revenu « universel » visant seulement les plus pauvres, à Emmanuel Macron aujourd’hui, nous avons connu une succession de déclarations politiques visant (volontairement ou non) à dévoyer le terme. En réalité, à l’exception d’EELV qui a été le premier parti à soutenir le revenu de base tel que nous le défendons au MFRB ou de quelques élus comme l’ancienne députée Isabelle Attard, la plupart des responsables politiques ont cherché à adapter le terme à leur façon. Benoît Hamon, avec son Revenu Universel d’Existence, a dans un premier temps respecté les critères d’un véritable revenu de base. Dans la seconde partie de la campagne présidentielle, il en a malheureusement présenté une version édulcorée et confuse, avec un revenu qui n’avait plus rien d’inconditionnel puisque versé sous conditions de ressources et visant en priorité le retour à l’emploi. D’autres, comme les 19 présidents de départements en majorité socialistes, ont utilisé le terme « revenu de base » pour parler d’une expérimentation visant à améliorer le RSA.

Ce que nous déplorons avant tout, c’est que même si les intentions peuvent être bonnes, cela contribue à une certaine confusion auprès de l’opinion publique autour d’une idée qui est encore peu connue, pas assez bien comprise et bien plus ambitieuse. Ces initiatives politiques peuvent donc porter préjudice au revenu de base.

Mr Mondialisation : Le MFRB s’engage pour la mise en place d’un « revenu de base ». Pouvez-vous expliquer ce que vous entendez par là ?  

MFRB : Pour nous, le revenu de base est un droit inaliénable, inconditionnel, cumulable avec d’autres revenus. Il est distribué par une communauté politique à tous ses membres, de la naissance à la mort, sur base individuelle, sans contrôle des ressources ni exigence de contrepartie. Au-delà de cette définition un peu abrupte, nous considérons que l’éradication de la pauvreté et la lutte contre la précarité sont des enjeux de civilisation et que notre société doit reconnaître à chaque personne l’utilité de sa libre contribution au bien commun, à la création de la richesse sociale et la liberté pour chacun de choisir son mode de vie.

Bien plus que la lutte contre la pauvreté, nous y voyons aussi un levier de liberté réelle pour l’ensemble des individus. Aujourd’hui, notre liberté est conditionnée à notre employabilité, à l’exception peut-être des rentiers. Sont véritablement libres celles et ceux qui peuvent se permettre de négocier voire de refuser un emploi. Ce qui est de moins en moins le cas dans un contexte socio-économique de plus en plus précaire.

Grâce au revenu de base, nous voyons également un moyen d’interroger notre rapport au travail. Nous interrogeons les discours prédominants sur la croissance ou l’emploi à tout prix. L’emploi peut bien sûr constituer un efficace levier d’émancipation, notamment lorsqu’il est choisi et si les capacités de négociation des travailleurs sont équilibrées par rapport au pouvoir de l’employeur. Mais un emploi peut aussi figurer parmi les pires formes d’exploitation lorsqu’il est subi. Il s’agirait enfin de pouvoir reconnaître et affirmer la valeur des activités non rémunératrices, porteuses de richesses autres que monétaires, et de permettre aux personnes qui le souhaitent de s’y impliquer davantage (créant ainsi des flux d’échanges au-delà du domaine économique).

Nous souhaitons aller vers un modèle de société fondé sur l’inclusion, la participation, l’épanouissement et l’émancipation des citoyens. Nous considérons qu’il n’existe aucune raison valable pour laisser des personnes vivre dans la pauvreté et l’exclusion dans la 7ème puissance économique mondiale. L’instauration d’un filet de sécurité, pour permettre une réelle dignité, est selon nous un droit humain inaliénable qui ne doit pas faire l’objet de contreparties.

 

Au cas où : https://www.youtube.com/watch?v=_okOo1qOzDk

Mr Mondialisation : Y a-t-il une différence de fond avec le « revenu universel », qui est également défendu par certains mouvements militants ?

MRFB : Le terme « revenu de base » est la traduction directe de l’anglais « basic income » qui avait été utilisé par le BIEN lors de sa fondation en 1986 (Basic Income European Network, devenu Basic Income Earth Network en 2004) et par l’ensemble des experts sur ce sujet, tels que Guy Standing, Philippe Van Parijs ou Karl Widerquist. Nous nous sommes saisis de cette expression, plutôt neutre, pour désigner l’ensemble des dispositifs de politique publique qui entendent verser à une population un revenu de manière universelle, inconditionnelle et individuelle dans l’optique de renforcer la protection sociale actuelle.

Il existe plusieurs propositions de revenu de base, s’inscrivant dans un projet de société ou un projet politique. Nous en avons recensé plus d’une trentaine, chacune ayant leur nom propre, d’où la confusion possible.

À titre d’exemple, le Revenu Universel d’Existence de Benoît Hamon (dans sa première version présentée lors de sa campagne présidentielle de 2017), est un revenu de base au même titre que peuvent l’être le « Revenu de Base Inconditionnel » défendu en Suisse lors du référendum de 2016 ou la « Dotation Inconditionnelle d’Autonomie » défendue par les Décroissants. Si les modalités de mise en place peuvent varier, ces différentes propositions se rejoignent sur le plan philosophique, en ce qu’elles défendent une idée permettant de lutter efficacement contre la pauvreté et d’apporter une liberté de choix à l’ensemble des individus.

Mr Mondialisation : Comment s’engager pour la mise en place d’un véritable revenu de base, et pas d’une pâle copie passée au moulinet du dogme économique dominant ?

MFRB : Du 17 au 23 septembre, dans le cadre de la semaine internationale du revenu de base, une quinzaine d’événements sont organisés autour du sujet par notre mouvement et nos partenaires. Cela peut-être l’occasion pour chacun d’échanger autour de l’idée et de creuser ses différents aspects. L’engagement passe aussi par les discussions avec notre entourage, nous amenant le plus souvent à parler des dysfonctionnements du système actuel (pauvreté, « bullshit jobs », chômage de masse, amélioration de la protection sociale, etc.) et à remobiliser notre imaginaire aujourd’hui trop souvent borné par des discours martelant « qu’aucune alternative au système actuel n’est possible. »

Il existe différentes possibilités pour soutenir les actions du Mouvement Français pour un Revenu de Base. Vous pouvez visiter notre site internet, nous suivre sur Facebook ou Twitter, vous abonner à notre newsletter ou encore adhérer à notre mouvement. C’est un acte important car, plus nous serons nombreux à nous mobiliser sur ce sujet, plus les acteurs politiques seront à l’écoute de nos propositions. Rejoignez-nous !

Enfin, il est important que l’ensemble des citoyens et citoyennes s’approprient cette question, se forgent leur propre avis, débattent en connaissance de cause. Pour le MFRB, les modalités d’instauration du revenu de base doivent être co-construites afin de répondre aux besoins du plus grand nombre. Cet outil peut aussi être un bon levier pour exercer notre citoyenneté et réfléchir au sens de nos activités. Et vous, que feriez-vous avec un revenu de base ?

Source Mr Mondialisation

 

Sources complémentaires pour savoir et comprendre :

Si vous êtes intéressé par le revenu de base je vous recommande de visiter :
le MFRB : http://revenudebase.info/
et le BIEN : http://www.basicincome.org/ (Un grand merci à Otto Lehto)

Au sujet de la différence Salaire à vie / Revenu de base voici deux articles qui expliquent bien la chose :

– Pro revenu de base pour l’un :
http://revenudebase.info/2013/01/09/r…
– Pro salaire à vie pour l’autre :
http://blogs.mediapart.fr/blog/djules…
– La vidéo d’Usul à ce sujet : https://www.youtube.com/watch?v=uhg0S…
C’est juste une question de conception de la vie…

Concernant l’expérimentation aux Pays Bas :
Il s’agit d’une expérimentation intéressante mais trop limitée, outre le fait que l’échantillon de population est tout petit et trop homogène. Dans cette expérience les bénéficiaires de l’allocation de base sont uniquement des personnes étant bénéficiaire du chômage ou d’aides diverses.
Cela n’empêche pas de suivre l’expérience de près, car les résultats peuvent être intéressant mais ils seront parcellaires de par la nature même de l’échantillon.
Il faut simplement garder à l’esprit que c’est un peu l’équivalent d’une expérience visant à étudier l’effet d’un litre de bière sur 5 femmes de moins de 50 kilos. On peut en conclure qu’un litre serait suffisant pour rendre saoul une femmes de moins de 50 kilos mais ça s’arrête là. En tirer des conclusions pour un homme de 180 kilos serait hasardeux.
Pour réaliser une étude sur l’impact du revenu de base il faudrait dans l’idéal un échantillon hétérogène pris sur l’ensemble de la population d’une région ou mieux d’un pays.

Plus d’info sur cette expérimentation :
http://revenudebase.info/2015/07/24/p…

La vidéo de Marc de Basquiat vu dans l’épisode.
https://www.youtube.com/watch?v=516vP…

Une bonne lecture sur l’expérience de Manitoba au Canada
http://public.econ.duke.edu/~erw/197/…

Le revenu de base en Inde, par Guy Standing
http://isa-global-dialogue.net/indias…

Beaucoup d’économistes renommés ont soutenu l’idée d’un revenu de base :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d…

Les accidents des voitures sans chauffeurs :
https://static.googleusercontent.com/…

Une lecture intéressante sur les utopies et la simplification de l’homme qu’elles impliquent :
http://www.eclairement.com/L-utopie-c…

Le graphique de la pyramide de Maslow vient du blog Hacking Social :
http://hacking-social.com/

Pour la musique c’est Homemade Universe.
http://homemadeuniverse.bandcamp.com/

Pixabay

 

21 Commentaires

  1. ils préparent l’opinion au chômage de masse de grande envergure
    le patronat ne veut plus rien payer,la planche à billets va prendre le relais.
    on ne fait pas tourner un pays avec des start up qui vendent des applications

    acheter ou contenir la paix sociale,prétendre tout mettre œuvre pour inverser
    la tendance,les colabopartenaires sociaux et l’équipe de bras cassés gouv.fr sont
    main dans la main,pour mener à bien ce projet
    (un interlude musical,avec la Marseillaise,par le grand orchestre du splendid)
    on connait la musique

  2. Je ne comprends pas, puisque le RSA est un droit pourquoi le revenu universel d’activité devrait comporter des obligations d’accepter un emploi ? Cependant à l’heure où le chômage bas son plein 2 emplois proposés seraient les bienvenues mais je n’y crois pas trop, c’est juste une farce pour dire que ce n’est pas de l’assistanat et qu’il faut continuer à faire la queue pour chercher un emploi, rassurons la masse qui vote pour celui qui nous fait croire que le chômage va baisser !

    Blague à part, tous ça n’est que de l’enfumage pour continuer à nous faire croire qu’il y a encore du travail à but électoral alors que l’on sait que les machines ont déjà remplacée la main d’œuvre ! Imaginez notre président des riches dire aux Français qu’il n’y a plus de travail pour tous et que cela va aller crescendo dans l’avenir, se serait la panique générale à bord ! Pourtant en proposant un revenu universel c’est bien ce qu’il nous dit et il le sait !

    La faim du travail

    https://www.youtube.com/watch?v=4n2tWyIuA8g

  3. A part des boulots de merde dont les revenus sont inférieur au smic, y a plus de boulot en France, donc il va bien falloir forcer les « fainéant de chômeurs » à sauver la France de la faillite….

  4. Pour ceux qui ont pris novlangue en première année tout est limpide. Pour les autres, il faut traduire « revenu universel d’activité » par « rémunération identique pour tous contre travail ». En clair, c’est la mise en place de l’emploi sous-payé obligatoire (deux refus d’offres maxi avant le trottoir). Au passage, exit le RSA qui garantissait légalement un minimum vital.

    Retour du STO pour soutenir la mise en place du NOM ? Allez-vous accepter un travail obligatoire de merde contre un rétribution non moins malodorante ? Cela dit, c’est vous qui voyez. Y’en a qui ont accepté, ils ont eu des problèmes …

    Faites vos choix, dans ce monde rien ne va plus … M.G.

    • d’un autre côté tu acceptes tu glandes et fais conneries sur conneries et retour case départ et au bout de quelques essaies plus personnes t’embaucheras malgré ton assiduité en recherche d’emploi https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

      • c’est clair, ils ne sont pas prêt d’obliger les gens à travailler!!! pour l’instant ils te demandent juste de chercher un emploi et d’éventuellement ne pas refuser une offre ! de la à faire carrière plus d’une semaine, il ne faut rien exagérer…..
        l’histoire du non refus a partir de la deuxième offre date de sarko…..encore faut-il que pôle emploi t’envoie des offres!

        • moi j’ai mis un demande de salaire au niveau de mes compétences du coup ils peinnent un peut https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

          • une interim m’avais envoyé sur poste manut,le mec apprend que j’ai le permis clarck,il veut que charge les semi,bon ok
            tu veux un cariste magasinier? précise le ,c’est pas le même
            tarif (connard)

            ne voulant entendre raison,avec ses rhétoriques de chialeuse,
            j’ai conclu par : désolé,mes compétences ne sont pas à vendre
            aux enchères

    • on parlait avec un ami,de cette fusion des minima en une seule et même
      prestations,afin que beaucoup apposent leur signature sur un nouveau contrat
      d’obligations.
      comme c’est le cas avec bolemploi,
      on connait la partition en manip,c’est étonnant que les grands collabopartenaires
      ne soient monter au « créneau »(c’est leur slogan,favori) dèja.

      exit.. les besancenabots les affransoumis et toute la bétaillère de droite
      que du traites

  5. #MacronTraverseLaRue

    «Le monde se divise en deux catégories: ceux qui vont à Pôle Emploi et ceux qui traversent la rue. Toi tu traverses la rue».

    https://fr.sputniknews.com/france/201809171038126767-macron-traverse-rue-polemique-internet/

  6. rien que sur le bon coin il y a 60000 offres d emplois …..vous allez bien trouver quelques choses à la hauteur de vos grandes compétences ,en restant le cul vissé dans un fauteuil ?????
    d ailleurs c est un point commun ,des gens dans mon entourage qui sont sans emploi ,ils sont trés compétents …..enfin ils se targuent de l être

    • il y a environ 600000 offres d’emplois en permanence, pour environ 6 millions de chômeurs, soit un dixième, et sur les 600000 si l’on enlève les offres illégales (ne respectant pas notamment les conventions collectives) il doit en rester environ 200000, auxquelles il va falloir enlever les faux jobs (mi temps, temps partiel,etc…..) bref pas plus de 150000 offres pour 6 millions de chômeur!
      Par ailleurs, le système à fabriquer des emploie d’OS dans la plupart des métiers, alors c’est sur que pour ceux qui ont de réelles compétences aujourd’hui, aller bosser pour le smic dans un boulot totalement inintéressant, faut pas rêver, il y a des limites à la connerie…

      • Sans oublier les emplois d’esclaves dont personne ne veut. Et oui, il existe des patrons et des chefs qui sont impossibles à supporter. Ceux-là ont un abonnement annuel chez pôle emploi. Chaque mois leurs salariés se tirent ailleurs, se retrouvent en dépression, se suicident, etc.
        Toutes les offres d’emplois ne sont pas bonne à prendre. Sauf pour les esclaves volontaires.

        Travailles, prédateur,
        Macron a besoin de ta sueur !
        Rendez-vous au crematorium…

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