Médecine : la moitié de la littérature scientifique est fausse ! ….

C’est ce qu’a affirmé Richard Horton, le rédacteur en chef de la revue scientifique  » The Lancet  » en 2015. Dommage que nous n’ayons pas quelques exemples… Jimmy a traduit la lettre de Richard Horton, qu’il soumet à notre réflexion. Pour les scientifiques, ce qui n’est pas reproductible n’a pas de valeur et, le manque de résultat met en péril les crédits alloués à la recherche. Ça explique en partie la fausseté de certaines études.  Partagez ! Volti

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Auteur Jimmy pour Terraponia

Mon propos sur cet article seront brefs afin de vous laisser focaliser votre attention sur la présente traduction réalisée par le site Terraponia. Cette traduction est celle d’un article anglais intitulé « Offline: What is medicine’s 5 sigma? » rédigé en Avril 2015 par l’illustre Richard Horton. Actuel rédacteur en chef de la plus prestigieuse Revue scientifique médicale – The Lancet – au monde, ses révélations à l’encontre de la Science et de la Médecine sont fracassantes.

Voici une nouvelle preuve factuelle justifiant mes propos à l’égard d’un monde où le mensonge règne et que les gens sont pris pour des imbéciles en plus d’être des cobayes de longue date.

Je vous laisse découvrir avec attention cet article ô combien important et évocateur.

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Prenez soin de vous et visez votre indépendance en termes de santé avec Terraponia.fr.

Jimmy pour Terraponia

 

 

13 Commentaires

  1. pourquoi à la seule lecture du titre ai-je deviné qui était l’auteur de l’article https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

  2. Un chercheur cherche ce qu’il doit trouver, ou prouver …. et trouve ce qu’il cherche.

    http://www.ldi5.com/i/jpp_heret1.jpg

  3. Bonjour

    En l’occurrence, il est possible que ça soit même encore pire que ça.
    Tout particulièrement pour les études sur les médicaments.
    La revue « Prescrire » a publié la traduction d’un article satirique du British Medical Journal en 2003 sur les pratiques de l’industrie pharmaceutique en la matière. TOUTES les pratiques listées dans cet article sont réelles et démontrées (et ils ont probablement encore fait mieux maintenant). Ca vaut son pesant de cacahuètes. Traduction française à : http://www.prescrire.org/editoriaux/EDI23552.pdf

    Cordialement

    • Article satirique !! Ça a du faire pas mal de bruit en son temps un article pareil et, si on se fie à ce qu’écrit le directeur de The Lancet, il n’y a pas loin du satirique à la réalité.

      • Bonjour

        Si mes souvenirs sont bons, l’article original dans le BMJ avait été publié suite à un scandale retentissant concernant je ne sais plus laquelle (ou lesquelles) des pratiques décrites dans cette satire, qui avait été démasquée… Et oui, à l’époque ça avait fait du bruit.

        Le livre « La constance du jardinier » de John Le Carré décrit bien certaines pratiques absolument glaçantes de la maffia qu’est big pharma. Il y aurait énormément à dire sur les études menées dans les pays du tiers monde (c’est quand même moins pire pour les études menées dans les pays occidentaux même si c’est loin d’être glorieux).

        Cordialement

        • On sert de cobaye la plupart du temps, quant aux pays du tiers monde, la chair fraîche ne manque pas et les résultats certainement loin d’être fiables, vu l’état sanitaire de ces populations souvent dénutries et affaiblies… 🙁

          • …alors qu’ils foulent souvent de leurs pieds un sol riche en Uranium, Or et en diamants (réservés a l’avance aux autres pays qui allongerons le plus de mallettes de billets ) , voir des zones de plus en plus couvertes d’Energie Solaires dont la principale Distribution est deja réservée a l’Europe. (et j’en passe )

  4. Si ça n’était que ça… Par exemple, un petit résumé du compte-rendu de l’analyse d’une « grande étude randomisée » menée en Afrique sur la névirapine, un « médicament » contre le SIDA, sur les résultats desquels on a décidé d’utiliser à grande échelle ce produit chez les femmes enceintes dans les pays en voie de développement. A noter que ce produit continue à être largement utilisé (et qu’il est fort probable que les études sur les autres antirétroviraux ne soient pas de meilleure qualité, mais je n’ai pas connaissance d’un audit à leur sujet).

    Les premiers doutes la concernant sont survenus en janvier 2002, lorsque le laboratoire fabriquant la névirapine, Boehringer Ingelheim, a demandé à la FDA d’approuver son utilisation large pour la prévention périnatale de la transmission du VIH. Or, la seule étude sur laquelle se fondait cette demande était la HIVNET012. Un audit a donc été mené pour vérifier cette étude, en particulier sa conformité avec les standards internationaux de recherche, et le Dr Fishbein a été mandaté pour vérifier en profondeur la façon dont elle avait été menée. Cela lui a permis de constater l’existence de nombreuses anomalies qui compromettaient l’intégrité de l’étude. D’autres évaluations, menées par la suite par diverses organisations, ont fait les mêmes constatations.

    Dans une étude de ce type, les personnes incluses doivent bénéficier d’un suivi médical adéquat, et tous les effets secondaires liés au traitement évalué par l’étude doivent être relevés. Or, dans cette étude, le suivi des personnes enrôlées et le recueil des données ont été très médiocres, tout particulièrement en ce qui concerne les effets secondaires (y compris ceux de grade 4 – à savoir potentiellement mortels ou laissant des séquelles permanentes), avec entre autres pour résultat une importante sous-estimation de la fréquence et de la gravité de ces derniers. Jackson et Guay (les responsables de l’étude) ont reconnu que des milliers d’effets secondaires n’avaient pas été notés. Le protocole de l’étude n’a pas été respecté. Il est difficile de savoir quelles femmes ont effectivement reçu de la névirapine, et à quelle dose (il a fallu reprendre les échantillons de sang prélevés à l’occasion de l’étude pour y rechercher la névirapine, et tenter de savoir qui en avait reçu). Des informations importantes ont été supprimées ou égarées. Au vu des violations majeures des droits humains des personnes incluses dans l’étude HIVNET012 (absence de données sur le consentement éclairé des femmes entre autres), ainsi que des règles méthodologiques édictées pour la conduite des études cliniques, le Dr Fishbein estime qu’aucune conclusion valable ne peut être donnée sur l’utilisation de la névirapine pour la prévention périnatale de la transmission du VIH sur la base de cette étude.

  5.  » … à l’égard d’un monde où le mensonge règne et que les gens sont pris pour des imbéciles en plus d’être des cobayes de longue date. »

    Ré-Edition Cours Nr.2 https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif

    Répétez aprés moi: « Nous sommes des Imbéciles et des Cobayes »,
    « Nous sommes des Imbéciles et des Cobayes »,
    « Nous sommes des Imbéciles et des Cobayes »,
    « Nous sommes des Imbéciles et des Cobayes »,

    Si si…j’insiste, ( puisque les Moutons, c’est sourd quand sa les arrangent )

    Allez Hop ! A répétez 100 X / Jours, jusqu’a ce que sa rentre dans vos cervelles (…)
    « Nous sommes des Imbéciles et des Cobayes »,
    « Nous sommes des Imbéciles et des Cobayes »,

    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

  6. Le plus amusant étant que lorsque l’on parle de médecine alternative à son médecin, celui ci vous rétorque que ces médecines n’ont aucune base scientifique !
    Quand on voit en quoi consiste les bases scientifiques, on peut se dire qu’il est préférable de s’en passer ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

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