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« Avant d’être Gilets jaunes, on est des citoyens en colère qui portent un gilet jaune. Nous sommes victimes d’une discrimination politique qui nous empêche aujourd’hui [d’exercer] notre droit inaliénable qui est celui de manifester », Jérôme Rodrigues
Sur Twitter, le ton monte. Jérôme Rodrigues est désormais visé par une plainte déposée par Gérald Darmanin, le ministre l’Intérieur, l’accusant d’avoir traité la Police nationale de « bande de nazis ». La figure des Gilets jaune ne lâche rien et explique à Sputnik que seul le syndicat de police Synergie-Officiers était visé par cette sortie.
« Est-ce que moi, je n’ai pas le droit de porter plainte contre un député qui me traite de débile profond ? […] Ou lorsqu’un policier dans la rue me dit « ne t’inquiète pas Rodrigues, on va te faire le deuxième œil » ? »
Jérôme Rodrigues, figure des Gilets jaunes, ne mâche pas ses mots au micro de Sputnik, à la suite de l’annonce de Gérald Darmanin. Et « Non, rien de rien », comme le chantait Édith Piaf, il ne regrette rien.
Ce jeudi 10 septembre, le ministre de l’Intérieur a publié un message sur Twitter, déclarant porter plainte contre Jérôme Rodrigues, figure des Gilets jaunes. « Les propos de M. Rodrigues envers la police de la République sont ignobles. Au nom du ministère, et pour défendre l’honneur de tous les policiers, je dépose plainte », a-t-il écrit.
Les propos de M. Rodrigues envers la police de la République sont ignobles. Au nom du ministère, et pour défendre l’honneur de tous les policiers, je dépose plainte. pic.twitter.com/Z505fgrJGY
— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) September 10, 2020
Comme nous l’explique Jérôme Rodrigues, la réaction de Gérald Darmanin n’est pas étonnante.
« Il faut bien qu’il défende la police. Vous avez une corporation gouvernementale policière qui se soutient les uns les autres, donc forcément, le ministre de l’Intérieur ne va pas lâcher cette frange de la police », avance-t-il.
Et d’ajouter : « à défaut de perdre son temps et de gâcher l’argent du contribuable à porter plainte », le Gilet jaune rétorque que le gouvernement devrait utiliser cet argent « pour nettoyer [les] services de police. »
Le ton monte sur les réseaux sociaux
La plainte du ministre fait suite au message posté, mercredi 9 septembre dans la soirée, par le célèbre Gilet jaune, qui traitait la police de « bande de nazis », affirmant que les forces de l’ordre tenteraient de « cacher aux médias » un « camp de concentration » situé au nord-est de Paris. Un endroit où l’on « parque les Gilets jaunes », se justifie Jérôme Rodrigues. Une référence au commissariat Hébert (Paris XVIIIe), un lieu « souvent utilisé lors de manifestations comme “dépôt”, en raison de sa grande capacité d’accueil », détaillait la rubrique CheckNews de Libération, dans un article daté de juillet 2019.
À l’origine de cette passe d’armes, un message –un brin provocateur– du compte Synergie-Officiers. En effet, Jérôme Rodrigues a appelé dans une vidéo à la désobéissance civile, en refusant notamment de décliner son identité en cas de contrôle, lors de la manifestation du 12 septembre prochain. « Dans le pire des cas, vous passerez quatre heures maximum au commissariat. Mais auront-ils suffisamment de place pour nous accueillir ? », écrivait-il. Ce à quoi le compte du syndicat du corps de commandement de la police nationale a laconiquement répondu : « Nous avons suffisamment de place pour vous accueillir. »
Nous avons suffisamment de place pour vous accueillir ! #GiletsJaunes #12septembre #Jesoutienslapolice #Police #FDO https://t.co/LDBNz2JYG8
— Synergie-Officiers (@PoliceSynergie) September 8, 2020
Selon Jérôme Rodrigues, ses propos n’étaient pas destinés à l’ensemble des forces de l’ordre, et n’insultaient « que le groupe [de policiers concernés, ndlr] et ce compte Twitter [Synergie-Officiers, ndlr] », ainsi que les personnes qui se « permettent d’écrire des saloperies depuis bien trop longtemps » à son sujet.
Enfin, le Gilet jaune déplore que Gérald Darmanin n’ait « jamais porté plainte face aux mutilations que l’on a pu subir » ni « aux insultes que j’ai pu subir ».
Source :
Via Aphadolie
Gilets jaunes ou pas, que certains s’en rendent compte ou pas, tout le peuple français (et les autres) a été mis en cage depuis bien longtemps déjà.
Mais comme la cage se resserre à mesure que le pouvoir d’un « petit nombre » augmente, on commence sérieusement à sentir comme une odeur de soufre, comme un ENFERmement.
« Français divisés, pardonnez-vous de toute votre âme ! » (Jehanne d’Arc)
L’Union de toutes et tous et l’intelligence mise à son service sont les ultimes chances qui reste au genre humain pour éviter que ses enfants, dans quelques temps, ne finissent dans un élevage intensif du type « Matrix », voire, réellement, une société du type « 1984 » de George Orwell.
Rappel :
Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux. Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde.
Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers (et à terme à l’esclavagisme). Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois ». Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisé à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.
Aussi, la France, comme les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City of London. En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
Dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États. Aussi, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.
Les cartes sont actuellement dans les mains des populations civiles : ces dernières ont enfin, phénomène unique dans l’histoire, la possibilité de reprendre leur destin en main ; ce qui signifie, très précisément, qu’elles ont la possibilité de réinstaurer des gouvernements politiques en lieu et place des ersatz actuels entièrement aux mains des puissances financières. Les peuples auront ce qu’ils méritent : ils recevront, s’ils acceptent de se prendre en charge des fruits extrêmement bénéfiques… mais l’accepteront ils ? Là est la question… Profitons-en pour rendre hommage au travail de structuration politique fait, en France, par les Gilets Jaunes constituants, qui ont pleinement compris et anticipé cette problématique de fond.
Finalement, les lois naturelles, tellement honnies des globalistes, reprennent le dessus et les choses vont entrer dans l’ordre : soit on lutte collectivement pour survivre collectivement, soit on ne lutte pas collectivement et ce sera la fin de la civilisation et de la liberté, y compris celle de vivre et de mourir.
NB : Origine et connaissance du bien du mal : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/lebienetlemal.html
Il faut reprendre le pouvoir par la force et le bouton atomique pour se défendre des autres pays qui n’auront su se révolter.
La caste mondialiste est prête à bombarder tout pays résistant, alors si on le fait (la prise de pouvoir) ça doit être vite et avec force. La police avec l’armée le peut.
Et sa femme, victime d’un mari violent. Une violence qu’il revendique publiquement puis qu’il minimise. Ce qui n’empêche pas le troupeau de l’applaudir. Je ne mettrais pas la vidéo, elle a déjà circulé il y a quelques jours.
Humour…. sa femme sera à la manif., si elle peut sortir de l’hôpital. Parait t il que se sont rabiboché.
Mais quand même, comme chef de file, franchement, niet.
Personnellement, je préfère le commentaire de Etirév avec la citation:
« Français divisés, pardonnez-vous de toute votre âme ! » (Jehanne d’Arc)
Je n’ai même pas eu à pardonner Rodrigues, sa vie privée ne me regarde pas.
Par ailleurs, nul besoin de chercher des « chefs de file » là ou il n’y en a pas.
C’est à chacun de se prendre en main, comme nous le montre Rodrigues qui est à considérer comme un exemple de citoyen qui lutte avec courage.
Un citoyen qui lutte avec courage, vraiment ?
Ne serait-ce pas plutôt un vendeur de tapis ? Enfin pas des tapis, mais des bagdes, des pins et des sweat-shirt, regarde comme il est beau en photo
Si quelqu’un sort une gamme de tapis jaunes, J. Rodriguez sera le VRP numéro 1 et pourra définitivement être défini comme vendeur de tapis
Tu as le droit de faire toutes les suppositions que tu veux, en privé.
Les publier sans preuve sur Les Moutons ou ailleurs, c’est de la diffamation – Et s’il le voulait Rodriguez aurait parfaitement le droit de te poursuivre devant les tribunaux, et il pourrait t’en cuire.
Personnellement je ne m’intéresse pas à la vie privée des gens : Ce qui m’intéresse c’est ce qu’ils font. Et toi, Capitou, tu as fait QUOI pour le peuple de France ?
Non, cela a été chroniqué. Les preuves, il y en a des centaines, particulièrement sur twiter. Cela a fait l’objet d’une polémique au moment ou les faits se sont passés. C’est vraiment anecdotique cette histoire.
Non mais êtes sérieux, Rodriges qui déposerait une plainte parce un blogger relaterait le fait que le Monsieurs a vendu des pin’s dans les manifs des gilets jaune ? Vous devez être gouroutisé.
Enfin, il n’est pas question de sa vie privé mais de propos qu’il tient publiquement.
Donc, R. nous montre comment se prendre en main, est un exemple de citoyen à suivre.
Un chef de file quoi. Il est poussé par LFI.
Je suis déçu du choix fait par R. . Je trouve qu’il aurait du se mettre en retrait, on n’a pas besoin d’icône aussi facile à manipuler.
https://lesgiletsjaunesdeforcalquier.fr/index.php/2020/09/09/lettre-ouverte-des-policiers-indignes/
Espérons qu’ils seront entendus et largement suivis.