Covid-19: permis de tuer et interdiction de guérir

C’est le peuple qui est pris en tenaille, ballottés entre les déclarations anxiogènes des médias, les graphiques alarmants, les chiffres qui fluctuent à la hausse ou à la baisse, et les paroles rassurantes des “bannis” qui sur le terrain, soignent au lieu de faire de la propagande sur les plateaux télé. À défaut de croire la parole officielle et d’obéir aveuglément, la réflexion s’impose. Si c’est une question de pognon, le ridicule est au rendez-vous face aux faits et, s’il s’avère que c’est une manipulation de masse (ça y ressemble de plus en plus) pour complaire à big pharma, La colère pourrait bien se substituer à la peur. Partagez ! Volti

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Par Dr Pascal Sacré pour Mondialisation.ca (voir les sources, chiffres et liens )

Pascal Sacré est diplômé en médecine en Belgique depuis 1995 et s’indigne sur «le combat du Remdesivir contre l’Hydroxychloroquine (HCQ)». Pour le médecin, «c’est un peu le symbole du combat de la médecine des revues, des institutions corrompues contre la médecine de terrain, celle des médecins généralistes, nombreux, qui sont au chevet des malades». En effet, le traitement du Remdesivir par personne représente une belle montagne d’or. 

Pascal Sacré pose le problème: «Le Remdesivir est une molécule coûteuse, propriété d’une compagnie pharmaceutique, Gilead. Dans la course au traitement miracle du Covid-19, Gilead essaie de remporter la palme car cela peut lui rapporter gros1» et «l’Hydroxychloroquine est une molécule libre de droit, passée dans le domaine public et très peu coûteuse». Autrement dit, bien que fabriqué au départ par une compagnie pharmaceutique, Sanofi, ce traitement ne rapportera rien à l’industrie et donc rien à tous les gens corrompus par elle. Le combat du Remdesivir contre l’Hydroxychloroquine, c’est le symbole du combat de la médecine mensongère, la médecine des gros sous, contre la médecine factuelle, une médecine qui peut rapporter gros au malade (sa santé), sans rien coûter ou presque à la société. 

On dit que l’Hydroxychloroquine (traitement défendu par le professeur Raoult à Marseille, France, entre autres) est inefficace dans le Covid-19, voire dangereux2. C’est faux. Suffisamment d’indices laissent à penser que l’Hydroxychloroquine, associée ou non à l’azythromycine et au zinc, est efficace pour inhiber la réplication virale du SRAS-CoV-2, avec un profil de sécurité tout à fait satisfaisant en particulier pour des médecins habitués et habilités à le prescrire. Ces molécules, la chloroquine et l’Hydroxychloroquine, sont connues depuis des dizaines d’années3. Voilà la vérité. Inversement, on dit que le Remdesivir est efficace et sans danger particulier. C’est faux. Le Remdesivir peut engendrer insuffisance rénale sévère (nécessitant dialyse, greffe rénale), insuffisance hépatique (foie), mutation génétique, problèmes cardiaques allant jusqu’à l’arrêt cardiaque, entre autres4. Voilà la vérité. 

D’un côté, le Lancet essaie de démolir l’hydroxychloroquine5, de l’autre, le New England Journal of Medicine fait l’éloge du Remdesivir6-7. Dans un article précédent, j’ai écrit ce que les anciens rédacteurs en chef de ces revues disent et ce qu’il faut en penser: corruption et mensonges à tous les étages8. Pour tous les médecins intègres, les véritables scientifiques, le public, cela pourrait même devenir un critère de discernement: quand une «grande» revue médicale encense un médicament, méfiez-vous! Quand elle démolit un traitement, alors, vous feriez bien de vous y intéresser. Aux explications du médecin belge se rajoute le mea culpa du The Lancet qui a retiré son étude contre l’hydroxychloroquine. 

Remdesivir contre Hydroxychloroquine, c’est encore et toujours une histoire de gros sous. La médecine, ce n’est plus que cela, à présent. Le Remdesivir rapporterait 4500 dollars par traitement à Gilead9. L’hydroxychloroquine, même associé à l’Azithromycine, ne coûte que 10 euros par traitement et ne rapporte rien à l’industrie. 

Au lieu de culpabiliser et de faire peur à tout le monde avec des chiffres de mortalité exagérés et des deuxièmes vagues qui n’existent pas, au lieu d’imposer des mesures aussi inefficaces que toxiques comme le port du masque partout pour tous, au lieu de faire croire aux gens que des médicaments efficaces et bon marchés sont dangereux et que des médicaments chers et dangereux sont la solution, au lieu de se prosterner devant la vaccination, Graal illusoire dans la lutte contre le Covid-19, voici ce que nos hautes autorités de santé devraient faire: 

1 – Prendre les conseils de scientifiques appelant à plus de calme et de réalisme sur le modèle du professeur John Ioannidis de Stanford;

2 – Observer et mesurer les faits réels, et non des modèles mathématiques statistiques;

3 – Ne pas confondre test RT-PCR positif et maladie COVID-19;

4 – Prévoir des mesures de protection drastiques seulement pour les personnes fragiles et à haut risque;

5 – Laisser circuler librement, sans masques, les personnes saines, en bonne santé et surtout, les jeunes et les enfants;

6 – Proposer à toute la population des prises en charge psychologiques adaptées pour gérer les états de stress post-traumatiques générés par les médias anxiogènes;

7 – Permettre à tous les médecins de première ligne de prescrire aux vrais malades du Covid-19 dès les premiers signes, l’association hydroxychloroquine-azythromycine-zinc, selon les modalités de sécurité bien établies depuis toutes ces années où ces médicaments sont prescrits dans leurs diverses indications.  

Ce n’est possible que si ces hautes autorités de santé ne sont pas corrompues par tout l’argent des compagnies pharmaceutiques telles que Gilead. Pascal Sacré a envoyé une demande pour avoir le droit d’utiliser l’hydroxychloroquine, mais il attend toujours la réponse : «Pour le point, numéro 6, le médecin généraliste bruxellois Éric Beeth et moi-même avons envoyé à tous les responsables concernés, ministre de la santé, membres du conseil Covid-19 au sein de SCIENSANO qui encadre le gouvernement dans la gestion de la crise, une lettre requérant la liberté pour tous les médecins belges de prescrire l’hydroxychloroquine dans le Covid-19 et surtout, la constitution au sein des pharmacies belges, d’un stock suffisant de ce médicament », «Nous attendons réponse».

Dr Pascal Sacré

Source avec les chiffres et liens: https://www.mondialisation.ca/covid-19-remdesivir-permis-de-tuer-hydroxychloroquine-interdiction-de-guerir/5647337

Via Observateur-Continental

Volti

4 Commentaires

  1. oui est bien cela me fait chié , si jeune
    Belgique: une jeune femme de 18 ans meurt du coronavirus

    Alors que la pandémie a fait près de 10.000 morts dans le pays, ce n’est que la deuxième fois qu’est rapporté le décès d’une personne de moins de 24 ans.
    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/belgique-une-jeune-femme-de-18-ans-meurt-du-coronavirus/ar-BB16LoWo?ocid=msedgdhp

  2. Il est interdit de mourir d’autre chose que du CORONAVIRUS.
    Vous trouvez d’innombrables témoignages de morts scandaleuses naturelles et sans rapport avec la maladie subventionnée par l’OMS et autres succursales.
    Des test servant juste à augmenter les statistiques (test non fiables en +,voir sur légumes)
    TOUT pour un VACCIN non imposé mais permettant l’acces via un carnet de vaccination renouvelable à la vie normale..
    Ce seras comme aujourd’hui,partout les gents se protégeront en dénonçant les risques de ceux qui ne seront pas à jour de vaccination.
    Comme avec les masques dans grande surface aujourd’hui.
    Me fait aucune illusions et m’en fout vus que la majorité est jalouse de cette minorité prédatrice et ferais tout pour en faire partie hahahahahahaahah
    Bonne chance les bestioles

  3. La grippe aussi tue davantage les vieux et les malades. Ceux qui sont affaiblis.
    Ca n’empêche pas que quelques jeunes meurent aussi. Et personne ne crie au scandale.

    Mais cette fois on a crié au scandale avant, et depuis on essaie de gonfler le chiffre des morts, pour prouver qu’on avait eu raison et que le corona (s’il existe ?) est beaucoup plus mortel…

    Chez moi la peur du corona a fait déjà quelques victimes. Des cancéreux qui n’ont pas été opérés (il fallait laisser des places dans les hôpitaux pour les éventuelles futures victime du corona). Des morts de peur, qui n’osaient plus sortir ni recevoir, et qu’on retrouve morts de faim chez eux. Ma femme a une cousine qui s’est cloîtrée avec son mari, encore maintenant elle refuse les visites…

    Bah, ces gens-là on sait qu’ils seront classés “victimes de la pandémie” . On aurait pu inscrire “victimes de la peur de la pandémie”, mais c’est déjà trop long à lire pour beaucoup de monde.

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