Tellement vrai ! En parler sur le ton humoristique, n’empêche pas de constater jour après jour, que la connerie est ce qu’il y a de plus partagé. Sans omettre de remarquer, qu’il s’agit d’un point de division de plus. Partagez ! Volti
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Source H16 pour Hashtable
L’avantage de la période estivale est qu’elle donne l’occasion à beaucoup de Français de faire des expériences dont ils n’ont pas l’habitude, à commencer par faire découvrir aux urbains les joies de la campagne. L’inconvénient de la période estivale est qu’elle donne aussi l’occasion à beaucoup de Français de la campagne de découvrir certains Français décidément urbains…
Et d’années en années, les faits divers et les petites histoires dont les journalistes sont friands s’accumulent, montrant de façon de plus en plus claire le décalage croissant entre cette France de la campagne et cette France de la ville.
C’est ainsi qu’on découvrait, il y a quelques années de cela, la consternante histoire d’un couple de Grignols en Dordogne qui fut condamné par la Cour de cassation à reboucher la mare qui leur appartient. En cause : le bruit, insupportable pour les oreilles sensibles des voisins fraîchement installés, des grenouilles qui y avaient élu domicile. L’affaire aurait seulement baigné dans le parfaitement grotesque si elle n’avait pris en plus un tour parfaitement ubuesque lorsqu’on découvre dans le même temps que le Code de l’environnement interdit de toucher à cette mare qui abrite des espèces protégées, garantissant ainsi que le couple serait condamné d’une façon ou d’une autre, et plutôt deux fois qu’une.
Condamnable s’ils bouchent, condamnable s’ils ne la bouchent pas : gageons que l’administration française, ses codes, ses juges et son intelligence hors pair sauront venir à bout de ce petit dilemme quitte à ruiner ce couple qui fera un coupable d’autant plus facile qu’il est solvable.
Rassurez-vous ! Depuis cette affaire de 2017, de l’eau a coulé sous les ponts et la situation, déjà bien pourrie à l’époque, s’est largement détériorée : ce genre d’affaires idiotes, qui n’apparaissait qu’une fois l’an à l’approche des périodes de vacances, est devenu maintenant routinier puisqu’on trouve sans mal, dans les journaux locaux puis dans la presse nationale, de nombreux exemples de ces réclamations et autres dépôts de plaintes pour des raisons de plus en plus farfelues.
Que voulez-vous : le confort de la ville peine à atteindre la campagne et il semble nécessaire, pour les Français des villes, de bien faire comprendre à leurs bouseux compatriotes un peu attardés des campagnes profondes qu’il va devenir nécessaire de hausser quelque peu les standards locaux s’ils veulent continuer à bénéficier de leurs visites et de leur tourisme.
C’est donc ainsi que se multiplient les plaintes contre les inconvénients pourtant ancestraux de la campagne. En effet, Homobobo Festivus ne supporte vraiment pas les cloches des vaches ou de ces clochers ridicules qui tintinnabulent de façon insolente aux petites heures du matin, ni les cocoricos éraillés de volailles bruyantes, ni le crincrin lancinant de ces cigales encombrantes qu’on entend partout (zut et flûte, l’Armageddon des insectes n’a pas eu lieu !), ni les déjections d’abeilles (oui, vous avez bien lu), ni les bruits mécaniques assourdissants de moissonneuses qui pourraient fort bien passer plus tard ou un autre jour, merde à la fin.
L’avalanche de plaintes idiotes et de comportements crétins des néoruraux est telle que certains maires doivent prendre des précautions à l’arrivée de ces touristes qui croient un peu trop que leurs états d’âmes sont légitimes, et imaginent sans doute qu’on peut régler ces problèmes comme des soucis de bougies parfumées dans un appartement AirBnB pas exactement conforme aux photos sur le site…
On pourrait croire que ces plaintes tiennent d’un simple malentendu de la part de certains individus pas au fait des us et coutumes des campagnes. Il n’en est rien : c’est bel et bien une véritable lame de fond qui s’empare des campagnes françaises qui voient se multiplier ces comportements. La vie à la ville, devenue progressivement inabordable pour un nombre croissant d’urbains, les pousse à aller voir en campagne s’ils y trouveraient leur bonheur.
L’écologie de bazar, vendue de façon permanente dans tous les médias, qui dépeint une campagne quasi-idyllique et définitivement moins polluée que la ville, plus douce et généreuse que le béton, l’acier et l’asphalte citadins, a fini par prendre racine dans les esprits simplistes de ces populations qui y croient maintenant dur comme fer : tout le monde sait que les campagnes sont plus propres, moins bruyantes et plus douces que la ville, voyons !
Dès lors et à mesure que les conflits (et la consternation) s’empilent, il ne faut pas s’étonner qu’en plus des malheurs des campagnards devant gérer leurs semi-débiles incapables de s’adapter aux conditions spécifiques de la campagne, on doive à présent se taper l’inévitable intervention politique. Et c’est Pierre Morel – un récidiviste de ces colonnes qui s’était déjà illustré dans une affaire de pneus neige – qui s’y colle avec brio puisqu’il entend créer des commissions départementales (la commission étant, comme chacun sait, l’alpha et l’oméga de la décision politique en France) chargées de déterminer les bruits et les odeurs qui font partie prenante de la vie locale, ce qui permettrait d’éteindre rapidement toutes les velléités pour les néoruraux un peu bas du front d’ester en justice.
Il va de soi que la proposition est aussi peu opérationnelle (imaginez des Commissions statuant sur le degré de puanteur acceptable pour un purin ou un lisier campagnard traditionnel, pour rire) qu’intelligente tant le problème ne se situe pas au niveau de la loi mais de l’inadaptation de certains à la vie qu’ils se sont choisie et que ce genre de problèmes ne peut jamais se corriger à coup de circulaires ou de décrets.
Cependant, reconnaissons à notre député qu’il a su se placer dans une tendance lourde du moment puisque la République toute entière est bien lancée en terme de lutte contre les nuisances qui grattent, qui irritent, qui froissent et qui turlupinent : pendant que Pierre le député partira en campagne pour catégoriser bruits et odeurs légitimes, l’administration s’ingéniera quant à elle à installer des radars anti-bruits d’abord dans les Yvelines puis un peu partout, pour en finir une bonne fois pour toutes avec les méchants moteurs qui pétaradent insolemment.
Et ainsi, pendant que la France – Clochemerle partira une nouvelle fois dans ses batailles picrocholines, au moins les Français (de la campagne et de la ville) ne s’occuperont pas trop de la croissance globale du pays en berne ou des renoncements lamentables de nos ministres à tenter la moindre réduction de périmètre d’un État pourtant obèse morbide.
À l’inverse de la crise des Gilets Jaunes où la France campagnarde devait aller à la rencontre de la France de la ville pour lui crier son ras-le-bol de ses taxes, contraintes et interdictions qu’elle entendait lui imposer, c’est maintenant la France de la ville qui va à la rencontre de celle de la campagne et, comme par hasard, qui entend à nouveau lui imposer d’autres règles, contraintes et interdictions.
Le dialogue s’annonce déjà aussi intelligent que fructueux, et si délicieusement adapté aux réalités de terrains qu’on ne doute pas que les uns et les autres finissent par trouver un magnifique terrain d’entente : manifestement, le futur est plein d’avenir et de nouvelles lois indispensables, qui tenteront peut-être de compenser l’ardeur des uns à empiéter sur les platebandes des autres là où le savoir-vivre, un minimum de culture, de bon sens et une dose maintenant massive de coups de pieds au cul auraient résolu les problèmes.
Pas de doute : au vu de la tournure des choses, il semble évident que tout ceci va très bien se terminer.
Sur le sujet:
pas besoin de faire venir à la campagne les urbains pour avoir des problèmes de voisinage …..les campagnards ceux suffisent à eux mêmes, comme ce jeune couple condamné à vie à séquestrer ses chats suite à la plainte de leur voisine qui en avait marre de voir ces fameux chats se soulageaient dans son potager …j ai une voisine qui avait voulu, il y a quelques années lancer une pétition à mon encontre, car parait il , j étais trop bruyant le soir,le maire avez calmé l enthousiasme de la dame …..
Qui sait…
Peut-être que tu as des accointances que madame n’a pas.
@Prédateur,
A l’arrivée d’un jeune couple, on a senti l’homme arrivé en territoire conquis
qui se plaignait d’un chien à 3 patés de maisons et d’autres choses, on lui a dit de fermer son caquet
en tant que nouvel arrivant et il disait qu’il connaissait des gens qui empoisonnerait des chats en catimini
on lui a vite fait comprendre que celui qui toucherait à nos chats aura intérêt à courir loin d’ici (juste pr lui faire comprendre qu’il ne faut pas trop chatouiller nos ruraux. Depuis nous avons des relations assez respectueux lol.
Un autre cas, un couple de l’autre côté (lui malvoyant depuis un accident d’élagage, chute ), un vieux et bien ancré dans le village nous a raconté aller voir le maire car son chien (guide aveugle) aboie assez souvent
le maire l’a envoyé boulé car lui même avec son petit fils va sur la route de campagne avec son quad bruyant, pff
(il l’avait raconté à mon conjoint qui a défendu son voisin handicapé car il supporte bien mieux le chien que son quad, lol.
Comme quoi on ne s’ennuie pas à la campagne..
La solution pour mettre fin au délires de certains bas du front qui n’acceptent même plus la nature telle qu’elle est nous est donnée en fin d’article : « une dose massive de coups de pieds au cul ». Cela fera peut-être remonter le bon sens au niveau du cortex cérébral …
M.G.
bonjour
merci
MDR
Certes mais difficile de respecter ce qui n’existe plus.
« la nature telle qu’elle est » s’appelle aussi « nature sauvage », » nature primaire ».
Malheureusement en France, ça cela n’existe plus depuis bien longtemps.
Alors qu’ils commencent donc par respecter les traditions, us et coutumes locales, ainsi que tous les habitants les ayant acceptés et intégrés.
…Les autres peuvent repartir, si cela leurs chantent.
Bien à toi.
Tu ne t’en rends peut-être pas compte mais ce discours fait de toi un affreux extrémiste souverainiste fasciste
Mon petit doigt me dit que tu t’en tapes complètement
…Mais d’une force!
Bisou
-Commençons donc par balayer devant notre porte.
Le respect et la modération sont des choses qui se perdent partout. Et nous n’avons pas attendu les citadins pour nous pourrir la vie entre nous.
– Plus de 50 ans que je vis en campagne(+de 30 dans un village de moins de 80 habitants). J’affirme que la puanteur paysanne et le bruit des engins sont en très forte progression;
….ET IL N’A RIEN DE NATUREL NI D’ANCESTRALE LA DEDANS !
Dernier exemple en date:
00h00′:
– Nuit de canicule, fenêtres grandes ouvertes et pour cause…
– Le « paysan »(pas du coin… à 10km de là) vient moissonner le champ sis à 2mètres des habitations du village (Oui, oui véridique, à 2mètres!).
– Et oui! Le con vient moissonner un jour de canicule en pleine nuit quand tout le monde dort et que la météo s’annonce bonne pour les 10 jours avenirs.
– Bon OK, on veut bien comprends, la moisson « on ne fait pas ce l’on veut mais ce que l’on peut » …
– Mais le lendemain le salopard est revenu à 02h00 du matin (la nuit la plus chaude) pour botter sa paille dans la poussière et dans un boucan d’enfer, pendant 2h!
– Et là, il n’y avait absolument aucun impératif qui puisse expliquer ce travail de nuit.
…Si ce n’est de travailler « à la fraiche ». Tant pis pour les villageois qui seront obligés de cuire dans leurs baraques après les avoir été surpris et empoussiérés un max dans leurs sommeils.
– Je pourrait aussi vous parler des lisiers, ou autres merdes déshydratés/pulvérisés venant de Hollande, par centaines de semi-remorques tollés non identifiables pour un néophyte.
– Déchets puants, répandus en pleine journée au abords des villages sans enfouir, ou sans labourer le lendemain. Comme la réglementation les y obligent pourtant.
– Et je vous parlerai pas de ce pauvre con nocif* qui traite aux pesticides ses champs en pleine journée, jour de vents pour que l’on en profite un max!!!
… Quand intelligemment cela doit se faire, lorsque le gradient est négatif. C’est à dire de nuit, le mieux étant aux aurores.
*) Non content de plus nous empoisonner plus que nécessaire , il perd de l’argent car l’efficacité est moindre et les doses de pesticides doivent être en conséquence largement augmenter.
D’où moins de sousous. Ah le con!…
ah !!!!!les salauds de paysans ….vive le ceta au moins nous front pas » chier » les paysans canadiens à bosser la nuit ….
au fait par cette canicule il est plus facile de presser la nuit qu en plein cagnard , le jour par forte chaleur la paille casse et ne s accroche pas sur les rouleaux ou courroies des presses , il est même parfois pratiquement impossible de démarrer une boule dans une chambre (de presse) fixe à rouleaux
en plus ça réduit le risque d incendie et ça améliore le confort du chauffeur
…Faudrait-il encore que la nuit soit fraîche !
– Des arguments de merde, sauf pour l’histoire du chauffeur.
Bonne soirée à toi.
je t assure que ce n est pas une ânerie ,demande à ton voisin agriculteur ….
d’accord avec toi Engel mais je pense que le ras-le-bol vient plutôt des citadins qui ne veulent pas entendre un coq chanter ou les grenouilles croasser ou encore faire taire définitivement les cigales !
Bon sang de bois, quand on vient dans le Midi on sait qu’il y a des cigales, en plus à 21h30 elles se taisent généralement donc ces dégénérés peuvent dormir en paix !
S’ils préfèrent le trafic incessant des rues de la ville qu’ils y restent donc.
Pour moi ce sont principalement, car heureusement il y a des exceptions, des êtres nuisibles, qui laissent leurs détritus partout, qui pénètrent et abîment les champs qui ne sont pas encore fauchés s’y installant même parfois pour faire la sieste ou pique-niquer ! J’en ai vu au milieu des prairies et pas qu’une fois, tous les ans ! et encore je ne parle pas de la fauche à la nuit tombée des légumes et fruits si tentants au bord des champs par cagettes entières, surtout dans des endroits retirés.
Et dans les villages qu’ils envahissent, le bruit jusqu’à pas d’heure dans les appartements, ou maisons, loués parce qu’ils font la fête ! tant pis pour ceux qui travaillent le lendemain matin !
Ton discours et ton argumentaire sont indéniables et je les approuve à 100%.
Mais…
mais ce genre de discours ne doit pas devenir prétexte pour que des salopards d’industriels de la terre fassent encore plus n’importe quoi, sous prétexte de ruralité.
Exact Engel, je suis bien de ton avis. Avec l’arrivée des grandes surfaces agricoles les engins ont quadruplé de volume avec ce qui suit : le volume sonore. Et puis ces gros ruraux, je ne parle pas des petits, s’estiment au-dessus de leurs voisins, donc agissent en pays conquis et tant pis pour ceux qui en pâtissent !
J’ai vu dans mon village beauceron, presque natal, il y a quelques années, des moissonneuses-batteuses en action par rang de 10 dans les immenses champs d’où ont été enlevés les bosquets, les fossés etc… ceci commençant à 23 heures. D’accord il y a très peu de maison près de là, mais quand même.
Etant donné que le propriétaire est un copain d’enfance, je suis allée le trouver le lendemain et je lui ai passé un sacré savon, qu’il a accepté tête basse disant qu’il s’excusait et comprenait. Je ne sais pas s’il a tenu compte de ma remarque assez cinglante car je suis partie peu après et ne suis pas retournée là-bas, lui est décédé, paix à son âme il y a deux ans. C’était un gars assez taciturne et très gentil, je crois qu’il ne s’est pas rendu-compte de ce qu’il faisait subir aux autres. Quand je pense que ses parents avaient une toute petite ferme, qui appartenait d’ailleurs à mes grands-parents qui leur en ont fait don ! plus tard lui avait bien pris conscience du vent qui tournait et avait acheté tous les terrains que les fermiers voisins ne cultivaient plus…
Y’a quelques années, y’avait un vieux paysan à côté de chez moi, très sympa qui ns donnait des oeufs de ses poules , il avait un coq qui chantait à 5 h du matin, il me dérangeait pas je me lève avec ses congénères, lol.
Il est décédé . A ce jour un autre voisin à l’arrière de chez moi possède un petit poulailler avec des poules pondeuses sans coq) et c’est très bien (les autres voisins ne se plaignent pas).
Je distinguerais les bruits naturels de la campagne et ceux des humains, où qu’ils soient. Et là, je te rejoins, Engel, il n’y a plus respect ni modération. On ne peut pas – enfin si, on le fait maintenant ! – demander à un coq de se taire.
D’autant plus si les humains eux-mêmes ne sont pas capables de le faire !
Ces voisins qui se plaignent du coq qui chantent, font parfois la java autour de leur piscine jusque tard dans la nuit. Et c’est censé ne déranger personne ?
Comment demander à des cigales de se la fermer (façon de parler bien sûr) si des humains, dotés paraît-il de ce qu’on appelle l’intelligence – celle de la tête car peu sont pourvus de celle du cœur – se foutent comme de l’an 40 de leurs congénères ?
J’ai du gueuler un jour contre un chauffard qui klaxonnait sous ma fenêtre, pour ne pas ouvrir la portière de la voiture, faire un pas, et sonner à la porte d’une voisine ! Il pouvait même laisser un pied dans la voiture tant l’une était proche de l’autre !
Et bien sûr, à l’heure de la sieste…
Les gens qui circulent dans le village parlent souvent très fort. Quant aux enfants, il ne faut pas les brimer les pauvres petits… ce sont des enfants ! Je t’en foutrais des beignes pour leur apprendre le respect ! Aux petits et aux grands …Ça rentrerait mieux qu’avec la parlotte dans leurs petites cervelles.
Bienvenue dans mon club des vieux cons respectueux.
j’avais un parent qui klaxonnait pr appeler sa fille de sa voiture qui passait du temps chez ns,
et aussi un copain de mon conjoint (d’un club) qui démarrait en trombe avec sa moto
j’étais énervée car pas eu le temps de leur dire d’éviter ces bruits, ils s’en foutaient certainement car n’habitaient pas ici, pfff
Des gens irrespectueux , je conçois , oui. Plus de problèmes, jamais revenus à la maison .
EN FRANCE LE COQ EST SON EMBLÈME SA FIERTÉ.
…faut-il y voir une coïncidence, si certains veulent les faire taire.
Moui, les animaux c’est normal, la campagne qui pue la merde, ce n’est pas normal du tout. Les animaux fertilisent les sols sans que l’on fasse rien, mais ça c’est quand le nombre d’animaux et la surface occupée sont « de bon sens ». Tout ces lisiers et fumiers sont bourrées de sales molécules qui ne font du bien à personne, ni à l’eau, ni aux insectes, ni aux oiseaux etc…