Combien pèsent les nuages et pourquoi ceux-ci ne tombent-ils pas ? …

C’est une bonne question que j’ai posé quand j’étais enfant, sans réponse satisfaisante. Un peu de connaissance sur notre belle planète, qui nous offre des merveilles de douceur et d’harmonie, mais aussi de terribles colères destructrices. Partagez ! Volti

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Source SciencePost enrichi par Aphadolie (Vidéos)

Saviez-vous que la masse des nuages pouvait atteindre plusieurs centaines de milliers de tonnes ? Dans ce cas, comment ces derniers font-ils pour ne pas s’effondrer en direction du sol ?

Lorsque l’on observe le ciel, les nuages nous paraissent légers, puisque ceux-ci flottent dans les airs. Le fait est que c’est tout le contraire, car ils peuvent peser environ 500 000 tonnes, voire davantage ! En réalité, cela dépendra de l’étendue du nuage, si bien que plus celui-ci sera long, plus il sera chargé de particules d’eau et de glace. Ceux-ci contiennent également beaucoup d’air et de poussière.

L’eau et la glace présentes dans les nuages proviennent de la condensation de vapeur d’eau après que celle-ci se soit refroidie en s’élevant dans les airs. Ensuite, les conditions de pression, de température, de vitesse et de direction des vents détermineront de quel type de nuage il sera question. Or suivant le type de nuage, la masse ne sera pas la même. En effet, un simple cumulus peut dépasser le million de tonnes, tandis qu’un énorme cumulonimbus de 15 km de long pour 10 km de largeur peut attendre le milliard de tonnes !

Le fait est que les nuages, sous leur propre poids, ne s’effondrent pas au sol. Comment cela est-il possible ? Pour le comprendre, il faut s’intéresser à leur structure. Chaque nuage a une masse volumique plutôt faible, car les gouttelettes d’eau et les cristaux de glace ne représentent qu’un petit millionième du volume total.

De plus, l’air peut être très sec à l’extérieur du nuage et les gouttelettes peuvent s’évaporer facilement. Ces mêmes gouttelettes sont d’ailleurs minuscules, ne mesurant qu’un centième de millimètre de diamètre, si bien que celles-ci tombent très lentement et peuvent facilement être freinées ou repoussées vers le haut par le vent, plus précisément les courants d’air chauds ascendants.

En revanche, lorsque le phénomène de coalescence se produit et que les gouttes deviennent plus grosses, la chute est un peu plus rapide. C’est ce qui formera des traînées de précipitation sous les nuages qui pourront atteindre le sol sous forme de pluie, de neige ou encore de grêle – mais en aucun cas le nuage ne s’écrasera au sol.

Source : SciencePost relayé par Aphadolie

Sources complémentaires :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nuage

https://sciencepost.fr/2018/06/combien-pesent-les-nuages-et-pourquoi-ceux-ci-ne-tombent-ils-pas/

https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/question-de-la-semaine-combien-pesent-les-nuages-et-comment-font-ils-pour-ne-pas-tomber_124593

Voir aussi:

 

 

Volti

32 Commentaires

  1. ah ces sales gosses qui posent des questions qu’on sait pas répondre… https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

  2. Bonjour

    Les nuages sont fascinants.
    Si des individus extraterrestres s’approchaient de notre Terre dans leur soucoupe volante, c’est une des premières choses qu’ils verraient. Et s’ils ne savent pas ce que c’est, ils pourraient penser que ces nuages, qui bougent et qui changent de forme sans cesse, sont les premiers habitants vivants de cette planète.
    On peut même se poser la question de savoir si les nuages ont une conscience ?
    De fait, s’ils souhaitent mettre fin à l’existence de l’humain sur Terre, ils en ont les moyens s’ils déchainent les éléments sur nous… Ça fait réfléchir… Mais bon… Les fourmis ont également ce pouvoir…

  3. Pourquoi les nuages ne tombent-ils pas ?
    Cela est du à l’électricité terrestre. Explication :
    Les astres incandescents ne sont pas seuls générateurs de courants électriques. Les astres obscurs peuvent aussi engendrer une électricité. C’est ainsi que la terre à la sienne.
    L’électricité terrestre a pour cause toutes les décompositions qui s’opèrent à la surface de la terre ou dans le sol.
    Elle exerce son action dynamique de bas en haut.
    Deux espèces de décompositions existent sous nos pieds : les décompositions inorganiques, les décompositions organiques.
    Les décompositions inorganiques ont pour cause principale l’action de l’eau sur certaines substances ; elles sont généralement lentes, mais elles peuvent, dans quelques endroits du globe, devenir formidables. C’est ainsi que l’eau de la mer qui s’infiltre dans les terres avoisinantes y détermine des actions chimiques qui provoquent des explosions, des soulèvements, des tremblements de terre, des éruptions volcaniques.
    L’action de l’eau sur le soufre et le fer détermine une combinaison, le sulfure de fer, qui provoque une excessive élévation de la température. Or, le soufre et le fer abondent dans les couches terrestres. Chaque fois que l’eau vient les mettre en état d’entrer en combinaison, il se fait un travail souterrain qui remue toutes les régions avoisinantes.
    L’électricité, c’est-à-dire la force atomique, mise en liberté, dans ces formidables décompositions, forme des courants qui se dirigent de bas en haut, c’est-à-dire en sens inverse des courants d’électricité atmosphériques. Ils exercent leur action dynamique en soulevant tout ce qui se trouve devant eux, il en résulte des tremblements de terre ou, au moins, des agitations, des ébranlements subits du sol. Dans les éruptions volcaniques, cette électricité souterraine produit des éclairs immenses et des coups de tonnerre.
    Enfin, aux approches des éruptions, on remarque un dégagement énorme de vapeur d’eau accompagné d’une émission de gaz composée surtout d’acides sulfureux et chlorhydrique. Une énorme chaleur se dégage au moment où ces gaz se forment par suite des combinaisons nouvelles que l’invasion de l’eau de la mer provoque.
    Tous ces phénomènes qui accompagnent les éruptions volcaniques sont dus à des actions et des réactions chimiques faciles à déterminer. La force qui y est mise en jeu est celle qui apparaît dans les actions de décomposition et de synthèse ; elle n’est nullement produite par le prétendu feu souterrain que l’on a bien voulu placer au centre de la terre. Le centre de la terre n’est ni creux, ni rempli de matière en fusion, il est formé de matériaux compactes. L’ancienne théorie des volcans, basée sur l’hypothèse du feu souterrain, est encore un des préjugés scientifiques qui ne consacre que des erreurs.
    Mais ces actions violentes sont accidentelles. Ce n’est que sur quelques points du globe qu’on les observe, les actions lentes sont, au contraire, régulières et générales.
    Partout où il se fait de lentes décompositions organiques et inorganiques qui engendrent une incessante production d’électricité terrestre, c’est-à-dire des courants s’élevant de bas en haut, et agissant, dans l’atmosphère, en sens inverse de la pesanteur.
    C’est cette électricité terrestre qui occasionne l’ascension des gaz et des vapeurs, ainsi que la croissance ascendante des plantes.
    Cette force a été appelée par les botanistes le « Géotropisme », elle joue un grand rôle dans la morphologie des corps organisés.
    C’est à elle qu’est due la position verticale des arbres et le mouvement ascensionnel de la sève. C’est elle qui est l’agent moteur de tous les phénomènes capillaires ou endosmotiques qui obéissent à une force qui s’exerce de bas en haut.
    Les corps inorganiques doivent aussi en subir l’influence car, tout ce qui est situé à la surface de la terre a une face tournée vers l’électricité solaire ou stellaire et l’autre vers l’électricité terrestre qui monte vers le ciel. C’est pour cela que la façon dont les corps sont frottés détermine l’électricité qu’ils prennent, positive ou négative.
    Lorsqu’on a dit que le sol est le réservoir commun de l’électricité, on s’est mal exprimé. Il est le générateur d’une électricité spécial, il n’est pas le réservoir de l’électricité atmosphérique, qui, tout entière, se transforme en chaleur ou en lumière au-dessus de la surface planétaire dont elle ne pénètre pas les couches même les plus superficielles.
    L’électricité souterraine constitue une force que l’on peut appeler la pression terrestre et dont l’action, qui décroît avec la distance, se fait peut-être sentir, cependant, jusqu’à l’orbite de la lune. C’est cette force qui soutient les nuages dans l’atmosphère à un endroit plus ou moins élevé où ils se trouvent mis en équilibre entre les courants inverses.
    Les atomes qui constituent cette électricité terrestre ne sont pas tous de même nature. Il doit y avoir une grande quantité d’atomes d’oxygène mis en liberté par la décomposition de l’eau et des corps organisés, mais il doit aussi s’en trouver d’autres ; du soufre, par exemple, ce corps étant répandu en si grande abondance dans les couches terrestres et combiné, dans les sulfures, avec une si grande quantité de métaux.
    Si le soufre est un agent de l’électricité terrestre, il n’est pas étonnant qu’en temps d’orage on remarque, quelques fois, dans l’atmosphère, une odeur de soufre.
    Nous avons vu que lorsque le courant radiant est arrêté au passage, il change d’état ; les atomes s’associent et deviennent des molécules, le corps radiant reprend la forme de la matière solide. C’est ainsi que les voûtes de certaines grottes sont couvertes d’un dépôt de soufre provenant d’une irradiation souterraine arrêtée au passage.
    Les chaleurs suffocantes qui précèdent les orages annoncent qu’une « pression en moins » a été exercée sur terre.
    La dilatation des corps, qui en résulte, favorise les décompositions chimiques du sol, elle peut même les déterminer spontanément.
    C’est alors qu’une plus grande quantité d’électricité terrestre lancée de bas en haut, dans les couches inférieures de l’atmosphère, s’en va à la rencontre des courants solaires ou stellaires qui viennent dans la direction contraire ; leur rencontre provoque de formidables explosions : c’est l’orage, accompagné d’éclairs et de tonnerre et souvent d’une pluie soudaine qui indique que les nuages suspendus en équilibre au-dessus de nous, viennent de subir une pression violente exercée de haut en bas par suite de l’annulation subite de la force inférieure qui agissait sur eux et qui a été vaincue dans la lutte parce qu’elle est la moins puissante, ce qui arrivera lorsque la terre s’enflammera, les corps situés à la surface terrestre au lieu de continuer à tomber vers la terre lorsqu’ils seront abandonnés à eux-mêmes, tomberont vers la voûte céleste, dans les profondeurs de l’espace.
    On a constaté que, dans les temps calmes, on ne trouve dans l’atmosphère que du fluide positif et que, dans les temps d’orage seulement, on y trouve le fluide négatif, c’est-à-dire terrestre mêlé au fluide positif.
    Dans les maisons, les rues, sous les arbres, l’électricité positive est nulle. Dans les villes, elle est sensible au milieu des grandes places, c’est-à-dire dans les endroits où la radiation solaire n’est pas arrêtée au passage.
    L’air et la terre étant constamment dans deux états électriques opposés, leurs deux électricités doivent se combiner sans cesse dans les couches d’air inférieures, c’est-à-dire jusqu’à une certaine hauteur. En rase campagne, on ne commence à trouver de l’électricité positive qu’à 1 mètre 30 centimètres au-dessus de la surface terrestre. A partir de ce niveau, l’intensité des deux électricités va croissant dans deux directions opposées.
    Les corps placés à la surface terrestre participent à son état électrique. L’eau partage l’état négatif de la terre ; lorsqu’elle se vaporise, elle engendre de l’électricité négative.
    Les couches atmosphériques sont d’autant plus chargées d’électricité positive qu’elles sont à une plus grande hauteur au-dessus du sol, c’est-à-dire qu’elles sont plus rapprochées du soleil.
    L’électricité atmosphérique est soumise à des variations périodiques intimement liées avec les relations qui existent entre la terre et le soleil.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/la-force.html
    Cordialement.

  4. FRANCE, RÉPUBLIQUE BANANIÈRE :
    BFMTV ET CNEWS PRISES EN FLAGRANT DÉLIT DE « FAKE NEWS » en truquant systématiquement en faveur de Macron les présentations visuelles des sondages.

    La présentation visuelle fallacieuse d’un sondage sur BFMTV le 22 août 2018 a été remarqué par RT France, qui en a fait un article qui s’est rapidement répandu sur Internet. Cette affaire en rappelle d’autres identiques, survenues au cours des derniers mois, qui permettent de découvrir que les grands médias audiovisuels (en tout cas BFMTV et CNEWS analysés ci-dessous) n’hésitent pas à accompagner les résultats des sondages, diffusés dans la presse, de représentations visuelles sciemment déformantes et toujours dans le même sens.

    etc…etc…

    Conclusion : 3 fake news identiques dans leurs méthodes et leur effet pro-Macron

    En ma qualité d’ancien candidat à la présidence de la République ayant rassemblé 332 000 électeurs, et en ma qualité de président-fondateur de l’UPR, forte de plus de 31 740 adhérents, dont le site Internet est le plus consulté de toute la scène politique française et dont la chaîne YouTube bat des records de fréquentation, je vais :

    saisir en notre nom collectif le CSA en lui transmettant le présent dossier,
    demander au CSA de mettre en demeure les chaînes ici présentées de cesser immédiatement ces agissements dignes de la pire république bananière,
    transmettre ce dossier à Emmanuel Macron, le roi des fake news, en lui demandant qu’il explique publiquement aux Français ce qu’il entend faire pour lutter contre ces fake news à répétition, dont l’objectif pathétique vise à tenter d’enrayer l’effondrement de sa popularité.
    François Asselineau
    25 août 2018

    https://www.upr.fr/actualite/france/fake-news-bfmtv-et-cnews-prises-en-flagrant-delit-de-truquer-systematiquement-en-faveur-de-macron-les-presentations-visuelles-des-sondages

    • Coucou Nono, tu ne te serais pas perdu des fois ? ?

      Akasha.

      • Bien sûr, il s’est perdu. Il est à l’UPR.

        • Je n’ai pas la compétence pour juger du com de Étirév Anwen . Mais Il est certain notre science moderne mésestime dans beaucoup de domaine l’influence des phénomènes électriques cosmique, planétaire.
          …Et de ses conséquences dans notre monde de tous les jours.

          Chose que le savoir des anciens considérait pourtant comme le véhicule de l’essence de vie…pour ne pas dire du divin.

          Pour les nuages:
          Se rappeler que la poussée d’Archimède s’applique aussi dans un “fluide gazeux” atmosphérique.
          et on le transpose à la thermodynamique de la vapeur d’eau.

          En clair,
          Au sol, l’air chaud emprisonne beaucoup de vapeur d’eau.
          Air humide qui plus chaude que le dessus s’élève.
          Puis cette air en s’élevant rencontre du froid.
          l’eau qu’elle contient se condense en gouttelette et deviennent donc visible par réfraction lumineuse.
          Puis quand l’équilibre est rompu pour cause de “grosses gouttes” elle retombent.
          Bien sûr, l’explication est très simpliste, mais bon le fond y est…

  5. C’est grâce au GRADIENT ADIABATIQUE.

    Les particules d’air contiennent de l’eau mais cette eau n’est pour autant toujours condensée et visible.
    C’est HYGROMETRIE.
    http://www.meteofrance.fr/prevoir-le-temps/observer-le-temps/parametres-observes/humidite

    http://humiditeideale.fr/humidite-ideale-temperature-air-taux-nefaste-climat
    En France, l’air ambiant extérieur est à 70-80% d’hygrométrie, tandis qu’aux Philippines, il frôle en permanence les 100%. Afin d’éviter la condensation aux fenêtres en hiver, l’humidité relative devra se situer plus volontiers autour de 50% maximum, pour une température moyenne située entre 18 et 24°C.

    Donc nuage ou pas l’atmosphère est chargé en eau et est LOURD, c’est ce qui fait la pression moyenne sur la terre de 1013 ml ou hpa
    La différence c’est Juste que que pour un nuage l’hygrométrie est de 100%, la différence n’est pas forcément énorme.

    Alors le poids d’un nuage par rapport au même volume sans nuage n’est probablement pas si énorme qu’on l’imagine, je dirais entre 20 et 50%.

    La particule d’eau reste en suspension dans l’air pour la même raison qu’un planneur,
    parce que il y a un air ASCENDANT qui contre sa chute.

    Le fait est que plus la particule d’eau est petite moins elle descend vite et a besoin de moins d’ascendance pour rester en l’air. La bruine tombe doucement lorsque la grosse pluie tombe vite, et on ne parle par des grelons qui s’agglomèrent pendant la descente.

    Ce qui n’est pas visible est pourtant le plus important, c’est le GRADIENT ADIABATIQUE.
    Lorsque l’air est chauffé par le soleil il monte et,
    lorsque une particule SECHE monte elle se refroidie d’environ 6,5 degrés par 1000 m, mais en fonction de la température des couches d’air du dessus, si la particule est suffisamment refroidit elle redescend et l’air est stable, sinon elle continue a monter, l’air est instable.

    Si elle continue a monter, il arrive le moment ou sa temperature est égale a son point de rosée a ce moment la particule condense et devient VISIBLE, et elle continue de monter.
    La détente adiabatique d’une particule MOUILLEE n’est pas la même qu’une particule sèche, elle se refroidie moins vite, (la température d’un air saturé en eau diminue moins avec l’altitude qu’un air sec)
    donc la particule d’un nuage d’air instable va continuer a monter jusqu’a sa stabilisation et va créer des CUMULUS, puis des CumulonimBus (orages) jusqu’a maturité, et ou la tropopause et ensuite se désagréger, soit sur la tropopause, soit par pluie, soit par manque d’énergie solaire, ou un panel de cela.

    Bormes

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