J’aime bien aider les auteurs qui ont des choses à dire et à transmettre Yoann Vidor, est de ceux là. Vous pouvez lire l’article « UN DÉPUTÉ DE BASE… » pour vous faire une idée. L’éveil spirituel est le message de son nouvel ouvrage « La Réussite de la Vie« . Merci à Marie Claire S. Partagez ! Volti
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Proposé par Marie Claire S pour Les éditions de la Lyre d’Or
Présentation du livre
Un ouvrage qui inspire comme une méditation…Quel est le sens de la vie ? C’est réussir sa vie intérieure. Ce livre, à la manière d’un traité de bienveillance, est un véritable hymne à la lumière, qui sème dans le cœur du lecteur une nouvelle philosophie de Vie, basée sur les justes relations et le bien de l’ensemble. Vous découvrirez une étude initiatique des valeurs matérielles et spirituelles, un manifeste pour notre nouvelle civilisation.
La réussite de la Vie ne tient pas à la possession, mais à l’accomplissement de l’Être.
Le bilan de l’ambitieux du projet « réussir dans la vie » a façonné le monde matérialiste dans lequel nous vivons. Ce modèle de société a véhiculé l’idée que l’argent et les biens matériels étaient les symboles de la réussite et donc de l’épanouissement. « Réussir dans la vie » n’a jamais été la clé de la joie, ni le dessein de l’âme. Les êtres commencent à le saisir et aujourd’hui, une partie de l’humanité se lève pour retrouver les Lois de la Vie et assumer ce que leur âme attend d’eux.
C’est un chemin qui ne repose plus sur les valeurs matérielles, mais spirituelles. C’est une vie consacrée aux aspirations de l’âme et non aux désirs de la personnalité. C’est un destin commun tourné vers l’Esprit d’Amour et le Bien de l’Ensemble. En un mot : les justes relations. Pour l’âme, la réussite de la Vie n’est pas un choix mais un devoir, qui doit devenir en conscience l’exigence principale de chacun. C’est ce que ce livre propose d’expliquer à tout chercheur.
Acheter le livre prix 13 euros
Acheter l’ebook pour 4.99 euros
Les Editions la Lyre d’Or. (Yoann et son épouse ont publié en auto-édition)
D’autres ouvrages de Corinne et Yoann Vidor:
Je me suis permis de copier l’intro de l’ouvrage de Yoann (Volti)
Les idées présentées dans ce livre sont offertes à tout
chercheur de vérité comme des pistes de réflexion, en
rappelant toutefois que rien ne doit être accepté qui ne lui
convienne. Il en va de la Liberté de chacun d’exercer son
libre-arbitre et son discernement, sans croire une chose
simplement parce qu’il l’a entendu dire !
Néanmoins, pour reprendre les paroles de Bouddha :
si vous croyez avec votre conscience, alors agissez en
conséquence et abondamment…
Ce traité s’adresse donc fraternellement à
l’intelligence et au cœur de ceux qui liront ces lignes et qui
aspirent à évoluer vers de nouveaux champs de conscience,
pour le Bien de l’ensemble et pour réussir leur vie.Y.V.
ah les philosophes …..qui se reposent sur les valeurs spirituelles …..il serait de bon ton de ne pas vendre le bouquin mais de l offrir
Malheureusement rien n’est gratuit dans ce monde vieux et matérialiste. Aussi je préfère qu’ils vendent les fruits de leurs réflexions à douter de celles-ci si celles-ci n’existent imprimées que grâce aux subventions du Pouvoir mercantile, financier, voleur et ludopathe. J’imagine l’Avoir finançant lrs critiques de l’Etre!!! Vivre ou survivre, bien souvent, est déjà bien difficile, quoi de plus normal que de vouloir faire participer le lecteur à tous les niveau?
@alteatequieroverde, je vous rejoins sur la notion de monde vieux et matérialiste -et j’apporte la note déjà bien connue que nous vivons la fin d’UN monde (celui que vous décrivez), mais pas du monde, qui se transforme pour évoluer.
Comme précisé @ Prédateur, si rien n’est gratuit dans ce monde, c’est aussi parce que les mentalités sont encore puériles avec la notion de « gratuité »: se servir soi d’abord, et penser à l’autre ensuite. À ce sujet, les Français ont très mauvaise réputation dans le monde et à l’étranger en ce qui concerne les grivèleries et autres filouteries (j’ai vécu 4 ans en Australie et l’ambassade était obligée de diffuser des lettres de rappels aux ressortissants pour qu’ils veillent à ne plus voler dans les supermarchés). La gratuité, le vol, tout cela est un héritage des aristo qui pèse sur nos habitudes: ASSERVIR, SE SERVIR. J’ai bon espoir que nous entrons dans l’ère « SERVIR » et qu’enfin, nous puissions pratiquer de justes relations -y compris en matière de livre et de connaissance. Bien à vous alteatequieroverde. Yoann
@Prédateur, vous nourrissez-vous seulement de lumière pranique, au sommet d’une montagne loin de toute civilisation ? Je m’explique.
Quand nous avons créé les éditions La Lyre d’Or, nous avons offert gratuitement nos livres au format PDF (nous les avons donc « offerts » pour reprendre votre formule), en proposant en échange aux lecteurs une libre participation qui serait le juste échange (auto-édition = auto-financement donc investissement à perte). En 15 jours, nous relevions plus de 200 téléchargements… contre 0€ de don. Nous en avons conclu que l’esprit des justes relations n’y était pas et que l’échange virait au pillage.
Il est vrai que la connaissance appartient à l’humanité, je suis d’accord: d’où les conférences, les vidéos, les cours gratuits que nous offrons (je vous invite à consulter notre site https://shelvene.com/). En revanche, écrire un livre, l’éditer, le publier et le diffuser, c’est un métier qui mérite salaire. Dans ce monde de matière, il faut (encore, hélas!) subvenir aux exigences du corps (comme à ceux de l’esprit) et assumer des besoins élémentaires qui coûtent de l’argent. Prédateur, selon vous : faut-il mettre tous les philosophes et les acteurs du nouveau monde, à la diète ? :-/
Publier un livre coûte de l’argent avant d’en rapporter. Et là… pour 13 euros, l’auteur ne doit vraiment pas toucher grand chose…
Merci Volti pour nous avoir signaler ce livre.
Je ne sais pas si la réussite de la Vie est un devoir pour l’Âme. Devoir est un mot que je ne supporte pas. L’Âme s’enrichit de nos diverses expériences, négatives et positives, on ne peut pas rejeter les premières mais les intégrer dans le chemin.
Une fois ces expériences faites, on peut alors choisir notre camp.
Et là, je rejoins l’auteur sur la notion d’exigence. Choisir le chemin de la Lumière est exigent. Mais là encore on peut tomber bien des fois. Et se permettre de tomber, et se relever encore et toujours. C’est un long apprentis-sage.
Bien sûr, je parle sans avoir lu le livre. Juste à partir de l’extrait que tu mets.
@ Biquette, merci pour votre analyse juste. Précision pour tous les lecteurs : aujourd’hui, un livre édité chez un éditeur connu et diffusé par un diffuseur professionnel est ponctionné à tous les niveaux, si bien que sur 15€ vendu en librairie, l’auteur touche… env. 0,9€ cents. L’auto-édition est un vrai challenge d’organisation, un parcours du combattant pour espérer atteindre les rayons d’une librairie, et aussi, souvent, un investissement à perte. Autant dire qu’il faut croire en son projet.
Biquette, pour répondre à votre remarque sur le « devoir ». L’âme a un projet d’incarnation: c’est sa feuille de route. Partant de là, elle va « guider » son élève (la personnalité, l’individu incarné) pour qu’il suive son intuition et comme un étudiant, accomplisse son devoir -c-à-d qu’il remplisse son projet d’incarnation. Toutes les expériences menées au cours d’une vie seront autant de tentatives et d’apprentissage en vue d’atteindre un horizon, dans cette vie. Mais vous avez raison, « on peut alors choisir notre camp » : le libre-arbitre autorise tout être à suivre ou non sa feuille de route et à jouer, par exemple, à l’éternel étudiant, en menant des expériences sans jamais en tirer de conclusion pour progresser, se dépasser, aller de l’avant et comme on dit, « passer à autre chose ».
Pour entretenir notre échange, Biquette, permettez-moi cette question qui va dans le sens de votre remarque « nos diverses expériences, négatives et positives, on ne peut pas rejeter les premières mais les intégrer dans le chemin » :
qu’est-ce que le mal ?
Au plaisir d’échanger, bien à vous. Yoann
Bonsoir,
Échange très intéressant. Merci Yoann de nous éclairer aussi nettement. Dommage que prédateur ne développe pas son concept. Parce que c’est spirituel, ce doit être gratuit!. Un peu simpliste comme raisonnement. En revanche comme c’est matériel, on peut faire payer 3 fois le prix, corrompre, tricher, tromper….Curieuse théorie. Tout dans la vie doit être équilibre. A quel niveau se trouve l’équilibre dans la gratuité demandée? Dans le fait de rendre l’autre redevable et le placer en situation d’infériorité? Ou a-t-il si peu de conscience qu’il ne se sente même pas redevable?
La question reste ouverte… ou restera-t-elle sans réponse?
@Magod
Bonjour, merci Magod d’avoir relancé l’échange.
Pour bien connaître les enjeux de la gratuité (nous proposons des enseignements spirituels gratuits, soins gratuits, livre en PDF gratuits -puis remis en vente), on constate que les personnes associent souvent « gratuité » avec « anodin », comme si le fait de ne pas payer ne les engage pas intimement. Parfois étrange, la nature humaine, qui accorde de la valeur à une chose si celle-ci est payante. À l’inverse, lorsque l’on fixe un prix (pour un livre, un soin/consultation, une formation, un disque), on donne consciemment une part de soi, de l’énergie. La gratuité a aussi sa place: quand une personne est incapable de payer, et que sa demande est juste, il faut savoir y répondre, sans attendre une compensation. C’est du cas par cas! on ne peut pas établir une règle absolue.
Mais on retrouve la valeur profonde de l’argent qui est d’être l’énergie de la matière. Par l’argent, on peut donner (ou pomper) l’énergie qui alimente la matière. Le juste équilibre est donc de définir un usage « spirituel » de l’argent, c-à-d d’investir l’argent pour des causes, des projets, des hommes/femmes, des produits, dont la première motivation est de servir le bien de l’ensemble (et non de faire du profit, « faire du fric » comme on dit). Je nous invite à méditer sur ce que serait un usage spirituel de l’argent, en partant des justes relations (ne pas faire à autrui ce qu’on aimerait pas qu’il nous fasse / faire à l’autre ce que j’aimerais qu’il fasse pour moi…). Sincèrement, Yoann