En août 2014, je publiai sur les moutons enragés le texte d’un appel à la création d’un Front de Libération Nationale. En août 2015, Stefano Fassina, DÉPUTÉ et ancien vice-Ministre des Finances de l’Italie, a envoyé à l’ancien ministre des finances grec Yanis Varoufakis, la tribune suivante publiée sur son blog, intitulée « pour une alliance de fronts de libération nationale » et traduite par le Comité Valmy. Il semble que cette idée fasse son chemin…
Le brulant conte grec a une valeur de politique générale. Commençons par le contenu de la Déclaration du Sommet de la zone Euro tenu le 12 juillet, avant de procéder à des évaluations politiques. Il est impossible de cacher l’aspect non durable des dispositions de perspectives économiques et financières. Malgré les ajustements remportés par la délégation grecque à Bruxelles, les mesures imposées sont brutalement de contraction, ainsi que régressives sur le terrain social.
Les mesures de compensation macroéconomique risquent d’être pratiquement inexistantes. Le financement prévu pour le troisième plan de sauvetage est consacré à la recapitalisation des banques et au paiement des dettes de la BCE, du FMI et de prêteurs privés. Rien ne va aux dépenses en capital, tandis que la crédibilité de la Commission Européenne pour aider le gouvernement grec à mobiliser jusqu’à 35milliards d’€ pour les investissements dans les 3 à 5 ans doit être évaluée au vu de son incapacité à trouver le minimum de ressources pour le “Plan Juncker”. Et enfin, l’engagement de la restructuration de la dette publique de la Grèce ouvre une perspective qui en aucun cas ne pourra avoir d’effets réels avant 2023, la fin de la période de grâce accordée par les États Européens pour leurs prêts respectifs.
Quelles leçons pouvons-nous apprendre du cours de la Grèce ? Alexis Tsipras, Syriza et le peuple grec ont le mérite historique indéniable d’avoir arraché le voile de la rhétorique Européiste et de l’objectivité technique visant à cacher la dynamique dans la zone euro. Nous voyons maintenant le pouvoir politique et le conflit social entre l’aristocratie financière et les classes moyennes : l’Allemagne, incapable d’hégémonie, domine la zone euro et poursuit un ordre économique en fonction de ses intérêts nationaux et de ceux de la grande finance.
Il y a deux points à relever ici. Le premier : le mercantilisme néo-libéral dicté par et centré sur Berlin est insoutenable. De la dévalorisation du travail, comme alternative à la dévaluation de la monnaie nationale, en tant que principale voie à de vrais” ajustements, découle une insuffisance chronique de la demande globale, la persistance d’un chômage élevé, la déflation, et l’essor de la dette publique. Dans un tel cadre, au-delà des frontières de l’état-nation dominant, l’euro a conduit à vider la démocratie de sa substance, tournant la politique en administration pour le compte de tiers et de divertissements.
Cette route est-elle réversible ? C’est le deuxième point. Il est difficile de répondre oui. Malheureusement, les corrections nécessaires pour rendre l’euro durable semblent être impossibles pour des raisons culturelles, historiques et politiques. Les opinions publiques ont des points de vue opposés et positions contradictoires, rendus de plus distants à cause de l’ordre du jour dominant dans la zone euro après 2008. Les opinions et les positions répandues chez les Allemands sont des faits. Le peuple allemand mérite le respect comme tout autre peuple. En Allemagne, comme partout, les principes démocratiques s’appliquent à l’intérieur de la seule dimension politique pertinente : l’état-nation.
Les deux premiers points de l’analyse conduisent à une vérité inconfortable : nous devons reconnaître que l’euro était une erreur de perspective politique. Nous devons admettre que, dans la cage néo-libérale de l’euro, la gauche perd sa fonction historique, et est morte en tant que force attachée à la dignité et à la pertinence politique du travail et à la citoyenneté sociale en tant que véhicule de démocratie effective. La non-pertinence ou la connivence des partis de la famille socialiste Européenne sont manifestes. En continuant à invoquer, comme ils le font, les États-Unis d’Europe” ou une réécriture pro-travail des Traités est un exercice virtuel conduisant à une perte continue de crédibilité politique.
Qu’y a-t-il à faire ? Nous sommes à un tournant de l’histoire. D’une part, le chemin de continuité lié à l’euro, c’est l’acceptation de la fin de la démocratie de la classe moyenne et de l’état-providence : un équilibre précaire de sous-emploi et de colère sociale, menacé par des risques très élevés de rupture nationaliste et xénophobe. De l’autre, une décision partagée, sans actes unilatéraux, à aller au-delà de la monnaie unique et du cadre institutionnel lié, surtout pour fixer la responsabilité démocratique de la politique monétaire : une solution mutuellement bénéfique, malgré un chemin difficile, incertain, avec des conséquences douloureuses au moins dans la période initiale.
L’Allemagne l’a bien compris et, toujours consciente de son histoire, indique une voie de sortie afin éviter une rupture chaotique de la zone euro et des dérives nationalistes incontrôlables (déjà inquiétantes à la fois chez les Allemands et à leur égard) : un accord multilatéral visant à aller au-delà de la monnaie unique, comme illustré dans la proposition de “Grexit assisté”, écrit par le Ministre des Finances Schäuble et approuvé par la Chancelière Merkel. Cela implique de ne pas abandonner la Grèce à elle-même, mais “une sortie accompagnée par la décote de la dette publique (ce qui est impossible dans le cadre actuel des Traités) et d’aide technique, financière et humanitaire.”
Le choix est un choix dramatique. La route de la continuité est l’option explicite des “grandes” coalitions conservatrices et des dirigeants “socialistes” (en France et en Italie, par exemple). La route de la discontinuité peut-être la seule pour tenter de sauver l’Union Européenne, de revitaliser les démocraties bourgeoises et d’inverser la tendance de la dévaluation du travail. Pour une désintégration gérée de la monnaie unique, nous devons construire une large alliance de fronts de libération nationale, à partir des zones euro de la périphérie méditerranéenne, composée de forces progressistes ouvertes à la coopération avec l’aile droite démocratique des partis souverainistes. Le temps disponible est de plus en plus court.
Stefano Fassina,
Membre du Parlement, ancien vice-Ministre des Finances, ItalieTraduction Comité Valmy
Blogue de Yanis Varoufakis
Je reproduis ci-dessous le texte de l’appel publié en août 2014 sur le site des moutons enragés et intitulé : « Appel à la création d’un Front de Libération Nationale ».
Notre pays est sous occupation. Une occupation insidieuse qui a pris la forme de technostructures mondialisées telles que l’Union Européenne et l’OTAN. Ces technostructures se présentent sous les traits de l’intégration économique et militaire et masquent leur nature totalitaire en mettant en avant les concepts de paix, de développement économique et de démocratie. Or ces organisations poursuivent des buts exactement opposés : l’OTAN est une force militaire d’agression au service de l’impérialisme états-unien, l’Union Européenne est une technostructure au service du capital financier mondialisé contre les peuples.
La stratégie du choc appliqué aux pays du sud de l’Europe à la faveur de la crise financière a montré la véritable nature de la technostructure européenne qui a pour but la destruction des modèles sociaux en faveur du grand capital financier. Le conflit en Ukraine a fait tomber le masque de l’OTAN, et a montré au grand jour sa véritable nature d’organisation militaire agressive au service de l’extension de la sphère d’influence et des intérêts euro-atlantistes. La superposition des aires géographiques de ces deux technostructures montre leur complémentarité opérationnelle.
Leur soutien à un régime néo-nazi dans le cadre du conflit ukrainien est la preuve que malgré les idéaux de paix et de démocratie professés officiellement par ces deux organisations, leur nature est profondément anti-démocratique et totalitaire. L’imposition d’un régime de régression et de casse sociale en Grèce et au Portugal, contre la volonté des peuples et au service des créanciers, en est un autre exemple. L’idéologie ordo-libérale et euro-atlantiste de la technostructure européenne est contraire à l’intérêt des peuples et vise à créer les conditions d’un vaste marché transatlantique, en cours de négociations, au mépris des souverainetés et des identités nationales et populaires. A la faveur des ces deux crises, les masques sont tombés.
Notre pays vit actuellement sous un régime d’occupation
L’occupation politico-économique de la technostructure européenne qui nous impose son modèle social et économique ordo-libéral en contradiction avec les idéaux français hérités du Conseil National de la Résistance et de la lutte contre le nazisme.
L’occupation politique d’une oligarchie au service des intérêts et de l’idéologie ordo-libérale et euro-atlantiste et qui occupe aujourd’hui tout l’espace politique.
La classe politique française dans son ensemble s’est rendue coupable de forfaiture et de trahison nationale en capitulant face aux institutions européennes et en abandonnant la souveraineté française aux institutions supra nationales de Bruxelles. Aujourd’hui, 60% de nos lois constituent l’application en droit national de directives et de réglementations européennes.
Notre pays vit également sous un régime d’occupation militaire de par son intégration au commandement unifié de l’OTAN qui place de fait ses forces armées et sa politique étrangère sous tutelle de Washington. La France, héritière d’une tradition Gaulliste d’indépendance, s’est rangée derrière l’agenda américain depuis 2003 comme l’ont illustré les conflits en Libye ou en Syrie et ne possède plus de politique étrangère indépendante. Elle est aujourd’hui incapable de faire entendre sa voix et défendre ses valeurs et ses intérêts sur la scène géopolitique internationale.
La trahison des élites
Les élites françaises dans leur ensemble ont collaboré et collaborent activement à ce régime d’occupation dont elles ont été les artisans. Elles ont en effet contribué de manière active, délibérée et continue, à l’abandon de la souveraineté nationale par l’intégration dans la technostructure européenne et le régime de libre échange mondialisé. Elles sont massivement corrompues et soumises au capital financier dont elles ont promu les intérêts au détriment de l’intérêt national. Elles se sont employées et s’emploient à dépecer les acquis du modèle social français hérité du Conseil National de la Résistance comme la sécurité sociale ou le régime de service public.
Appel à la création d’un Front de Libération Nationale
Face à cette situation de trahison nationale, nous appelons aujourd’hui à la constitution d’un Front National de Libération patriotique. Ce Front de Libération aura pour mission de libérer la France du régime d’occupation politique et économique représenté par les technostructures de l’Union Européenne et de l’OTAN et de recouvrer notre souveraineté nationale. Il est en effet illusoire de concevoir un quelconque régime démocratique hors d’un cadre national oeuvrant à la défense de l’intérêt général des citoyens. Il est illusoire de concevoir une quelconque citoyenneté hors d’un cadre démocratique national, seul à même de représenter et de porter les aspirations collectives de ses citoyens.
Ce Front de Libération Nationale devra dépasser les clivages politiques et partisans qui participent à entretenir l’illusion démocratique d’une classe politique massivement corrompue par le capital financier, formée dans les mêmes écoles, et acquise à l’idéologie mondialiste des technostructures supranationales et euro-atlantistes. Il devra être une force de résistance et de sursaut national avec pour unique but de restaurer notre souveraineté populaire et notre destiné nationale. Car l’avenir de la France réside dans la restauration de son indépendance nationale et de sa liberté politique d’action au service de l’intérêt populaire.
Pour ce faire, nous appelons tous les patriotes et citoyens, quelles que soient la nature de leurs convictions politiques ou leurs origines, tous les partis politiques dissidents, à relayer cet appel, à entrer en résistance, à porter et dire la vérité sur le régime d’occupation et la nature collaborationniste des élites politico-médiatiques, et à s’organiser en force politique de libération au sein d’un vaste Front de Libération Nationale.
Pour que vive la France libre !
Contre le Front de Libération Nationale, … BHL prendra la pose !
23 photos hilarantes !
PHOTOS. N’écoutant que son courage, BHL pose au côté d’un soldat.
http://tempsreel.nouvelobs.com/galeries-photos/people/20150904.OBS5288/photos-n-ecoutant-que-son-courage-bhl-pose-aux-cotes-d-un-soldat.html
Il manque celle-là …
http://i45.servimg.com/u/f45/16/65/68/86/bhl_bi10.jpg
La photo, à relativiser , elle a failli me coûter un procès en correctionnelle pour diffamation. Ce n’est pas la photo qui est bidon ni le travail du photographe, mais ce qui est photographié.
Le FLN . ?
J’accepte de faire partie du Front de Libération Nationale !
Voici le contrat social signé par 99.98% de la population, et ceci chaque matin.
Rien qu’en restant assis derriere son clavier.
https://lesmoutonsenrages.fr/forum/viewtopic.php?f=25&t=7440
hahaha,voila le TROU NOIR ..
Voici le texte du contrat.
1) J’accepte la compétition comme base de notre système, même si j’ai conscience que ce fonctionnement engendre frustration et colère pour l’immense majorité des perdants,
2) J’accepte d’être humilié ou exploité a condition qu’on me permette a mon tour d’humilier ou d’exploiter quelqu’un occupant une place inférieure dans la pyramide sociale,
3) J’accepte l’exclusion sociale des marginaux, des inadaptés et des faibles car je considère que le prise en charge de la société a ses limites,
4) J’accepte de rémunérer les banques pour qu’elles investissent mes salaires à leur convenance, et qu’elles ne me reversent aucun dividende de leurs gigantesques profits (qui serviront a dévaliser les pays pauvres, ce que j’accepte implicitement). J’accepte aussi qu’elle prélèvent une forte commission pour me prêter de l’argent qui n’est autre que celui des autres clients,
5) J’accepte que l’on congèle et que l’on jette des tonnes de nourriture pour ne pas que les cours s’écroulent, plutôt que de les offrir aux nécessiteux et de permettre à quelques centaines de milliers de personnes de ne pas mourir de faim chaque année,
6) J’accepte qu’il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement, en revanche je tolère qu’on le fasse lentement en inhalant ou ingérant des substances toxiques autorisées par les états,
7) J’accepte que l’on fasse la guerre pour faire régner la paix. J’accepte qu’au nom de la paix, la première dépense des états soit le budget de la défense. J’accepte donc que des conflits soient créés artificiellement pour écouler les stocks d’armes et faire tourner l’économie mondiale,
8- J’accepte l’hégémonie du pétrole dans notre économie, bien qu’il s’agisse d’une énergie coûteuse et polluante, et je suis d’accord pour empêcher toute tentative de substitution, s’il s’avérait que l’on découvre un moyen gratuit et illimité de produire de l’énergie, ce qui serait notre perte,
9) J’accepte que l’on condamne le meurtre de son prochain, sauf si les états décrètent qu’il s’agit d’un ennemi et nous encouragent à le tuer,
10) J’accepte que l’on divise l’opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l’impression de faire avancer le système. j’accepte d’ailleurs toutes sortes de divisions possibles, pourvu qu’elles me permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux,
11) J’accepte que le pouvoir de façonner l’opinion publique, jadis détenu par les religions, soit aujourd’hui aux mains d’affairistes non élus démocratiquement et totalement libres de contrôler les états, car je suis convaincu du bon usage qu’ils en feront,
12) J’accepte l’idée que le bonheur se résume au confort, l’amour au sexe, et la liberté à l’assouvissement de tous les désirs, car c’est ce que la publicité me rabâche toute la journée. Plus je serai malheureux et plus je consommerai : je remplirai mon rôle en contribuant au bon fonctionnement de notre économie,
13) J’accepte que la valeur d’une personne se mesure à la taille de son compte bancaire, qu’on apprécie son utilité en fonction de sa productivité plutôt que de sa qualité, et qu’on l’exclue du système si elle n’est plus assez productive,
14) J’accepte que l’on paie grassement les joueurs de football ou des acteurs, et beaucoup moins les professeurs et les médecins chargés de l’éducation et de la santé des générations futures,
15) J’accepte que l’on mette au banc de la société les personnes agées dont l’expérience pourrait nous être utile, car étant la civilisation la plus évoluée de la planète (et sans doute de l’univers) nous savons que l’expérience ne se partage ni ne se transmet,
16) J’accepte que l’on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes du monde tous les jours, pour que je puisse apprécier a quel point notre situation est normale et combien j’ai de la chance de vivre en occident. je sais qu’entretenir la peur dans nos esprits ne peut être que bénéfique pour nous,
17) J’accepte que les industriels, militaires et politiciens se réunissent régulièrement pour prendre sans nous concerter des décisions qui engagent l’avenir de la vie et de la planète,
18- J’accepte de consommer de la viande bovine traitée aux hormones sans qu’on me le signale explicitement. J’accepte que la culture des OGM se répande dans le monde entier, permettant ainsi aux trusts de l’agroalimentaire de breveter le vivant, d’engranger des dividendes conséquents et de tenir sous leur joug l’agriculture mondiale,
19) J’accepte que les banques internationales prêtent de l’argent aux pays souhaitant s’armer et se battre, et de choisir ainsi ceux qui feront la guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu’il vaut mieux financer les deux bords afin d’être sûr de gagner de l’argent, et faire durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement piller leurs ressources s’ils ne peuvent pas rembourser les emprunts,
20) J’accepte que les multinationales s’abstiennent d’appliquer les progrès sociaux de l’occident dans les pays défavorisés. Considérant que c’est déjà une embellie de les faire travailler, je préfère qu’on utilise les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des enfants dans des conditions inhumaines et précaires. Au nom des droits de l’homme et du citoyen, nous n’avons pas le droit de faire de l’ingérence,
21) J’accepte que les hommes politiques puissent être d’une honneteté douteuse et parfois même corrompus. je pense d’ailleurs que c’est normal au vu des fortes pressions qu’ils subissent. Pour la majorité par contre, la tolérance zéro doit être de mise,
22) J’accepte que les laboratoires pharmaceutiques et les industriels de l’agroalimentaire vendent dans les pays défavorisés des produits périmés ou utilisent des substances cancérigènes interdites en occident,
23) J’accepte que le reste de la planète, c’est-à-dire quatre milliards d’individus, puisse penser différemment à condition qu’il ne vienne pas exprimer ses croyances chez nous, et encore moins de tenter d’expliquer notre Histoire avec ses notions philosophiques primitives,
24) J’accepte l’idée qu’il n’existe que deux possibilités dans la nature, à savoir chasser ou être chassé. Et si nous sommes doués d’une conscience et d’un langage, ce n’est certainement pas pour échapper à cette dualité, mais pour justifier pourquoi nous agissons de la sorte,
25) J’accepte de considérer notre passé comme une suite ininterrompue de conflits, de conspirations politiques et de volontés hégémoniques, mais je sais qu’aujourd’hui tout ceci n’existe plus car nous sommes au summum de notre évolution, et que les seules règles régissant notre monde sont la recherche du bonheur et de la liberté de tous les peuples, comme nous l’entendons sans cesse dans nos discours politiques,
26) J’accepte sans discuter et je considère comme vérités toutes les théories proposées pour l’explication du mystère de nos origines. Et j’accepte que la nature ait pu mettre des millions d’années pour créer un être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre espèce en quelques instants,
27) J’accepte la recherche du profit comme but suprême de l’Humanité, et l’accumulation des richesses comme l’accomplissement de la vie humaine,
28- J’accepte la destruction des forêts, la quasi-disparition des poissons de rivières et de nos océans. J’accepte l’augmentation de la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d’éléments radioactifs dans la nature. J’accepte l’utilisation de toutes sortes d’additifs chimiques dans mon alimentation, car je suis convaincu que si on les y met, c’est qu’ils sont utiles et sans danger,
29) J’accepte la guerre économique sévissant sur la planète, même si je sens qu’elle nous mène vers une catastrophe sans précédent,
30) j’accepte cette situation, et j’admets que je ne peux rien faire pour la changer ou l’améliorer,
31) J’accepte d’être traité comme du bétail, car tout compte fait, je pense que je ne vaux pas mieux,
32) J’accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout ceci, et de ne formuler aucune véritable opposition car je suis bien trop occupé par ma vie et mes soucis. J’accepte même de défendre à la mort ce contrat si vous me le demandez,
33) J’accepte donc, en mon âme et conscience et définitivement, cette triste matrice que vous placez devant mes yeux pour m’empêcher de voir la réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et pour celui de tous, et je vous en remercie.
On peut rajouter :
J’accepte les cookies et donc d’être surveillé .
Rien ne se fera sans sortir du web
100 % D’acc .
Mourrir pour renaitre .
Changer , repartir presqu’à Zéro .
Ne plus utiliser sa credit Card , sinon c’est foutu .
C’est aussi pourquoi ils veulent supprimer le Cash .
Grosse prépa psychologique , pas facile j’en sais
qque chose , mais il faudra y passer , sinon !!!!
« The cake is a lie ! »
« Pour une désintégration gérée de la monnaie unique, nous devons construire une large alliance de fronts de libération nationale, à partir des zones euro de la périphérie méditerranéenne, composée de forces progressistes ouvertes à la coopération avec l’aile droite démocratique des partis souverainistes. Le temps disponible est de plus en plus court. »
Du blabla qui ne veut rien dire :
désintégration / construction,
forces progressistes (lol),
l’aile droite démocratique (gné ? on parle de LR ?),
partis souverainistes ? (ceux qui changent d’avis tous les deux jours comme le FN ?)
Le temps disponible est de plus en plus court. (ah bon ?)
Sur ce, encore et toujours, un seul parti propose la sortie de l’euro, de l’UE et de l’OTAN, grâce à l’article 50 du TUE! Ce parti est toujours aussi censuré par les médias mainstream et par wikipedia france d’ailleurs.
Pour ceux qui n’auraient pas deviné il s’agit de l’UPR !
Ce qu’il faut comprendre c’est que tous ces sites, blog etc … sont controlé par la dissidence ( sectes d’extrémes droites ) et n’ont aucune volonté de quitter l’UE car ils veulent l’Agrandir, c’est pour ça qu’ils soutiennent Poutine et son Union Supranationale ( comme l’UE ) l’EURASIE et enfume beaucoup de gents dans leurs Propagandes qui ne sert qu’à les Neutraliser et Manipuler…
Voir mon montage Amateur sur youtube :
Le Vrais Visage de la Dissidence 1/5_Les Epouvantails au service du Nouvel Ordre Mondial
httpxxs://www.youtube.com/watch?v=zjsU92UCOu4&list=UUCkP114nJDvkEF-iJ1j-A_w
Moais… la sortie de l’Union Européenne, de l’euro et l’OTAN, via un rassemblement provisoire au delà du clivage droite gauche c’est quand même ce que seul l’UPR propose en France et ce depuis 8 ans.
il serait d’ailleurs aussi important de voir écrit noir sur blanc dans cette déclaration la proposition de sortie de l’Union Européenne, sortie de l’euro et sortie de l’OTAN. C’est en effet plus sûr de le voir écrit puisque le monde politique grouille de partis comme le FN, le Front de gauche, Podemos, Syrisa qui malgré des discours très véhéments à l’égard de l’europe, ne proposent comme par hasard jamais d’en sortir. Ils proposent tous des renégociations de traités qui sont impossible puisqu’il faut l’unanimité des 28 pays membres pour cela (article 48 du TUE) entretenant ainsi leur petit train train politicard quotidien, et le peuple dans la m…
ahah ^^ j’ai encore eu cette conversation avec un militant FdG hier soir. Autant le dire tout de suite, Jésus, à côté de Mélenchon, fait office de soubrette… Mélenchon il va tout changer, si, si…