Les produits artisanaux : le vrai du faux..

Sommes nous sûrs de la provenance des produits du terroir, que l’on nous vante à coup d’images bucoliques? Comment s’y retrouver? Avec les infos suivantes soyez incollables sur ces produits.

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Les produits artisanaux sont un des patrimoines français les plus connus dans le monde entier, surtout les produits alimentaires (camemberts, saucissons, huile d’olive ou épices de Provence..), mais pas seulement comme nous le rappelle le savon de Marseille. Mais voilà, comme tout ce qui a du succès, les produits artisanaux attirent les margoulins qui cherchent à tromper le consommateur : la fraude est une réalité. Parcourons les différents produits pour apprendre à reconnaître le vrai produit artisanal de son imitation.

Fraude : les vrais-faux produits artisanaux

 La série sur la fraude aux  produits artisanaux :

 

Une simple appellation, la magie d’un nom suffisent souvent à nous décider à acheter tel ou tel produit : camembert de Normandie, Jambon d’Aoste, Herbes de Provence, moutarde de Dijon, ….

Et pourtant, ces produits très appréciés du grand public sont copiés à grande échelle. Et acheter un produit authentique qui n’usurpe pas le nom (quand ce ne sont pas les qualités elles-mêmes) du produit original n’est pas si facile. Parlons donc de la fraude, ou de certains équivalents, pour ne pas se tromper à l’achat.

Alimentation :

Mode :

Auteur Nolwen pour ConsoGlobe

11 Commentaires

  1. Dans le cas du saucisson d’âne en Corse, le nom n’est pas usurpé s’il s’agit du qualificatif de l’acheteur et non de celui du produit.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif

  2. Au lieu du Parmesan pas bio cher, achetez du pecorino bio de Sardaigne similaire 3 fois moins cher !!

    Bientôt l’huile d’olive sera bientôt en voie de disparition, par maladie.

    Le melon Charentais est un type d’espèces, et le premier critère de valeur et gout est sa densité, le poids sur volume, bien avant l’odeur qui peut être celle d’un autre melon à côté.
    Le pédoncule qui se détache vient après, bien mur.

    • Bonjour,

      Le Parmesan est fait à partir du lait de vache, il a une saveur incomparable.
      « Il Pecorino » est fait à partir du lait de brebis, c’est un fromage très salé auquel souvent il faut rajouter soit du poivre, soit du piment ou tout autre condiment pour lui permettre d’avoir une saveur.
      Quant à l’huile d’olive, sa production est en chute libre, à cause d’un parasite, au Portugal, en Espagne et en Italie. Des plantations entières sont abattues et arrachées.
      Coïncidence, les pays infectés correspondent aux pays de « premier accueil » des clandestins de méditerrané.
      Il ne faut surtout ne pas y voir de mal, ce n’est qu’une simple coïncidence que j’ai relevé.
      Mais pas en Grèce, pas encore.
      La « Nature », parfois aidé par l’homme, va arranger les affaires des pays du Maghreb, qui ont de grandes difficultés économiques, après des printemps « agités ».
      Tout est bien qui finit bien…
      …sauf pour les producteurs du sud de l’Europe et le P.I.B. de leurs pays !

      • D’autant que ce nouveau feu bactérien peut atteindre certains fruitiers et la vigne.
        Au Portugal, ils ne se débrouillent pas si mal. 🙂

      • « Il Pecorino » bio vrai artisanal a un gout incomparable voisin du parmesan pour trois fois moins cher (mêmes types de ferments ), pas besoin d’y ajouter des condiments ( et comme pour le Parmesan, confucius a mangé du faux « Il Pecorino » truqué )et tous les fromages sont trop trop salés, tous, comme les charcuteries et le pain !!!
        Impossible de trouver avec moins de sel car nous tous ne choisissons que le très salé, instinctivement !!
        L’habitude rend impossible de vendre moins salé !!

        « ce nouveau feu bactérien’ est peut être pas très nouveau, car le feu bactérien a toujours existé, (sur 40 années j’ai eu plein d’arbres fruitiers morts, net à la sortie des feuilles, dés qu’il sont un peu faibles, pruniers, cerisiers, alors que les plants sauvages eux se multiplient, petites prunes bonnes , cerises un peu aigres, dans mon jardin ) et donc il se pourrait que c’est plus la conséquence de pratiques trop intensives et excessives sur des variétés fragiles trop uniformes auxquelles ce feu bactérien s’adapte, le rendant un « nouveau feu bactérien » qui profite de l’occasion, comme les bactéries deviennent résistantes aux antibiotiques, trop utilisées partout y compris pour notre viande ?
        Les cultures artisanales originales et moins uniformes devraient mieux résister.
        Les pays du Maghreb moins développés, sont restés bien plus artisanaux ?
        La Grèce est aussi un pays de « premier accueil » des clandestins de méditerranée actuellement.

    • Ils ont oublié le melon de Lectoure – Gers –

  3. En se fournissant en circuit court, marchés de proximité, producteurs directs, on élimine ce genre d’arnaque, on valorise ceux qui travaillent honnêtement, on prend plaisir à déguster des produits de qualité locale.
    On fait un pied de nez à Tafta et wagons de mauvais sigles.

    • Oui, mais faut-il être certain du sérieux du producteur. Des anecdotes ne manquent pas de « petits producteurs du coin » qui ne se vantent pas d’utiliser des traitements comme (ou de façon pire) des industriels. Les contrôles étant rarissimes, ils s’en fichent. Prudence.
      Seule solution, s’occuper soi-même de son jardin, de sa basse-cour etc….

      • Mais en allant voir les producteurs qui viennent sur les marchés ou qui accueillent sur leurs exploitations, on se rend vite compte du sérieux et de la cohérence du travail.
        On fait des rencontres savoureuses et on crée parfois des liens profonds.
        Je partage. Ce que je fais d’ailleurs. Soi-même et à plusieurs ! 🙂

        • On doit aussi se méfier des producteurs en bio, hélas !
          Aller vérifier. Comme tout, comme toujours.

          • On vérifie en trouvant quelques vers dedans, et autres bestioles, preuves de bio !!
            On devrait accepter d’acheter des pommes et fruits avec des vers dedans !!

            De toute manière, vu la quantité de traitements pesticides et fongicides sur le non bio (30 sur les pommes et poires ), il ne reste que le bio d’acceptable.

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