Difficile d’y échapper..
Les dangers du glutamate, un poison alimentaire omniprésent
Le glutamate ou E621 est un exhausteur de goût qui est très largement utilisé dans l’industrie agro-alimentaire. Pourtant, il présente de vrais inconvénients qu’il faut connaître.
Le glutamate monosodique. Vous ne connaissez peut être pas son nom mais vous l’avez forcément déjà croisé, et plus d’une fois. Le glutamate est un acide aminé naturellement présent dans le corps. Sa « version chimique » a été découverte en 1907, pour en faire un additif alimentaire.
Le glutamate se cache sous le nom de code E621 et est un exhausteur de goût qui est très largement utilisé dans l’industrie agro-alimentaire. Les Japonais le considèrent comme la 7e saveur, après le sucré, le salé, l’amer, l’acide, l’astringent ou âpre, et le piquant.
À quoi sert le glutamate ?
Avez-vous déjà eu la sensation de ne pas pouvoir vous arrêter de grignoter ces chips, devant la télé ? La faute au glutamate.
Cette substance qui se présente sous la forme d’une poudre blanche renforce le goût des ingrédients présents dans l’aliment et agit comme un excitant sur les papilles et surtout, sur le cerveau.
Le glutamate opère comme le ferait n’importe quelle drogue sur le cerveau. De l’avis des experts, les exhausteurs de goût agiraient sur les neurones, empêchant le bon fonctionnement des mécanismes inhibiteurs de l’appétit. En clair, plus on en mange, plus ils donnent faim, et plus on a envie d’en manger.
L’E621 est l’un des additifs alimentaires les plus utilisés dans le monde, avec une production atteignant chaque année les 2 millions de tonnes, dont 80 % sont consommés en Asie et tout de même près de 100 000 tonnes en Europe. En France, il peut être utilisé sous conditions. Il est d’ailleurs présent dans de nombreux produits de grandes marques.
Où trouve-t-on le glutamate ?
Le glutamate est présent dans de nombreux aliments transformés, comme les soupes, les bouillons, les sauces et en grande quantité dans les barquettes de plats préparés, la charcuterie sous-vide, les biscuits, les snacks etc. Dans certains pays, il est même utilisé comme condiment, à l’instar de la moutarde ou du poivre.
Le glutamate se cache sous le nom d’E621, GMS pour Glutamate Monosodique ou Glutamate de sodium, mais il peut également prendre d’autres appellations beaucoup moins scientifiques comme « assaisonnement naturel » (le glutamate provient d’une algue marine) « protéines hydrolysées » ou encore « épices ».
À l’origine, il était utilisé dans la cuisine asiatique, et particulièrement chinoise. Il est aujourd’hui présent dans de nombreux produits, et notamment ceux qui laissent un goût fumé ou de « jus de viande » à l’instar des chips aromatisées, biscuits ou bouillons.
On a trouvé des glutamates…
Un petit tour dans les rayons d’un hypermarché nous a permis de faire un triste constat : oui le glutamate est très présent, mais pas toujours clairement énoncé.
Sur certaines étiquettes comme celle de la sauce tomate arôme champignons de Panzani, pas de toute. Idem pour les chips Lays, la Timbale Micro-ondes d’aucy et la soupe Knorr où les mentions « exhausteurs de goût : glutamate de sodium » ou « glutamate monosodique » ou encore « E621 » sont inscrites noir sur blanc.
D’autres, comme Herta et ses saucisses de Strasbourg fumées indiquent simplement « arômes de fumée » ce qui pourrait très certainement cacher le fameux additif alimentaire souvent décrié…
Quels sont les risques liés à la consommation de glutamate ?
Le glutamate est considéré comme non dangereux par l’EUFIC, European Food Information Council, qui est un organisme financé par l’industrie agro-alimentaire… Celle-ci considère que : « Le glutamate monosodique est un ingrédient alimentaire qui souffre souvent d’une mauvaise réputation, pourtant infondée. Le glutamate monosodique peut être utilisé en toute sécurité pour ajouter du goût ou pour réduire les taux du sodium présent dans les aliments. » (4).
Pour autant, des études menées dès les années 1950 ont démontré que le glutamate détruisait les neurones dans la couche interne de la rétine des rats (2). Vers 1969, J. Olney a découvert que ce phénomène n’était pas limité à la rétine, mais concernait tout le cerveau, et il parla alors d’excitotoxicité (3).
Qu’est-ce que l’excitoxicité ?
Dans son livre Excitotoxins, The Taste that Kills (Excitotoxines, le goût qui tue), le Docteur Russel Blaylock explique que « le glutamate détruit certains neurones en autorisant l’invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate [et l’aspartame] en excès est la raison pour laquelle on les appelle ‘excitotoxines’. Ils excitent ou stimulent la mort des cellules nerveuses. »
La consommation excessive de glutamate
Selon différentes études, les risques liés à la consommation excessive de glutamate seraient obésité, hypertension, hyperactivité, diabète, migraines, etc. Certains asthmatiques y seraient également allergiques.
Le glutamate peut aggraver les urticaires (3 % des cas). À partir 2,5 g on constate des maux de tête attribuables au glutamate (pour 2.3 % des consommateurs), crampes (0.4 %), engourdissements (0.7 %), faiblesse générale (4.0 %) et bouffées de chaleur (1.6 %) selon une étude de 1997.
Le syndrome du restaurant chinois
Découvert à la fin des années 1960, le syndrome du restaurant chinois regroupe un ensemble de symptômes qui surviendraient dans les quelques minutes qui suivent un repas dans un restaurant chinois. La présence en grande quantité de glutamate dans la cuisine chinoise en serait responsable.
Les symptômes en question :
- « Flush » c’est-à-dire des rougeurs cutanées sur le cou, le visage et la partie supérieure du tronc.
- Les yeux injectés de sang.
- Des céphalées.
- Des sensations de brûlure dans tout le corps.
- Des sensations d’oppression thoracique.
- Des nausées et des vomissements.
- Des démangeaisons…
Certains restaurants asiatiques aux États-Unis affichent clairement « No MGS » sur leur devanture, rassurant ainsi leurs clients sur le fait qu’ils n’ajoutent pas de glutamate dans leurs plats.
Comment éviter le glutamate
Le GMS se trouvant en grande partie dans les produits manufacturés, le mieux pour l’éviter reste de consommer le moins possible de produits industriels.
Préférez dans la mesure du possible les produits alimentaires bio dans lesquels tous les exhausteurs de goûts sont proscrits, et privilégiez les aliments ayant subi le moins de transformation possible.
Les enfants seraient très sensibles au glutamate, une attention particulière doit être accordée à ce qu’ils prennent au goûter, et… aux chips de l’apéro !
Publié par Aphadolie
Source :
http://www.additifs-alimentaires.net/E621.php
https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_glutamique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Glutamate_monosodique
https://www.consoglobe.com/les-dangers-du-glutamate-cg
Référence :
1 – Eufic.org
2 – Étude menée par D. R. Lucas et J. P. Newhouse
3 – http://www.nature.com/nature/journal/v227/n5258/abs/227609b0.html
4 – Eufic.org
Témoignage :
A voir également :
Mécanismes synaptiques de l’addiction : Dopamine, Glutamate et Sérotonine
Dès 1961, le Dr Caldecott disait :
« Les produits chimiques sont de loin plus mutagènes pour l’homme que ce que le sont les radiations. À ce sujet, les additifs de nos jours pourraient représenter un danger encore plus grand ».
http://www.editions-chariot-dor.fr/bibliotheque/documents/9782911806698.pdf
Une base de données collaborative, libre et ouverte des produits alimentaires du monde entier
https://fr.openfoodfacts.org/additif/e171-oxyde-de-titane/categories
Le glutamate utilisé depuis des siècles par les cuisiniers asiatique n’était pas nocif pour la santé car tiré des algues.
On peut faire le parallèle entre le glutamate naturel et l’aspirine naturelle.
Du moment ou l’industrie chimique se mêle de l’alimentation survient le danger.
La fabrication industrielle de l’aspirine est là pour en témoigner.
Codex Alimentarius… CQFD 😉
Corinne Gouget nous avais prévenu il y a longtemps déjà… Mais on l’a suicidée…
Adepte de la cuisine asiatique je me suis servie pendant des années du glutamate, mes enfants et moi-même n’avons jamais eu raison de nous en plaindre. Mais peut-être qu’en ce temps là, que les moins de vingt ans etc…, ce produit était plus sain car tiré des algues comme l’écrit Thierry, alors que maintenant il a dû subir bien des transformations, ajouts etc..; bref je n’en sais rien. il faudrait aller chercher plus de renseignements à son sujet.
Donc j’ai cherché et voici ce que j’ai trouvé ( hors le fait qu’il y en a jusque dans des boîtes de chocolat pour le petit déjeuner comme Nesq** par exemple !)
« Le problème est qu’il y a une différence de structure moléculaire entre le glutamate naturel biologique et la molécule chimique de synthèse, purifiée, qui n’est pas reconnue par le vivant. Justement, l’argument-clé des fabricants est que, étant un produit de la nature, il ne peut être dangereux. C’est faux. Nous avons la preuve qu’ingéré à doses itératives régulières, ce produit de synthèse est un poison dangereux, d’autant plus que l’organisme étant incapable d’identifier le goût du glutamate, le consommateur dépasse sans le savoir son seuil de tolérance. Celui-ci est évalué en moyenne à 5 mg.
Donc c’est bien ce que je pensais, le vrai glutamate issu des algues n’est pas dangereux alors que celui de synthèse que l’on retrouve partout sous des appellations diverses et trompeuses l’est !
Pas la peine de chercher bien loin. La synthèse d’un produit approchant le produit naturel laisse des traces des adjuvants dans la cible. De meme que pour l’aspirine et meme dans les produits genre jambon reconstitué.
Voir le transglutaminase absorbé par les clients de supermarché.
Les études us sont bien cachées mais probantes.
GDP, tu réponds à une question que je me posais: on m’a dit un jour qu’il y a un glutamate sain, et un autre qui ne l’est pas.
Dans la première vidéo, il parle de la barrière hémato-encéphalique. Ça a fait tilt !
En effet, les ondes électromagnétiques pulsées ouvrent cette barrière: le cerveau n’est plus protégé. Ce qui veut dire que les personnes trop exposées ouvriront la porte de leur cerveau non seulement aux métaux lourds, bactéries, virus… mais aussi… à ce cher glutamate. Bonjour les allergies !!
Je ne vous dis pas, on se prépare un cocktail fabuleusement explosif !!
Des anticancéreux périmés administrés en France et en Suisse. Entre 2007 et 2011 plus de 100 000 flacons périmés de « Thiotepa », utilisé contre les cancers de l’ovaire, de la vessie et du sein, ont été distribués. 98 820 flacons en France. Alkopharma a modifié les dates de péremption de 98 820 flacons vendus en France pour un prix de 3 278 425 euros et 2119 en Suisse pour 207 573 francs. Il le faisait en créant de fausse étiquette. Ce médicament avait une durée de vie de 18 mois.
Ah. Encore un truc qui va nous faire mourir.
Mais non, on est déja morts mais on ne le sait pas encore.
Pas faux Thierry. Nous n’avons que l’illusion d’être en vie. La vie n’est qu’un rêve. Alors pas de souci…