Source STATISTA
Comme le révèle la dernière édition de la liste publiée par le projet Top500, l’Asie et les États-Unis dominent toujours le classement des supercalculateurs les plus puissants de la planète. Le superordinateur japonais Fugaku, développé par Fujitsu en coopération avec l’institut RIKEN, écrase toujours la concurrence avec une puissance maximale de calcul de 442 pétaflops. Il est capable d’effectuer près de trois fois plus d’opérations par seconde que le second de cette liste, le supercalculateur américain d’IBM Summit, et dix fois plus que le leader européen JUWELS, développé par le groupe français Atos et qui équipe le centre de recherche allemand de Jülich.
Les valeurs obtenues correspondent à la puissance de calcul maximale mesurée lors du test Linpack et reflètent les performances dédiées à la résolution d’un système dense d’équations linéaires, soit une application courante d’utilisation. Elles ne rendent pas comptent de la puissance « crête » théorique de ces machines, qui atteint des valeurs plus élevées.
Les supercalculateurs sont utilisés pour effectuer des simulations complexes qui impliquent un très grand nombre de variables. Les applications courantes regroupent les prévisions météorologiques, les modélisations climatiques et économiques, l’exploration d’hydrocarbures, mais aussi la recherche en physique nucléaire et en biologie. Fugaku a par exemple été utilisé pour mener des études sur le coronavirus, plus précisément pour faire des simulations sur la façon dont les gouttelettes respiratoires porteuses de germes se déplacent dans l’air au sein de différents environnements.
En France, si l’on se base sur les performances obtenues lors du test Linpack, le superordinateur le plus puissant actuellement en service est PANGEA III. Développé par IBM et propriété du groupe Total, ce dernier est capable de réaliser 17,9 millions de milliards d’opérations par seconde et se classe au 21ème rang mondial. Parmi les autres supercalculateurs de l’Hexagone présents dans le top 100 mondial, on peut également citer Joliot-Curie, conçu par Atos et le Commissariat à l’énergie atomique, et Jean-Zay, qui équipe les chercheurs du CNRS.
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L’inimaginable et sans ordi
Ferme de biscotin en Chine
https://tinyurl.com/7nsazn7u
https://leprogrammeurmarocain.com/mines-bitcoin/
La chine c’est rendu compte que c’était énergivore et que du coup elle veut interdire le bitcoin
Ce qui l’a fait chuter et maintenant il remonte en flèche (puisque c’est la monnaie d’avenir)
La vérité est ailleurs ou mixe
Il veulent que les Chinois utilisent le bitcoin officiel et donc élimine la concurrence en le rendant illégal
Malin ces chinois ^^
» la Chine coupe l’électricité aux mineurs de Bitcoins »
https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/cryptomonnaies-la-chine-coupe-l-electricite-aux-mineurs-de-bitcoins-20210621
Les dictatures ont toujours l’art et la manière par l’infox de se faire passer pour des héros écolos
Comme d’hab : la vérité est ailleurs