Projet louable s’il s’en tient à sa fonction d’aide pour les handicapés. Partagez ! Volti
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Source TrustMyScience
Selon le célèbre milliardaire, son dispositif est « un peu comme une montre fitbit dans le crâne ». Plus tôt cette année, Elon Musk annonçait que les tests humains de l’implant cérébral Neuralink étaient pour bientôt. Vendredi soir, le PDG a profité d’une conférence de presse diffusée en direct pour faire quelques annonces concernant sa dernière création. Il a notamment révélé avoir installé des prototypes de l’implant sur des porcs.
Il a ainsi présenté la dernière version du dispositif, dénommé Link v0.9, destiné à être implanté dans le crâne de ceux qui souhaiteront en bénéficier. L’objet, de la taille d’une pièce de monnaie, prendra ainsi la place d’un petit morceau de crâne et sera utilisé pour lire et écrire des informations directement depuis et vers le cerveau. Rappelons que le but de cet implant Neuralink est surtout de pouvoir pallier des dommages neurologiques ou des lésions de la colonne vertébrale.
Une intervention chirurgicale de moins d’une heure
Lors de sa conférence, Elon Musk insiste sur la discrétion du dispositif, « une fitbit avec de minuscules fils » selon ses termes. « Je pourrais avoir un Neuralink maintenant et vous ne le sauriez pas », ajoute-t-il. Le prototype présenté est un peu différent de ce qui avait été annoncé lors de précédentes communications de la société, l’été dernier. Au final, le dispositif s’avère encore moins intrusif : il s’agit d’une puce, de la taille d’une pièce de monnaie, de 23 mm de diamètre pour 8 mm d’épaisseur.
L’homme d’affaires a déclaré que son implant était en cours de test sur des truies. Il a ainsi présenté les animaux concernés par l’expérimentation : un premier qui n’a pas bénéficié du dispositif, un deuxième qui est équipé de l’implant depuis deux mois, et un troisième qui aurait reçu l’implant dans son crâne, mais que l’on aurait retiré par la suite. En effet, comme l’explique Elon Musk, cet implant doit pouvoir être retiré à tout moment sur simple décision de son porteur, sans que cela impacte sa santé d’aucune manière.
Pour parfaire sa démonstration, l’homme a ensuite dévoilé une vidéo préenregistrée, montrant une truie sur un tapis roulant. Il a ensuite attiré l’attention des spectateurs sur le fait que la position réelle des articulations de l’animal et leur position telles qu’interprétées par l’unité Link étaient quasi parfaitement alignées : à chaque instant, l’ordinateur sait donc où se trouvent les membres de l’animal.
Voir :
- Un « gentil » hacker a pris momentanément le contrôle de toute la flotte de véhicules Tesla
- Au Canada, des gens luttent pour sauver un arbre majestueux plus vieux que le Canada
- Quelle est l’origine de l’eau sur Terre ? Une nouvelle étude remet en question les hypothèses actuelles et propose une réponse convaincante
Comme si l’origine de cette ensemble cellulaire qu’on appelle bestiole Humaine n’est pas ASSUJETTIE à ces fonctions PROGRAMMÉES……
Meme ces pensées croassantes..
Bref,une réaction dans le contexte prévus aboutit à une confirmation de sa dépendance .
Des millions d’Années qu’existe ce système (idiot)appelé UNIVERS..
Sans bestioles il se ferait chier(pas vrais ?)
Du bol que cela s’appelle vivre etre ..