Un livre pour enfants sur les démons. Gravissime

Invoquer les démons, c’est ce que conseille ce livre « A Children’s Book of démons » publié aux USA. On a jamais autant parlé des religions, et il faut prendre des pincettes avec certaines, pour ne pas « tomber » sous le coup de la loi. Par contre, quand il s’agit du catholicisme, de la chrétienté, tous est permis. Sans s’attacher aux scandales qui incriminent les représentants de l’église, les fondements de la religion chrétienne sont malmenés et ce ne sont pas les excuses qui vont effacer ce blasphème. Dernièrement sur France-Inter, Frédéric Fromet crée de nouveau la polémique durant l’émission du 10 janvier 2020 avec une chanson intitulée « Jésus est pédé« . Le respect pour les croyances ne devrait pas faire de distinction. Une nouvelle tendance voit le jour avec le « satanisme » et quand ça s’adresse aux enfants, c’est assez inquiétant. Proposé par T.C. Partagez ! Volti

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Par Notre Dame de Lourdes

Illustration/123.fr

A l’heure actuelle, la tentative de proposer le satanisme comme alternative normale aux autres cultes, aux différentes voies initiatiques, aux différentes philosophies de la vie est clairement en cours. Il va même jusqu’à dire que si le culte du diable se limite à la simple célébration du diable et que ceux qui le pratiquent ne commettent pas de crimes, il n’y a rien de mal. Cette affirmation dénote un manque de discernement entre le bien et le mal, car le satanisme a des principes qui affirment l’écrasement de la personne dans sa dignité et son autonomie et donc celui qui vénère le diable, tôt ou tard sera certainement soumis à une implication interne qui engendrera un comportement selon des principes nuisibles et destructeurs de la dignité humaine.

Une autre contribution apportée au projet néfaste de normalisation des contacts avec les démons et de présentation de la pratique du satanisme comme une chose bonne et positive, est la publication ces jours-ci, aux États-Unis, d’un volume intitulé « A Children’s Book of démons ». Ce qui est encore plus tragique, cependant, c’est que l’auteur, Aaron Leighton, s’adresse ouvertement aux enfants âgés de 5 à 10 ans, donc à un public particulièrement impuissant et conditionné.

Dans le livre « Un livre pour enfants des démons », l’auteur, interrogeant les enfants, déclare : « Invoquer des démons n’a jamais été aussi amusant. » Voici le résumé qu’il donne : « Tu ne veux pas sortir les poubelles ce soir ? » Peut-être que vous nagez dans vos devoirs ? Peut-être que ce gros tyran est une vraie nuisance ? Eh bien, prenez vos crayons de couleur et en utilisant les capacités de la conception du sceau, appelez des démons ! Mais fais attention, même si ces esprits sont plus stupides qu’effrayants, ils sont toujours des démons ».

L’auteur, sans aucune retenue, présente aux enfants l’évocation des démons comme quelque chose d’ordinaire et recommandable, les invitant à s’allier avec eux, à en profiter. Comment vous apprend-il à invoquer des démons ? En dessinant les sceaux démoniaques, symboles qui les représentent. De cette façon, les enfants reproduisent des symboles très similaires à ceux des grimoires, qui dans le monde de la magie sont des manuels, dans lesquels sont enseignées, avec des détails minutieux, les procédures nécessaires pour contacter les bons ou présumés tels esprits et mauvais esprits. …/….

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6 Commentaires

  1. Origine du satanisme et de la légende du diable
    Toutes les religions de l’antiquité ont adoré la Femme. Le Catholicisme l’avait d’abord supprimée pour lui substituer un homme. Mais, comme l’homme n’adore pas un autre homme, il en est résulté que le Catholicisme n’a été qu’une religion pour les femmes faibles, qui ont adoré le Principe mâle dans Jésus.
    Quant aux hommes qui ont voulu retrouver une satisfaction à donner à leurs aspirations religieuses, ils ont introduit dans leur religion le culte de la Vierge Marie, pour perpétuer l’antique culte de la Femme.
    Le culte de Marie se répandit plus vite que celui de Jésus, parce que Marie représentait une Déesse antique et avait un passé glorieux depuis Myriam, tandis que la légende de Jésus, avec toutes ses invraisemblances, ne pouvait être écoutée que comme une histoire sans valeur.
    Puis, dans la Gaule, déjà, on attendait la Vierge qui devait enfanter (Virgini Parituræ) ; on était donc préparé à la recevoir, mais on n’attendait pas un homme, d’autant plus qu’on voyait déjà, dans ce culte renversé des Catholiques, qui adoraient l’homme et n’adoraient pas la Femme, la cause des mauvaises mœurs qui régnaient partout et allaient prospérer.
    C’est ce renversement des facultés psychiques des sexes qu’on appelait le Satanisme.
    Donnant à l’homme la Divinité de la Femme, il y avait une apparence de logique à lui donner aussi le culte rendu à la Déesse, mais cette substitution fut grotesque et fit naître, pendant tout le Moyen Age, la querelle résumée dans l’histoire du Satanisme.
    L’Église, qui n’a jamais été qu’une société politique, n’a pas su appliquer aux besoins moraux de l’humanité les vérités profondes des lois de la Nature. Ses prêtres sont impuissants à comprendre l’antique science et le secret des Mystères.
    N’est-ce pas Voltaire qui a dit que le Christianisme, c’est l’histoire du Diable ?
    « Dieu et le Diable, dit Nicole, c’est toute la religion. »
    Or Dieu et le Diable ne sont que les symboles des deux sexes, la Déesse et le Dieu.
    « Satan, c’est l’homme à ses dernières limites de défaillance », a très bien dit M. Jules Bois dans « Le Satanisme et la Magie ».
    Comme on fait du Diable le type de la ruse, on lui attribue des déguisements, des métamorphoses. Et ce sont les plus rusés, les plus réellement sataniques qui poursuivent le Diable partout, qui le voient sans cesse autour d’eux, reflet de leur imagination. Ils le mettent dans leurs ennemis, lui donnent le nez juif, le font résider dans les synagogues, mais ils le mettent surtout dans la Femme. N’a-t-on pas vu sortir d’un frêle corps de jeune fille des légions de démons ? Leur Évangile en est plein.
    L’exagération de l’esprit de l’homme n’a pas de limites. Quand il met ce qui est en lui hors de lui, il l’amplifie jusqu’à l’infini.
    Satan est souvent appelé en grec διάβολος, le détracteur ou l’accusateur, d’où on fait le « Diable ». C’est le détracteur de la femme, son éternel calomniateur, parce que perpétuellement il lui attribue sa nature, ses vices, ses fautes. Il se blanchit en l’accusant.
    Dans l’ Apocalypse, il s’appelle aussi le « Dragon », le « Serpent », ce qui est encore emprunté aux mythologies orientales. Le verset XII – 9 l’identifie avec le serpent de la Genèse. C’est Ahriman entouré de tout un peuple d’esprits malfaisants.
    Les Israélites de Palestine nomment les démons Shedim, mot qui signifie : les puissants, les maîtres.
    Le Diable est le singe de Dieu, dit-on ; c’est l’homme qui imite la femme et prend sa place. On le représente sous des formes hideuses, symbolisant tous les aspects du mal : la laideur accompagne toujours la méchanceté. Cependant, la perversion est quelquefois logée dans de beaux hommes, mais l’expression, de la haine, de la jalousie et de l’orgueil les rendra laids.
    L’action du Diable peut s’exercer de trois manières, correspondant aux formes de l’action divine, dont elle suit tous les mouvements (puisque le Diable imite la Divinité, l’homme imite la Femme). Ces trois manières sont : la tentation (Dans les Évangiles, c’est le Diable qui tente Jésus, parce qu’on donne à Jésus les caractères divins de la Femme, ceux du Christ : Kyria), l’obsession et la possession. La femme tentée, la femme obsédée, la femme possédée, c’est la Divinité vaincue.
    C’est par le bruit, le vacarme, les apparitions effroyables, les vexations de toutes natures, la persécution sous toutes ses formes sensibles, que le Diable agit et opère.
    On lui attribue des ricanements, des cris d’animaux, des éclats de rire, des sifflements de serpent, des miaulements de chat, des coassements de crapaud, des coups frappés sur un rythme quelconque, des vociférations, bruit et tumulte.
    Le ricanement, c’est le triomphe du Diable.
    Le démon, c’est celui qui dit : non serviam, je ne servirai pas. C’est le révolté qui veut se soustraire à la loi du travail. Le premier type démoniaque fut Caïn.
    Il s’est perpétué à travers les générations.
    Le rire de Satan exprime le plaisir du mal, la joie du mensonge qui triomphe, de la ruse qui a réussi.
    La Diablerie ne fut, au fond, qu’une forme de la lutte des sexes, forme grotesque autant qu’odieuse : La signification antique des mots est restée dans le langage vulgaire. D’un homme on dira, s’il est malheureux : « c’est un pauvre diable » ; s’il n’est pas trop mauvais : « c’est un bon diable », etc.
    Les Pères de l’Église prirent le diable aux derniers Zoroastriens, qui voyaient dans les Dew des Perses des diables, ou le Mal. Et le mot evil (Mal) a pris place dans toutes les langues, c’est devil, diabolos, diable, diavolo, Teufel.
    Aux premiers siècles de l’ère chrétienne, les Diables avaient changé de nature, comme les Dieux ; ce n’étaient plus des êtres réels, c’étaient des démons surnaturels.
    Le « Saint » Père va inventer la légende du Diable, le mauvais esprit, dont il fera son ennemi, mais qui, en réalité, est son frère, ou plutôt son image, qu’il désavoue et met hors du monde. Toute son imagination fantasque va s’exercer sur ce thème et créer la Diablerie du Moyen Age.
    Ammonius le Péripatéticien, qui professait la philosophie à Alexandrie vers la fin du Vème siècle, vit le diable assister à son cours sous la forme d’un âne. Quelle philosophie pouvait bien enseigner un homme qui voyait de pareilles choses ? N’eût-il pas mieux valu laisser Hypathie continuer son enseignement ?…
    Et c’est pour laisser aux hommes le pouvoir d’enseigner de pareilles aberrations, qu’on créa des Écoles masculines.
    Nous voulons dire par là des Écoles où l’enseignement était donné par des hommes, car les femmes étaient admises partout comme élèves. Ce n’est que vers le IXème siècle que la coéducation cessera.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/fin-du-4eme-siecle-et-debut-du-moyen-age.html

  2. Bienvenue dans le retour au moyen age et aux forces obscures qui contrôlent les populations par l’obscurantisme et l’ignorance

  3. Oui inviter des démons n’est pas chose recommandable, ces entités sont biens réelles et leur but est bien évidement que vous fassiez le mal. Elles sont très intelligentes beaucoup plus que les humains et peuvent revêtir différentes formes et celui qui manque de discernement pourra facilement se laisse avoir.

    Par exemple, certains médiums pensent recevoir des messages de guides spirituels alors qu’en réalité c’est quelque chose de plus sournois qui les contactes où leur seul but est de détruire en s’insufflant de fausses informations à dessin.

    Par exemple, que Hitler était une entité divine descendu du ciel, si si j’ai déjà entendu ça et si la personne me lit, elle saura se reconnaitre, ou que dans une vie passée, telle personne a tué telle autre personne.

    Quel intérêt de raconter des choses pareilles, de plus sans preuve, si ce n’est que ces personnes sont influencés par quelque chose de malsain qui cherche à entretenir l’erreur ! Elles n’utilisent pas leur libre arbitre pour comprendre le bien et le mal et le vrai du faux et balance comme ça tout ce qu’elles entendent.

    Souvent on attribue des maladies à ceux qui entendent des voix les incitent à faire le mal et pour que ces voix arrêtent, le sujet se retrouve obligé d’obéir, mais ces personnes ne sont pas choisis au hasard, elles ont souvent des dons de médiumnités mais sont perdus et donc facilement influençables.

    • Je ne sais pas vraiment mais, c’est une incitation qui peut laisser des traces, les enfants sont très imaginatifs. On sait que quand ça se réfère aux USA, il ne faut pas longtemps pour que ça débarque chez nous. Voir déjà avec hallowen, c’est l’apologie de la sorcellerie.. 🙁 Les religions ce n’est pas mon truc, mais je pense aux esprits malléables et aux dégâts que ça peut faire..

  4. Il faut les démonter les démons … dans la démoncratie …

  5. Boarfff !!!

    Que les habitants des USA se démerdent avec tous leurs tarés.

    Entre les tenants du créationnisme qui créent des musées et des parcs d’attractions pour défendre leurs idées, et cherchent à les imposer dans les écoles ; et de l’autre des satanistes qui ouvrent des temples et publient des livres pour enfants, cela devrait surtout nous inciter à réfléchir sur la Liberté d’expression et ses abus…

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