Comment les Rothschild ont fait fortune sur le dos de Napoléon [Vidéos]..

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Source Réseau-International via Aphadolie

Napoléon Bonaparte & Nathan Mayer Rothschild / Pour illustration

Depuis la loi de 1973, dite « loi Rothschild », du nom de la banque dont était issu l’ancien président de la République, Georges Pompidou, l’État est obligé de passer par le système des banques privées pour financer son endettement.

Aujourd’hui, Emmanuel Macron, issu lui aussi de la banque Rothschild, ne compte pas bien sûr remettre en cause cette loi, préférant faire des coupes sombres dans les budgets sociaux pour réduire le déficit de l’État… Depuis 1973, le Trésor public ne peut plus présenter ses propres effets à l’escompte de la Banque de France. En clair, l’État est condamné à se financer par des emprunts, contre intérêts, auprès de banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la Banque de France.

Comment en est-on arrivé là ?

En 1973, après de 30 années de création monétaire, l’économie française était remise à flot. Dans l’esprit de l’ancien président de la République, Georges Pompidou [1], et des hauts fonctionnaires qui l’entouraient à l’époque, la France était désormais reconstruite suite aux destructions de la deuxième guerre mondiale. Il semblait donc plus aussi nécessaire de laisser persister des mécanismes qui s’étaient avérés bénéfiques pour le financement de dépenses d’investissements structurels, d’autant plus que ces mécanismes de création monétaire avaient été souvent utilisés pour financer le fonctionnement courant de l’État.

Il s’agissait avant tout d’instituer un garde-fou afin de préserver le pays de l’inflation et des dévaluations de la monnaie en s’imposant une discipline budgétaire. Il apparut souhaitable à la fois d’encadrer les dérives potentielles de l’État et de sortir d’une ère d’économie administrée en établissant un autre système de financement. Mais le problème, c’est que ces bonnes intentions finirent par faire le jeu du monde de la finance qui a vite vu l’intérêt qu’il pouvait retirer d’un système par lequel l’État devait obligatoirement passer pour emprunter.

De ce point de vue, la loi de 1973 fut également le fruit d’un habile lobbying bancaire visant à neutraliser tous ceux qui étaient favorables au système en vigueur jusqu’ici. Cette loi a été abrogée en 1994 mais après avoir été étendue et confortée au niveau de l’Union Européenne par les traités de Maastricht (à compter du 1er novembre 1993, article 104) et Lisbonne (à compter du 1er décembre 2009, article 123) que la France a appliqué à la lettre depuis cette date.

Les critiques de la loi de 1973

Contrairement à ce qu’escomptaient les initiateurs de la loi de 1973, l’endettement public non seulement s’est poursuivi mais a augmenté considérablement, l’État étant progressivement devenu l’otage d’un système financier privé. On le voit aujourd’hui en France mais aussi en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, ce ne sont plus les États qui gouvernent mais la « troïka » (Union Européenne, Fond Monétaire International et Banque Centrale Européenne) qui resserre toujours davantage son emprise financière sur les pays, notamment du Sud de l’Europe.

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8 Commentaires

  1. bonjour

    très très grosse erreur….

    les assassins ont fait fortune sur le dos des pauvres bougres qui ont cru à un pourris-tique avide de pouvoir et d’avoir..

    il en est de même avec les « religions » et leurs dirigeants….

    posons nous les bonnes questions pour avoir les bonnes réponses

  2. « Chacun a la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes. » Martin Luther King

    « Dès que quelqu’un comprend qu’il est contraire à sa dignité d’homme d’obéir à des lois injustes, aucune tyrannie ne peut l’asservir. » Gandhi

    Macron comme tous les autres n’ont aucune obligation morale d’obéir à une loi injuste à part par sou-mission, faiblesse ou complicité.

    Nous n’avons jamais vu aucun politique assez fort et assez courageux pour dire non à cette finance sans conscience et sans compassion qui mène les hommes à la baguette, alors pourquoi continuer à obéir à ça ? Nous n’avons que les chaines que nous choisissons !

    De Gaules ne voulait pas être dirigé par ces technocrates banquiers étrangers et les Français l’on laissé tombé, est-ce que l’on subirait le retour de cette naïveté collective ?

    Nous devons tous dire non à cette finance injuste qui soumet les peuples au nom du profit d’une minorité et voter pour des hommes courageux qui sont prêts à se battre contre cette finance moribond, nous devons résister à leur loi injuste quitte à faire des sacrifice mais ces sacrifices seront librement choisis, il n’y a que comme ça que nous ferons s’écrouler les tyrans.

    • « Dès que quelqu’un comprend qu’il est contraire à sa dignité d’homme d’obéir à des lois injustes, aucune tyrannie ne peut l’asservir…….sous condition qu’il soit prêt à mourir pour sa liberté »

      …Alors, prêt ?

  3. Raler et critiquer les banques, c’est une chose, mais s’inscrire a la monnaie libre est trop « risqué » alors que cela ne coûte que quelques clics de souris et une visite a une réunion qui permets de renconter des gens qui peuvent vous certifier un fois qu’ils vous connaissent.
    C’est une action qui ne rapportera pas gros mais qui permettra d’utiliser une monnaie non controlée par les gangsters appellés banquiers.
    Bizarrement les plus raleurs se taisent et font profile bas et continuent pour certains a critiquer pour le plaisir de critiquer, et tres peu, pas suffisement nombreux sont ceux qui agissent contre le sytème vérolé qu’ils prennent soin de dénigrer.

    • …Ou tout simplement, ils n’y croient pas.

      • Je ne savais pas que la monnaie était devenue une religion.
        Je pensais que c’était un outil puvant faciliter les échanges entre humains.
        Evéntuellement un outil de libération de l’asservissement des banksters.
        Mais bon, chacun chéri ses chaines.

        • Oui la monnaie est une croyance et quand elle vient à faillir cette monnaie disparaît.

          Religion ???

          def : La CROYANCE est le processus mental expérimenté par une personne qui adhère à une thèse ou une hypothèse, de façon qu’elle les considère comme vérité, indépendamment des faits, ou de l’absence de faits, confirmant ou infirmant cette thèse ou cette hypothèse.
          Ainsi, les croyances sont souvent des certitudes sans preuve.
          https://fr.wikipedia.org/wiki/Croyance

  4. en 54 il est entré chez les rothschild…. pour quitter en 58 afin de « revenir » en politique…
    Si nous avions plus de mémoire pour l’histoire, certaines erreurs auraient peu de chance de se reproduire…

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