Médecine : Quand Golliath défie David …

Il y a longtemps que je n’ai pas mis d’article de mon ami Merlin, pourtant, lui aussi s’est intéressé à la fronde contre les médecines douces et, les attaques dont elles ont été la cible. Je pense qu’il a synthétisé à merveille, ce qui s’est passé et se passe encore depuis.. Partagez ! Volti

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Auteur Merlin pour Homme et Espace

Je n’ai pas pu résister à partager cet article de Jean-Marc Dupuis issu de Sante Nature Innovation, c’est tellement criant de vérité !

124 professionnels de santé exigent, dans une tribune du Figaro du 18 mars 2018, la peau des médecines alternatives. Voir ici :

Homéopathie, naturopathie, hypnothérapie, acupuncture : ils accusent ces disciplines d’être « dangereuses », « sans aucun fondement scientifique », « nourries par des charlatans » et « basées sur des croyances promettant une guérison miraculeuse ».

Pour eux, il faut exclure les médecins qui pratiquent les approches alternatives, en leur interdisant de faire état de leurs titres de médecins ou de professionnels de santé, en interdisant tout remboursement, et en leur infligeant diverses sanctions légales, disciplinaires et financières.Cela va peut-être vous faire bondir. Mais en lisant cette tribune, j’ai souri.

Oui, cela m’a fait plaisir !

« D’abord ils nous ignorent, ensuite ils se moquent de nous, après ils nous combattent, et puis nous gagnons. » (Gandhi)

En effet, moi qui ai quelques décennies d’expérience, je me souviens de l’époque où les médecines alternatives n’avaient pas le privilège d’être attaquées par les médias.

Au mieux, on se moquait de nous. Au pire, on nous ignorait.

Être attaqués dans les journaux montre, paradoxalement, que nous sommes en train de gagner.

Nous inquiétons le pouvoir en place. Nous dérangeons de gros intérêts.

Et cela doit nous réjouir.

Rappelons cette citation très profonde attribuée à Gandhi :

« D’abord ils nous ignorent, ensuite ils se moquent de nous, après ils nous combattent, et puis nous gagnons. »

Souvenez-vous de l’époque où ils nous ignoraient complètement
Dans les années 60, à part quelques hippies avant-gardistes, plus personne ne parlait de médecines alternatives.

Tout au plus rigolait-on des « remèdes de bonne femme » (en réalité, « remèdes de bonne fame », c’est-à-dire « de bonne réputation »).

C’était l’époque où le président américain Nixon lançait sa « guerre contre le cancer » (War on Cancer, 1971). Il viendrait à bout du cancer en dix ans, promettait-il.

C’était l’époque où le vaccin contre l’arthrose, la pilule contre l’Alzheimer et le diabète, la guérison de la sclérose en plaques, étaient soi-disant à portée de main (!!).

Des plus « grands » professeurs de médecine à la simple ménagère, tout le monde croyait que la médecine « scientifique » bientôt guérirait toutes les maladies. « On n’arrête pas le progrès » était le dicton de l’époque.

Et puis patatras !

1980 : la défaite de la médecine moderne
Les années 80 furent celles de l’apparition du sida (35 millions de morts) et le début de l’épidémie de surpoids et d’obésité (2,1 milliards de personnes actuellement).

Les années 90 furent celles de l’explosion du diabète (+ 90 % en dix ans et de la dépression (+ 450 % depuis 1987.

Les années 2000, celles de l’Alzheimer (+ 100 % en 20 ans et de l’autisme (+ 657 % en dix ans).

Les années 2010, celles de la maladie de Lyme, des troubles bipolaires, des bactéries multirésistantes aux antibiotiques, du retour de la tuberculose dans les pays occidentaux, des perturbateurs endocriniens et de l’effondrement de la fertilité (un couple sur quatre dans les pays développés a des problèmes de stérilité).

Aujourd’hui, les nuages noirs sont tellement épais que les plus pessimistes commencent à prédire la fin de l’humanité en 2100…

Épidémie de cancers…

Mais surtout, ce fut l’augmentation tragique du cancer sur toute la période.

Les chiffres sont cauchemardesques.

Au début du 20e siècle, seule une personne sur vingt était atteinte d’un cancer au cours de sa vie.

Dans les années 1940 encore, ce n’était qu’une personne sur seize.

Dans les années 1970, ce fut une personne sur dix.

Aujourd’hui, c’est une personne sur trois !!

Vous comprenez pourquoi ils attaquent maintenant

À toutes ces épidémies nouvelles que je viens de citer, il faut ajouter les scandales pharmaceutiques qui se multiplient (pilule cancérigène, Médiator qui abîme le cœur, Buflomédil, Vioxx, Dépakine…), les déserts médicaux, la crise hospitalière, les déficits qui se creusent, les accidents liés aux médicaments (15 000 morts par an).

Le tableau général de la médecine moderne est aussi sombre que ces « trous noirs » dans l’espace qui absorbent et font disparaître tout ce qui est à leur portée.

Budgets pharaoniques, personnel pléthorique, médicaments à la tonne, appareillage toujours plus sophistiqué, hausse du nombre de lits, inflation réglementaire, informatisation des systèmes, surmédicalisation à outrance : aucun moyen matériel ne suffit à endiguer la marée montante de la catastrophe sanitaire qui s’abat sur nous collectivement.

La médecine moderne était dans une impasse depuis deux décennies déjà. Actuellement, sous nos yeux, elle se fracasse contre la réalité comme un TGV lancé à pleine vitesse sur un mur en béton armé.

Alors, bien sûr, cela déclenche des réactions désespérées. On cherche des boucs émissaires. Il faut un coupable à brûler en place publique. C’est indispensable pour détourner l’attention, décentrer le débat !!

Et comme toujours, le plus facile, le moins risqué, est de s’en prendre à celui qui ne peut pas se défendre !!

Le thérapeute, l’homéopathe, l’herboriste, le naturopathe, le fabricant d’huiles essentielles dans son champ de lavande et de verveine…

Celui qui vit déjà dans la crainte constante du procès. Celui qui n’a aucune entrée au ministère de la Santé. Celui qui n’a pas à ses côtés le puissant « Ordre des médecins » pour le défendre. Celui qui ne prend pas la carte Vitale.

Celui qui n’a aucun budget de recherche, qui n’est pas invité dans les luxueux colloques de l’industrie pharmaceutique, et encore moins à la télévision. Celui qui doit se débrouiller comme il peut avec sa paperasserie et des revenus dérisoires dans son petit cabinet.

Celui qui n’a pas le temps de faire des ronds de jambe dans les bureaux ministériels. Celui qui n’a aucun relais au gouvernement. Celui qui n’a aucun lobbyiste professionnel à Bruxelles à son service. Celui qui ne reçoit aucun cadeau à Noël des visiteurs médicaux.

Celui que les journalistes « allument » déjà régulièrement dans leurs colonnes, par facilité, pour donner à bon compte l’illusion à leurs lecteurs d’être offensifs et courageux (alors que s’en prendre aux plus faibles est, au contraire, un signe de lâcheté…).

Les lignes bougent, les murs tremblent
Alors voilà.

Quand les puissants sentent le besoin de se déchaîner contre les petits, c’est que les petits n’ont pas su rester dans la case où on les avait mis.

Les petits sont sortis des limites qu’on leur avait assignées. Ils font trop de bruit. Ils sont trop nombreux.

Ils font bouger les lignes. Ils font trembler les murs.

La nécessité se fait sentir d’essayer de leur faire peur, pour qu’ils retournent se cacher dans leur trou.

Cela marchera-t-il cette fois-ci ?

Je suis persuadé que non. Nous sommes maintenant trop nombreux. Nous sommes en train de devenir les plus forts.

La tribune du Figaro a d’ailleurs relancé la grande pétition pour dire « Non au déremboursement de l’homéopathie », qui est en train de dépasser les 200 000 signatures (signez-la vite si ce n’est pas déjà fait). Pétition 

Malhonnêteté évidente…

Surtout, les citoyens se rendent compte de la malhonnêteté des médias et ne leur font plus confiance.

Quand Le Figaro accorde une pleine page à 124 médecins et professionnels de santé qui dénoncent les médecines alternatives, alors qu’il n’a pas consacré une ligne, un mot, aux 8 500 médecins et professionnels de santé qui ont signé l’Appel à la raison des professeurs Joyeux et Montagnier au sujet des vaccins, il révèle au grand jour sa vraie nature. Voir ici 

Pour conclure je reprends le début de l’article du Figaro, qui en faisant une lecture en miroir, finalement se retourne contre lui :

Le serment d’Hippocrate est l’un des plus anciens engagements éthiques connus. Il exige du médecin d’offrir les meilleurs soins possibles et de la façon la plus honnête. Ces deux exigences lui imposent de chercher sans cesse à améliorer ses connaissances et d’informer ceux qui font appel à ses soins sur ce qu’il peut raisonnablement proposer, ainsi que sur ce qui est inutile ou contre-indiqué. Il est facile et valorisant d’afficher son savoir. Il est bien plus difficile d’expliquer et d’accepter ses limites…

…/…

**La conclusion de l’article est logique**

Ainsi, l’industrie pharmaceutique génère des profits considérables, souvent au mépris de la santé des patients.

A ce propos, combien de scandales et de morts avec les huiles essentielles, ou l’acupuncture, la phytothérapie,  la naturopathie, la sophrologie, ou avec les compléments alimentaires à base de plantes etc ?

Lire l’article complet

Merlin pour Homme et Espace

9 Commentaires

  1. Merci Volti de continuer à diffuser ses infos qui ne plaisent pas à certains, tellement ils ont peur de voir une vérité différente de la charlatanerie qu’on impose dès le plus jeune âge.
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif

  2. Et qu’en est-il des liens d’intérêts non déclarés entre ces médecins appelant à la fin des médecines douces et les labos pharmaceutiques ? Ils ont souvent la mémoire courte et pourtant la loi les oblige à les signaler. Quant au conseil de l’ordre… je préfère ne rien en dire.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_negative.gif

  3. Déjà le serment d’Hippocrate n’est plus exigé en fin d’études, cela en dit long ! on ne fait plus prêter serment aux jeunes médecins car on sait très bien que par la force de la pression pharmaceutique ils ne pourraient le tenir, d’une part, et de l’autre, la médecine allopathique actuelle est tellement bornée qu’il en va de même.

    Ensuite pour répondre à Rainette il y a une façon de savoir combien reçoit des labos et autres votre toubib préféré. C’est sur le Net, je l’ai consulté par curiosité, mais je ne sais plus où on trouve ce renseignement, je vais me renseigner à ce sujet si la personne qui me l’avait indiqué s’en souvent elle-même !.

    Il y a déjà ceci : https://www.capital.fr/economie-politique/les-laboratoires-pharmaceutiques-qui-arrosent-le-plus-les-medecins-et-les-medecins-les-plus-arroses-1020396

    Je crois que c’est ça mais je n’en suis pas sûre.

    https://www.transparence.sante.gouv.fr/flow/rechercheBeneficiaires?execution=e3s1

  4. Toujours est-il que les études ont montré que l’homéopathie ne fait pas mieux qu’un placebo.

  5. Pourquoi aller voir le médecin quand les enfants sont malade ? une simple pullule de sucre doit pouvoir faire l’affaire non? effet placebo !

    Quelle économie !
    Et si vous avez une cystite la même pillulle en jaune ça marche surement mieux !https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif
    moi ça fait 65 ans que l’homéopathie marche pour moi alors l’effet placebo y a longtemps que j’en ai fait ma part !
    Mais pour ceux qui n’y « croie » pas à eux de faire pareil !https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

  6. Ils vont finir par déclarer la guerre « sanitaire » au pays asiatiques ces tarés de toubib ….
    c’est eux les charlatans par conflits d’intérets.
    Ils dépassent les bornes du respect « au naturel »…donc contre-nature, donc a tendance génocide.

  7. Douleurs cervicales et lombaires. 6 vertebres légèrement déglinguées suite a accident de moto.

    Izalgi, Lamaline (poudre d’opium), patch a base de fentanil (anesthésique), Acupan, effets nul, sauf la désagréable sensation d’être shooté qui n’est pas une simple vue de l’esprit.

    Huiles essentielles efficaces a 95 % reste toujours une legere gene.

    Effets réel, pas d’effet placebo. J’ai choisi mon camp.

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