Que pensez vous de l’édito de Charles Sannat à qui nous souhaitons une bonne rentrée ? S’il a raison et que Trump intervient, je me demande ce que feront les européïstes/mondialistes convaincus. Partagez ! Volti
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Auteur Charles Sannat pour Insolentiae
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Vous m’avez manqué, et même si la coupure du mois d’août est salutaire, je suis très heureux de vous retrouver pour cette rentrée qui s’annonce chargée et va nous donner de bien nombreux sujets de débats passionnés et passionnants.
Dans la touffeur estivale, et je vous réserve quelques surprises, il est une information fondamentale à analyser, et c’est évidemment celle qui a trait à l’Italie.
L’Italie donc, pays surendetté et dépendant de l’Europe, du soutien de la BCE, de la Commission européenne. L’Italie, un pays soumis par sa faiblesse budgétaire aux européistes mondialistes qui dirigent l’Europe.
De l’autre, un gouvernement italien qui souhaite mener une politique nettement plus souverainiste, aussi bien sur le plan de la crise migratoire que désormais sur les sujets économiques. Dans un premier temps il était évident que les problématiques sécuritaires et immigrationnistes tiendraient le haut du pavé, notamment parce que contrairement à ce que l’on veut bien faire croire, maîtriser les flux migratoires est nettement plus facile que de mettre en œuvre une politique économique cohérente dans un monde ouvert..
Pourtant, le gouvernement italien va devoir faire son nouveau budget et sera bien contraint et forcé d’aborder les sujets économiques, et de les affronter.
L’Italie menacée. Soyez obéissants ou vous serez ruinés !
Acte 1 de cette guerre à mort entre les souverainistes (appelé nationalistes ou aussi fascistes pour les besoins de la propagande étatique) et les europathes mondialistes, les menaces à peine voilées des instances européennes à l’Italie qui se matérialisent rapidement au cœur de l’été par une montée du « spread » sur la dette italienne. Pas de panique. Le spread, c’est le mot savant et incompréhensible pour parler d’un truc simple qui se nomme « écart de taux » en français compréhensible par les sans-dents que nous sommes.
Le « spread » ou l’écart de taux, c’est la différence par exemple entre le taux auquel emprunte la France et celui auquel emprunte l’Italie. Si la France emprunte à 2 % et l’Italie à 4, on dira que le spread est de 200 points de base… Oui, on ne va pas dire qu’il est de 2 points, vous pourriez comprendre. Pour être sûr que vous ne suiviez pas, et vous faire croire que vous êtes des imbéciles avec un QI d’huître, on parle donc de point de base… Pourquoi faire simple quand on peut faire trèèèès compliqué !
Bref, les institutions européennes, les gouvernements européistes font passer le message que si l’Italie n’est pas gentille, ils la laisseront tomber… Du coup, comme il faut bien que nos amis transalpins puissent financer leur dette sans risquer la faillite, ce serait mieux que les taux restent très bas… Sinon, gros problèmes en vue.
Acte 2… Trump lance sa cavalerie avant qu’il ne soit trop tard !
Ainsi, Les Échos titrent en plein cœur du mois d’août que… « Trump propose de voler secours de la dette italienne » !
Selon le quotidien économique, « le président américain aurait offert au Premier ministre italien d’acheter des obligations d’État transalpines pour aider le pays à se refinancer.
Et si les États-Unis finançaient l’Italie en rachetant sa dette ? Ce serait la proposition délirante faite par Donald Trump à Giuseppe Conte selon les confidences du Premier ministre italien à quelques officiels transalpins.Le Corriere della Serra, qui rapporte l’information, explique que cette offre a été faite par le président américain, il y a trois semaines, lors d’une visite du chef du gouvernement transalpin à Washington. Les achats américains débuteraient l’année prochaine, selon le journal. Ils prendraient en quelque sorte le relais de la BCE qui cessera son programme d’achat de dette fin décembre »…
En proposant cela, évidemment Trump coupe l’herbe sous le pied des européistes de Bruxelles et supprime tout moyen de pression et de rétorsion économiques à l’égard de l’Italie.
L’Italie de Salvini serait ainsi libérée du chantage par l’Amérique de Trump.
Et Les Échos de rassurer nos europathes à bon compte.
« L’hypothèse a fait bien rire Jan Von Gerich, stratégiste en chef chez Nordea Bank, interrogé par Bloomberg. Il ne voit en effet pas comment les États-Unis pourraient intervenir, puisqu’ils n’ont pas de portefeuilles leur permettant d’acheter la dette italienne. Tout au plus, Donald Trump pourrait inciter les investisseurs américains à acheter des obligations transalpines. Mais il est difficile d’envisager que les volumes soient suffisants pour vraiment influer sur les taux italiens. Et inverser la tendance actuelle : les fuites de capitaux atteignent des niveaux records, comme le montrent les chiffres de la Banque d’Italie et de la BCE en juin »…
Sauf que ce qui me fait bien rire, c’est la bonne rigolade de Jan Von Gerich ! Cet analyste oublie juste un détail. Pour que les choses soient possibles, il suffit généralement de changer simplement la règle du jeu.
Rien techniquement n’empêche Trump de faire racheter la dette italienne par le trésor US, ou via la FED dont tout le monde connaît le degré d’indépendance.
Trump affirme, par ses actions et ses choix politiques, la primauté des décisions politiques sur l’économie. Les décisions politiques s’imposeront toujours aux acteurs économiques.
Trump a déjà annoncé, et de la façon la plus claire, qu’il voulait renverser Macron et Merkel, leur savonner la planche et faire monter les souverainistes européens. Quand Trump dit quelque chose, il ne faut pas l’ignorer, mais plutôt le prendre sérieusement en considération.
Trump fait « bien rire » depuis son élection « impossible ». Il n’en reste pas moins que depuis son accession à la Maison Blanche, il change considérablement la politique mondiale. On parle même aujourd’hui du retrait des États-Unis de l’OMC ! La démondialisation est menée par les États-Unis.
C’est une véritable guerre, et le champ de bataille italien est celui des prochains mois.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles SANNAT pour Insolentiae
Voir :
Il est bien gentil Trump mais avec la dette abyssale de son pays, sa me fait rire ! Il ferait mieux de s’occuper de son peuple.
Aux Etats-unis, des millions d’Américains sont « aussi pauvres que les plus pauvres du monde »
http://www.slate.fr/story/156847/americains-pauvres-dons
Trump a toujours annoncé la couleur, il veut la peau de l’Europe.
De fait, il financera tout ce qui permettra de déstabiliser l’Europe.
Il faut maintenant bien comprendre une bonne fois pour toutes que les US ne sont plus des alliés.
Ils furent de la famille, puis des cousins, vaguement des amis, mais maintenant ils ont décidé de nous faire la peau.
Il faut vraiment que l’Europe se mette en ordre de marche, et de manière très simple : Défense & Energie.
Ce sont les deux seuls fédérateurs indispensable à notre indépendance.
Tout le reste en découlera, social, économie, culture et tout le tintouin…
Les US n’ont pas vraiment été des alliés.. enfin si au sens des accords, mais pas dans les faits !
Pour les US, seuls les intérêts des US priment sur le reste du monde et tous les moyens sont bons.
Qu’ont fait les US pour la France ?
Mais le débarquement pour tous sauver est surement la 1ere chose que pensent les braves gens, sauf que….
Sauf que, ce sont les US, entre autres, qui ont financé et mis en place Hitler dont l’objectif était d’attaquer la Russie. (chaque camp de concentration servait a fournir de la main d’oeuvre gratuite aux usines américaines situées juste à coté. )
Sauf que Hitler a fini par déclarer la guerre aux US, donc ils (les US) leur faudra bien arrêter leur marionnette qui leur échappe…
Sauf que lorsque les US débarquent sur les cotes Normandes, ils ont dans leurs cartons des nouveaux billets pour prendre l’économie de la France et l’intention d’installer des bases militaires, etc etc.
C’est grâce a la résistance et surtout à De Gaulle que cela ne sera pas fait.
C’est de Gaulle qui rapatriera l’or de la France des US:
https://www.geopolintel.fr/article525.html
Mai 68 n’est que le moyen de virer De Gaulle qui était contre la séparation de l’or et du dollar.
avril 69 demission de De Gaulle.
aout 1971 l’or et le dollar sont séparés par Nixon.
Depuis, les US achètent a credit, la planche a billets, le monde sans contrepartie tangible.
Le Dollar est notre monnaie et votre problème disent ils.
Ils sont sympa nos alliés.
Quand a l’UE, ce n’est qu’un instrument, un moyen d’affaiblir les pays qui la composent et de les faire obéir aux marchés (banques) et multinationales, dont les US sont les 1er bénéficiaires.
Le seul objectif des US est d’être les plus fort et d’utiliser TOUS les moyens de pression possible pour y parvenir.
Tous les accords de libre échange ont pour but de faire plier les nations et de renforcer les multinationales, de fait payer les peuples pour le plus grand bénéfice de ceux en haut de la pyramide, ceux dont on ne parlent jamais.
La vraie question qui se pose…
Ne serait ce pas la City qui veut la peau de l’UE?
Je ne crois pas, LA City, qui est la plus grosse place financière du monde, et la plus grande blanchisseuse besoin de la libre circulation des biens et de la finance pour rester le maitre en la matière.
(Je ne parle pas de la BRI qui est un échelon au dessus )
Quasi tous les paradis fiscaux sont des anciennes colonies british qui sont reconvertis en aspirateur de finance pour alimenter la City,
Firewall – En défense de l’Etat-Nation
https://www.dailymotion.com/video/x50ixh
https://www.dailymotion.com/video/x6rclo
1932 – le Système Américain contre l’Empire Britannique
« La vraie question qui se pose…
Ne serait ce pas la City qui veut la peau de l’UE? »
Les peuples!? ^^
Nation souveraine, un peu comme l’Irak, jadis… Sifflote.
« Soyez obéissants ou vous serez ruinés ! »
Cette menace était celle du FMI à l’Argentine … l’Argentine a suivi toutes les recommandations (chantages) du FMI … jusqu’à la banqueroute en 2001 !
Cette menace a été faite à la Grèce quand elle est « entrée en crise » en 2008. Son taux d’endettement était alors de 169% de son PIB.
Depuis, la Grèce a a suivi toutes les recommandations (chantages) de la Finance. Aujourd’hui, on nous explique que la situation de la Grèce s’est grandement améliorée … son taux d’endettement « n’est plus que » de 178% !!!
Règle N°1 : ne jamais faire confiance à la Finance !
Règle N°1 : ne jamais faire confiance à la Finance « France » ! 😉
Oups.
Lol c’est risible, lagarde est la soumise de sarko et hollande, Mais la seule à communiquer en anglais.
Depuis le viol de DSK, » c’est dsk la victime, le pauvre, via le gabarit du truc AMERICAIN » , il ne reste plus grand chose.
Micron le young leader en est la preuve, comme les autres.
Ils ne valent rien, ça date de rome… Protectorat!
Étonnamment, les fiottes de l’UPR n’en parlent pas.
😉