Sujet tabou mais, il devient évident qu’il y a vraiment un énorme problème à ce sujet partout en Europe. Bien que minimisé, et les exactions souvent passées sous silence, on ne pourra pas cacher la poussière sous le tapis longtemps. Chez nous en France, le regroupement familial pour humaniste qu’il soit, sans accompagnement et, en mettant tous les immigrés dans des cités HLM, ne pouvait conduire qu’à les inciter à recréer ce qu’ils avaient quitté en se regroupant par ethnies. C’est » par décret du 29 avril 1976, que le regroupement familial fut rendu légal, et institutionnalisé, par le président Valéry Giscard d’Estaing, son premier ministre Jacques Chirac et le ministre du Travail Michel Durafour. Le texte veut, pour des raisons humanitaires, rapprocher les familles séparées des deux côtés de la Méditerranée. » (Wikipédia).
La récente loi anti immigration votée par le parlement, ne dissuadera pas les candidats à l’exil. Les ONG la conteste ainsi que l’ OFPRA, mais il va bien falloir agir avec fermeté.
Un pays qui passe son temps à réduire les droits de ses propres citoyens, ne peut favoriser de nouveaux venus qui sont déjà, et seront livrés à eux mêmes avec le risque qu’ils puissent recourir à des moyens illégaux pour survivre. La situation économique ne permet pas de mettre les moyens nécessaires à un accueil et une intégration, dignes de ce nom. Comment sortir de cette situation cornélienne, engendrée par des décisions plus que discutables en matière géopolitique, obligeant les français à en subir les conséquences ? Puisque pour décider on regarde toujours ce que font les voisins, est ce que le gouvernement danois a pris les bonnes décisions et, devrions nous faire de même ? Merci ConscienceU12. Partagez ! Volti
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Source RT
Baisse des allocations pour les réfugiés, peines de prison doublées, éviction des criminels des cités, crèche obligatoire : le gouvernement danois veut éliminer les ghettos d’ici 2030 grâce à 22 mesures radicales
Eradiquer les «ghettos ethniques», selon la formule du gouvernement danois, c’est l’ambition des 22 mesures drastiques visant la population d’origine étrangère dans des quartiers dits sensibles.
Ce plan est intitulé Ét Danmark uden parallelsamfund – Igen ghettoer i 2030 («Un Danemark sans sociétés parallèles : plus de ghettos en 2030»). Si le projet, voté le 28 mai dernier au Parlement danois, entre dans la ligne de la coalition de centre droit composée de libéraux et du Parti populaire conservateur anti-immigration, il a également reçu l’aval des sociaux-démocrates.
Son objectif : lutter contre la délinquance, la criminalité et parvenir à la mixité sociale dans les quartiers à dominante immigrée de ce petit pays de moins de six millions d’habitants. Le rapport note que trop de personnes ne «participent pas activement» à la société danoise, avec pour conséquence le surgissement de «sociétés parallèles» dans un contexte «non occidental», qui menacerait leur «société moderne». En ligne de mire notamment, les populations immigrés extra-européennes de culture musulmane.
Poser le problème du ghetto
Le Premier ministre libéral, Lars Lokke Rasmussen, revendique une forme de lucidité face aux problèmes posés par l’intégration, suite à l’échec de plans successifs. Le Danemark a procédé de manière inédite, en choisissant de donner une définition du ghetto – c’est le seul pays en Europe à le faire. Selon eux, il se caractérise notamment par un taux de 50% d’habitants d’origine non occidentale, par un pourcentage élevé de criminalité, un fort taux de chômage et de faibles revenus. Le rapport en a recensé 25 dont 16 particulièrement difficiles, agrégeant au total une population de 60 000 habitants. Le Premier ministre a commencé à présenter ces mesures dans un de ces ghettos, Mjolnerparken, en mars dernier. En voici les grandes lignes.
Réduire la part des enfants immigrés à l’école à 30%, jouer sur les pourcentages
La proportion d’enfants immigrés sera limitée à 30% dans les collèges et les lycées. Pour cela, un service de bus sera organisé pour acheminer les enfants d’immigrés dans des lycées de zone plus favorisées. Dans une optique de jeu comptable, les mesures prévoient également de limiter la proportion d’habitations à loyer modérés à 40%, le reste du parc immobilier devenant des habitations privées. Le ministre libéral Ole Birk Olesen a affiché sa détermination à imposer ce quota. Considérant la politique du tout HLM comme une «erreur du passé», il n’hésite pas à clamer que si l’objectif n’est pas atteint, l’Etat «vendra ou démolira les immeubles», selon des propos rapportés par Le Point.
Baisser les allocations destinées aux réfugiés
Jusqu’ici, le régime d’allocations à destinations des populations réfugiées était l’un des plus privilégiés d’Europe. Les nouveaux arrivants touchaient une allocation et des cours de danois leur étaient dispensés gratuitement. Ils pouvaient suivre des stages rémunérés sur une durée de plusieurs années avant que leurs allocations ne cessent de leur être versées. Désormais, ils seront obligés de chercher activement un emploi dans les 15 jours suivant l’octroi de leur statut de réfugié.
Les allocataires choisissant d’emménager dans les ghettos verront aussi leurs versements diminués.
S’attaquer à la criminalité , neutraliser les délinquants
Pour dissuader les délinquant de s’adonner à des pratiques illégales, l’Etat compte autoriser à condamner dans certains cas deux fois plus lourdement les habitants des ghettos en cas de délits ou de crimes. Une des mesures interdira par exemple aux personnes détentrices d’un casier judiciaire l’accès à un logement social dans les quartiers sensibles.
Assimiler les enfants coûte que coûte
Une des mesures phares du plan consiste en l’obligation pour les étrangers d’inscrire leurs enfants à la crèche dès l’âge d’un an, afin qu’ils apprennent la langue et les valeurs danoises, alors que les enfants des Danois eux-mêmes n’y seront pas contraints. Une assimilation au forceps, dont l’esprit se retrouve également dans des cours obligatoires ou des tests pour vérifier le niveau de langue. Les absences à l’école ou aux examens pourront être sanctionnées par des baisses d’allocation parentale.
Les parents ne seront pas autorisés à envoyer leur enfant dans leur pays d’origine pour les détourner de l’éducation danoise ou les marier. Les contrevenants s’exposeront à une peine de quatre ans de prison.
Des budgets pour la rénovation urbaine figurent aussi au programme, des effectifs de police seront renforcés et les municipalités qui atteindront les objectifs du plan seront récompensés.
Un plan radical qui fait presque consensus
Ce plan drastique a rencontré peu d’opposition dans un paysage politique marqué par un net virage anti-immigration. Le Danemark avait tout d’abord largement ouvert ses portes en 2015 à une grande vague de réfugiés et mis en place un statut qui leur était très favorable. Le gouvernement avait rapidement fait machine arrière et le parlement avait voté en trois ans 70 mesures pour décourager les candidats à l’immigration, notamment en restreignant l’application du droit d’asile et les possibilités de regroupement familial, ou en adoptant une mesure controversée : la confiscation de leurs biens à leur arrivée.
Le pays est confronté à l’islamisme radical depuis 2005 et l’affaire des caricatures de Mahomet. Le Danemark a ensuite été marqué par deux attentats islamistes à Copenhague en 2015 dans lequel deux personnes avaient trouvé la mort. Les scores du Parti populaire anti-immigration avaient bondi à l’époque : ils ont obtenu 21 % aux élections législatives de juin 2015.
Source RT-France
Merci pour cet article.
La situation est devenue si grave qu’il serait temps que les pouvoirs en place s’organisent pour protéger la population et prenne des mesures pour stopper cette véritable invasion qui se fait maintenant « de force », et en violence. Ce n’est plus acceptable….
LE MONDE | 27.07.2018 à 13h41 • Mis à jour le 27.07.2018 à 14h01
Plus de 600 migrants franchissent la clôture de Ceuta en faisant des blessés :
De la chaux vive et des excréments contre les policiers. Jeudi 26 juillet, plus de 600 migrants africains ont réussi à entrer dans l’enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc.
Avec Melilla, la ville est l’une des deux seules frontières terrestres entre l’Afrique et l’Union européenne.
Pour les migrants, y pénétrer est l’une des rares façons de pouvoir déposer une demande d’asile auprès de l’Espagne.
Une fois sur le territoire, les migrants ont laissé éclaté leur joie. Ils se sont ensuite rendus au centre de rétention de l’enclave espagnole, déjà en surcapacité.
Cent trente-deux migrants et vingt-deux agents de sécurité ont toutefois été blessés.
Vidéo :
https://www.lemonde.fr/europe/video/2018/07/27/plus-de-600-migrants-franchissent-la-cloture-de-ceuta-en-faisant-des-blesses_5336718_3214.html
L’Etat n’agira probablement pas dans le bon sens, ou alors tellement tardivement que la situation sera devenue totalement ingérable et son action sera nulle.
Que peut faire chaque citoyen ? rien à ma connaissance au moins dans l’immédiat et encore faudrait-il qu’ils soient tous d’accord, car de plus en plus veulent aider les migrants. Cela peut se concevoir au point de vue humanitaire car il est vrai que leur situation est terrible, sauf pour ceux déjà bien installés, mais ce n’est malheureusement pas la bonne façon d’agir car entraînant encore plus d’arrivées.
L’Etat n’a pas pris conscience dès le départ de ce que son accueil, puis son laxisme, allaient engendrer par la suite. je crois qu’il faudrait bander les yeux de Marianne car elle est vraiment aveugle !
bonjour
les grands fléaux de l’humanité
les religions…..les banksters…les pourritiques…ainsi que leurs complices…..
et ceux qui les mettent en place ! cela en fait du monde ! donc nul n’est tout à fait blanc, soit par son passé, soit par son présent !
bonjour GP
entièrement en accord
les complices (ceux qui les mettent en place sont compris dedans..ceux qui travaillent pour ces messieurs..et quatera…)
Des communautés qui vivent en ghetto,c’est à dire qui font de leur quartier un coupe gorge,sont inassimilables par nature.Elles n’ont rien à faire au Danemark.
Cela signifie qu’un pays est capable de fixer une limite à l’inacceptable et de prendre des mesures qui s’imposent, peut-être pas les bonnes, mais avec la volonté de sécuriser les citoyens et de redéfinir clairement les règles dans un langage accessible aux moins réceptifs. Maintenant tout n’est pas réglé, on est peut-être mieux loti dans les prisons danoises qu’à mendier dans certains quartiers africains puisque ces communautés ont officiellement fui des situations très difficiles.
« Pour décider, on regarde toujours ce que font les voisins »…
Mais regarde-t-on ce que l’on fait AUX voisins ?
Question cruciale : des mesures domestiques, aussi féroces soient-elles, sont-elles adéquates (on remarquera, dans le plan danois, le déni total — nonobstant des problèmes sociaux-économiques — des droits humains les plus fondamentaux ; preuve s’il en est que dans ce contexte, la « solution » est de commencer par « déshumaniser » le « migrant ») ?
L’article mentionne — fort à propos, encore que sans creuser — l’origine géopolitique de ce que l’on a pris l’habitude d’appeler la « crise migratoire ».
Ne conviendrait-il pas de commencer par exposer les énormes erreurs géopolitiques qui constituent ensemble la cause de ce phénomène ; et les corrections nécessaires de ces politiques prédatrices ?
Parbleu, a-t-on jamais vu la dégradation totale des conditions de vie des humains, en un espace géographique donné, ne point engendrer leur migration ? Il ne fallait justement pas confondre réalité géographique (la grande proximité de l’Europe et de l’Afrique) et utopie politique (une Europe autocentrée et aussi étanche que possible aux conséquences de ses actes de prédation en Afrique).
L’on pense bien entendu à la culpabilité totale de l’Europe et de ses alliés dans la destruction récente de nation libyenne et dans la déstabilisation de tout le Sahel et du Maghreb. Ne parlons pas des destructions économiques et politiques imposées de surcroît depuis des siècles — en toute bonne conscience des Européens ! — à toute l’Afrique subsaharienne.
Ce que je veux dire, c’est que se réjouir du traitement naïf des effets, à l’économie de celui des causes mentales a tout de la plus grande sottise.