Codex Alimentarius : quand Big Pharma nous tient…

Cela fait des années que nous dénonçons cet « outil normatif » qu’est le Codex Alimentarius, censé nous montrer les « bonnes » pratiques alimentaires. Je vous avais proposé en 2012 « Aux sources du Codex Alimentarius, l’histoire inconnue de la naissance du Trust Mondial de la Pharmaco-chimie… »

Notre alimentation est de plus en plus dégradée. L’appauvrissement  exponentiel des populations, est aussi un facteur de consommation d’aliments de qualité inférieure, ultra transformés, bourrés de sucre, sel, additifs etc. résultat l’obésité est « une épidémie mondiale organisée« . Alors qu’il est écrit:

Nous ne savons pas ce que l’avenir nous réserve mais il est certain qu’il faudra prendre des mesures relatives à la sécurité sanitaire des aliments et que, lorsque celles-ci seront prises, il faudra respecter les normes harmonisées et reconnues au niveau international, qui auront été élaborées par consensus et sur des bases scientifiques. Voilà ce que le Codex sera.

Source http://www.fao.org/fao-who-codexalimentarius/fr/

A lire l’accueil du site, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Le 25 septembre 2015, des pays ont adopté un ensemble d’objectifs visant à mettre fin à la pauvreté, à protéger la planète et à assurer la prospérité pour tous. Comment le Codex contribue-t-il à la réalisation de ces objectifs? [… plus]

Jimmy, revient sur ce sujet que personne ne devrait ignorer et reprend, ce que j’ai déjà publié en 2014. Tenez compte de ce rappel. Le Codex Alimentarius veut uniformiser la nourriture, et pas pour notre bien. Il faut savoir ce qu’il contient pour refuser cette dictature, car c’en est une, et de taille. Additifs, rajout de vitamines, viande synthétique et OGM etc… C’est la porte ouverte à la bouffe de laboratoire… Présentement, il est question de dérembourser l’homéopathie, les herboristes diplômés, n’existent plus. Les plantes qui soignent sont menacées de part ces « normes ». Bientôt plus de jardins? Tous aux végétaux, morts, pesticidés et OGMisés des trusts agro-alimentaire?

Terraponia vous fait part d’un justissime article issu de la Gazette des Insoumis (Mars 2010, N°4) portant sur le Codex Alimentarius. Souvent méconnu, ce programme est pourtant au cœur de toutes les mesures alimentaires depuis plus d’un-demi siècle.

« D’après le programme pré-établi par la FAO (Organisation des Nations unies pour l’Alimentation et l’Agriculture) et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), le Codex Alimentarius est entré en vigueur le 31 décembre 2009 dans toute l’Union européenne. Créé en 1963, il fût mis en œuvre grâce à une commission non-élue désignée par l’ONU. Ce qui se voulait banal et sécurisant, est en fait un monstrueux outil à briser un peu plus nos libertés. Celle de se nourrir, celle de se soigner ou tout simplement celle de rester en bonne santé. Historiquement, et selon certaines sources, il existe la preuve de liens unissant l’empire Rockefeller à des industries pharmaco-chimiques et agro-alimentaires comme BASF ou BAYER qui sont, en fait, les descendants de la firme IG FARBEN, fleuron de l’entreprise nazie.

Voyons ce qu’il en est réellement :

  • BASF est le premier fabricant mondial de produits chimiques, grand spécialiste de matières plastiques en tout genre. Sentant le vent tourner, la firme propose désormais à la vente des éoliennes et des panneaux solaires. Mais c’est aussi le deuxième fabricant mondial de vitamines, qui vient d’obtenir récemment et pour la première fois l’autorisation de mise sur le marché d’une patate transgénique “Amflora” introduite dans l’alimentation animale.
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  • BAYER (fournisseur patenté du zyklon B durant la seconde guerre mondiale) est le troisième fabricant d’engrais dans le monde et le premier fabricant de médicaments en Allemagne. A terme, l’application du codex alimentarius entrainera, sur simples décrets, un durcissement progressif des normes, une suppression de tous les suppléments alimentaires, de toutes les herbes médicinales, de toutes les vitamines et minéraux, de tous les remèdes homéopathiques, de tous les acides aminés et de tout autre remède naturel. Ces derniers ne seront alors délivrés que sur prescription médicale, assurant un complet monopole aux laboratoires pharmaceutiques. C’est déjà le cas dans des pays tels que la Norvège et l’Allemagne, où ces produits sont sous-dosés et hors de prix.
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  • Une autre application du codex imposera l’irradiation de la totalité des fruits et légumes et des viandes ainsi que la chloration de la totalité des produits de la mer. Tout ceci au prétendu nom de la sécurité alimentaire, on dénature les denrées en leur faisant perdre une grosse partie de leurs qualités nutritives, avec comme conséquence une mauvaise santé générale de la population et une addiction toujours plus forte aux médicaments.
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La boucle est bouclée, y’a plus qu’à passer à la caisse ! L’heure est grave et il est grand temps de réagir ! ».

Auteur Jimmy pour Terraponia

 

4 Commentaires

  1. Bayer, celui qui demandait l’envoi de femmes venant des camps de concentration pendant la guerre pour ses expériences « nous avons besoin de 20 femmes (ou 30 ou 40) en bonne santé… avec les mêmes conditions » dégue !!!

    Pour l’instant, et avant que les conditions se durcissent encore cultivons nos jardins, enfin pour ceux qui ont la chance d’en avoir, nos terrasses ou balcons si c’est possible, et pour les autres achetons bio au maximum et surtout pas dans les GS où le bio est plus que douteux !
    Après on avisera et improvisera selon les circonstances …

  2. Quand ici, ou ailleurs, certains suggèrent de revenir au plus vite à une nourriture saine pour espérer rester en vie et en bonne santé, en devenant, si possible, producteurs d’une partie de notre alimentation en recréant des potagers nourriciers; quand d’autres martèlent à juste titre qu’il faut soutenir de toute urgence les « petits » producteurs, éleveurs, maraîchers ou permaculteurs locaux qui ont choisi de vous offrir une nourriture de saison exempte d’intrants chimiques, et bien on se heurte constamment aux mêmes remarques stupides du genre : « on ne pourra jamais nourrir la planète avec des jardins » ou encore : « la permaculture est juste une agriculture de subsistance », sans parler des « yakafokon » (comprendre : « féçiféça ») qui pullulent sur la planète. Conclusion : et bien rien, il n’y a plus rien à dire, ni à faire d’ailleurs. Le mouton est définitivement con, fin prêt pour passer à la broche …

    M.G.

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