Enfin! une décision courageuse d’un pays, l’Australie qui veut empêcher les prédateurs d’enfants, de commettre leurs méfaits dans d’autres pays. Souhaitons que cette proposition soit acceptée. Merci à mon correspondant M…
L’Australie a annoncé mardi son intention d’annuler les passeports de ses ressortissants condamnés pour pédophilie, afin de les empêcher de sévir à nouveau à l’étranger.
Annoncée comme une « première mondiale », cette mesure, qui doit être présentée prochainement au Parlement, doit permettre d’interdire aux pédophiles condamnés de quitter le pays.
« La nouvelle loi interdira aux pédophiles condamnés de quitter l’Australie ou d’avoir un passeport australien », a déclaré la ministre australienne des Affaires étrangères, Julie Bishop.
« Rien que l’an dernier, près de 800 pédophiles enregistrés ont voyagé en dehors d’Australie », a-t-elle dit.
La plupart, qui se sont souvent rendus dans des pays asiatiques, ont enfreint l’obligation qui leur est faite de signaler ces voyages à la police, a-t-elle ajouté, précisant que la moitié présentaient un risque de récidive.
Plusieurs affaires de pédophilie à l’étranger ont récemment défrayé la chronique en Australie, comme celle de la condamnation en octobre à Bali à 15 ans de prison de Robert Andrew Fiddes Ellis, 70 ans, pour des agressions sexuelles contre 11 fillettes et adolescentes.
« Aucun pays n’a pris de mesures aussi fortes pour empêcher ses ressortissants de partir à l’étranger, souvent dans des pays exposés, pour violer des enfants. C’est une première mondiale », a dit le ministre australien de la Justice, Michael Keenan.
Il a estimé que cette mesure entraînerait la saisie de 20.000 passeports appartenant à des personnes ayant purgé leur peine mais continuant d’être suivis par les services judiciaires.
Le sénateur Derryn Hinch, une des figures de proue du combat contre la pédophilie, s’est dit ravi de la mesure.
« Certains soulèvent la question des droits civiques (des personnes privées de passeport)? », a-t-il demandé. « Et bien de mon point de vue, si vous violez un enfant, vous perdez certains de vos droits civiques ».
Source Le-Petit-Journal via AFP
Voir aussi:
ELECTRONIC BAN – Les États-Unis vont-ils l’imposer dans tous les pays du monde ?
BANGKOK – Un journaliste en partance pour l’Irak inculpé pour possession de gilet pare-balles
VITICULTURE – Création d’un comité franco-espagnol pour calmer les tensions
Houlà, ça revient aussi à refuser l’entrée aux hommes de peu de foi, non ? Pas que, mais y’a du monde…
Si ce sont des pédophiles, condamnés, je ne vois pas à quoi pourraient bien servir leurs passeports. Généralement, en prison, on ne voyage pas. Et quand bien même ils soient dehors, les enfants d’à côté sont identiques aux enfants du Paraguay.
L’idée suggère maladroitement qu’un réseau de puissants tient les manettes. Inquiétant.
Mieux vaut garder sa m*** chez soi sous surveillance, que la laisser aux autres…
Si tous les pédophiles reconnus étaient en prison, cela se saurait d’une part et de l’autre jamais il n’y aurait assez de place.
Cela ne risque pas d’arriver car les plus « haut placés » soutiennent en sous-main les autres. C’est une confrérie très soudée. J’en sais quelque chose.
« J’en sais quelque chose »: T’es pédo ? Ou t’es flic ? Ou franc-maçon ? Ou rosicrucien ? Ou … ?
Non, mais j’ai eu parmi mes connaissances proches un pédo, 18 mois de prison dont 6 fermes qu’il n’a jamais faits étant super bien avec d’autres « bien placés » !
100% des pédophiles voyagent? Très curieuse cette idée…
Pas 100% de touristes sexuels mais quand même un bon nombre dont on peut restreindre les déplacements. Beaucoup on l’habitude de sévir dans les pays alentours en Asie chez les plus pauvres et où la police ferme parfois les yeux contre des devises.
Bonsoir à tous.
Voilà une Dame qui mérite tout notre respect :
http://echelledejacob.blogspot.fr/2017/05/bravo-mme-gardin.html#more
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