Entre ce que l’on croit et ce qui est, il y a un monde dont beaucoup ignorent la finalité. Merci Sagesse.
«Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité.» Nicholas Murray Butler, président de la Pilgrim Society
Le monde va mal! Cela devient lancinant de toujours le proclamer! Il est même possible que ceux qui interdisent de porter ce jugement sont ceux-là même qui mènent le monde dans la direction qu’ils veulent, à savoir à l’échelle planétaire l’avènement inexorable d’une oligarchie mondiale qui se veut œcuménique tant qu’on obéisse au money-théisme. Le catéchisme est connu, il faut s’enrichir aux dépens des plus faibles en les exploitant dans un esclavage déguisé, hard, des multinationales qui font travailler des enfants comme au bon vieux temps décrit par Zola dans Germinal ou encore un esclavage d’un autre type qui consiste à dresser les faibles les uns contre les autres au nom de la compétitivité. Ce sera les délocalisations sauvages qui consistent à repérer les pays vulnérables, ce qui permet au capital d’extraire de la valeur.
Barnevick ancien P-DG de ABB avait en son temps décrit la mondialisation:
«Je définirais dit-il la mondialisation comme la liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales.» En clair, c’est la liberté du renard dans le poulailler. Cette mise au pas du monde ne peut pas se faire sans un bréviaire, les accords de Bretton Woods et un clergé, le FMI, la Banque mondiale, l’OMC avec naturellement un bras armé, l’Otan et la CPI pour les récalcitrants. «Des recherches de l’université de Carnegie Mellon estiment que les Etats-Unis ont été impliqués d’une manière ou d’une autre dans 81 élections différentes depuis la Seconde Guerre mondiale. La Russie l’a fait 36 fois.». (1)
L’illusion lors de l’élection de Donald Trump
On a cru un moment qu’à l’instar du Christ, Donald Trump allait renverser les tables des marchands du Temple de la mondialisation qu’Alain Minc, économiste tout terrain, toute tendance, nous avait fait la promesse heureuse. Il n’en sera rien! Trump sera rapidement pris en charge et on constate une veillée d’armes pluri- dimensionnelle avec un monde plus chaotique que jamais avec des feux illuminant la Terre çà et là comme dans le texte atemporelle de Leo Ferré «un jour le diable vint sur Terre pour surveiller ses intérêts». La publication suivante est édifiante elle nous explique que de fait, le président est sous contrôle:
«Suivre l’argent est toujours l’élément clé et crucial pour déterminer ‘la cause probable / le modus operandi » des actions des globalistes. Bien qu’il y en a beaucoup qui croient que le président Trump est la panacée à tous nos problèmes, il y a beaucoup de choses que le président ignore. C’est intentionnel de la part des intérêts monétaires qui contrôlent le tissu même de notre société. Les intérêts sont des entreprises, des politiques et des religieux: un niveau de contrôle à trois niveaux sur toutes les facettes de la société humaine. (…) » (2)
« Le problème réside dans le fait que derrière ces intérêts, il y a des élites qui croient en l’imposition forcée de leurs philosophies aux masses. Ils croient également pouvoir «abattre sélectivement le troupeau» et maintenir une population servile à des niveaux minimaux pour mener à bien le travail domestique et la production industrielle (les Delta et les Epsilon du livre Le meilleur des mondes de Huxley) sous leur direction. Patiemment, ces élitistes attendaient le jour où leur société «1984» sera une réalité, travaillant à ce projet et l’élaborant depuis des décennies. Le poids de l’humanité pose un problème, car ils ne peuvent pas éradiquer efficacement tout ce qui est en trop sans une épidémie ou une guerre à grande échelle, mais après un tel événement, la planète elle-même pourrait être invivable». (2)
La fin programmée de la démocratie
Une publication savoureuse résume en quelques pages la condition humaine actuelle et permet d’expliquer des incohérences constatées par le profane alors que tout est sous contrôle de personnes non élues, mais qui dirigent des hommes politiques élus pour diriger les pays selon leur directive. On se souvient des propos de Danièle Mitterrand qui reprochait à son mari le président français François Mitterrand de ne pas appliquer ses promesses de campagne. Réponse de l’intéressé, je ne contrôle rien et je ne peux rien contre les banques…Nous le voyons avec la condition des citoyens européens qui sont sous les fourches caudines des oligarques de Bruxelles non élus par les peuples européens, mais qui assassinent le quotidien des citoyens à coups de directives supranationales.
Nous lisons dans cette contribution:
«Les véritables maîtres du monde ne sont plus les gouvernements, mais les dirigeants de groupes multinationaux financiers ou industriels, et d’institutions internationales opaques (FMI, Banque mondiale, OCDE, OMC, banques centrales). Or ces dirigeants ne sont pas élus, malgré l’impact de leurs décisions sur la vie des populations. Le pouvoir de ces organisations s’exerce sur une dimension planétaire, alors que le pouvoir des Etats est limité à une dimension nationale. Par ailleurs, le poids des sociétés multinationales dans les flux financiers a depuis longtemps dépassé celui des Etats. A dimension transnationale, plus riches que les Etats, mais aussi principales sources de financement des partis politiques de toutes tendances et dans la plupart des pays, ces organisations sont de fait au-dessus des lois et du pouvoir politique, au-dessus de la démocratie. La démocratie a déjà cessé d’être une réalité. Les responsables des organisations qui exercent le pouvoir réel ne sont pas élus, et le public n’est pas informé de leurs décisions. La marge d’action des Etats est de plus en plus réduite par des accords économiques internationaux pour lesquels les citoyens n’ont été ni consultés, ni informés. Tous ces traités élaborés ces cinq dernières années (Gatt, OMC, AMI, NTM, Nafta) visent un but unique: le transfert du pouvoir des Etats vers des organisations non-élues, au moyen d’un processus appelé ‘mondialisation »» (3)
L’auteur nous apprend qu’il n’est pas question de créer des révolutions, il faut y aller en douceur:
«Une suspension proclamée de la démocratie n’aurait pas manqué de provoquer une révolution. C’est pourquoi il a été décidé de maintenir ‘une démocratie de façade », et de déplacer le pouvoir réel vers de nouveaux centres. Les citoyens continuent à voter, mais leur vote a été vidé de tout contenu. Ils votent pour des responsables qui n’ont plus de pouvoir réel. Depuis le début des années 1990, l’information a progressivement disparu des médias destinés au grand-public. Les responsables du pouvoir économique sont quasiment tous issus du même monde, des mêmes milieux sociaux. Ils partagent donc tout naturellement la même vision de ce que devrait être le monde idéal futur.» (3)
L’objectif étant de réduire le rôle d’un Etat stratège et protecteur des plus faibles. C’était d’ailleurs la doctrine de Ronald Reagan pour qui ‘l’Etat était le problème et pas la solution ». Il eut un excellent disciple en la personne de Margaret Thatcher qui elle, déclarait sans ambages:
«Je ne connais pas de citoyens, je connais le consommateur.» «Il est dès lors naturel poursuit l’auteur de la contribution parlant des «dirigeants du monde» qu’ils s’accordent sur une stratégie et synchronisent leurs actions respectives vers des objectifs communs, en induisant des situations économiques favorables à la réalisation de leurs objectifs, à savoir: «Affaiblissement des Etats et du pouvoir politique. Déréglementation. Privatisation des services publics. Désengagement total des Etats de l’économie, y compris des secteurs de l’éducation, de la recherche, et à terme, de la police et de l’armée, destinés à devenir des secteurs exploitables par des entreprises privées. Endettement des Etats au moyen de la corruption. Plus un gouvernement est sous le contrôle des «Maîtres du monde», et plus il fait augmenter la dette de son pays. Précarisation des emplois et maintien d’un niveau de chômage élevé, entretenu grâce aux délocalisations et à la mondialisation du marché du travail. Réduction des aides sociales, pour accroître la motivation du chômeur à accepter n’importe quel travail. Empêcher la montée des revendications salariales dans le tiers-monde, en y maintenant des régimes totalitaires ou corrompus.» (3)
«Les organisations multinationales privées se dotent progressivement de tous les attributs de la puissance des Etats: réseaux de communication, satellites, services de renseignements, fichiers sur les individus, institutions judiciaires (établies par l’OMC et l’AMI, accord grâce auquel une multinationale pourra traîner un Etat devant une cour de justice internationale privée). L’étape suivante -et ultime- pour ces organisations sera d’obtenir la part de pouvoir militaire et policier qui correspond à leur nouvelle puissance, en créant leurs propres forces armées, car les armées et polices nationales ne sont pas adaptées à la défense de leurs intérêts dans le monde. Mais à l’étape ultime du plan, ces armées privées serviront les intérêts des grandes multinationales, et attaqueront les Etats qui ne se plieront pas aux règles du nouvel ordre économique. (…) La majeure partie du commerce mondial a lieu sans monnaie-papier, et seulement 10% des transactions financières quotidiennes correspondent à des échanges économiques dans le «monde réel». Les marchés financiers eux-mêmes constituent un système de création d’argent virtuel, de profit non-basé sur une création de richesses réelles. Cette création d’argent sans création de richesses économiques correspondantes est la définition même de la création artificielle de monnaie.» (3)
La dimension environnementale pourrait gripper la machine
L’auteur nous apprend qu’il n’y a que l’environnement qui pourrait freiner cette machine du diable non par une quelconque empathie envers la nature mais par l’atteinte des limites que l’overshoot day ( le jour du dépassement) nous alerte chaque année sur l’impossibilité d’assurer une production pour contenir la gabegie des puissants en terme d’énergie, d’eau et naturellement cela se paye par les convulsions climatiques qui font que les pays vulnérables sont en première ligne pour l‘ardoise à payer en terme économique mais aussi humain.
«Un système économique libéral, dont le but est la recherche du profit à court-terme pour des intérêts particuliers, ne peut prendre en compte les coûts à long terme tels que la dégradation de l’environnement. Si nos modèles économiques intégraient le coût réel de la destruction de la nature, de la pollution, des modifications climatiques, cela changerait radicalement notre estimation de ce qui est «rentable» et de ce qui ne l’est pas. La production de la nature a été évaluée à 55 000 milliards de dollars par an par un groupe de scientifiques de l’Institute for Ecological Economics de l’université du Maryland en 1997. La disparition de la nature est inévitable, car elle est voulue par le nouveau pouvoir économique. Pourquoi? pour trois raisons: La disparition de la nature et l’augmentation de la pollution vont rendre les individus encore plus dépendants du système économique pour leur survie (…). La contemplation de la beauté et de la perfection de cet ordre est subversive: elle amène l’individu à rejeter la laideur des environnements urbanisés, et à douter de l’ordre social qui doit demeurer la seule référence. L’urbanisation de l’environnement permet de placer les populations dans un espace totalement contrôlé, surveillé, et où l’individu est totalement immergé dans une projection de l’ordre social. Enfin, la contemplation de la nature incite au rêve et intensifie la vie intérieure des individus, développant leur sensibilité propre, et donc leur libre-arbitre. Ils cessent dès lors d’être fascinés par les marchandises. Délivrés de leurs chaînes, ils commencent à imaginer une autre société possible, fondée sur d’autres valeurs que le profit et l’argent. Tout ce qui peut amener les individus à penser et à vivre par eux-mêmes est potentiellement subversif. Le plus grand danger pour l’ordre social est la spiritualité car elle amène l’individu à bouleverser son système de valeurs et donc son comportement, au détriment des valeurs et comportements précédemment implantés par le conditionnement social. Pour la stabilité du «nouvel ordre social», tout ce qui peut stimuler l’éveil spirituel doit être éliminé.» (3)
Tout est dit, nous allons vers la robotisation du monde avec les promesses prévues par Orwell dans son fameux roman 1984. Il laissa pour la postérité cette fameuse phrase qui n’a pas pris une ride: « A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. »
Les contre-pouvoirs pour résister
En son temps le forum brésilien de Porto Alegre avait apporté un vent d’espoir vite dissipé. Ce fut ensuite un peu partout les Indignés de Stéphane Hessel qui nous incitait à «nous indigner» en vain! Ce sera en France «Nuit Debout». Tous ces mouvements comme Podemos en Espagne qui se veulent une alternative au tout-marchand n’ont pas tenu la route. On voit comment Syriza est rentré dans le rang et les citoyens grecs n’en finissent pas de payer des dettes pour un argent qu’ils n’ont pas dépensé. Même en France le mouvement «la France insoumise» avec Jean-Luc Melenchon et qui a récolté près de 20% aux élections en France risque aussi de s’évanouir. L’auteur appelle à une coordination mondiale, une de plus dirions-nous:
«Pour ne pas être définitivement exclus du jeu, les contre-pouvoirs au pouvoir économique (syndicats, associations de consommateurs, mouvements écologistes) doivent répondre en se plaçant sur le même niveau d’organisation, au niveau mondial et non plus national, en unifiant et en synchronisant leurs actions, à l’échelle de groupes d’Etats pesant un poids suffisant dans les flux économiques mondiaux.» (3)
De fait, en Occident les citoyens se croient libres de dire et de faire ce qu’ils veulent. Rien n’est plus faux. Ils sont des esclaves consentants à qui «le divin marché» selon la belle expression du philosophe Dany Robert Dufour on donne l’illusion qu’il est en démocratie. Le regretté Coluche avait l’habitude de dire: «Dans les pays où les libertés sont réduites c’est: « Ferme ta gueule! », dans les pays dits démocrates, c’est « cause toujours ». Nous le voyons tous les jours avec cette mondialisation-laminoir qui flatte leurs ego en leur donnant le sentiment factice d’une hyper-puissance alors qu’en fait, ils sont des marionnettes conditionnées à dépenser, mais pas à penser. En toute logique, les combats ne sont pas entre faibles dans chaque pays, mais entre les faibles du monde et l’oligarchie qui le gouverne.
Dans cet ordre, l’essai de Thierry Meyssan Le monde tel qu’il est dépeint loin de l’idéal de la naïveté de chacun, loin de l’éthique tous les coups sont permis, même les plus bas. Comme l’écrit le chercheur canadien Marshall McLuhan: «Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus gros sont gardés par l’incrédulité publique.»
«Il décortique, nous dit François Xavier, les Printemps arabes vus de Paris, vécus par les Frères musulmans, et organisés depuis Washington. Révélateur de la duperie dans laquelle nous vivons, ce livre apportera surtout à ceux qui veulent prendre leur destin en main, les données indispensables pour comprendre ce qui se passe. Car il n’est pas joli-joli le mandat Sarkozy, et l’ombre du reniement face au peuple lors du référendum sur l’Europe n’est rien comparé à ce qu’il orchestra en Libye. Le témoignage de Walter E. Fauntroy, ancien membre du Congrès des États-Unis et ancien assistant de Martin Luther King Jr est glaçant: il a vu des soldats réguliers français et danois, aux côtés d’Al-Qaïda, décapiter des Libyens… Puis, le 5 septembre 2011, le président Sarkozy recevra le patriarche maronite, S. B. Béchara Raï, et lui expliquera sans détour que l’Empire va placer les Frères musulmans au pouvoir à Damas et qu’il faut songer à rapatrier les chrétiens d’Orient en France. Après la Libye, la Syrie… Ainsi il en va du monde moderne où les forces spéciales françaises (sous l’autorité du général Puga) aident les djihadistes à attaquer Maâloula, puis encadrent les takfiristes à Baba où ils proclament un Émirat islamique (…)».(4)
Cela a commencé comme documenté avec les révolutions brutales des pays pétroliers comme l’Iran – le premier ministre Mossagegh qui voulait contrôler les richesses nationales de l’Iran fit face à un coup d’état en bonne et due forme. Le Chah le démit et mit à sa place le général Zahedi plus conciliant avec l’Angleterre et les Etats Unis . Bien plus tard, Margareth Albright reconnaissait que c’était la CIA qui a été à la manœuvre. Ce sera ensuite, le Chili qui vit un coup d’état fomenté par les Américains, car Allende voulait récupérer les richesses de son pays. Il en mourut. C’était partout la démocratie aéroportée jusqu’en 2003, qui vit l’occupation de l’Irak, l’installation d’un vice roi (administrateur général) en la personne de Paul Bremer suivi de la pendaison de Saddam Hussein. Les Irakiens se déchirent encore et toujours, mais le pétrole coule à flot, direction les Etats Unis d’Amérique.
Par la suite, le soft power a permit l’émergence des révolutions arabes qui emportèrent la Libye, son guide fut lynché, l’Egypte ; la Syrie que l’on veut à tout prix et comme le recommande Kissinger la reshaper pour le plus grand bien d’Israël . Ce sera la Tunisie et sa révolution dite de jasmin . Ce sera la seule révolution mise en œuvre pour créer un chaos de plus chez les Arabes, et qui risque contre toute attente des architectes du chaos ,de réussir du fait de la résilience du peuple tunisien.
En fait la théorie du chaos organisateur Ordo ab chaos qui avait les préférences de Candy Rice en son temps, a été mise en œuvre auprès des pays faibles . Le néo-libéralisme à la manœuvre continue encore son travail destructeur des nations, notamment en créant la zizanie inter-pays et bloc, comme c’est le cas de l’Alliance au vu et au su de tout le monde , de l’Arabie Saoudite et d’Israël – Une ambassade saoudienne et en construction en Israël – Cette alliance est notamment en œuvre pour détruire le Yemen qui fait face en prime à une terrible épidémie de choléra.
En fait ce qui a été fait pour les pays faibles est en train de gagner les faibles des pays développés .A partir des années 2005 apparurent les révolutions de couleur, en Géorgie, en Ukraine… Le chaos s’y est installé. Cela ne suffit pas au néo-libéralisme car après avoir laminé les peuples faibles il s’occupe des démocraties des pays dits développés, l’objectif et d’arriver à terme à supprimer les Etats en tant que tels pour n’avoir en face que des peuples consommateurs consentants avec des ersatz de liberté en fait c’est un asservissement au marché. C’en est fini des solidarités et du rôle d’un Etat stratège de tous ses citoyens pauvres ou riches, qui assure un smic de dignité aux citoyens.
D’où viendrait le sursaut salvateur d’une prise de conscience de tous les hommes sous toutes sous toutes latitudes ? Suffit il de s’indigner ? Suffit -il de passer de veiller et de refaire le monde auprès d’un brasier , pour qu’il change ?, En leur temps des hommes illustres ont payé de leurs vies cette utopie d’un monde plus juste ; d’un monde où le travail est un motif de fierté qui donne de la dignité. Je veux citer tous les Lumumba, Che Guevara, les Sankara Nous savons que tous les mouvements altermondialistes de Porto Allegre et d’ailleurs ont tenté en vain d’influer sur le cours des choses . Nous l’avons vu avec la loi El Khomry qui détricote les solidarités et marginalise les mouvements syndicaux, livrant le citoyen au bon vouloir des patrons. Ainsi Nuit Debout à Paris, Indignés, Occupy Wall Street… les mouvements spontanés qui se multiplient depuis l’an 2000 mais n’ont pas encore trouvé de vrai débouché politique. A bien des égards ce qui va se passer en France est d’une certaine façon un laboratoire des confrontations de ce qui reste de la contestation avec un pouvoir acquis qui annonce la couleur.
Les certitudes des architectes du Nouvel ont toujours étaient clairs . Elle sont plus que jamais d’une brûlante réalité Déjà en 1920 Paul Warburg Grand banquier, premier président du CFR en 1920 écrivait : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question sera de savoir si il sera créé par conquête ou par consentement » David Rockefeller le bien nommé parlait carrément de Nouvel Ordre inéluctable : « Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial » Sombres jours pour les sans dents du monde…
Professeur Chems Eddine Chitour
Ecole Polytechnique Alger
1. http://fr.whatsupic.com/nouvelles-politiques-monde/1494415152.html
3.http://www.syti.net/Topics2.html
4.http://reseauinternational.net/thierry-meyssan-le-monde-tel-quil-est/#rTgLj9HGBTZPmx5t.99
Article de référence http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_ chitour/266810-la-fin-programmee-des-etats.html
La source originale de cet article est Mondialisation.caCopyright © Chems Eddine Chitour, Mondialisation.ca, 2017
Bonjour à vous, merci de prendre à coeur et de continuer, malgré que Benji nous ait quitté en ce monde, vous êtes formidable. Un petit mot pour vous toutes et tous.
Comme vous le savez, la plupart des prophéties émises jusqu’à présent ont annoncé et annoncent encore des événements négatifs et dramatiques pour l’humanité.
La crise généralisée à laquelle elle est confrontée depuis plusieurs années semble les accréditer et, par là même, suscite des peurs et des angoisses que certains n’hésitent pas à entretenir et à exploiter à des fins diverses.
Quoiqu’on en dise, l’avenir du monde sera ce que les hommes en feront individuellement et collectivement, ce qui engage avant tout leur libre arbitre et leurs choix à court et moyen terme.
Malheureusement, cette rumeur, qui relève de la manipulation et que certains médias ont contribué à répandre, a semé le doute et la confusion dans les esprits. C’est ainsi que nombre de personnes fragiles et influençables en sont venues à s’inquiéter, et même à envisager le pire.
Par ailleurs, nous pensons que les humains disposent de toutes les facultés physiques, mentales et spirituelles voulues pour le rendre positif et permettre ainsi à tous, sans distinction, d’être heureux et de s’épanouir sur tous les plans.
Soyez pourtant assuré qu’à l’instar de toutes les prophéties qui ont été avancées jusqu’à présent en relation avec « l’Apocalypse » (1967, 1984, 1993, 2000), pour ne citer que les années les plus récentes, sont passées sans que le monde ne disparaisse dans tel ou tel cataclysme planétaire.
Il y a eu le déclin des civilisations égyptiennes, grecques et romaines, la déclaration de la Première et de la Seconde Guerres Mondiales, les révolutions socioculturelles des années 60, l’émergence de la communauté européenne, etc. On notera que pour la plupart, elles ont concerné des événements qui ont influencé l’évolution des mœurs, des mentalités et des consciences à une échelle plus ou moins grande.
Cela étant, on aurait tort de penser qu’elles avaient un caractère inéluctable. Quand à celles qui avaient une connotation négative, elles constituaient plutôt une forme d’avertissement, de mise en garde, de sorte qu’elles auraient pu être évitées si les hommes avaient agi en conséquence.
La question qui se pose également à propos des prophéties est de savoir sur quel principe elles se fondent.
Qu’on l’admette ou non, l’univers ne se limite pas à un ensemble d’étoiles, de planètes et autre corps célestes se mouvant dans un espace infini.
Il est doué d’une Conscience qui intègre le passé, le présent et le futur de tout ce qui participe à son existence et à son évolution. Or, il est possible de s’harmoniser avec cette conscience universelle et d’obtenir des impressions sur l’avenir de l’humanité, ce qui suppose, naturellement, de savoir comment procéder. Précisons également que de telles impressions ne deviennent prophétiques qu’à partir du moment où elles se réalisent. C’est pourquoi, les prophéties, y compris celles qui ont une connotation positive, ne correspondent pas à des événements inéluctables et n’impliquent pas la négation du libre arbitre des femmes et hommes de la Terre.
Nous nous employons à anticiper l’avenir et à prophétiser ce qu’il réserve de meilleur à l’humanité si elle agit avec sagesse et suit la destinée à laquelle elle est promise. Nous pensons en effet que l’homme n’est pas le fruit du hasard ou d’un concours de circonstances, pas plus que l’univers lui-même.
S’il vit sur Terre, c’est pour évoluer spirituellement, c’est-à-dire pour prendre graduellement conscience de sa nature divine et l’exprimer à travers ses pensées, ses paroles et ses actions. Au delà des épreuves et des vicissitudes de l’existence, c’est dans cette quête de SENS que se trouve la clé du bonheur auquel il aspire.
Par extension, l’humanité dans son ensemble est destinée à instaurer une société idéale, que nombres de sages du passé ont appelé de leurs vœux, et en laquelle de nombreux individus espèrent plus ou moins consciemment.
Au-delà des apparences, la période troublée que nous traversons constitue un passage obligé qui devrait permettre à l’humanité de se transcender et de renaître à elle-même, à condition qu’elle se donne une orientation à la fois humaniste et spiritualiste.
Cela suppose qu’elle rompe définitivement avec l’individualisme et le matérialisme qui prévalent de nos jours dans la plupart des pays dits développés.
Tant qu’elle ne le fera pas, les problèmes auxquels elle est confrontée actuellement ne feront que s’aggraver, avec tout ce qui en résultera en termes de souffrance et de mal être pour de nombreux individus. Sans céder à l’apocalypsisme, nous présumons que si elle persiste dans son inconséquence, elle finira par disparaître, sinon totalement, du moins en grande partie.
Notre conception de l’humanisme consiste à dire qu’il devient urgent de replacer l’homme au centre de la vie économique et sociale.
Cela implique notamment de le remettre à la place des machines partout où cela est possible, car elles étaient censées le soulager des travaux les plus pénibles, et non le remplacer à des fins de profits et de rentabilité.
Mais nous pensons qu’une ré-humanisation ne pourra se faire qu’à partir du moment où tout être humain aura compris qu’il a une âme, et que le but de la vie est de s’éveiller aux vertus de cette âme, parmi lesquelles l’humilité, la générosité, l’intégrité, la tolérance, la non-violence, etc., c’est dans cet éveil que résident les fondements de la spiritualité, telle que chacun devrait la vivre et la pratiquer au quotidien.
Vu sous cet angle, on peut être spiritualiste sans appartenir à l’une quelconque des religions, d’autant qu’aucune d’entre elles ne détient le monopole de la foi et de la vérité.
Rappelons si besoin est que, contrairement à ce que l’on croit généralement, le mot « Apocalypse » ne veut pas dire « fin du monde », mais « révélation ».
En cela, nous pensons effectivement que les temps viendront où l’humanité, après avoir révélé le pire d’elle-même, révélera le meilleur et donnera naissance à un monde où le bonheur ne sera plus un idéal à atteindre, mais une réalité vécue par le plus grand nombre. Cette lente mutation s’accompagnera de changements majeurs qui traduiront en eux-mêmes le degré d’évolution qu’elle aura atteint.
Le XXIe siècle verra l’avènement d’un gouvernement mondial, dont l’Organisation des Nations Unies n’est qu’un embryon. Il sera formé par les dirigeants de toutes les nations, lesquels seront élus en tous pays de façon démocratique.
Chacun d’eux aura les mêmes pouvoirs, les mêmes droits et les mêmes devoirs au sein de ce gouvernement planétaire, étant entendu qu’il ne se substituera pas aux gouvernements nationaux et ne portera pas atteinte à leur souveraineté. Il aura essentiellement pour but de garantir la paix entre les peuples et de faire en sorte que la mondialisation de l’économie soit un facteur de prospérité pour tous. Dès lors, la politique puisera son inspiration dans la philosophie, c’est-à-dire, littéralement dans l’amour de la sagesse. En cela elle sera un vecteur d’humanisme.
Si la mondialisation de l’économie est actuellement un facteur d’inégalité sociale et même de paupérisation dans nombre de pays, les temps viendront où elle permettra à toutes les nations de répondre aux besoins économiques de leurs concitoyens et de les rendre heureux sur le plan matériel.
D’ici là, il existera une monnaie unique à l’échelle mondiale, laquelle ne donnera lieu à aucune spéculation, mais servira uniquement à vendre et à acheter des biens divers. Avoir de l’argent ne sera plus une fin en soi, mais un moyen permettant à chacun de se procurer ce qui est nécessaire à son bien être quotidien. Tous auront compris que c’est avant tout dans la richesse intérieure que réside le bonheur auquel ils aspirent. Plutôt que de rechercher les possessions matérielles, ils privilégieront la quête de sagesse.
Associée pendant des siècles à la religion et aux dogmes qui lui sont propres, la morale, un temps rejetée, reviendra sous l’aspect d’une éthique admise et pratiquée librement dans le monde entier. Fondée sur le respect de soi même, d’autrui et de la nature, elle fera de tout individu une bonne compagnie pour lui-même et pour les autres. Accordant autant d’importance aux devoirs qui incombent à tout citoyen qu’aux droits que lui concède l’Etat, cette éthique universelle favorisera la paix sociale et ce que d’aucuns appellent le « vivre ensemble ». Les êtres humains s’évertueront alors à exprimer le meilleur d’eux-mêmes dans l’intérêt de tous et de chacun, de sorte que la division, la compétition et l’exclusion céderont définitivement la place à l’union, à la coopération et au partage.
Sous l’effet des mélanges ethnico-raciaux, des métissages culturels et des échanges internationaux, la conscience collective finira par se substituer à la conscience individuelle. Dès lors, les êtres humains en viendront à penser et à se comporter véritablement comme des citoyens du monde.
Le problème du racisme ne se posera plus, pas plus que celui du nationalisme, car tous les êtres humains auront intégré le fait qu’ils appartiennent à une entité commune : l’Espèce humaine. Mieux encore, ils auront pleinement conscience d’être des âmes-sœurs issues d’une même source spirituelle : l’Âme universelle. Le mot « fraternité » prendra alors tout son sens, de sorte que l’humanité sera l’expression vivante de l’unité dans la diversité.
D’un pays à l’autre, tous les êtres humains en viendront à parler la même langue. Ce ne sera aucune de celles qui existent actuellement, pas même l’anglais, présenté de nos jours comme la langue internationale. A l’instar de l’espéranto, la langue universelle à venir sera une création pure des hommes et exprimera le désir d’unité qui prévaudra entre les nations et les individus. Vecteur de compréhension mutuelle, elle sera davantage le langage de l’âme que celui du corps, et favorisera les échanges pour tous, sans distinction de nationalités. Dans son expression écrite, elle donnera une dimension internationale à la littérature, qui sera alors considérée comme un patrimoine de l’humanité et intégrera les œuvres majeures ayant jalonné l’histoire des peuples et des civilisations.
Après avoir longtemps maltraité la nature par les pollutions diverses, la déforestation excessive, les gaz à effet de serre, la destruction des écosystèmes, les hommes renoueront avec elle et s’emploieront à la préserver pour les générations présentes et futures. Ayant compris et intégré qu’elle est, non seulement un chef d’œuvre de la Création, mais également le milieu auquel ils doivent la vie, ils feront de sa protection une cause internationale, par delà les frontières. Alors qu’ils s’étaient affairés à vouloir la contrôler et la maîtriser, sans jamais vraiment y parvenir, ils s’évertueront à coopérer avec elle et puiseront leur inspiration dans ses lois. Mieux encore, ils verront en elle la présence et l’influence d’une intelligence absolue et transcendantale.
Les religions, que nous respectons dans ce qu’elles ont de meilleur à offrir aux croyants pour vivre leur foi, vont disparaître graduellement et donner naissance à une religion universelle qui enseignera les principes ésotériques connus de nos jours par trop peu d’Initiés.
Dénuée de tout dogme et de tout sectarisme, cette religion universelle, fondée sur la volonté de mieux se connaître soi même et de comprendre le sens profond de l’existence, marquera le passage définitif de la religiosité à la spiritualité, en ce sens que l’aspiration à la connaissance supplantera la croyance. Autrement dit, le désir de comprendre les lois divines, au sens de lois naturelles, universelles et spirituelles, se substituera au besoin de croire en Dieu, qui sera considéré alors comme l’Énergie-Conscience qui est à l’origine de la Création.
Certains ne verront là que des élucubrations de quelques utopistes, d’autres les attribueront à de pseudo-visionnaires, il y en aura également qui s’interrogeront sur le bien fondé tout en souhaitant vivement qu’elles ne s’accomplissent pas, la perspective d’un gouvernement mondial, d’une monnaie unique, d’une religion universelle, etc., ne les réjouissant guère.
Ayant pour devise la plus large tolérance dans la plus stricte indépendance, nous laisseront naturellement à chacun la liberté d’en penser ce qu’il veut.
Fidèles à la Tradition, nous avons jugé que le moment était venu de faire savoir comment envisager l’avenir, afin de montrer la direction à suivre pour que l’humanité se sorte de l’impasse dans laquelle elle s’est mise à force d’erreurs répétées dans ses choix politiques, économiques, diplomatiques, etc.
A priori cela peut surprendre, car sous l’effet de la crise à laquelle l’humanité est confrontée en maints domaines, on assiste depuis quelques temps à un repli individualiste, communautaire et nationaliste. Cela s’explique par le fait que l’être humain, lorsqu’il est confronté à des difficultés existentielles, a tendance à en attribuer la cause aux autres, notamment à ceux qui lui sont « étrangers ». Ce repli ne peut qu’aggraver la situation, car il renforce les égoïsmes et génère davantage encore de divisions, d’oppositions, de discriminations et d’exclusions.
Par ailleurs, il est à contresens de l’histoire, car la mondialisation est un processus qui était inévitable et contre lequel il est vain de lutter. En effet, il était dans l’ordre naturel des choses que tous les pays en viennent à établir entre eux des relations économiques, politiques, culturelles et autres. Plutôt que de s’opposer à ce processus ou de le freiner, il faut l’accélérer et en faire un vecteur de paix de et prospérité pour tous les peuples.
Certes ces événements mettront beaucoup de temps à se réaliser, mais s’ils sont conformes à l’avenir que vous souhaitez à l’humanité, vous pouvez les faire connaître à qui bon vous semble et vous joindre à nous dès maintenant pour en poser les fondements.
En cela soyez assurés que la pensée est créatrice, car lorsqu’elle est utilisée à des fins positives, elle permet de créer des formes-pensées, c’est-à-dire des pensées qui finissent par prendre forme lorsque les conditions sont réunies.
En second lieu, soyez humaniste et soutenez les projets qui vont dans le sens de la coopération et de l’union entre les peuples.
Non seulement la survie de l’humanité en dépend, mais c’est là le devoir de tout citoyen et de toute citoyenne du monde.
Voyez en vous-même une âme en voie d’évolution, si vous admettez le principe de la réincarnation, vous en serez les acteurs et les témoins dans une vie future, autrement dit, faites le pour votre descendance et, d’une manière générale, pour les générations à venir.
Quelles que soient vos idées, vos convictions et vos croyances, nous vous souhaitons de connaître le bonheur et la paix.
Fraternellement.
Intéressant ce que tu nous écris mais, ici il n’est pas question de prophéties, au sens « mystique » mais de prophéties se basant sur le constat des dérives de notre société. Il est possible à tous de « prophétiser » notre avenir, si on regarde avec lucidité, tout ce qui nous enlève petit à petit nos libertés. Benji était friand des prophéties apocalyptiques, il pensait avec raison, que notre monde allait vers sa propre destruction et avait foi en des « esprits éclairés » pour prédire l’avenir. J’espère qu’il a eut les réponses à ses questions.. 😉
"Nous irons tous ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra l'empêcher." dixit (?)
@ Volti
Euh ! Mon Double-Coeur, es-tu sûr de ne pas vouloir rétablir le limitateur de commentaires ?
Je vais craquer là !!!
J’ai les poils du dos qui se hérissent…
Relis ce ramassis de sonneries, et tu verras la main des créateurs des Georgia Guidestones…
Réincarnation en prime pour les « exclus »…
GRRRRR !!!!
Que veux tu que je te dise, j’en ai marre de répéter sans arrêt. Tout le monde veut du changement et dès qu’il y a un petit effort à faire pour le bien de tous, c’est des hurlements, des « catastrophes » et j’en passe.. Les efforts c’est moi qui les fait de répondre aux courriers ce ceux qui râlent à juste raison..
@ Bellerophon 🙂
Dixit Sarkozy…..
Akasha.
Reste à intégrer un petit détail : l’uniformité contre l’unicité.
« En effet, il était dans l’ordre naturel des choses que tous les pays en viennent à établir entre eux des relations économiques, politiques, culturelles et autres. »
Merci Rey, c’est un très beau commentaire. Il y a cependant un point qui me chiffonne un peu, c’est la phrase que je reproduis ci-dessus. Je trouve bien en effet que les pays établissent des relations en tous genres, mais je n’appelle pas cela la mondialisation.
Dans le sens où on l’entend, cela implique la disparition des Etats, des Nations. Je fais mien cet adage: chacun chez soi et les vaches seront bien gardées. Ce qui n’exclut en rien les échanges, la circulation des biens et des personnes, s’il y a réciprocité.
Et s’il y a un jour un gouvernement mondial, immanquablement, il va chercher à prendre le contrôle des pays, à son profit. Même si je crois que nous allons, après bien des années de tribulations, vers ce dont tu parles, pour le moment, ce n’est pas le cas.
Un simple exemple: On continue avec une immigration massive, même si on essaie de nous faire croire qu’il n’en est rien. OK. Sauf que, dans peu d’années, c’est nous qui allons nous faire foutre dehors, avec des coups de pieds au c… sauf à être mis en esclavage ou massacrés. Nous sommes prévenus ! Comment dans ce cas accueillir l’autre bras ouvert ? Il y a une fable de La Fontaine qui raconte quelque chose comme ça.
Donc il y a d’un côté l’objectif que tu décris – uniformisation – et la réalité actuelle à laquelle il nous faut faire face.
L’unisson est pas pour demain, on fait trop de fric sur les désaccords…
#biquette
lol Ce truc vient de l'ordre de la rose-croix, fichier PDF -> PROPHÉTIES DES ROSE-CROIX
Pour comprendre l’enfumage
Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Bonjour à toutes et à tous,
Tout d’abord un p’tit truc, les Rose Croix ont toujours été des précurseurs ( Einstein, etc.), ensuite on parle beaucoup des illuminati sans savoir (je me demande qui a lancé cette désinformation le premier, on ‘y perd). Illuminati est un degré de sagesse des Écoles de Mystère, ceux dont on devrait parler sont les Illuminaten, issus d’une secte de Bavière. Ceci dit, j’explique le pourquoi de mon long commentaire :
J’ai beaucoup de mal avec l’idée qu’un ou des peuples, voyez la Grèce, l’Espagne, et la France actuellement, acceptent qu’une bande de malfrats décide pour le peuple de ce qu’il va gagner, payer, manger, etc. Je suis de ceux qui pensent que la seule chose qui peut renverser la donne est que les humains se fédèrent. Je suis vraiment consterné par ce qu’il se passe actuellement.
Si les moutons venaient tous ensemble renverser ceux qui les condamnent à leur perte nous pourrions commencer à envisager notre à venir différemment. Le seul souci est que, quand le peuple descend dans la rue, il casse tout. J’entend même des gens bêler : on va les pendre.
Cela n’est pas la solution, car les vrais décideurs ne seront pas atteints. Qu’on leur prenne leurs biens, qu’on les jette à la rue avec un RSA, ils en tireront une grande leçon.
Sachez quand même toutes et tous que des gens qui font partie des sociétés secrètes les plus connues sont décidés à aider les peuples, le problème étant que les prédateurs sont plus puissants grâce au pouvoir de la fausse monnaie qu’ils impriment.
Je reste à votre écoute et je comprends vos doutes, mais si nous ne mettons pas d’actes sur nos paroles, nous n’arriverons à rien et le collier deviendra de plus en plus serré, jusqu’à nous étrangler.
@ Volti
Je compatis, Ma Puce…
Je ne sais plus ce qui est le plus triste…
La situation et l’évolution de cette planète ?
Les réactions et commentaires des individus qui y (sous)vivent ?
Bonjour à toutes et à tous,
Je vous lis depuis longtemps maintenant sans jamais avoir osé participer par manque d’assurance je présume. Cependant, la situation planétaire étant ce qu’elle est, l’article ci-dessus résonne en moi et le commentaire de Rey tout particulièrement. Je me permets d’intervenir et d’apporter ma modeste contribution qui est et sera exceptionnelle car je n’ai, en général, pas grande pierre à apporter à l’édifice.
Après avoir lu et analysé ce que Rey a écrit suite à l’article du Professeur Chems Eddine Chitour, mon opinion est que certes, il nous répète en partie, je parle de Rey, ce qu’il y a dans les Prophéties des Rose-Croix et peut-être une idée générale du Georgia Guidestones, que je ne connaissais pas en passant. Mais il y apporte un élément majeur pour moi. Ou plutôt il met en avant des éléments qui passent quasi inaperçus dans les Prophéties. Il (ou elle) nous parle de Conscience de l’univers, d’âme et de spiritualité. 3 notions primordiales. 3 notions clés. Pour moi, la Spiritualité, en faisant abstraction de la religion, serait la solution pour notre salut. Ce que je comprends c’est que nous sommes sur terre pour évoluer spirituellement et que c’est LE moyen, la spiritualité, de trouver le SENS de notre vie terrestre. D’après ce que je comprends c’est le vrai moyen d’atteindre le bonheur individuel et collectif. Qui serait l’objectif de notre vie terrestre. Et que le matérialisme et l’individualisme ne nous apportent rien in fine et ne sont que des illusions qui profitent à une minorité et qui, de surcroit, détruisent notre mère la terre.
Maintenant, j’ai une question qui s’adresse à Rey. Comment peut-on s’harmoniser avec cette conscience universelle ? Car comme je le comprends, c’est la façon qui va nous permettre d’évoluer.
Comme cela semble d’usage, fraternellement.
comme le confirme Barnevick ancien P-DG de ABB dans cet article , la mondialisation de l’économie suffit a elle seule pour exploiter les peuples sur toute la planète.
Ce qu’il faut bien comprendre, c’est qu’il y a seulement 2 siecles, il y avait l’esclavage, et que les seigneurs d’antan n’ont jamais digéré de perdre cette main d’oeuvre bon marché.
Après l’esclavage il y a eu les colonies et ensuite la révolution industriel….mais cette dernière a permis au travailleurs de se federer en syndicat et d’obtenir enfin des droits….Cela fut insuportable pour les seigneurs d’antan. Alors ils ont fait en sorte de déclencher la premiere guerre mondiale…mais cela n’a pas suffit, car un front populaire s’est réveillé dans les années 30….ils ont donc remis ça avec la deuxieme guerre mondiale….Mais hélas un front populaire et des états communiste ont perdurés…..Alors ils ont enfin trouvé la solution, aller exploité les pays pauvre la ou les peuples sont les plus ignorant et les moins enclin a revendiquer des droits. Depuis lors, ils ont fait en sorte de légaliser les délocalisations. Voila ou nous en sommes aujourd’hui!
Je vous recommande de revoir le très bon documentaire « the corporation » qu’il explique tout ça mieux que moi.
Comme je l’expliquai hier dans un autre article, se focaliser sur un complot engendrer par qqs famille ne resoudra rien, je me demande même aujourd’hui si ces infos a propos des 13 familles n’est pas un moyen de nous détourner de la réelle cause de l’exploitation actuelle qui n’est autre que le mondialisme et l’ultraliberalisme……
Et si Macron veut s’attaquer au droit du travail dès la rentrée, ce n’est pas pour rien 😉
…le consentement…
il y a bien des individus décideurs…. les identifier et les passer à la tondeuse fera réfléchir leurs successeurs
Bien sur, vous allez me dire que Macron est un illuminati!! et alors???? Cela change-t-il le fait que nous sommes sous les lois de l’europe qui ne sont autre que l’ultraliberalisme et la mondialisation de l’économie de 27 états??
Donc le problème n’est pas le fait qu’il soit illuminati, mais qu’il soit dans son droit de detruire les acquis sociaux grace au TFUE!
Elle est belle leur Démocratie…….
n’oubliez jamais, « diviser pour mieux reigner » et « désinformer » sont les deux piliers de la féodalité!
Depuis quelques années déja on nous focalise sur les acteurs d’un « nouvel ordre mondial ». Ce qui est important, ce ne sont pas les acteurs, car nous n’auront jamais de prise sur eux, ce qui est important, c que pendant que tout le monde se focalise sur ces « acteur », personne ne dénonce le système qui permet a ces acteurs d’arriver a leur fins. Et ce système, c’est l’économie mondialiste ultralibérale, c’est a partir de ça que tout est possible pour eux!!
face a ça, pas beaucoup de solutions
au niveau individuel:
– aller vers l’autonomie pour moins subir le système et moins le nourrir (mais cela ne résout pas le problème)
au niveau communautaire:
– boycotter les multinationales (mais cela n’aura qu’un effet réduit car nous sommes trop peu a être éveillé)
au niveau politique:
– soutenir qq comme ASSELINEAU ( hélas nous ne sommes qu1%)
Mais! comme l’a signalé très justement PY ROUGEIRON, Le pen n’a fait que 0,74% lors de sa premiere présentation a une élection!!
Aujourd’hui, c’est le seul chemin possible pour que le système change, du moins sur le sol français!
dans vos rêves les gars autant de ligne pour revenir nous vendre pépère …
avec votre harcèlement quasi permanent vous avez vous même flingué votre mouvement.
Moi j’attends toujours les dossiers dont a été témoin et/ou complice votre gourou durant sa carrière.
Tout n’est que variable.
Nous ne voyons que ce que nous sommes (individuellement) dans les évènements.
«Les véritables maîtres du monde ne sont plus les gouvernements, mais les dirigeants de groupes multinationaux financiers ou industriels, et d’institutions internationales opaques (FMI, Banque mondiale, OCDE, OMC, banques centrales).
Et pourquoi ces gens-là sont si puissant d’après vous ? Parce que les peuples leur donnent du pouvoir. Vous me direz: Mais comment ? Simplement en consomment leurs produits dans le cas des multinationales et avec cet argent ils achètent les gouvernements et favorisent la corruption !
Arrêter de consommer ce qui n’est pas vital, c’est déjà leur enlever du pouvoir.
Arrêter de mettre l’argent à la banque, c’est encore leur enlever un peu de pouvoir.
Arrêter d’obéir aux dirigeants aveuglément et de leur donner de l’importance, c’est aussi et encore leur enlever du pouvoir etc…
Vous savez c’est facile pour les maîtres du monde d’arriver à leur fin, un peu de chantage suffit parfois et si ça ne suffit pas, les menaces devraient suffire à refroidir les plus tièdes.
A mon avis c’est ce qui s’est passé pour Trump. Cet homme est déjà milliardaire donc il n’est pas achetable avec de l’argent, par contre nous pouvons facilement imaginer qu’on ne retourne pas sa veste comme ça en quelque mois, il est fort possible qu’il est reçu des menaces pour lui et sa famille.
Si les peuples ne sont pas près à tout pour sauver leurs acquis, les maîtres du monde eux si, jusqu’à faire tuer si nécessaire comme s’est arrivé à John Kennedy et ils sont très bien organisés pour ça au point de connaitre les évènements à venir bien avant qu’ils arrivent.
« Il n’est pas nécessaire du lutter contre le tyran, il n’est pas non plus nécessaire de se défendre contre lui. Le tyran se vaincra lui-même éventuellement. Les gens doivent arrêter d’accepter la servitude. Ils n’ont pas besoin de prendre quoique ce soit au tyran, ils doivent simplement arrêter de lui donner…. Lorsque le tyran ne reçoit plus et n’est plus obéi, il finit nu, sans force et sans pouvoir. Il finit par n’être plus rien. Il partage la destinée d’une racine laissée sans eau, sans nourriture, il devient un morceau de bois sec, mort… » « Étienne de la Boétie ».
Cela revient à ce que dit Logic: aller vers davantage d’autonomie. C’est ainsi que le système tombera de lui-même. Sauf qu’il ne va pas tomber comme cela, sans broncher. Ce sera à nous de déjouer ses pièges, d’éviter tout ce qu’il tentera de faire pour nous asservir encore et encore (malbouffe, pollution, puçage, vaccinations obligatoires, …).
Comme disait un grand maître: « On ne peut pas tuer le mal, on peut juste le dévitaliser en lui résistant ». Tout est dans la résistance mais cela demande du courage.
Bonsoir à tous,
J ‘ai lu avec intérêts, la « prophétie des Rose-Croix ».. C ‘est dans beaucoup de domaine ce que notre humanité aurait du faire il y a 12 ans lorsque l’on a refusé le référendum sur l’ EUROPE. Nous serions dés lors dans ce chemin dont parle Le R.C. Car oui , nous devons (ce n’est que mon avis) devenir uni, n’avoir qu’une seule langue (parlée jusque il y a 15000 ans par les « Atlantes ». et n’avoir que des intérêts communs celui d’un Terre nourricière (certains »maîtres » (pour ceux qui y croient encore) prédisaient qu’une surface grande comme l’ Angleterre suffirait à nourrir l’humanité toute entière..Cela donne une idée du changement (des pensées) que l’on doit faire..entre autre d’abandonner le « matériel » et là, je vous suis…1% d’entre-nous sont près à le faire…Donc « résistance » et votons Asselineau..
Nous sommes « en réalité » beaucoup le disent aussi: des « Êtres spirituels venus faire une expérience humaine (heu souvent je crois..) afin de comprendre….
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