[Réflexion] Quelle image avons-nous de nous-mêmes?

C’est une question bête mais qui s’impose, car si tous les débats sont possibles, il y en a un qui pourtant n’est jamais réellement abordé: l’image que nous avons de nous même. Cette image se construit sur ce que la société tente de nous imposer, et que nous refusons parfois sans réel succès. Bien beau de dire que vous refusez la société, la mode, certaines dérives, mais combien de nos comportements à l’heure actuelle sont directement influencés la télévision, ou par un effet de mode qui nous pousse même à payer plus cher. Cette image que la société nous renvoie en pleine face ou nous impose afin que nous soyons proches d’une idée préconçue du citoyen lambda est importante, pas trop gros, pas trop maigre non plus (quoique…), plutôt beau car l’apparence est importante, ce qu’il faut d’orgueil pour s’imposer mais pas trop car sinon vous seriez plus difficile à manipuler, surtout pas trop intelligent et informé, pour ne pas que vous « contaminiez » autrui, il ne faudrait pas non plus que les personnes s’arrêtent de voter un jour, etc…

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Il y a une image-type du citoyen, et si nous avons le droit d’avoir nos différences, il faut que nous nous ressemblions également beaucoup pour continuer à payer nos impôts en masse, à voter pour ces mêmes partis qui n’amélioreront strictement rien, pour subir sans dire mot, pour manifester une fois de temps en temps sans chercher à renverser le pouvoir, à regarder ce programme débilitant à la télévision. Et tout cela joue sur l’image que nous avons de nous-même, et si comme l’explique le site Psychologies.com, nous ne nous voyons jamais tels que nous sommes réellement, quel regard avons-nous réellement envers nous?

Ce qui m’a amené à cette réflexion, c’est un article peu intéressant sur un homme, forcément un peu déjanté, qui a décidé de se couper les oreilles pour ressembler à un perroquet avec au final oreilles coupées, 110 tatouages colorés sur le visage comme son oiseau préféré, 50 piercings et des implants sous-cutanés au niveau du crâne. Ce n’est pas très éloigné de cet homme qui a décidé de se couper le nez pour ressembler à un méchant de la saga Marvel… Quelle image ont-ils d’eux-même, et qu’est-ce qui les a poussé à autant de mutilations pour se trouver « beaux », du moins, à leurs yeux…

Pour parler concrètement, nous voulons tous qu’il y ait du changement, et nous attendons la bonne occasion, le bon moment, qui semble ne jamais venir, mais avant de vouloir changer le monde, il faut d’abord se changer soi-même, et donc changer le regard que nous portons sur nous.

« Nous changerons le Monde en nous changeant nous-mêmes. Je ne pense pas que vous puissiez vraiment changer le Monde à l’extérieur tant que vous n’avez pas changé le Monde à l’intérieur de vous-même. Si vous avez vraiment de l’amour en vous, il est alors très difficile de témoigner de la méchanceté ou de la cruauté envers quelqu’un d’autre ou envers la planète. Et je crois réellement que nous, en tant qu’espèce humaine, avons besoin de vivre davantage selon notre coeur. Et cela sera possible quand nous stopperons notre tendance destructive envers les autres et envers la planète. Mais nous avons perdu cette capacité de coeur. Et c’est la raison pour laquelle nous sommes capables d’être aussi cruels les uns envers les autres et envers la planète sur laquelle nous vivons. »
Rodger Hodgson – The voice of Supertramp

Il y a une phrase sur laquelle nous devrions tous méditer, elle résume complètement le problème, car si la société nous pousse à nous pencher sur notre image, de manière erronée ou non, nous incite-t-elle à nous aimer tels que nous sommes réellement? Cette phrase est une clé, à vous de voir si elle va ouvrir une porte ou non, mais elle peut aider à changer son regard, il suffit d’accepter de réfléchir dessus:

Si je te demande de faire la liste de toutes les choses que tu aimes, combien de temps mettras-tu à te citer.

Bizarrement, toutes les personnes à qui j’ai soumis cette phrase, dont à moi-même, n’ont pas pensé une seule seconde à se mettre dans la liste… Alors qu’il faudrait commencer par là non? Vous êtes idéalistes comme moi? Vous souhaitez voir les choses changer? Alors commencez à regarder en vous, et à apprécier ce que vous voyez, les qualités, les défauts, la lumière qui s’y trouve comme les cicatrices qui vous ont aidé à grandir et qui ont fait de vous ce que vous êtes à l’heure actuelle.

Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort disait Friedrich Nietzsche, alors autant y réfléchir, et commencer par nous aimer.

Sait-on jamais, un tel sujet changera peut-être le regard de quelqu’un…

55 Commentaires

  1. Je préfère ne pas m’arrêter sur mon image, même si je me trouve beau gosse :), car l’autocritique doit être plus large.

    « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort »: Ce qui nous tue peut aussi nous rendre plus fort, car on ne sait pas ce qui se cache derrière la mort… ce genre de philosophie matérialiste n’a donc aucun intérêt.

    Sinon, je pense que ce n’est pas l’image qu’on a de soi le plus important, hélas, mais ce que l’on renvoie. Et avant toute chose, il faut définir la normalité, en cela, l’image que l’on a de soi est dévoyée par ce qu’imposent les yeux de la société. Mais est-il encore possible de faire abstraction d’un environnement sociétal bâti sur le lavage des cerveaux pour enfin pouvoir se regarder tel qu’on est vraiment ? J’en doute… Pour ma part, l’image que j’ai de moi est un homme nu qui court dans la verdure… Mesdames…

    Le débat est intéressant, puisque l’image que l’on a de soi est devenue impersonnelle, manipulée par une société qui définit le corpus, qui te dit « entre dans le moule » ou bien en soit exclu. Pour se voir vraiment, il faut certainement un esprit sain, ce qui n’est plus envisageable je le crains.

    Pour faire court, la société choisit à ta place qui tu es, et qui elle veut que tu deviennes Elle reflète sur toi que ton image ne t’appartient plus.

    • C’est la définition, d’un parfait mouton en route vers l’abattoir
      que tu donnes là.
      Et ceux qui ne sont pas d’accord? Ils sont nombreux tu sais!
      La société propose un modèle, libre à chacun de l’adopter ou pas. 🙂

      • C’est exactement ça. L’être humain court dans un miroir droit vers sa perte.
        Et c’est bien ce que je dis, tu es libre ou non de choisir à quoi tu veux ressembler, mais ton reflet conditionnera ta place dans la société.

        • je ne peux répondre que si j’ai lu, sinon! ça n’a aucun sens.
          Le tragique à mon avis c’est que tu mets tout le monde
          dans le moule imposé par la société, sans moyen de refuser.
          Et pourtant il y a de plus en plus de monde qui refusent le modèle,
          tu sembles ne pas l’avoir constaté, trop occupé à regarder ton reflet
          sans doute! tmi

          • Je me répète, mais je constate… je ne définis pas.
            Choisir un autre modèle est bien sûr possible, c’est juste devenu osé, car tu risques la marginalisation.

            Dracula avait raison, l’immortalité commence par la suppression des miroirs. Hélas, la normalité est une création de l’Homme qui a déjà scellé son sort.

            En tous cas, je suis content de voir que tes lecteurs plébiscitent ce débat qui est d’intérêt.

      • A cela je réponds une phrase que G pondu dans mon roman:
        « A quelle distance l’homme, est-il de la bête ? »

        De plus, j’ai toujours pensé que plus un visage est « laid »
        plus cette personne à de la SENSIBILITE.

        Perso, je me fiche de mon image, je me fiche de ce qu’on pense
        de moi SAUF…. des rares personnes pour qui j’ai de l’estime (et ils sont rares…)

        Par contre, écrivant souvent aux terrasses de café, j’observe beaucoup la rue et ses scènes et je trouve
        que les gens sont clonés. Le savent-ils, seulement.

    • Un homme nu ! Serait-ce Apollon ? Et……..30 ans après il court encore !!! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

  2. Excellent sujet ! merci Benji.

    Pour moi il y a des décennies maintenant que j’ai envoyé aux orties tout ce qui concerne la mode, je n’ai jamais aimé faire partie des moutons de Panurge. D’ailleurs si je réfléchis bien, je ne me souviens pas l’avoir suivie même quand j’étais très jeune.
    Je n’ai eu la TV qu’assez tard dans ma vie, et depuis disons une petite quinzaine d’années je ne la regarde plus, j’ai commencé par éliminer tout ce qui n’était pas documentaire, faute de pouvoir voyager « en vrai » comme disent les enfants, puis petit à petit j’ai tourné le dos au petit écran pour en arriver à un black out définitif.

    Depuis longtemps déjà je travaille sur moi, car je sais qu’il est inutile de vouloir changer quoi que ce soit au monde si on ne commence pas pas soi-même. alors je travaille en ce sens. je sais aussi que tout est relié, que nous sommes tous reliés, dans l’Univers,que nous sommes tous Un comme les multiples cellules d’un seul corps, et que nous sommes responsables ce qu’il se passe autour de nous et dans le monde.
    Nos pensées sont créatrices, aussi je me sens responsable à 100%, ce qui ne veut pas dire « coupable » comme beaucoup de personnes le pensent. Pour elles « responsable = coupable » non ce n’est pas cela. Mais quand je vois les crimes, les guerres, je me dis que j’ai ma petite part si je me laisse aller à la colère ou à des pensées très négatives et qu’elles servent à alimenter l’égrégore de violence dans le monde.
    Ce n’est rien d’autre que la petite goutte d’eau du colibri, mais je veux que le « battement d’ailes du papillon » que je suis, apporte un peu de douceur quelque part arrête un bras qui allait frapper. Utopie ? je ne le pense pas, je suis même sûre du contraire.

    maintenant est-ce que je m’aime ? je ne sais pas, je connais mes qualités et mes défauts, j’essaie de corriger ces derniers, de m’améliorer sans cesse. Je vis au plus près de la Nature qui m’enseigne tant de choses… J’ai beaucoup appris au cours de ces trente dernières années et je crois être sur la bonne voie.
    Bientôt, dans quelques jours, mois ou années, je vais passer de l’autre côté du miroir. Je n’aurai qu’un regret : ne pas avoir eu suffisamment de connaissances plus tôt dans bien des domaines ce qui m’a fait me réveiller, un peu, trop tard.

    • Tu t’aimes si tu penses que tu agis en conformité avec
      toi même, sans tomber dans le narcissisme qui te fait oublier
      qu’au delà de toi, il y a les autres…
      Je suis sure qu’il vaut mieux être, que paraître, l’âge
      est sensé donner une certaine sagesse, alors soyons sages sans ostentation.
      Et si une seule oreille écoute, la graine est semée. 🙂
      Et comme toi, un petit regret de n’avoir pas les années en moins,
      avec le savoir acquit… Mais il faut accepter le cycle de la vie. 🙂

      • D’accord avec toi Volti, le paraître ne peut se faire tant que l’on a pas vraiment fait l’ expérience de la vie. Même bien remplie, cette expérience ne peut freiner celles de celles et ceux qui continuent de croire que tout leur est acquis dés lors qu’ils ont des possibilités de bien se nourrir et de pouvoir acheter sans se soucier des « autres ».
        Dans la vie Animales sur laquelle bons nombres de gens censés ont copié, on peut voire que si la nourriture est là et bien il n’y a pas de reproduction. Or, ON nous pousse vers une socitété de consomm

      • D’accord avec toi Volti, le paraître ne peut se faire tant que l’on a pas vraiment fait l’ expérience de la vie. Même bien remplie, cette expérience ne peut freiner celle, de celles et ceux qui continuent de croire que tout leur est acquis dés lors qu’ils ont des possibilités de bien se nourrir et de pouvoir acheter sans se soucier des « autres ».
        Dans la vie Animales sur laquelle bons nombres de gens censés ont copié, on peut voire que si la nourriture est absente et bien il n’y a pas de reproduction. Or, ON nous pousse vers une société de consommation qu’ils veulent détruire, en nous imposant un rythme rigide qui nous empêche de réfléchir à qui nous sommes RÉELLEMENT. Nous sommes La perfection d’un ÊTRE représentatif de ce que l’UNI-VERS a fait de plus beau après avoir créer ces magnifiques Galaxies. Nous ne pouvons être le reflet de nous-même qu’au travers du regard de l’ autre. Chaque action, chaque pensée se traduisent par une réaction, un tsunami de réponses: Que voulez-vous comme société!!! Liberté, Paix, Amour…..Ou bien Égocentrisme, Égoïsme, Violence? etc….je vois grandir mes petits enfants dans cette perspective hallucinante d’un possible conflit, sans que personne ne bouge. Et je vous assure qu’après avoir vu la vidéo sur cet abattoir d’Alès, jusqu’au bout je me dis que nous ne sommes plus HUMAIN, malgré cette envie d’en découdre avec les sois disant M. et Mme je sais tout.J’ai encore beaucoup à apprendre et surtout à entendre…
        Je vous souhaite de bons moments dans vos vies, vies dont vous et nous sommes responsables. De ce côté je n’ai aucune morale à faire à chacune et chacun. Unissons-nous avant que cela ne soit trop tard.Pour nos enfants et les enfants de nos enfants.Plutôt que de Blablater sans apporter une mèche au pétard que nous pourrions faire exploser pour nous transformer en Être responsable et uni. Les moutons ont le droit et le devoir de remplacer le « berger » qui les mène au ravin, et de le remplacer par un brave toutou qui défendra le troupeau contre vent et marées.

        • Une petite rectification si tu permets. Les animaux ne se reproduisent en plus grand nombre QUE s’il y a de la nourriture, sinon les femelles n’ont qu’un petit ou pas du tout. De cela je suis certaine car il y en a de nombreux exemples chez tous les animaux quel que soit l’endroit de la terre où ils vivent.

          Seuls les humains négligent cela il suffit de voir du côté de l’Inde ou autres lieux où plus la misère est grande plus le nombre d’enfants croît en dehors de toute logique. Les animaux sont plus sages que les humains.

          Si dans nos sociétés il y a de moins en moins d’enfants mis au monde, c’est simplement et en premier lieu, dû au travail des femmes, à leurs maternités de plus en plus tardives aussi.Et pour celles qui réfléchissent un tant soit peu, les risques à venir qu’elles ne veulent pas faire courir à leur progéniture, et ça c’est sage.

    • @ Mata Hari, le « moi » est une mer infinie qui ne se laisse
      pas mesurer. Tu as déjà fait jaillir la source en toi et
      chacune de ces gouttes éclabousse une âme proche de toi.
      Moi par exemple….

      https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif

    • Il me semble que le débat « coupable/responsable » vient de moi il y a quelques temps, j’avais lancé ça comme une pique pour remuer les esprits. Ca a marché https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

  3. Ben MERCI Benji pour ce regard à porter sur nous-mêmes.

    Il est aussi écrit qu’un kozel se coupe les oreilles, qu’un autre le nez, TROP de Français eux, se sont carrément coupés les c……. !

    Quant à l’amour à apporter aux autres, pour en être capable, il faut commencer par s’aimer soi-même. Et donc je confirme que je m’aime depuis quelques années seulement…

    Au vu des temps qui nous sont imposés par une vraie DICTATURE, ben j’vous l’dis : AIMONS-NOUS VIVANTS !

    Que les « Benjistes » se transmettent leurs adresses-mails ou leurs numéros de portable avant que : CHPLAFF !

    • https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif Moi perso j’ai encore du mal à m’aimer vraiment ; …certainement à cause du lourd Karma que je me trimbale de ma vie précédente quoi ! …j’en porte même encore les séquelles dans celle-ci (et mêmes physiques)https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif.

      …Ben oui j’étais un Putain de Juif Sioniste cupide et fabriquant de misère planétaire https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_sad.gif; …et c’est certainement aussi pour ça qu’aujourd’hui je tends de plus vers le dénuement volontaire, pour tenter d’expier un peu quoi ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yes.gif

      • @ConscienceU12. Vous perso, portez le lourd fardeau d’une vie de « putain de Juif sioniste  » ? Non !
        Bon, cette « saloperie » se soigne très bien de nos jours.

        Un mois dans le désert avec de vrais touaregs ou alors un mois chez les Lolos Noirs au Vietnam (plus sûr)…

  4. « Mais nous avons perdu cette capacité de cœur »

    Nous ne l’avons pas perdue, mais la société dans toute sa splendeur progressiste nous empêche de l’atteindre ou de la voir. Des hommes élevés à devenir performant ou bons outils de production ne peuvent nourrir que peu de temps une certaine noblesse de cœur. La générosité de partager ses connaissances, de donner son temps aux autres, cela est très difficile aujourd’hui.
    Un être humain se cantonne à occuper pour la plupart du temps une seule et unique fonction dans sa vie professionnelle et ne peut hélas que très peu souvent se détacher de l’emprise des lois du marché pour être tous ceux qu’il pourrait être.
    Le monde automatisé d’aujourd’hui devrait permettre de diviser le temps de travail par 2 et de consacrer beaucoup plus de temps à l’apprentissage, à la culture ou la famille, hors on préfère casser les petites mains à endurer trop d’heures et ne leur donner que la liberté de croire que les choses vont changer!
    L’image de soit apparaît lorsque l’on a le retour des actions que l’on a pu mener.

  5. Oui il faut s’accepter tel que l’on est autant que possible sans rentrer dans les clichés de la mode, après tout nous sommes tous unique et c’est la diversité qui est belle, si nous nous ressemblions tous, la vie serait bien fade.

    Pour ce qui est de la mode telle qu’on nous la présente, ce n’est pas ça la vie, car dans la vie vous avez des petits, des grands, des maigres, des gros, combien de gens se torturent pour devenir Cindy Crawford ou Claudia Schiffer et dépensent des fortunes pour rester éternellement jeune ou mince.

    La plupart de ces mannequins qui de plus sont exploitées, frôlent l’anorexies, si c’est ça à quoi aspirent les hommes c’est triste, de plus, la taille mannequin ne représente que 10 % des femmes dans le monde ce qui limite fortement la possibilité d’avoir une compagne pour les hommes trop à cheval sur les mensurations.

    Bon ceci dit, tous les hommes ne cherchent pas des femmes telle que la mode nous les montre et heureusement.

    Il ne faut pas oublier qu’en 1930 la mode pour les femmes était d’avoir des rondeurs et la peau blanche, d’ailleurs les femmes qui faisaient les vendanges gardaient des vêtements à manche pour ne pas bronzé.

    Vous voyez, d’une époque à l’autre tout peut changer, alors un conseil, restez comme vous êtes, tel que vous êtes vous êtes parfait. Bon, ce n’est quand même pas une raison pour se laisser aller n’ont plus !

  6. Bonjour les black sheep 🙂

    Super le sujet, j’aime bien les truc un peu psycho^^
    Pour moi dans la vie, si on veux être épanoui, il est important d’avoir de l’estime de sois, et de faire ce qu’il faut pour.

    Il n’y a aucun mal là dedans, il ne faut pas pour autant mépriser les autres loin de là. Être sociable et avoir une image positive de sois n’est pas incompatible. De toute les façon pour aimer les autres, ils faut s’aimer sois même je pense..

    Est-ce que pour s’apprécier doit-on pour autant soigner l’image que l’on renvoie aux autres ? trois fois oui, c’est primordiale. Ce n’est pas pour autans que l’on dois tomber dans les travers, de suivre à tout pris la mode, d’être sur-maquillée et de ne penser qu’à ça. Mais c’est important d’avoir une certaine prestance, d’autans plus pour une femme, qui a se besoin de mettre sa féminité en valeur.

    Le but ici, ce n’est pas de devenir superficiel, mais d’exprimer sa personnalité en étant créatif, et non suivre les canons de beauté imposé et une mode stricte..

    C’est d’autans plus important quand on est dans la vie social avec un boulot, là il est inévitable d’en passer par là, mais cela ne nous empêche pas d’être inventive et d’être créative..Pour ne pas se retrouver dans le troupeaux, ça non argh..

    Pour le mental maintenant. De nos jour la pression est tel, les exigences, la vie active, les tentations multiple, la violence, la malbouffe,…Sont tellement devenue extrême, que si on ne fait rien pour gérer, on est foutu.

    On dois vraiment suivre une vie assez stricte sur le plan de la santé et du psychologique. Et savoir lâcher la bride (le lâcher prise), à des moment bien choisi..

    Il est donc nécessaire de suivre une diététique parfaite, faire un sport, méditer ou du yoga. Et surtout faire l’amour^^

    Ensuite avoir quelques activité qui permet de se déconnecté. On peut même de temps à autre sans excès, toujours dans un but récréatif, utiliser un petit véhicule^^ Boire un peu, fumer un petit joint, se genre de chose..Mais c’est compliquer, peu arrive à géré et finissent par exagérer. C’est bien pour ça qu’il faut une haute estime de sois même.

    Comme je le dis toujours, on a rien sans rien dans la vie..Ce que l’on désire, on dois travailler pour l’atteindre, et c’est ça qui est gratifiant et qui vous aidera à prendre confiance en vous..

    Ne vous diminuez pas, on a tous le pouvoir en sois, le pouvoir de changer les chose, on a tous la petite graine en sois, il faut l’arroser, pour qu’elle éclos. Et c’est avec de l’amour qu’on l’arrose notre petite graine..

    Tout ce qu’on entreprend dans la vie, il faut le faire avec amour.

    Akasha.

    • La connaissance et le sexe dans la nature m’ont sculpté! Et à bas les conventions !

      • Oui je suis d’accord avec ça… 🙂

        Mais il faut être mûr aussi pour ça, car mal maîtrisé cela peu aussi se révéler destructeur.

        Pour qui ça intéresse, j’insiste (j’impose rien je propose comme n’importe qui ici) un sujet sur la pratique sexuelle, une sorte de guide et conseil que j’ai mis en place, dont le but justement est l’éveil et l’épanouissement :

        – Plaisirs charnels et processus d’ascension – Sexe et éveil

        http://tinyurl.com/nnhmoaz

        Akasha.

    • La prestance n’a aucune importance si ce n’est pas toi.

      Faire l’amour n’a aucune importance si tu ne te sens pas attirée par cela, et que tu te sens équilibrée sans cela.

      Tu ne DOIS pas soigner l’image que tu renvoies aux autres: tu le fais SI et seulement si tu te sens bien, équilibrée, avec cette idée, et que, sans cela, tu te sentirais AUSSI bien, équilibrée.
      Comme une personne qui boit du café: elle reste libre si elle peut s’en passer tout en se sentant bien. Si elle se sent mal, alors elle est droguée, tout simplement.

      Il n’est pas « nécessaire » de faire du sport, de manger équilibrer… Nous sommes là pour évoluer, chacune et chacun à notre rythme, et selon le chemin que nous avons choisi au départ, de travailler sur les points qui nous ont fait défaut dans les vies antérieures. Si le chemin passe par ce que tu proposes, alors oui. Ce n’est pas un devoir, une nécessité. Pour MA part, cela participe de mon équilibre, de mon plaisir, de ma liberté croissante.

      Tu comprends, je reprends les mots, pas l’intention. L’idée de « il faut que, il est nécessaire, on doit », pas l’idée de manger bio et local, de faire l’amour ou de bien se saper en société.

      • Oui oui Biquette je comprends bien où tu veux en venir.

        Mais sinon si tu me lis bien, c’est ce que j’exprime, je le dis même à la fin que tout ça doit être mû par l’amour avant tout. Et cela dois venir de ta nature profonde et non d’une image créé synthétiquement si je puis dire, ça doit être naturelle. C’est l’esprit créatif qui parle dans se cas, et non l’ego (intellect).

        Puis tu as raison de préciser que on a chacun son cheminement à suivre, et c’est selon son champs de conscience, l’important est bien d’être épanouis, et on peut s’épanouir dans d’autres domaines, en effet.

        C’est de s’exprimer de par sa nature profonde l’important.

        Akasha.

    • Akasha, je ne corrige plus tes fautes, il y en a trop https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif
      sinon, je vais me recycler en correctrice professionnelle à plein temps https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif

      Tata Mata

  7.  » Sois au milieu, et pourtant marche sur le côté ». J’ai trouvé cette phrase sur une tombe, il y a bien des années, et elle est restée gravée dans le marbre de ma mémoire.

    L’image de soi est totalement personnelle. Elle peut être, pour les personnes superficielles, celle de la mode et du politiquement correct, du bien-pensant et de la reconnaissance des autres. Si cela leur convient, c’est bien ainsi.

    Pour d’autres, ce sera l’image de la liberté, peu importe ce que les autres en pensent. Je m’habille comme je veux, je pense ce que je veux, sans m’occuper du regard de l’autre. Mais cette image peut être une réaction à ce monde, une révolte, ce qui n’est pas meilleur, pas plus équilibré.

    Je me regarde dans la glace en voyant l’intérieur de ce que je suis réellement, pas seulement l’apparence. Cette apparence est la somme des vécus de mes ancêtres, ajoutée à mes traumatismes d’avant, pendant et après la naissance. Voir mon potentiel est bien plus vaste, voire ma capacité de liberté, de me libérer de ces traumatismes, de ce fardeau généalogique, voire ce que JE SUIS en tant qu’être spirituel, être de Lumière, et réaliser ce que je vois dans la glace.

    Ensuite, il y a le fait du rôle à jouer en société. Oui, ce rôle peut demander une certaine tenue vestimentaire et comportementale, mais je SAIS alors que je joue un rôle. Ce n’est pas moi qui suis ainsi, j’accepte seulement de jouer ce rôle pour lequel, pendant un temps, je me suis incarnée. Idem pour le rôle de parent, de femme, de mère, de collaboratrice, d’employée de bureau…

    • Le besoin de reconnaissance est extrêmement répandu. Lorsque je rencontre des « personnes » qui m’en parle, je leur propose un jeu: est-ce que tu te regardes dans la glace ?

      Jamais me répondent certains. J’évite, me disent d’autres.
      Alors je leur propose de se regarder, non pas en regardant la coiffure, la tenue, le bouton sur la joue ou le menton… De cela on n’a que faire. Mais en se regardant dans les yeux. Regarder l’autre qui est dans le miroir. Comme si c’était un autre.

      Etape suivante: sourire à l’autre qui est dans le miroir.
      Lui faire un coucou, lui dire bonjour. Voire même lui faire des grimaces, des mimiques. Le regarder rire.

      Etape suivante: lui dire « je t’aime ». Lui envoyer un bisou.

      Puis: je m’aime. M’envoyer un bisou.

      Et enfin: Moi, X (prénom), je m’aime. Avec un bisou et un grand sourire.

      Eh bien… « personne » ne m’a jamais fait un retour de ce jeu. Surprenant ? Non.
      Voilà l’image que beaucoup ont d’eux-mêmes.
      J’ai mis longtemps moi-même à faire cet exercice. Je n’attends plus maintenant le regard des autres. Si je ne sais pas le poser sur moi, pourquoi attendre que d’autres le posent sur moi ?

      • @ Biquette : L’amorce d’une schizophrénie pourrait expliquer l’absence de retours d’expérience… Demeurés enfouis dans un alter ego naissant dans l’ombre, tapis au firmament de l’inconscience, que tu auras engendré en toute ignorance de cause.

        LOL, je déteste les psy 🙂 La plupart ne se connaissent pas eux même et se nourrissent de la détresse d’autrui pour se sentir puissants. Sans compter le nombre important de psychopathes incompétents que compte la profession et les « traitements » destructeurs qu’ils administrent.

        Pour recoller au sujet : l’image de soi est souvent parasitée et paramétrée par le regard d’autrui sur soi. En effet le regard extérieur conditionne plus au moins intensément l’image que les sujets se font d’eux même au point que pour une grande part d’entre eux, l’opinion d’autrui correspond à leur idéal d’accomplissement.
        En gros, être aimés par la majorité du groupe devient le surmoi social qui censurera et modèlera presque la totalité des autres aspirations (profondément inconscientes dans ce cas d’espèce) pour les rendre compatible avec cet impérieux besoin de reconnaissance.

        Par rapport à ce cas d’espèce extrême et pourtant si répandu, tout le reste du panel est ensuite une question de degré d’autonomie par rapport au mimétisme du troupeau qui est la règle et la condition absolue d’intégration.

        Le besoin de se sentir reconnu est donc avant tout celui d’être intégré, voire, dans une certaine mesure, glorifié au sein du groupe.

        Il en résulte qu’apprendre à s’aimer soi même passe avant tout par une distanciation vis à vis d’autrui dans le but d’une conscientisation de soi. Effectivement s’aimer soi même implique avant tout de se connaître soi même. Ce travail d’introspection est toujours très laborieux et très pénible ce qui explique d’autant plus que la major partie de l’humanité s’en dispense allègrement.

        Une fois ce forage intérieur bien avancé , une carte des schémas mentaux jusque là souterrains, déjà bien dessinée, distingués et articulés entre eux, certaines trouvailles deviennent axiomatiques en ce sens qu’elle deviennent le trésor, les valeurs inconditionnelles qui fondent et charpentent la conscience de soi. Ces valeurs sont une, elles convergent en un tout, un corpus intérieur auquel le soi peut s’accrocher quoi qu’il arrive et qui quelques soient les affres, les difficultés, les circonstances, confère une unité, une fixité à la personnalité.
        Ainsi la fidélité à ce corpus devient l’enjeu suprême de l’existence, attendu qu’y déroger revient à s’abîmer dans la vraisemblance qui aura tôt fait de noyer le véritable. Y être fidèle dans l’épreuve sera une source de joie intarissable qui est amour de soi par correspondance à cet idéal intérieur et en même temps transcendant.

        Ainsi armés ces sujets savent pertinemment qu’ils sont voués à s’opposer à l’aveuglement général ce qui se traduira à l’inverse de la gloire de ce monde par une marginalité assumée car affranchie de ce besoin d’intégration. En même temps et paradoxalement ils ne pourront se dispenser d’essayer d’influer sur le cours des choses ou tout du moins sur certains individus moins esclave de la loi aliénante du troupeau et ce dans l’espoir de rendre meilleur ne serait ce qu’un de ses semblables en l’aidant à grandir en conscience. (cf Socrate par exemple)

        Ici nous avons des moutons dissidents qui déjà se distinguent du troupeau, qui ont une plus grande conscience d’eux même et donc plus enclin à résister à l’appel de la « gloire des hommes »

        Je m’arrête là en laissant ceci pour qui souhaite méditer et creuser d’avantage l’aspect métaphysique de la question :
        Jean 12v43 « Car ils aimèrent la gloire des hommes plus que la gloire de Dieu. »

        • je déteste les psy (…) les « traitements » destructeurs qu’ils administrent.

          —>

          Les psychologues/psychothérapeutes, n’ont pas le pouvoir de rédiger une ordonnance de psychotropes. A l’inverse des psychiatres, qui n’existeraient pas sans l’industrie pharmaceutique.

        • Excellent Big Brother et entièrement d’ac avec toi !
          j’ajoute que ‘s’intégrer » ,je déteste ce verte, commence
          dès l’école !
          quand l’enfant pleure car « le groupe » veut pas de lui ?
          quand l’enfant veut ab-so-lu-ment s’habiller comme les autres
          pour être « accepté » ??

          Un jour ma fille m’a fait ce genre de simagrée je lui ai
          répondu : a ton avis, pourquoi tu portes ton prénom, qui n’est pas le même que les autres de ta classe ?
          blanc…
          Car vous êtes tous différents ! Ne tente pas de t’intégrer
          soit TOI, mieux sorts de ce panier de crabes et tu seras
          surprise que ce sont les autres qui viendront à TOI.

          En levant l’encre de son amarre… les marins se jettent
          à l’eau pour rattraper le bateau…

  8. -C’est mal de s’aimer?
    ..N’est-ce pas la première condition pour commencer à aimer sincèrement l’autre?
    -Celui qui est torturé peut-il aimer autrui?

    Ne confondons pas le chemin avec le but.
    La mort de l’ego est un Satori inaccessible pour le commun des mortels.
    …Alors restons modeste, honnête et agissons en conséquence.

    • Attention: « l’abus en tout est nuisible, le narcissisme tout autant ».

      Et n’oublions pas que « le jute milieu » est un art que Bouddha éleva au niveau de religion, y a du boulot.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

      • Tout à fait. S’aimer ne signifie pas se vouer un culte, mettre ses photos partout, se regarder en permanence dans une glace.
        C’est plutôt connaître tous les aspects de soi, les accepter, aimer ses ombres, se pardonner quand c’est nécessaire, et savoir que nous sommes plus que cela.

        Il ne faut pas tuer l’égo, mais le remettre à sa juste place. Nous l’avons construit pour nous aider dans cette incarnation, et il devient notre maître car nous nous sommes identifiés à lui. Nous sommes devenus lui.
        Là, c’est sûr, il y a du boulot !
        Reste à savoir qui nous sommes en dehors de lui.

  9. Moi, je ne suis pas aliénée au modèle de société qu’on impose à la majorité. On m’a toujours traité de marginale, et bien, je le revendique !
    Je suis une femme à part entière et entièrement à part ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

    • @mata hari.. alors on est deux parts à part ! Allez encore
      deux comme nous et on fera la quatre quart (lol)

      Marginale, excentrique, JE SUIS. j’aime mettre les pieds dans le plats, bousculer la fourmilière, rendre chèvre les formatés, ça fuse, ça claque ça choque et j’adore choquer,
      bousculer les habitudes.

      la mode ? je me la fabrique style
      conquête de l’ouest…le plus drôle c’est quand un mec se
      gare n’importe où, pour me filer sa carte en me disant fébrile : « voulez vous faire ma prochaine collection?  » ou
       » ça sort d’où, c’est superbe ! »
      et moi de répondre… « de mon cerveau » et de jeter ladite carte…sous son nez.

      En fait je connais mes défauts et je veux pas m’emmerder à
      les corriger. J’aime mes défauts. (voir + haut le court https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gifextrait)

  10. L’image que nous avons de nous même ? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

    Ne l’exprimons-nous déjà pas au travers de nos pseudos et avatars ?

    Nous possédons tellement de facettes selon les individus avec qui nous sommes à un instant donné.

    Il existe cependant un noyau où nous existons en tant qu’individu, et que nous dévoilons plus ou moins selon les situations.

    Je m’emploie à être en congruence entre ma personnae et mon environnement.

    Ce n’est pas toujours ni simple, ni facile, ni évident.

    C’est le « Connais-toi toi même » qui me guide.

    Notre image personnelle est fréquemment critique, mais c’est dans les yeux de Ma Douce que j’y découvre les aspects les plus positifs.

    C’est le yin qui vient tempérer mon yang.

  11. Bravo Biquette pour tes propos auxquels je souscris entièrement.

    Tu parles de la glace, cela m’a bien amusée car moi aussi j’ai appris à me regarder, à voir qui je suis, non dans l’apparence mais dans le fond. Ce n’est pas facile au début, pendant des années je ne me « voyais » même pas, juste effectivement si j’avais un bouton ou si j’étais mal coiffée, mais moi, je m’ignorais.

    Pendant des années, vivant et travaillant en société, je ne me suis jamais souciée du regard que l’autre, les autres, avaient sur moi, j’étais correcte dans mon habillement, dans mes actions, dans mes paroles, c’est tout et c’est nécessaire pour vivre en société. Mais jamais je ne me suis habillée ou maquillée ou quoi que ce soit pour que les autres aient une « idée » de moi. Personne ne peut voir ce qu’il y a à l’intérieur de son voisin, ce qu’il porte en lui, sauf s’il s’y intéresse vraiment.

    Il faut faire un distinguo entre Etre et paraître.
    C’est justement parce que personne ne le fait qu’il y a tant de déception soit avec une relation qui tourne mal ou après les élections, le monde s’est trompé sur le ou la personne, ne voyant que l’extérieur, le paraître !

  12. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif Perso je n’ai jamais voulu entrer dans le moule et ce depuis tout petit déjà ! …je ne voulais jamais faire comme les autres, et je me mettais toujours du côté de ceux qui étaient les moqués, les soufre douleurs, des rejetés, les différents.

    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif J’ai donc fini par développer une apparence opposé au critère que la société voulait m’imposer, et donc pareil pour le caractère, j’ai appris à rejeté toutes formes de « Pensée Unique », et appris à penser par moi-même au maximum.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_smile.gif

    Et bien que malgré tout ça jamais une porte ne se soit réellement fermée devant moi, j’ai fait le choix volontaire de sortir du système au maximum (bien que pas encore assez à mon goût); …bref y’a plus rien à tondre sur mon dos, car j’ai opté pour l’épilation définitive https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif (c’est une image bien sûr, car niveau poils je suis plutôt fourni de ce côté-là, ma longue barbe en témoigne largement), le dénuement partiel, et au maximum ne plus rien avoir à faire avec ce système destructeur quoi. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

  13. « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort »

    Ou pas …

    Quand on sait que l’auteur de cette phrase par exemple, est mort après de longues années d’agonie, réduit à l’état de légume, probablement dû à la syphilis.

  14. Benji,
    Etant en train de lire un livre de René Guenon : la crise du monde moderne, écrit en 1946, et on ne peut plus réaliste vu la situation actuelle, je te propose de :
    1. lire le bouquin, si pas déjà fait, et j’espère qu’après sa lecture tu auras le même envie que moi : en parler, diffuser.
    2. voir si le bouquin est libre de droits, si on peut le recopier entièrement, voire chapitres par chapitres, car si oui …
    3. dédier une section du site de moutons à sa présentation, offre de lecture aux moutons + un sous-forum par chapitre et un sous-forum « général ».
    4. Si non, question droits sur le livre, alors recommander sa lecture et en discuter sur des sections précises et dédiées sur le forum

    Pourquoi je viens avec cette idée suite à cet article-ci, car le regard qu’on a de nous même a une énorme base commune liée à notre monde occidental et l’anti-traditionalisme dans lequel nous sommes tous plongés. Mais tu ne comprendras cela qu’après avoir lu ce livre de René Guenon.

    Et oui, du travail encore du travail 😉 (clin d’oeil à Warcraft 3 côté Orcs)
    ++

  15. C’est le regard des autres qui nous définis,sans personne on ne se voit pas.
    Je compatis avec vous dans vos réflexions narcissiques .
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

  16. La première foi que je me suis regardé j’ai eu la trouille de ma vie puis des autres j’avais pris conscience de mon pouvoir je suis passé par l’amour le plus pur et la haine la plus sauvage et bien j’ai trouvé la solution comme le négatif ne fonctionne pas sans le positif j’ai chercher mon point d’équilibre et là bingo ! je suis devenue serein et modeste.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

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