[MàJ] Le plus imposant des squelettes humains jamais exhumés ..

Au delà du mythe des géants, que de questions en suspend. Avec tout ce qui a été diffusé, et qui c’est avéré faux, il convient d’être prudent.

[ MàJ] Est il besoin de mettre en exergue, que cette info vient d’un site satyrique??

Voici ce qui est dit à propos du site source,

[Traduction] Les informations contenues dans ce site Nouvelles du monde Daily Report est pour des fins d’information et de divertissement. (Donc on met en doute tout ce qu’ils diffusent).

Alice Springs – Le plus imposant des squelettes humains jamais exhumés a été découvert par une équipe d’archéologues de l’Université d’Adelaide sur le site archéologique d’Uluru près d’Ayers rock dans le parc national d’Uluru-Kata Tjuta, a rapporté l’Adelaide Herald ce matin.

Le gigantesque spécimen d’hominidé qui mesure près de 5,3 mètres de haut a été découvert près des anciennes ruines de l’unique civilisation mégalithique jamais trouvée en Australie, ce qui fait que la découverte représente un double mystère, a admis le professeur Hans Zimmer apparemment désemparé par les fouilles, de l’Université d’Adelaïde.

« L’année dernière, la découverte sur le site archéologique d’Uluru nous a pris par surprise, mais celle-ci est encore plus incroyable, » a-t-il admis, visiblement abasourdi. « En théorie, un hominidé de cinq mètres de haut ne peut pas exister. Comment cela a-t-il pu se produire? Comment c’est possible ? Bien que cette découverte est fascinante, nous avons plus de questions que de réponses, » reconnaît-il.

La découverte d’un squelette humain de 5 mètres de haut près d’Ayers rock est le plus gros squelette humain jamais découvert et laisse les scientifiques avec « plus de questions que de réponses » a reconnu Hans Zimmer, professeur d’archéologie à l’Université d’Adelaide.

Certains experts ont émis l’hypothèse que le spécimen aurait souffert d’un cas extrême de gigantisme, une condition provoquée par la surproduction d’hormones de croissance, une théorie que le professeur Hans Zimmer rejette comme une « pure spéculation ».

« Seules de plus amples recherches peuvent nous aider à percer le mystère concernant cette anomalie de la nature. Jusqu’à ce que nous ne trouvions plus de restes de squelettes, nous ne devrions pas nous précipiter dans des explications dangereuses », a-t-il déclaré aux journalistes locaux. « Nous avons trouvé plusieurs squelettes incomplets, dont les os étaient aussi d’une taille gigantesque. Il semblerait qu’une catastrophe majeure a complètement emporté toutes les traces de cette civilisation perdue et inconnu, » note-t-il.« Ce spécimen n’est apparemment pas unique, ce n’est qu’une question de temps avant de découvrir d’autres spécimens similaires, » croit-il fermement.

Le site archéologique d’Uluru, exhumé en 2014 par une équipe de chercheurs de l’Université nationale australienne, a mené à la découverte d’une civilisation mégalithique jusqu’alors inconnue qui pourrait aider à résoudre le mystère de cette découverte.

« Nous avons découvert en février dernier un bloc mégalithique dont il est estimé que son poids approximatif est de 80 tonnes. Les qualités du basalte contenues dans le monolithe se trouvent à 200 km du site. Comment ont-ils déplacer des centaines de blocs sur plusieurs kilomètres dans le désert? Quelles technologies cette civilisation a-t-elle bien pu utiliser? Nous ne pouvons pas répondre à ces questions avec satisfaction à l’heure actuelle, », admet John Thomas Buckler, le chef archéologue qui a effectué les fouilles en 2014.

Certains spécialistes croient qu’une catastrophe majeure a provoqué la destruction de la civilisation d’Uluru, transformant toute cette région fertile en désert stérile.

« Les dépôts ferreux sont trouvés partout dans le désert australien, ce qui prouve peut-être l’impact d’une météorite dans la région », explique le chercheur basé à Sydney, Allan DeGroot. « L’analyse des dépôts géologiques a confirmé qu’un gigantesque impact s’est produit dans la région il y a 3500 ans », admet l’expert principal. « La destruction catastrophique révélée par des traces de vitrification et des niveaux élevés de radioactivité dans les ruines du site archéologique d’Uluru nous incitent clairement à songer que les deux événements sont intimement liés », conclut-il.

Les qualités radioactives des restes du squelette ont extrêmement compliqué les travaux des scientifiques, mais l’équipe de Hans Zimmer espère qu’une coopération internationale avec d’autres grandes universités pourrait aider à résoudre l’énigme du géant.

Source : World News Daily Report
Vu ici  Relayé par Paul pour l’Echelle-de-Jacob

Voir aussi:

La mondialisation provoque la prolifération des nuisibles…

Orlov : notre civilisation est morte !

Chez Merlin:

De la vie intraterrestre sous nos pieds…

MH370 : vous reprendrez bien un morceau de manipulation… ?

La découverte du 5ème élément…?

Le Nécronomicon « Le livre des noms morts » …

Sur Futura-Sciences:

Impossible ? Un alliage pourrait supporter plus de 4.000 ° !

Hubble nous plonge dans la magnifique nébuleuse du Lagon

66 Commentaires

  1. bonjour à tous,
    je n’y connais rien mais j’ai lu quelque part, qu’il y a des
    milliards d’années avant, la densité de l’air, taux oxygène
    n’étant pas comme de nos jours, c’est cela qui a permis aux dinosaures d’être aussi grands.
    donc dito pour les hommes ?
    Sans compter qu’on a toujours
    séparé les dino des humains (pas la même période) or récemment
    des archéologues ont trouvé des empreintes de dino a côté
    d’empreintes humaines.. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

    • J’avais entendu ou lu un truc du genre, disant que l’apesanteur était différente et aurait favorisé le gigantisme de toutes les espèces organiques sur Terre.
      Il faut savoir une chose c’est qu’on ne sait pas grand chose sur les origines de l’Homme, des civilisations…

    • Au carbonifère il y avait 5% de gaz carbonique (taux d’optimum de croissance des plantes), les plantes poussaient 10 fois plus vite et étaient géantes, c’est à cette époque que les gros troncs d’arbres qui sont tombés en enfouis ont donné les veines de charbon, et que dans les mers se sont accumulés les micro-organismes qui vont donner le pétrole !
      La vie était luxuriante car il y avait beaucoup de gaz carbonique dans l’air, tout était plus grand !
      Aujourd’hui avec seulement 0.04% de CO2, tout est plus petit, les dinosaures qui sont devenus oiseaux pèsent autour de 10 gr !
      Il y a de nombreuses races extraterrestres plus grandes (vers 4 m) et aussi de nombreuses plus petites sur le milliard de planètes semblables à la Terre dans notre Galaxie qui possède 2000 milliards de planètes, et il y a 1000 milliards de Galaxies visibles dans le cosmos avec le télescope Hubble et souvent 2 à 3 fois plus âgées que notre galaxie (5 milliards pour nous et 13 milliards d’années ailleurs) !
      Fouillez sur http://changera.blogspot.fr/

    • Bonjour Dubitatif,

      Il n’y a pas que sa, regarde ce site

      Des Hommes au temps des dinosaures

      http://stopmensonges.com/des-hommes-au-temps-des-dinosaures/

  2. je cite : Certains experts ont émis l’hypothèse que le spécimen aurait souffert d’un cas extrême de gigantisme, une condition provoquée par la surproduction d’hormones de croissance

    bah voyons MENTEUR on nous ment sur absolument tout sur cette planète , en aucun cas les sans dent ont des droits sur la vrais science et les vrais origine des humains qui à mon avis est tout simplement une création divine à l’origine comme tout le reste de la planète et par la suite une modification génétique par des extraterrestres !

    Dieu étant théoriquement parfait il n’a pas pu se tromper à se point en nous créant , aucune autre espèce sur cette planète n’est nocive et guerrière et détruisant tout sur sont passage !!! ont à rien pour se défendre ni contre le froid ni contre les prédateurs tellement ont est faible une simple araignée peut nous terrasser je parle même pas des super prédateur : ours , lion , loup ect même un petit lynx nous mais une pâté , un chimpanzé a en moyenne la force de cinq homme voir plus ! voila la vrai création et pas notre ADN poubelle mutant à deux balle qui nous a pousser à fabriquer des armes toujours plus mortel pour survivre et détruire tout ces animaux bien supérieur à nous ! enfin la Bible parle des géants tout simplement .

    des faux cul tous des menteurs si ont connaissaient vraiment la vérité je vous dit pas les changements …

  3. Les réponses se trouvent dans le livre « Adam genisis » d’Anton Parks. Les 6 livres de cet auteur racontent l’histoire depuis environ 260 millions d’années avant J.C à Horus. Livres à déconseiller à tous ceux qui sont non ouverts d’esprit et/ou se complaisent dans les divers dogmes officiels.Plusieurs passages du livre « Adam genesis » concernent l’Australie.

  4. Et en plus il est complet…Il circule tellement d’infos fantaisistes sur le net que la prudence doit être de mise. Sans toutefois dire que ça n’a jamais existé.

  5. D’accord avec Mario, on ne nous raconte que des salades depuis des générations. Nos grands-parents et nos parents, instituteurs et professeurs, en brave soldats, nous ont répété ces conneries sans le savoir, tandis que ceux qui savent nous ré-écrivent l’histoire comme ils le veulent.
    C’est forcément vrai, c’est écrit dans le journal…

  6. Ben oui c’est un fake et nous en aurons de plus en plus dans ce style.
    La question, c’est de savoir comment vont-ils s’y prendre pour VOUS faire avaler un dieu quelconque dans le but d’unifier les religions en une seule …:)
    Vont-ils nous planter des hologrammes dans le ciel ? Va t-on découvrir un très vieux livre qui bien sur sera authentifié de tout le monde pour que l’unanimité se fasse ?
    Dans les années qui viennent, nous allons aller de plus en plus dans le grand guignol et le pire, c’est que beaucoup vont y croire !

  7. Allez, on va rire, je vous met un extrait d’un livre de Robert Monroe :C’est assez long mais bien intéressant quand même.

    « Quelqu’un, Quelque part (ou les deux, par millions, ou innombrables), exige, aime, a besoin, évalue, récolte, boit, mange, consomme une drogue (sic), une substance dont l’identificateur est « Loosh », (parallèle : ici [dans notre dimension], c’est l’électricité, pétrole, oxygène, or, blé, eau, terre, argent, uranium, etc.) C’est une substance rare en Quelque Part, et ceux qui possèdent le « Loosh » considèrent qu’il est d’une importance vitale à tous égards.

    Face à la question de l’offre et de la demande (une loi universelle de Quelque Part), Quelqu’un a décidé de produire le « Loosh » artificiellement, pour ainsi dire, plutôt que de le rechercher sous ses formes « naturelles ». Il entreprit donc d’aménager un jardin et d’y faire pousser le « Loosh ».

    A l’état naturel, le Loosh s’est révélé issu d’une série de mouvements vibratoires dans le cycle carbone-oxygène, dont le résidu était précisément le « Loosh », à des degrés divers de pureté. Le « Loosh » n’était produit que pendant ce mouvement et pendant le processus réactif. Les prospecteurs de Quelque Part battirent le terrain à la recherche des sources de « Loosh » et les nouvelles découvertes furent saluées avec un grand enthousiasme et beaucoup de récompenses.

    Donc, tout changea grâce à Quelqu’un et à son jardin. C’est dans une région lointaine que Quelqu’un mit en oeuvre son expérimentation. D’abord, il créa un environnement favorable au cycle carbone-oxygène. Il y établit un équilibre garantissant qu’un rayonnement adéquat et autres substances indispensables seraient fournis en permanence.

    Ensuite, il tenta une première culture, mais récolta peu de « Loosh », d’une qualité relativement médiocre. Le résultat était trop peu significatif pour ramener le « Loosh » Quelque Part. Le problème était double. La durée de vie des unités de culture était insuffisante et ces unités elles-mêmes étaient trop faibles. Le rendement qualitatif et quantitatif était médiocre, car le temps de génération du « Loosh » était trop bref. En outre, le « Loosh » ne pouvait être récolté qu’à l’issue de la courte vie des unités, et pas avant.

    Sa deuxième culture ne fut pas la meilleure. Il déplaça l’environnement, à l’intérieur du jardin, dans un espace gazeux et non liquide, où des substances chimiques d’une densité élevée formaient une base solide et riche. Il planta d’innombrables unités de formes diverses. Celles-ci étaient quelques milliers de fois plus grandes et plus complexes que les unités unicellulaires de la première culture. Il inversa le cycle carbone-oxygène. Désormais, il y avait une uniformité fondamentale. Comme auparavant, les unités portaient semence à intervalles réguliers et arrivaient automatiquement au terme de leur vie. En vue d’éviter une distribution inégale des substances chimiques et des radiations, ce qui avait été le cas lors de la première culture, il immobilisa la deuxième récolte. Chaque unité était conçue pour demeurer sans sa propre section du jardin. A cette fin, chacune était dotée de vrilles solides qui s’enfonçaient profondément dans la matière chimique. Une tige ou un tronc les prolongeait, permettant d’élever la partie supérieure et de l’exposer au rayonnement. La partie supérieure, large et fine, quelque peu fragile, était destinée à convertir les composés de carbone et d’oxygène vers, et à partir de l’unité de récolte. En outre, des radiateurs de couleur brillante, assortis de générateurs de petites particules, étaient montés sur chaque unité, en général vers le haut et en position symétrique. Il installa des structures de circulation dans l’enveloppe gazeuse de l’unité, notamment pour favoriser le processus de réensemencement. Par la suite, il découvrit que l’effet de turbulence permettait de récolter le « Loosh ». Si la turbulence était suffisamment forte en fin de vie, la culture était entraînée vers le bas et le « Loosh » se dégageait. Ce processus permettait notamment un approvisionnement immédiat en « Loosh », non seulement à la saison des récoltes, mais à tout moment.

    Cependant, la deuxième culture ne fut pas un succès. S’il est vrai que les quantités étaient décuplées, le « Loosh » ainsi produit demeurait si médiocre que l’effort n’en valait guère la peine. En outre, la période de croissance était maintenant trop longue et n’était compensée par aucune amélioration qualitative. Un élément vital manquait.

    Quelqu’un survola et étudia longtemps son jardin avant de se lancer dans la troisième culture. C’était vraiment un défi. En vérité, il avait partiellement réussi, puisqu’il faisait pousser le « Loosh ». Mais il n’avait pu en produire d’une qualité égale ou supérieure à celle du « Loosh » sauvage.

    Inévitablement, il finirait par trouver la solution. La troisième culture fut la preuve vivante de cette Vérité. Le cycle initial carbone-oxygène devait être associé au processus et la mobilité devait être restaurée. Chacun des deux facteurs avaient auguré d’un « Loosh » d’une grande qualité. Il ne restait plus qu’à augmenter la dimension.

    En vue de réaliser ce projet, Quelqu’un déplaça quelques unités de la première culture qui se développaient dans l’espace liquide du jardin. Il les modifia de manière à ce qu’elles vivent de croissent dans la zone gazeuse. Ces unités devaient se nourrir de la deuxième culture, qu’il fit foisonner à cet effet. C’est ainsi que les premiers mobiles, la troisième culture, naquirent. Les mobiles se nourrissaient d’unités de la deuxième culture qui parvenaient ainsi au terme de leurs vie, engendrant un « Loosh » de qualité médiocre. Lorsqu’un gigantesque mobile arrivait au terme de sa propre vie, d’autre « Loosh » était produit. Les quantités de « Loosh » étaient considérables, mais le résidu excédait les limites souhaitables.

    Quelqu’un trouva par hasard le catalyseur principal de la production de « Loosh ». Les mobiles, lents et monstrueux, avaient une durée de vie fort disproportionnée par rapport à la quantité d’aliments qu’ils ingéraient. Leurs processus de croissance et de vieillissement étaient si lents qu’ils ne pourraient plus venir à bout de la deuxième culture. L’équilibre du jardin entier et la production de « Loosh » seraient remis en question. La deuxième et troisième culture seraient menacées d’extinction.

    Comme la deuxième culture se développait à peine, les besoins énergétiques des mobiles devinrent aigus. Il arrivait que deux mobiles tentent d’ingérer une même unité de la deuxième culture, provoquant des conflits qui dégénéraient en combats physiques entre deux ou plusieurs d’entre eux.

    D’abord amusé par le problème, Quelqu’un se pencha plus attentivement sur ces pugilats. Il observa qu’au cours des combats, le « Loosh » émanait des mobiles ! Il ne s’agissait pas de quantités minimes, mais de quantités utilisables, d’une grande pureté.

    Passant directement de la théorie à la pratique, il modifia profondément une unité de la première culture et la déplaça de l’espace liquide vers l’espace gazeux du jardin. Le nouveau mobile, légèrement plus petit, se pourrirait d’autres mobiles. Cette modification visait à résoudre le problème de la surpopulation des mobiles et à engendrer une quantité importante de « Loosh » utilisable lors de chaque conflit/combat. S’y ajoutait une bonification, si la nouvelle classe de mobiles mettait un terme à la vie de l’autre.

    Quelqu’un pourrait alors transférer Quelque Part de grandes quantités de « Loosh », utilisable et suffisamment pur.

    Ainsi fut établie la Règle du Catalyseur principal. Les conflits entre les unités du cycle carbone-oxygène suscitaient des émanations de « Loosh ». Ce n’était pas plus difficile que ça !

    Satisfait de la formule, Quelqu’un prépara la quatrième culture. Il savait désormais que les mobiles de la troisième culture étaient trop grands et vivaient trop longtemps pour être efficaces. S’ils devenaient trop nombreux, il faudrait agrandir le jardin. L’espace manquait pour faire croître ces unités massives, ainsi que des unités feuillues de la deuxième culture, en nombre suffisant pour parer à leurs besoins alimentaires. Il déduisit de ce qui précède qu’une mobilité plus grande et accélérée permettrait de multiplier le facteur conflit, ce qui entraînerait un rendement supérieur de « Loosh ».

    D’un seul geste, Quelqu’un anéantit tous les mobiles lourds de la troisième culture. Revenant à la première culture en zone liquide, il modifia les unités, les développa sous diverses formes et dimensions, et leur attribua des structures multicellulaires complexes d’une grande mobilité. Il établit un système équilibré : il y avait celles qui ingéraient des unités du cycle carbonique de la deuxième culture (initialement immobiles) comme source d’énergie et il y en avait d’autres, très mobiles, qui consommeraient des unités mobiles de la première culture modifiée.

    Le circuit complet fonctionna à merveille. La modification de la deuxième culture immobile en milieu liquide porta ses fruits. De petits mobiles très actifs, respirant du liquide, se nourrirent, « mangèrent » la deuxième culture modifiée. Des mobiles actifs, plus grands et/ou différents, consommeraient de petits « mangeurs de plantes ». Lorsqu’un mobile devenait trop grand et trop lent, il était une proie facile pour les petits mobiles qui l’attaquait voracement. Le résidu chimique de ces ingestions se fixait sur le fond du milieu liquide et fournissait un nouvel aliment aux sédentaires (deuxième culture modifiée), complétant ainsi le cycle. Il en résulta un flot continu de « Loosh » issu des sédentaires parvenus au terme de leur vie, des conflits intenses entre mobiles pour éviter l’ingestion, et enfin de l’interruption de la vie de es mobiles, en tant que conséquence fatale des conflits.

    Quelqu’un appliqua à l’autre partie de son jardin, la zone gazeuse, les mêmes techniques encore perfectionnées. Il ajouta plusieurs variétés de sédentaires (deuxième culture originelle) afin de fournir des aliments suffisamment diversifiés aux nouveaux mobiles qu’il devait créer.

    [i]Comme dans l’autre zone du jardin, ces mobiles étaient un synthèse des deux espèces : il y avait ceux qui ingéraient et tiraient leur énergie des sédentaires de la deuxième culture, et ceux qui se nourrissaient d’autres mobiles. Il créa des milliers de types originaux, petits et grands (mais pas aussi grands que les mobiles de la troisième culture) et, ingénieusement, les équipa pour les combats. Ces équipements prirent forme d’une masse, d’une vitesse insaisissable, d’une couche trompeuse et/ou protectrice, d’un rayonnement de couleur, d’une action ondulatoire, de percepteurs et de détecteurs de particules et protubérances de haute densité destinés à déchirer, saisir et pourfendre l’adversaire. Tout cela visait à prolonger la durée des combats et, en conséquence, à accroître les émanations de « Loosh ».

    A titre expérimental, Quelqu’un conçut et créa un type de mobile faible et inefficace comparé à ceux de la quatrième culture. Cependant, ce mobile expérimental présentait deux avantages distincts. D’une part, il pouvait ingérer et tirer son énergie à la fois des sédentaires et des autres mobiles. D’autre part, Quelqu’un leur avais avait transmis une substance prélevée sur lui-même (substance partout ailleurs inconnue ou introuvable), qui était censée agir comme facteur intensif et déterminant de mobilité. Quelqu’un savait que, conformément à la Règle de l’attraction, ce transfert susciterait une mobilité permanente chez ce type particulier de mobile, qui céderait toujours à l’attraction que ce minuscule atome de lui-même avait engendré dans sa recherche du grand Tout. Ainsi la pulsion de satisfaction des besoins d’énergie par ingestion ne serait pas la seule motivation. Plus important, les besoins et compulsions créés par la substance prélevée sur Quelqu’un ne pourraient être rassasiés dans le jardin. Le besoin de mobilité étant constant, le conflit entre ce besoin et le besoin d’énergie serait permanent. Il pourrait constituer une source continuelle de « Loosh » de grande qualité s’il se perpétuait.

    La quatrième culture dépassa de loin les attentes de Quelqu’un. Il devint manifeste que le jardin produisait un flot utilisable de « Loosh ». L’équilibre de la « vie » était parfaitement atteint : le Facteur Conflit engendrait des quantités considérables de « Loosh », augmentées en permanence par le décès des mobiles de toutes sortes et des sédentaires. Quelqu’un créa les collecteurs spéciaux, chargés de la production et de la récolte. Il établit des canaux destinés à acheminer le flot de « Loosh » de son jardin vers Quelque Part. Grâce au jardin de Quelqu’un, Quelque Part n’était plus tributaire de l’ »état sauvage » comme source principale de « Loosh ».

    Le succès du jardin et la culture de « Loosh » incitèrent des autres à concevoir et aménager leur propre jardin, ce qui était conforme à la loi de l’offre et de la demande (le Vide est une condition instable). En effet, les quantités de « Loosh » produites par le jardin de Quelqu’un ne suffisaient pas aux besoins de Quelque Part. Les collecteurs agissant pour le compte des autres entrèrent dans le jardin de Quelqu’un afin de tirer profit des petites émanations de « Loosh » négligées ou ignorées par les collecteurs de Quelqu’un.

    Lorsqu’il eut terminé son travail, Quelqu’un revint Quelque Part et se consacra à d’autres activités. La production de « Loosh », surveillée par les collecteurs, demeurait constante. Seules les modifications étaient ordonnées par Quelqu’un lui-même. Conformément au instructions de Quelqu’un, les collecteurs moissonnaient périodiquement des portions de la quatrième culture, afin d’assurer la fourniture en substances chimiques, rayonnement et autres ingrédients, destinés aux jeunes unités. En second lieu, cette moisson visait à produire de temps à autre des quantités supplémentaires de « Loosh ».

    Afin d’effectuer la récolte, les collecteurs provoquaient des turbulences et des remous, à la fois dans l’enveloppe gazeuse et les formations chimiques solides qui composaient la base du jardin lui-même. Ces bouleversements avaient conséquence d’interrompre la vie de nombreuses unités de la quatrième culture, écrasés par les mouvements de terrain ou immergées par la tempête de l’espace liquide du jardin. (La quatrième culture était conçue de telle manière que ses unités ne pouvaient maintenir leur cycle carbone-oxygène en milieu liquide.)

    Sans la perception et la curiosité de Quelqu’un, ce mode de « Vie » du jardin aurait pu se prolonger éternellement. A l’occasion, il étudiait des échantillons de « Loosh ». Il n’avait aucune raison de le faire, si ce n’est un certain intérêt pour son oeuvre.

    Au cours de l’analyse d’un certain échantillon de « Loosh », Quelqu’un en avait, par hasard, examiné des émanations et s’apprêtait à le remettre au réservoir, lorsqu’il observa une différence très légère, mais réelle.

    Vivement intéressé, il reprit son examen. Un fragment ténu de « Loosh » purifié et distillé se trouvait minutieusement enchevêtré à des émanations banales de « Loosh ». Or c’était impossible. Le « Loosh » purifié et distillé ne pouvait être obtenu qu’après une série de traitements du « Loosh » à l’ »état sauvage ». Le « Loosh » du jardin de Quelqu’un devait subir les mêmes opérations avant d’être utilisable.

    Pourtant, le fragment en question dégageait réellement un rayonnement si raffiné et purifié qu’il ne pouvait ou ne pourrait plus se combiner avec la substance à l’état brut. Quelqu’un réitéra ses analyses. Le résultat, à nouveau positif, laissait à penser que, dans son jardin, un élément lui échappait.

    Quelqu’un quitta à la hâte Quelque Part et retourna dans son jardin. En apparence, rien n’avait changé. Les zones gazeuses du jardin présentaient, au niveau de la base de composition solide, un interminable tapis de reflets verts issus de la deuxième culture florissante. La première culture modifiée, en zone liquide, était parfaitement conforme à la loi de l’Action-Réaction (une section de la loi de la Cause et de l’Effet). Quelqu’un perçut immédiatement que cette différence, la source de « Loosh » distillé, ne concernait ni la première ni la deuxième culture.

    Il trouva les premières émanations de « Loosh » distillé dans l’une des unités de la quatrième culture, qui avait été épurée au cours des plantations de la deuxième culture. L’idée germa en lui, tandis que cette unité se lançait dans une lutte à mort contre une autre unité de la quatrième culture, d’une manière habituelle. Certes, ce seul fait ne pouvait engendrer de « Loosh » distillé. Quelqu’un le savait et continuait ses recherches.

    C’est alors qu’il découvrit la différence. Cette unité ne luttait pas pour ingérer les restes d’une unité plus faible de quatrième culture, ni pour absorber la feuille savoureuse d’une tige de la deuxième culture toute proche, mais pour éviter de perdre la vie et d’être ingérée par l’unité adverse de la quatrième vague.

    Elle luttait pour protéger et sauver la vie à trois de ses semblables récemment générés et blottis sous une grande unité de la deuxième culture, qui attendait l’issue du combat. Il n’y avait plus de doute. C’est de là que provenaient les éclairs de « Loosh » distillé.

    Sachant cela, Quelqu’un observa les comportements d’autres unités de la quatrième culture dans le jardin. Il perçut les mêmes éclairs lorsque d’autres unités de la quatrième culture défendaient leurs « petits » de manière analogue. Mais un point demeurait illogique. Ces éclairs de « Loosh » distillé émanant d’unités actuelle de la quatrième culture ne fournissaient même pas 50 pour 100 de la quantité de « Loosh » distillé trouvée dans l’échantillon du réservoir. A l’évidence, un autre facteur intervenait.

    Il survola systématiquement le jardin, furetant dans toutes les zones. Il ne tarda guère à percevoir la source. Un rayonnement de « Loosh » distillé de grande qualité émanait d’une section particulière du jardin. Il se précipita vers ce point.

    Il s’agissait d’une de ces unités expérimentales de la quatrième culture modifiée, comportant une substance prélevée sur lui-même. Elle se tenait toute seule sous la partie supérieure feuillue d’une grande unité de la deuxième culture. Elle n’avait pas « faim ». Elle n’était pas en conflit avec une autre unité de la quatrième culture. Alors il comprit. L’unité était solitaire ! Cette circonstance était de nature à engendrer un « Loosh » distillé.

    Avec du recul, Quelqu’un observa un autre phénomène illogique et inhabituel. L’unité de la quatrième culture modifiée prit soudain conscience de Sa présence. Elle s’était effondrée et se convulsait curieusement sur la base de composition solide. Un liquide clair était sécrété par les deux orifices destinés à la perception des rayonnements. Le « Loosh » ainsi dégagé était encore plus raffiné. Dès lors, Quelqu’un énonça sa fameuse formule DLP, actuellement en vigueur dans le jardin.

    Tout le monde connaît la suite de l’histoire. Quelqu’un introduisit sans sa formule le principe essentiel selon lequel : « … Le « Loosh » pur, distillé, est produit dans les unités de type 4M du fait de l’inassouvissement, mais sa création n’a lieu qu’à un niveau vibratoire supérieur aux limites sensorielles de l’environnement. Plus l’intensité est grande, plus la production de « Loosh » distillé est forte… »

    Pour appliquer la formule dans son jardin, Quelqu’un conçut des changements subtils, connus de tous les historiens. Deux des innovations les plus remarquables consistaient, d’une part, à diviser en moitiés les unités de toutes les cultures pour engendrer la solitude (elles cherchaient à se réunir) et, d’autre part, à favoriser la prédominance de l’unité de Type 4M.

    Tel qu’il se présente désormais, le jardin connaît un rendement fascinant. Depuis longtemps, les collecteurs sont passés maîtres dans l’art d’appliquer la formule DLP. Les unités de Type 4M prédominent et se sont étendues à l’ensemble du jardin, hormis les parties les plus profondes du milieu liquide. Elles sont les principaux producteurs de « Loosh » distillé.

    L’expérience a permis aux collecteurs de développer toute une technologie et des outils complémentaires pour récolter le « Loosh » des unités Type 4M. Les plus courants ont été appelés amour, amitié, famille, avidité, haine, souffrance, culpabilité, maladie, fierté, ambition, propriété, possession, sacrifice, et à une plus grande échelle, nations, provinces, guerres, famine, religion, machines, liberté, industrie et commerce, pour n’en citer que quelques-un. La production de « Loosh » est plus prospère que jamais…

  8. Quand on voit les vrais géants ayant existé, ils avaient tendance à mourir jeune et à avoir beaucoup de problèmes de santé. On voit d’ailleurs souvent ces personnes avec des cannes…

    Je doute fortement que, médicalement parlant, un type de cette taille puisse se mouvoir normalement. L’avis d’un orthopédiste serait le bienvenu…

  9. A titre personnel je suis convaincu de l’existence des géants , mais là …..
    Il semble que l’origine de l’histoire soit le site « World News Daily Report » . Voilà un exemple de ce qu’on peut y trouver :
    http://worldnewsdailyreport.com/mysterious-remains-of-a-whale-found-in-a-field-in-utah/
    J’ai entendu parler de pluies de poissons ou de grenouille, mais de baleines, jamais .
    L’auteur de l’article est un pseudo Bob Flanagan qui a aussi sorti ça :
    http://www.journaldemourreal.com/francois-bugingo-devient-le-premier-homme-a-marcher-sur-pluton/
    Qlq uns de ses papiers :
    http://www.journaldemourreal.com/author/admin/page/2/

  10. les êtres vivant : Lorsqu’on pense au plus grand organisme du monde, on imagine peut-être qu’il s’agit de la baleine bleue ou d’un immense arbre très ancien. Pourtant, des scientifiques ont découvert un champignon gigantesque qui occupe l’équivalent de 1665 terrains de football. le plus grand être vivant connu sur terre.

    Les scientifiques ont découvert l’existence de ce champignon après des recherches dans une forêt nationale de l’Oregon où de nombreux arbres mourraient sans explication. Le « champignon couleur de miel », c’est son nom, recouvre près de 965 hectares de terre. Il semble vieux d’environ 2400 ans mais les scientifiques considèrent qu’il pourrait être encore plus ancien.La nature n’a pas fini de nous surprendre ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

  11. Voir :

    http://www.ldi5.com/

    -onglets : Archéologie
    Paléontologie

    A chacun de se faire son opinion selon les cas décrits.

  12. Une légende circulait à MARRAKECH. Celle de la capture d’un Géant dans l’ATLAS. Chevelure blonde et taille impressionnante. Je n’avais que huit ans lorsque j’avais entendu cette « histoire »…racontée par un couple d’enseignants.

  13. Sur le sujet, Laurent Glauzy a écrit un livre très documenté.
    Le livre s’appelle les géants et l’atlantide

    http://www.youtube.com/watch?v=0ip5SjxdT1I

  14. si on se fie à la gravité terrestre et les différentes étapes du champ gravitationnel , l’adaptation du vivant a fait ses preuves . nous avons jusqu’alors une gravité qui ne cesse de diminuer , nous aurons donc des êtres vivants qui vont grandir et grossir . lorsque le champ magnétique augmentera de nouveau , nous redeviendrons petits . je pense même que la pression atmosphérique et la latitude jouent un rôle important aprés celui du génome ; les conditions environnementales sont cruciales . ainsi certaines parties de la planète comptent plus de grands que d’autres endroits .
    ce sont les premières explications que je donne car je suis moi aussi très grand

  15. 5,30 c’est énorme! :O
    Miracleboy bonne hypothèse et déduction dans le bon sens ! ^^ et pourquoi pas ?

  16. Bonsoir,

    Je voudrais juste faire remarquer ceci :

    En 2007, la taille moyenne d’un humain était de 1,75 m
    En 1900 elle était de 1,66 m.
    La taille moyenne a connu une forte accélération entre 1960 et 1990 de près de 5 cm en à peine 30 ans.
    Selon certaines sources, l’alimentation en serait la cause (je ne suis pas convaincu de cette seule cause).
    En 2013 La taille moyenne d’un homme était arrivée à 1.80m

    Ca ne vous donne pas une impression qu’on « re »… grandit ??
    Et si on y joint à cela, certains signes d’affaiblissements, dont souffre notre bonne vielle Terre. !!!
    (Les mesures sont extraites du Human Anthropometry and Biology(W.H.O) Dec 2013.

    • en 30 ans 5 cm de plus ! et là entre 2007 et 2013 en 6 ans encore 5 cm en un temps 5 fois plus vite 😀 c’est due à l’industrie ? 😛
      Y’a multiples facteurs: environnement,stress, pollution, zone géographique, son psychisme émotionnel/mentale aussi! alimentation forcément, ces gènes héréditaire! son mode de vie, sport.. (basket) peut influencé ! et le sommeil 😉 et bien d’autres j’imagine dans la complexité du cerveaux.
      un proverbe> Quand on te traite de petit ^^ toi! tu lui répond, néanmoins je suis qu’un petit et toi grand Con https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

    • Bonsoir Eagle,

      Ces statistiques concernent quelles populations, s’il te plait ?

      Pour ma part, j’ai surtout l’impression que pour les pays occidentaux, la nourriture, ainsi que le fait que les enfants ne fassent plus de travaux de force avant la fin de leur croissance, sont les principales causes.

      Cela sans même aborder les hormones dissimulées dans l’alimentation industrielle.

      La taille des individus est une chose, mais qu’en est-il de l’hypertrophie mammaire qui concerne de plus en plus d’adolescentes ?

      • je penser à cela de ces fameuse produits laitiers bien promu par nutritionniste, industrie laitière , ministère de la santé, pour les jeunes et moins jeune !! çà contribue de force est joue un rôle dans là disproportion croissance.. j’ai pas de mot pour qualifier, mais beaucoup surtout jeune fille à peine 11, 13 ans ressemble à des 18 20ans et souvent que j’en croise certaine primaire/ ou en 6ième font du 1,75 moyen voir plus que leurs copines ! … un plan Dalton de vue géographique 😛 Claire severac en parlé .. çà pose des soucis sur le plan santé.
        https://archive.org/details/interview_lait_thierry_souccard < très instructif

      • Bonsoir Fenrir,

        Ça fait un bail, j’espère que tu vas bien, Ragnarok arrive à pas feutré !!

        Concernant ces chiffres, j’ai été revoir et cela concerne la population Eurasienne, et toujours selon ce rapport, la région ou le pays, apporte également quelques fluctuations. Quant au continents, l’Amérique du nord, atteint des chiffres un peu supérieurs, l’A. du sud elle c’est moins, par rapport aux nôtres. Mais ce rapport de l’OMS conclu qu’une augmentation de la taille est observée de façon générale pour toute la population mondiale.

        Pour ce qui est de l’hypertrophie mammaire, figure-toi que c’était dans une conversation avec ma femme ce midi, une constatation que nous avions fait. Mère nature est très généreuse envers les jeunes femmes de ces dernières années(les 15-25 ans), et ce après une période charnière, où la dimension mammaire était plus minimaliste(voir la génération 25/35-40/50 ans . Cette période faisait elle-même suite à une précédente période où les seins volumineux étaient courants (voir la génération 60-80 ans).
        Qu’elle en serait la cause ?? Les hormones ne sont certainement pas les seuls en lice !!

        • Merci de tes précisions, cela alimente ma réflexion.

          Mais ainsi qu’il est fréquent, je crains que de multiples facteurs interviennent, voire interagissent.

          L’alimentation, le mode de vie avec peu d’efforts physiques violents, surtout alors que la croissance n’était pas terminée, la vie urbaine et la sédentarisation,…

          Quand à l’hypertrophie mammaire des adolescentes actuelles, il est exacte qu’elle rappelle celle de bons nombres de matrones de ma connaissance. Il est vrai que bons nombres d’entre elles ont nourris leurs enfants aux seins, mais sont également en surcharge pondérale généralisée..

          J’ignore si cela intervient et est un état résiduel après l’allaitement.

          Ma Douce a allaité ses deux filles, et à conservé de « petits seins », mais elle fait parti de la génération minimaliste que tu évoques…

          Quelle est l’influence de l’utilisation de la pilule ?

          Bref, bien des interrogations.

          Autrement, merci de ta sollicitude. Je vais fort bien malgré quelques vicissitudes. La Garouterie avance doucement. La Vie est Belle, même si ce Monde est Injuste.

          Bien à toi, et au plaisir d’avoir de tes nouvelles.

          • Bonjour Fenrir,

            Au vu des périodes auxquelles je fais référence, le croisement avec les modifications apportées à l’élaboration de notre alimentation(élevage, agriculture), dans sa préparation à la vente et les habitudes alimentaires des particuliers, ça à l’air de coïncider, avec un léger décalage de temps, dans la réaction du métabolisme humain. L’interaction avec d’autres facteurs déterminants semble évidente, la sédentarisation en premier !

            Comme tu le cites par l’exemple de ta blonde, l’allaitement n’a pas d’incidence avec l’hypertrophie mammaire. Quant à l’usage de la pilule, là non plus rien, aucun lien de cause à effet, malgré la présence d’hormones.

            Je pense plus à une réaction endocrinienne sous l’influence d’un agent extérieur. Le nombre de cancer du sein a également explosé depuis 30-40 ans, et je ne parle là, des cas de récidive, qui elles, sont plus liées aux aléas du traitement.

            • C’est un plaisir de te lire. Merci Eaglehttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

              Ma Douce est une brune aux yeux bleushttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

              Quand aux dérèglement endocrinien, je te rejoins parfaitement. L’alimentation industrielle avec tous ses adjuvants, sans compter les émanations de molécules diverses et avariés des plastiques qui nous environnent, créent de multiples associations inédites, et tout autant d’interactions.

              Le plus incroyable étant de voir ces phénomènes se développer dans l’espace d’une vie.

              Alors qu’à l’échelle de l’évolution de notre espèce, cela n’est qu’un clin d’oeil.

              Il en est de même pour le dérèglement climatique, que j’aurai vu se mettre en place en moins de 40 ans.

              Cela semble s’accélérer, pour ne pas dire s’emballer…

              • Veuilles me pardonner « ta blonde » est une expression québecoise pour nommé ta dulcinée, ta moitié (avant d’avoir des enfants), etc mdr (brune aux yeux bleus > une louve nordique ?)

                • Pas besoin de pardon, il n’y a pas d’offense.

                  C’est une biche celtehttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

                  Mon Yin. Ce n’est pas pour rien qu’elle est surnommée « Douce ».
                  https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif

                  L’illustration parfaite de l’attraction des contraires.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

    • Blackice lol mettre en cause = complotiste voir négationniste !! haaa…. ce n’est pas le bon terme!
      IL es digne d’être Révisionniste 🙂 Faut du moins intérêt de s’interroger. Quand même merde https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif

  17. Mais soyons sérieux, l’existence même de géants de cette taille est un fake. En tout cas, si il garde des proportions strictement humaines.

    Regardez un squelette de gros dinosaure bipède, voyez l’endroit en haut des jambes, comme il est renforcé pour pouvoir supporter le poids du corps :

    http://thumbs.dreamstime.com/z/squelette-de-rex-de-tyrannosaurus-2603978.jpg (un t-rex)

    Regardez maintenant le squelette de géant :

    http://l1d.fr/wp-content/uploads/2015/03/g%C3%A9ants.jpg

    Les bras, le tronc et la tête représentent à peu pres 65% du poids du corps. regardez entre le bassin et les cotes. Imaginez par rapport à la taille, tout ce poids portant uniquement sur quelques vertèbres. Imaginez les chocs qu’il recevrait en courant ou en sautant. Sans parler des genoux et des chevilles…

    Si les médecins essayent de bloquer les hormones de croissance des personnes atteintes de gigantisme, ce n’est pas par hasard. Passé 2m40, les risques pour le squelette deviennent trop importants. Il n’est pas adapté à une taille pareille. Alors 5 ou 10 mètres, c’est juste ridicule.

  18. Je voudrais pas faire mon rabat-joie, mais ils nous prennent pour des GRANDS cons !

  19. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

    La photo de fouilles archéologiques est celle de l’humérus… d’un mammouth découvert en France en juillet 2012.
    http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/20121107.OBS8427/le-squelette-entier-d-un-mammouth-laineux-au-bord-de-la-marne.html

    L’autre est celle d’une reproduction de squelette géant de 7,6m dans le hall d’entrée d’un parc d’attractions (JungfrauPark à Interlaken).

    Pas très sérieux tout ça, Volti… A reclasser dans la catégorie « humour »!https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif
    Ce genre de publication pourrait prêter à sourire si elle ne jetait pas le discrédit sur les articles sérieux du blog… Là c’est tendre le bâton pour se faire battre.

    Quant-à la crédibilité de la source initiale, je te laisse en juger:
    « World News Daily Report is an American Jewish Zionist newspaper based in Tel Aviv and dedicated on covering biblical archeology news »
    Un « journal » sioniste « d’archéologie biblique »…

  20. Un squelette d’Atlante ?

    • Le problème, c’est que cette étoile binaire froide aurait du être à une distance bien précise de nous pendant plusieurs millions d’années. Et que plus elle aurait été éloignée de la terre, plus sa masse aurait dû etre importante. Quel effet elle aurait alors eu sur les autres planètes entre elle et la terre ? Genre mars ou même la lune…

      La force d’attraction gravitationnelle entre 2 objets étant proportionnelle à leur masse et inversement proportionnel au carré de la distance entre les 2 points, ça rend difficilement crédible cette théorie. D’autant plus que si son attraction avait été assez puissante pour réduire conséquemment la gravité terrestre, l’effet sur la planète elle-même aurait probablement été particulièrement violent (séismes, éruptions volcaniques, raz-de-marée…) et n’aurait sans doute pas été propice à la vie sur terre.

      Et puis aussi, c’est la gravité des planètes qui retient leur atmosphère. Imaginons les effets de cette attraction sur celle-ci, et les phénomènes météorologiques que ça aurait engendré… Ça parait plutôt tiré par les cheveux cette théorie.

      Et pour l’idée que ce phénomène serait à l’origine de la pangée, voir le cycle de wilson.

  21. Pour ceux qui sont intéressés par le sujet, je vous recommande ce vieux livre de poche : L’Atlantide et le règne des géants, on le trouve pour une bouchée de pain.
    Rien que des théories, pas de preuves vu les dates antédiluviennes mais des questions à se poser.

    c’est une bonne lecture d’été https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

    http://www.babelio.com/couv/CVT_LAtlantide-et-le-regne-des-geants_7868.jpeg

    Résumé :
    « Ces traces d’une grande civilisation, antérieure au déluge…
    Ces statues géantes, hautes de huit mètres et pesant vingt tonnes…
    Ces murailles, faites de blocs de neuf tonnes creusés sur leurs six faces de mortaises inexplicables…
    Tous ces vestiges prodigieux que l’on découvre dans les Andes à 4000 mètres d’altitude – dans un site dont la géologie révèle qu’il était jadis baigné par les océans -, comment en expliquer l’origine sans remonter à certains passages de la Bible, aux récits de Platon qui font état de la civilisation de l’Atlantide et des désastres cosmiques qui ont profondément modifié l’aspect de la planète ?
    De ces textes anciens comme des découvertes récentes des géologues, Denis Saurat a fait la lumineuse synthèse dans ce livre captivant. »

  22. Pour discréditer une info dérangeante, rien de mieux que de la noyer dans plusieurs autres du même tonneau…. Pour faire suite à la conversation entre Fenrir et Eaglefather, j’ai remarqué une puberté de plus en plus précoces chez les petites filles. Les hormones sont bien dérangées, entre les ménopauses précoces qui explosent, les cancers hormonaux dépendants très nombreux, la croissance est également le fait des hormones. Le bisphénol A (mais sachez que les autres ne sont pas mieux) fait du bon boulot pour pas cher https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

  23. Pour ceux qui sont intéressés par les lois de la physique, vous pouvez faire connaissance avec la loi carré-cube… A partir de la, vous saurez que l’existence de géants aux mêmes proportions que nous est physiquement impossible. Quand tu doubles la taille d’un objet, sa surface est quadruplée, et son volume est multiplié par 8.

    http://tvtropes.org/pmwiki/pmwiki.php/Main/SquareCubeLaw

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