L’autonomie a toujours été relative à nos besoins et ce n’est pas H.D Thoreau pionnier de la décroissance dans son livre Walden qui dirait le contraire. Cependant, ces dernières années, le développement de certaines technologies, l’accès à l’information ultra rapide, et les volontés de mettre en place des modes de fonctionnements écologiques, tous ces facteurs ont permis la démocratisation des moyens pour vivre en autonomie .
En dehors des cités, nous avons la possibilité de nous « désabonner » des certains services par un équipement en matériels alliant les nouvelles technologies: panneaux solaires, batteries, téléphonies mobile… et des moyens plus traditionnels comme le chauffage au bois et les toilettes sèches. C’est toutes ces techniques que nous allons aborder et développer sur cette page.
Avant tout chose il est important de comprendre et découvrir comment s’orienter vers un bâtiment à basse consommation en répondant à ses besoins par des dispositifs de production d’énergies renouvelables.
Un domaine détient un certain potentiel énergétique qu’il est possible d’utiliser pour nos besoins. Il y a quelque chose d’équivoque dans le fait de bruler du charbon pour chauffer de l’eau par un beau jour ensoleillé ; ou de bruler de l’huile pour chauffer une maison si un cours d’eau assez rapide coule dans les environs ; ou à utiliser le courant électrique du circuit pour faire tourner un moulin ou un métier à tisser s’il y a près de chez vous une possibilité d’énergie éolienne ou hydraulique.
On trouve plutôt l’énergie hydraulique dans les régions vallonnées et pluvieuse et l’énergie éolienne dans les pays plats. Mais n’utiliser jamais le vent là ou il y a de l’eau, pour la simple et bonne raison que le vent est inconstant alors que l’eau est relativement sure et constante. Et là ou brillent les chauds rayons du soleil, il est ridicule de ne pas les utiliser. Il est manifestement improductif de dépenser de l’argent pour faire chauffer de l’eau dans un réservoir alors que votre toit de tôle ondulée est si chaud que vous ne pouvez y poser votre main. L’une des caractéristiques des sources d’énergie naturelle c’est qu’elles s’adaptent beaucoup mieux à une petite exploitation qu’à une grande.
On tirera, par exemple, beaucoup plus d’énergie d’une quelconque rivière en la parsèment d’une centaine de petits barrages et moulins à eau plutôt qu’en en construisant qu’un seul gros, qui ferait tourner plusieurs immenses turbines. De même, on peut capter l’énergie éolienne, mais uniquement avec des myriades de petits moulins à vent : pas avec un moulin géant comparable à une centrale électrique. Dans une ville, chaque maison pourrait posséder un toit solaire et en tirer une bonne partie de son énergie, mais un collecteur solaire, assez grand pour alimenter toute une ville, restera toujours du domaine de la fantaisie. Des fermes dispersées dans la campagne peuvent facilement produire elles-mêmes leur gaz méthane, mais il serait ridicule et peu rentable d’envisager de transporter les excréments provenant de centaines de fermes à une station centrale qui ferait du gaz et le restituerait. Donc, surtout pour celui qui vit en autarcie, ces « sources d’énergie de remplacement » s’imposent.
Les énergies naturelles :
Il est presque toujours préférable de combiner plusieurs sources d’énergie plutôt que de se concentrer sur une seule. Vous pourriez, peut-être, avoir un grand fourneau à bois pour faire la cuisine et de chauffer de l’eau pour la laiterie, la boucherie, la salle de bains et la buanderie. Si, avant qu’elle ne passe dans le fourneau, vous préchauffez cette eau à l’aide d’un panneau solaire installé sur un toit, vous consommerez moins de bois.
Et ce serait parfait si vous aviez une installation qui produit du méthane à partir des excréments humains et animaux pour faire bouillir l’eau chaude qui sort de votre fourneau et que vous utiliserez pour stériliser les ustensiles de votre laiterie. Vous pourriez aussi vous servir d’une pompe à vent pour amener dans la maison l’eau pure et claire qui coule au fond de votre domaine au lieu de devoir vous contenter de celle légèrement polluée qui descend des collines. Et que pensez vous de l’idée d’éclairer vos bâtiments en utilisant la rivière qui passe dans les environs pour faire tourner une turbine ? Tout cela est possible, relativement bon marché et rentable, car vous économiserez de l’agent sur l’énergie que vous devriez normalement acheter.
Economiser l’énergie :
Avant de mettre au point des systèmes raffinés pour obtenir de la chaleur à partir de sources naturelles, il faut d’abord être sur que la chaleur va rester dans la maison. Pour conserver la chaleur, il n’y a rien de mieux que des murs très épais, en torchis, en pierre, en pisé ou en brique, avec des petites fenêtres et un toit en chaume.
Les minces murs modernes en brique creuse ou les panneaux en béton n’isolent bien que s’il contiennent à l’intérieur de la mousse de plastique ou un quelconque matériel isolant ; même chose pour le toit. Les grandes fenêtres panoramique qu’adorent les architectes à la page sont de terrible gouffres à chaleur. Le paysan, qui travaille à l’extérieur la plus grande partie de la journée, comme nous étions tous déstinés à le faire, veut se sentir vraiment à l’intérieur quand il rentre ; il jouit tant et plus du panorama et il en fait d’ailleurs partie lorsqu’il est dehors.
Les immenses cheminées, très romantique et parfaites quand on dispose à volonté de bon bois sec, expédient la plus grande partie de la chaleur qu’elles produisent vers le ciel ; elles sont injustifiable dans notre monde bientôt à cours de combustible. Les maison très allongées gaspille également de la chaleur. Une configuration compact est de loin préférable. Un bâtiment rond perdra moins de chaleur qu’une construction carrée, car il y a une plus petit surface comparé à son volume. Enfin, il est toujours plus avantageux d’avoir la source de chaleur principal au milieu du bâtiment plutôt que contre un mur extérieur.
De nos jours, l’isolation est obtenue grâce à des produit sophistiqués et très couteux. Mais nous pouvons nous mettre à la recherche de matériaux plus naturels. Et partout ou pousse le chêne-liège, on devrait le cultiver car il produit en grande quantité un excellent matériel isolant.
Revivre à la campagne, John Seymour .
- Chauffage
1) Poêle à bois:
Nous sommes en présence du sujet le plus facile à traiter. Le chauffage pour la cabane ç’est le poêle à bois. Ils amènent une chaleur douce et agréable. Dans les campagnes, comme à la ville ils sont faciles à trouver en bon état d’occasion ou neufs.
Neufs, les premiers budgets sont aux environs de 200€ pour les petits modèles, avec leur apparence de fût noir avec un remplissage par le dessus et leur grande capacité de chargement (prendre en compte la taille des bûches). Dans ces cas là, vous aurez la facilité d’utilisation, mais le spectacle du foyer ne sera pas présent.
Puis vous trouverez des modèles intermédiaires, type scandinaves ou classiques, modernes, avec un foyer vitré de forme rectangulaire ou demi cylindrique. Actuellement, ces modèles présentent les principaux systèmes qui améliorent le confort. De la vitre où un filet d’air chasse les dépôts de fumée aux fonctions doubles combustions qui améliorent le rendement. On trouve aussi différents réglages et la récupération de cendres est facilitée.
Néanmoins des différences existent et il s’agit d’une affaire de compromis. Aux alentours, des 6 à 7000 W (50 à 60 m² mais prévoir large ), ils sont suffisants pour une cabane, mais souvent pêchent par les dimensions réduites de foyer qui n’autorisent que des petites longueurs de bûches. De plus, en utilisation domestique, ils sont, la plupart du temps, identifiés en tant que chauffages d’appoint.
Puis nous passons sur des modèles hauts de gammes souvent fabriqués en Scandinavie, mais aussi en France .Ces poêles sont réputés conçus pour de l’usage en continu, donc plus axés sur l’habitation. Certains modèles sont dessinés par des designers, et les gammes peuvent dépasser des 12 KW et les 200 KG. Ces structures peuvent se parer d’un habillage en pierre qui amènerait la restitution de la chaleur la plus saine (ces affirmations sont prouvées par de savants calculs de longueurs d’ondes), assurément cela revient à un mode de chauffage ancestral.
Enfin, sachez que selon des études la combustion d’une bûche de bois dégage autant de CO2, que sa dégradation naturelle. Ceci en fait un moyen de chauffage relativement propre.
Conseils :- Suivre les prescriptions surtout en matière de conduit et de passages de planchers. Souvent vous retrouverez ces infos sur des documentations fournisseurs disponibles chez votre marchand de matériaux. Vous pouvez aussi faire exécuter l’installation par un professionnel. Informez vous des réductions d’impots lors de l’achat du poêle.
– Les conduits isolés en inox sont à mettre dès le premier étage et dans les combles. Il s’agit d’éviter une différence de température trop violente, dès la mise en marche, qui ferait condenser les suies et engendrerait des dépots importants à l’intérieur du conduit.
– Les mezzanines et les escaliers sont des aspirateurs à chaleur, ce qui a pour effet de rendre des pièces très chaudes aux étages,ce qui est peu conseillé pour les chambres.
– Aménager une entrée d’air conséquente proche du poêle. Cela évitera que l’appareil aspire l’air qu’il réclame à travers les portes et les fenêtres de votre cabane et vous expose, vu que vous serez situé entre les cloisons et le poêle, à des courants frais.
– Un bon moyen pour lutter contre un départ de feu est l’extincteur à eau pulvérisée+additifs efficaces contre les feux A (solides, bois, cartons, textiles naturels) et les feux B (liquides ou solides liquéfiables, hydrocarbures, ou matières synthétiques) .
2)Energie Méthane: le biogaz
La digestion anaérobie (ou méthanisation) est la transformation de la matière organique en biogaz, composé principalement de méthane et de gaz carbonique.
Elle est réalisée en anaérobiose par une communauté microbienne complexe.
Elle se produit naturellement dans les marais, les lacs, les intestins des animaux et de l’homme et de manière générale dans tous les écosystèmes où la matière organique se trouve en condition anaérobie.
Biomas: manuel de fabrication d’une petite unité de biogaz pour l’éclairage et la cuisine Biomas-manuel-construction.pdf
Digesteur de démonstration à réaliser soi-même – La méthanisation est un procédé de valorisation des
déchets agricoles permettant d’obtenir une énergie renouvelable : le biogaz.
http://www.riaed.net/IMG/pdf/Digesteur_demonstration_EDEN.pdf
Biogaz
http://www.telefonica.net/web2/obiogas/
Eden : Energie Développement Environnement – biogaz, solaire
Cuisiner et s’éclairer au méthane
http://projetbiogaz.skyblog.com/
Biogaz: Le Rwanda a mis au point un système d’auto-suffisance énergétique qui équipe la moitié de ses prisons. Elles s’éclairent et cuisinent au biogaz provenant de la décomposition des excréments produits par les détenus. Ce système devrait, à terme, équiper de nombreux équipements collectifs au Rwanda
http://www.novethic.fr/novethic/site/article/index.jsp?id=96948
Des stations écologiques permettant de transformer leur pollution organique en énergie renouvelable – C’est ce que propose Naskeo propose aux petites et moyennes industries agroalimentaires et pharmaceutiques . Pour ce faire, NASKEO s’appuie sur un procédé naturel : la digestion anaérobie (ou méthanisation).
Club biogaz – agriculture, électricité, installations, brochures, guides, liens
Portail Biogaz destiné aux professionnels
Multiples contributions sur le solaire, le chauffage au bois, la traction animale, le biogas, générateurs à pédale etc – Modes d’emploi, autoconstruction – access 800+ free online publications – Tout ce que nous avons à apprendre des innovations menées dans les pays du Sud (en plusieurs langues)
http://sleekfreak.ath.cx:81/3wdev/CD3WD/INDEX.HTM
Des livres en pagaille liés au développement
http://www.developmentbookshop.com/
La thermolyse – dégradation des matières par la chaleur en absence d’air – La thermolyse (thermos = chaleur) consiste à chauffer les déchets à température modérée (450 à 750°C) en absence d’air, opération au cours de laquelle les matières organiques sont décomposées en une phase solide (coke de thermolyse ) et en une phase gazeuse (gaz de thermolyse).
Eden : Energie Développement Environnement – Le biogaz, version renouvelable du gaz naturel, Le solaire, séchage, eau chaude, photovoltaïque, L’éolien
Biogaz en Suisse
Un four en argile permettant d’économiser le bois – La biomasse à feu réduit
Des jours heureux pour l’homme et la nature : grâce à l’aide de la GTZ, de plus en plus de gens en Afrique utilisent un nouveau four permettant d’épargner aussi bien de l’argent que du bois. Il mesure environ 20 cm de haut et son diamètre n’est que de 28 cm. Toutefois, Christina Manlana y tient beaucoup : «Si vous me retiriez mon mbaula, j’enverrais les hommes du village à sa recherche, jusqu’à ce qu’ils le retrouvent». Pourtant, le mbaula ne ressemble guère qu’à un pot de fleur et coûte tout juste 150 kwacha, soit moins d’un euro. L’objet tant convoité est un four en argile sur lequel la jeune femme de vingt ans prépare les repas. Sur la partie inférieure est placée une ouverture semi-circulaire par laquelle Christina met quelques petites branches qu’elle allume et qui brûlent à l’abri du vent. Sur la partie supérieure, le bord est muni de trois petites bosses sur lesquelles repose la marmite. Ce qui, à première vue, paraît primitif, est une véritable révolution pour les habitants des villages africains. Au Niger, le bois est déjà plus cher que l’eau ; en Ethiopie, la plupart des forêts ont été détruites et en Tanzanie, le ministère des Eaux et Forêts a déjà interdit à la population d’utiliser le charbon de bois. Ce sont là des situations où un objet d’usage quotidien comme le mbaula prend une grande importance.
http://www.rippleafrica.org/ripple_funding_mbaula_update2006.htm
Foyers améliorés – Energie Enda
http://energie.enda.sn/FA%205.htm
Le Rocket Stove WINIARSKI (four-fusée) construit dans plus de 20 pays. L’appellation est due au principe développé par un ancien ingénieur de la NASA, explique Andreas Michel, qui, avec Christoph Messinger, travaille pour la GTZ à Mulnje au Malawi, dans le cadre de « ProBEC Nord ». Ce four est plus grand et encore plus performant que le four en argile – mais il est aussi beaucoup plus cher. C’est pourquoi les institutions en sont les principaux clients potentiels. Le principe est basé sur la combustion complète du bois et sur une meilleure répartition de la chaleur sur une large surface. http://www.solarcooking.org/francais/atrocketpage-fr.htm
Source+nombreuses autres solutions sur 2012un-nouveau-paradigme.com
Merci pour cet article, c’est tout à fait ce que je me suis fixé comme objectif : vivre le plus indépendamment possible, que ce soit pour l’énergie mais aussi pour la nourriture.
Le problème principal étant le budget de départ pour certaines installations mais je pense que ça va se démocratiser de plus en plus et donc faire chuter les prix, ou tout du moins devenir encore plus accessible.
++
Bonjour les moutons. Même cette autonomie pacifique nous est totalement refusée en ce monde glauque !
Caillasse du jour : Grèce : NON c’est NON !
vivre en autonomie…..
http://www.actu-mag.fr/2015/07/01/ver-plat-il-sinjecte-son-propre-sperme-dans-la-tete-pour-se-reproduire/
quelqu’un a déjà essayé ???
OK, je sors…..
Essayez de mettre une micro turbine dans un ruisseau ou un torrent
La police des eaux va vous faire comprendre « rapidement »que c’est interdit
Si le cours d’eau traverse ton terrain, et si tu fais un bras dérivé avec ta chute d’eau, afin de rejeter l’eau dans le cours principal, ils n’ont rien à dire.
Le problème provient lorsque tu crées un embâcle sur le cours principal.
J’ai des amis qui utilisent ainsi des dérivations de l’Adour afin de créer une chute suffisante pour leur micro-turbine.
Ils produisent toute l’électricité nécessaire pour la maison, et en plus revendent le surplus à Enercoop…
L’Adour n’étant en rien gênée sur son parcours naturel.
Les terrains constructibles proches d’un cours d’eau sont rares et chers. Sauf dans le sud ou c’est très rare et très très cher …
Ou dans certains pays étrangers, où c’est très courant et très bon marché…
Ben non, il suffit de suivre les cours d’eau pour repérer d’anciens moulins en ruine…
Il y en avait des dizaines de milliers dans toute la France. Sans parler des tanneries, voire des forges, bref, toutes les industries qui utilisaient la force hydraulique.
Le long de tous les cours d’eau tu trouveras des traces de telles installations.
Autrement, tant pis pour l’hydraulique, et va pour le solaire, eau chaude et photovoltaïque, voire pour l’éolien.
Par contre, cela demande du temps pour fouiner.
Faut déjà choisir une région, voire un département, et commencer à étudier sur cartes, afin de déterminer le ou les secteurs propices à son installation, en tenant compte de ses activités professionnelles.
Puis, ainsi que je disais, faut se balader. Parler aux locaux, et être à l’affut …
Le livre de John Seymour est une must.
Au fil des pages, on retrouve le rythme, le bon sens et l’envie de faire. J’y ai appris de nombreuses choses.
C’est comme un voyage et dans le temps et dans ses capacités à l’autosuffisance. 🙂
On est quand même sur de l’autonomie haut de gamme là, non ?
Parce que même avec un gros investissement personnel, je vois mal comment réaliser une habitation de ce type pour moins de 100000 euros terrain compris, ce qui n’est pas donné à tout le monde.
Surtout que ce sont ceux qui souffrent le plus de la crise qui sont le plus en recherche d’autonomie, paradoxalement. Bref, si quelqu’un a un projet viable pour moins de 20000 ?
A moins de 20000€, tu auras seulement le terrain si tu te démerdes bien.
J’ai bon espoir de mener à bien mon projet pour moins de 35000€ (et beaucoup de sueur), terrain compris.
Voilà encore une mine d’informations dont chacun pourra tirer profit en fonction des circonstances.
Merci Benji, Volti et toi êtes géniaux !
NOUS CHERCHONS une ou deux personnes, pour s ‘associer à moi et une moutonne , afin de former un groupe solidaire , recherchant une vie plus simple et autonome, sans etre completement frapadingue, loufoque utopiste, style soixante huitard s ‘en allant en ardeche et abandonnaNt au bout de quelques annees
Le lieu et qq hectares de terrain je l ai, du bois aussi de l eau de source et une riviere ,dans les alpes , mais nous vivons à PARIS
des constructions maison EXISTENT aussi , du materiel
Le but serait aussi de se preparer à un lieu alternatif de vie en cas de coup tres dur style BOMBE_centrale nucleaire qui foire, guerre cata financiere donc s echapper rapidement de PARIS , puis en cas de cata totale essayer de fuir en hemisphere sud
A defaut d avoir de l argent à investir des competences seraient appreciees pour un apport et participation equilibree de chacun .La bonne humeur, courtoisie et tenacite sont de mises Reste à trouver les formes adequates pour mettre tout cela en musique
Pionnier, Oui… Henry David Thoreau mais dans cet essai « La Désobeissance Civile » écrit en 1849… avant d’écrire son oeuvre plus connue, « Walden » en 1854.