Des palmiers découverts sous les glaces de l’Antarctique !…

Comment des palmiers ont ils pu pousser dans l’Antarctique? C’est ce que nous explique cet article où, la théorie de la dérive des plaques tectoniques est remise en question. Merci à Plouf et à Kita pour le lien. 

La théorie de la dérive des plaques tectoniques encore remise en question… la théorie de l’hydroplaque renforcée

Les forages scientifiques dans l’épaisse glace de Wilkes Land, en Antarctique de l’ Est (la partie faisant face à l’Australie) ont fourni les preuves de  » la croissance de forêts tropicales caractérisées par des éléments floraux très divers de mésothermaux et de mégathermaux, y compris des palmiers et des bombacoideae (une sous-famille de l’arbre violet ou malva) « , selon un article publié dans la revue scientifique Nature . Voici une autre description de la découverte.

L’aspect étonnant de cette histoire est que les preuves de ces palmiers anciens et mauves et d’autres flores quasi-tropicales ont été découvert par forage à travers les calottes glaciaires allant de 1,9 à 2,5 miles miles d’épaisseur (entre 3 et 4 kilomètres) !

C’est tout un contraste entre les climats ! Cet article publié dans Nature par les scientifiques affirme que ces forêts quasi-tropicales poussaient autrefois sur ce continent aujourd’hui recouvert de glace et caractérisé par des températures qui tombent bien en-dessous des 100° fahrenheit (le degré fahrenheit est plus froid que le celsius qui a son zéro à 32° fahrenheit), car en quelque sorte, le climat mondial à l’époque était  » un monde a effet de serre  » et  » les hivers étaient très doux (plus chauds que 10°C), et essentiellement exempts de gel, malgré l’obscurité polaire « .

Ils reconnaissent que cette affirmation sur le climat passé peut nécessiter certains ajustements des « modèles climatiques ».

Faisons une pause pour réfléchir à ça. L’Antarctique est si froid qu’aucun mois de l’année n’a une température moyenne supérieure à 0 ° C. Il est situé si loin au sud que l’inclinaison de l’axe de la terre le plonge dans l’obscurité pendant de longs mois. Il est l’un des endroits les plus secs de la planète aujourd’hui, avec des niveaux extrêmement faibles de précipitations (les côtes obtiennent seulement 8 centimètres de précipitations par an, et plus à l’intérieur, les niveaux de précipitations sont encore moindres, certaines régions ne recevant pratiquement aucune précipitation depuis des milliers d’années, selon les scientifiques). Et pourtant, les scientifiques ont découvert des palmiers et des plantes anciennes mauve sous deux miles de glace.

Une explication possible est que le monde était si chaud à cette époque que l’Antarctique était comme une île tropicale, très accueillante, que les forêts luxuriantes pouvaient y survivre même à travers les mois d’hiver sans soleil. Cela semble être la seule option discutée dans l’article récent.

Cependant, ce n’est certainement pas la seule explication – elle n’est pas particulièrement bonne. Cependant, parce que la plupart des scientifiques sont attachés à la théorie de la tectonique des plaques, ils sont un peu coincé avec elle, parce que ses explications de comment l’Antarctique aurait pu « dériver » à son emplacement actuel pose d’autres problèmes, comme expliqué dans des articles précédents sur ce sujet (comme celui-ci).

Si tout Antarctique était sur une seule plaque tectonique, il aurait peut-être dérivé d’un climat plus tempéré. Toutefois, il serait encore difficile d’expliquer pourquoi tous les palmiers et les plantes mauves ne se sont pas décomposés et pourris pendant une telle dérive tectonique proposée des tropiques (si ce n’est sur une plaque tectonique très rapide qui ne donne pas le temps aux plantes mauves de disparaitre ! – alors que cette « plaque » ne bouge plus maintenant ?).

La théorie des hydroplaques du Dr Walt Brown n’a aucun mal à expliquer cette découverte de fossiles – en fait, ce nouveau constat de fossiles sub-tropicaux sous des kilomètres de glaces en Antarctique s’accorde parfaitement avec la chronologie des événements proposés par la théorie des hydroplaques.

Selon cette théorie, qui explique les preuves géologiques de notre planète par un mécanisme catastrophique plutôt que par un mécanisme progressif favorisé par la théorie tectonique classique, les continents ont glissé une seule fois dans le passé lointain, dans le cadre des événements entourant un déluge global. Le violent blocage que les continents ont subi à la fin de ce rapide glissement ont créé d’immenses montagnes et des endroits très épais dans des continents.

La région des montagnes les plus hautes et les plus épaisses est désormais l’endroit de notre planète avec les plus hauts sommets – l’Himalaya (la chaîne de l’Everest et de nombreux autres sommets, les plus élevés au monde). La création soudaine de cette région a entraîné un bouleversement majeur de l’ensemble de la planète, en conformité avec les principes connus de la physique. La Terre a continué de tourner sur son axe, mais l’orientation entière de la planète a été modifiée de façon spectaculaire par cet événement du passé. Le roulis provoqué par l’Himalaya a déplacé les régions de la planète qui étaient aux pôles de près de 35 ° à 45 °, et en même temps, il a déplacé vers le bas les régions de l’Antarctique et vers le haut celles de l’Arctique, alors qu’il n’y avait pas jusqu’à présent d’Arctique ou d’Antarctique du tout.

En outre, la suite de cet événement a été caractérisé par des océans très chauds et des continents beaucoup plus froids que nous avons aujourd’hui, qui ont créé les conditions pour de fortes précipitations, beaucoup ne tombant que sous forme de neige et créant de grandes plaques de glace. Ce fut l’ère glaciaire, qui plus tard se retira lorsque les océans se sont refroidis et que les continents ont coulé dans le manteau au cours des siècles après le cataclysme. Toutefois, les conditions météorologiques très différentes qui ont suivi l’inondation pourrait expliquer pourquoi l’Antarctique, qui reçoit aujourd’hui si peu de précipitations, a des calottes glaciaires si massives. Le « Big Roll » de la planète explique aussi pourquoi les scientifiques continuent de trouver des restes de flores quasi-tropicales dans un endroit aussi improbable que la terre de Wilkes.

Ces articles précédents ont discuté de ce «Big Roll » de notre globe plus en détail (voir « Earth’s Big Roll » et « 90° East Ridge« , par exemple).

Cette toute récente découverte de palmiers et de plantes mauves est loin d’être la seule découverte de vestiges distincts non-antarctiques qui ont été trouvés sous la glace. Des articles précédents ont discuté de la découverte de restes de tortues et de marsupiaux en Antarctique, ainsi que des restes de Titanosaurs – d’énormes dinosaures herbivores qui pesaient jusqu’à 100 tonnes !

La théorie de l’hydroplaque peut frapper certains comme une théorie extrême, mais vous pouvez décider vous-même si vous pensez qu’elle est plus probable que les arguments classiques qui veulent vous faire croire qu’il était une fois une forêt qui a grandi avec plein de ces animaux quasi-tropicaux (et d’énormes dinosaures) qui s’ébattaient sur une chaude Antarctique avec des hivers doux sans gel…

Si un événement extrême comme le « Big Roll » a vraiment eu lieu (et il y a de nombreuses preuves pour étayer la conclusion que c’était le cas), alors la théorie de l’hydroplaque n’est pas extrême du tout, mais plutôt la meilleure façon de comprendre la découverte de palmiers dans l’Antarctique.

Yves Herbo : il faut bien reconnaître qu’en plus, cette théorie de l’hydroplaque expliquerait plusieurs anomalies géologiques, magnétiques, non résolues par la théorie classique de la tectonique des plaques (qui a récemment trouvé une forte limite au niveau même de ses origines possibles et de sa réalité dans d’autres ères de la Terre, notamment le 1er milliard d’année de la planète…). La théorie de la dérive des continents liée à la tectonique des plaques a certes mis 50 ans à s’imposer… mais elle a été finalement reconnue sur la longueur, comme une promotion d’un fonctionnaire carrièriste… sans être prouvée de A à Z, de ses origines à maintenant…

En réalité, le mécanisme de déplacement des plaques continentales n’a jamais mis en évidence : mais on a émis l’hypothèse qu’il s’agirait de courants de convections : or, ce mécanisme est admis de manière empirique, c’est à dire sans preuve ! (cf 1er article)

La tectonique des plaques est trop faible pour former les montagnes : synthèse générale réalisée en 2012 à la suite du travail de 47 équipes de Chercheurs de tous les pays du monde de 1982 à 2010 (géophysiciens) (lire le 2nd article) cela signifie que l’on constate qu’il y a eu Dérive, mais les calculs montrent que les Plaques ne peuvent se déplacer d’elles-mêmes

Selon des conclusions « raisonnables » de chercheurs non spécialement liés à la théorie de la tectonique des plaques engendrant la dérive des continents, il devient plus logique de considérer un évènement brutal ayant déchirré la Pangée en une seule fois, par l’épanchement subi d’immenses poches d’eaux chauffée par le magma sous-jacent, créant un soulèvement du manteau à cette occasion et provoquant une dérive RAPIDE des nouveaux continents créés. Les chocs énormes provoqués par ces rapides glissements ont créés les chaînes de montagnes immenses comme l’Himalaya : les vitesses actuelles constatées ne pourraient pas permettre à la plaque indienne de s’enfoncer sous l’asiatique comme elle le fait actuellement, à vitesse beaucoup plus lente qu’à l’origine du choc…

Sources : http://www.nature.com/nature/journal/v488/n7409/full/nature11300.html

http://www.mnn.com/earth-matters/wilderness-resources/stories/antarctica-was-once-home-to-rain-forest

http://mathisencorollary.blogspot.fr/2011/05/antarctica.html

http://www2.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s1/tectonique.pl.html

 

Traduit par Yves Herbo pour Sciences-Fiction-Histoire 09-2012, up 05-2015

En commentaire Etina pose cette question:

Et si ce glissement soudain avait une autre cause ? :
https://www.youtube.com/watch?v=QF0PnQXC10c

D’autres articles intéressants:

Egypte, débat mouvementé entre Hawass et Hancock

USA, Oregon : un outil pré-Clovis de -16000 ans

L’outil a été trouvé en 2012 sous une couche de cendres intacte d’une éruption du mont St. Helens datant d’il y a 15.800 années.

Les pages des anomalies scientifiques – 2

On se rapproche un peu du « Livre des Damnés » de Charles Fort, mais plus récent et ces données existent, même si elles ne sont pas très connues et explorées.

Un paradigme s’effondre : l’Homme n’a ni inventé les outils, ni le langage

Il y a des découvertes comme ça qui remettent parfois tout en question. En général, ces découvertes sont la plupart du temps écartées d’office et leurs découvreurs mis à mal par leurs confrères, pendant des années. Deux découvertes publiées ces derniers jours remettent en question des dogmes très longtemps « bordés » et approuvés par l’ensemble du monde scientifique. Des dogmes qui rejoignaient d’ailleurs la même idée centrale et « anthropomorphique » : c’est le genre Homo et son avènement qui a amené sur la Terre une créativité intellectuelle et une évolution dont nous sommes le résultat actuel avec l’Homme Moderne. Autrement dit, ce sont les premières races humaines qui avaient fait toutes les découvertes évolutives, qui s’étaient « redressées » sur leur deux jambes et avaient créé les premiers outils de pierre et qui avaient fini par crééer les premiers arts, le langage puis l’écriture, etc…

Et bien la preuve du contraire vient d’être établie formellement sur deux de ces évolutions autrefois liées au genre « Homo » (Homo Habilis étant le premier dans la chronologie actuelle). Ces découvertes concernent l’outillage et le langage, la communication. …/…

Et pour ceux qui ont les yeux tournés vers les étoiles:

Cas de Trans-en-Provence (1981) (l’Echelle de Jacob)

Présentation du livre Les Mystères du Col de Vence (30 ans d’investigations par des passionnés de phénomènes OVNIS)

A voir chez Merlin:

Lumières étranges sur la Russie… par Paris Match

Quel est ce monde étrange ?

Une plante chinoise pour traiter l’obésité… !

Mystères des lunes de mars : Phobos et Déimos …

Des phénomènes inexpliqués sèment la pagaille dans une station-service…

Sur Zone-Info

Sous les pyramides des vestiges gênants d’une science avancée…

 

 

 

 

 

 

71 Commentaires

  1. Ca me donne envie de relire « Mondes en collision », l' »Empreinte des dieux », etc pour me rafraîchir la mémoire tout ça.

    • Cessez d’écrire des spéculations déformant avec des rêves un article scientifique très sérieux informant sur le climat d’il y a 48 à 55 millions d’années très chaud avec 5 à 10 fois plus de CO2 que pendant les glaciations récentes, et donc bien plus chaud pas de glaces aux pôles avec des mers.
      Nous allons vers un tel climat en multipliant le CO2 avec certitude, d’autant que la terre contient en carburants bien plus que nécessaire pour bruler tout l’oxygène respiré en CO2 et nous chauffer à mort jusqu’à l’asphyxie !! (la vie crée chaque molécule O2 en stockant sous terre un atome C carburant fossile !! ).

      Enfin newgeology.us est très théorique, avec des idées souvenirs des opposants d’autrefois contre la dérive des continents, des pressions trop simplistes, et ignore les effets des séismes, très forts chacun avec déplacements allant à plusieurs dizaines de mètres visibles, forces 8 à 10 très rares, mais qui contiennent la plus grande partie de l’énergie totale des séismes, et qui suffisent à former les montagnes, comme l’Himalaya, lui avec le maximum de risque sismique sur terre.

      Et les rêveurs sortent des affirmations délirantes, déformant les études scientifiques sérieuses, comme celle encore dans Nature, que nos ancêtres avec leurs mains cassaient des cailloux outils il y a 3,3 millions d’années, avec un cerveau de taille comparable à celle des chimpanzés, eux pas bêtes du tout, sachant se soigner mieux que nous dans les forêts équatoriales avec 300 plantes (voir sur M6 The Island pour notre incapacité à redevenir sauvages ) et se servir de cailloux pour casser des noix ou pécher des fourmis, et capables d’apprendre un langage de signes, sans parler des oiseaux parfois plus malins que les chimpanzés !!

  2. logique ! Il y a des milliards d’années ce « coin » était
    verdoyant et dans nos contrées on se pelait….

    Toutes les montagnes viennent en fait du fond de la mer
    suite aux collisions entre les plaques. Preuves on trouve
    sur le Mont Blanc des coquillages.

    Le process recommence ….
    dans nos contrées il y aura le désert, et là où se trouve
    le désert actuellement le climat sera tempéré et les montagnes retourneront à la mer. Pareil pour les océans (ils apparaissent, puis disparaissent . C’est ce qui est en train de se faire actuellemment sous nos yeux avec la mer Méditerranée
    Avant il y avait la « Pangée » toute l’écorce terrestre en un seul morceau. A présent 5 continents (par ex, l’Afrique du Sud était rattachée à l’Amérique du Nord.
    Or… la Terre étant ronde, tous ces morceaux, un jour vont à nouveaux se « coller »
    Rien de se perd dans la Nature….

    • exactement! ajoute a cela l’inversion des pôles et tu obtiens des climats différents a différentes éres, donc normal que a un moment ou un autre il y ai eu de la végétation 🙂

  3. un truc me gène un peu sur la fameuse carte de Piri Reis représentant
    l’Atlantique sud et prétendument les côtes de l’Antarctique:

    comment peut-on avoir simultanément les côtes de l’Antarctique
    libres de glaces (puisque dessinées avec précision),

    et un pont terrestre entre Amérique du sud et Antarctique,
    signe d’une forte glaciation (baisse du niveau des mers)….

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Carte_de_Piri_Reis

  4. sinon suis très content d’avoir appris que

    « le degré Fahrenheit est plus froid que le degré Celsius »https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

  5. Et petit à petit, on finit par découvrir que la théorie d’une planète perturbatrice qui fait son entrée périodique dans le système solaire pour remettre les compteurs à zéro en bousculant les continents, tient parfaitement debout.
    Un jour, on nous l’annoncera comme une évidence après l’avoir nié pendant des siècles.

  6. J’ai un peu de mal à voir comment les tectoniques volcanique et hydraulique sont mutuellement exclusives; il peut y avoir eu des alternances, ou une combinaison, non ? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif
    D’ailleurs, en parlant de changements géologiques aussi brutaux que subits, j’ai vu l’autre jour un docu sur la (trans-)formation d’une région de l’Oregon, suite à une inondation provoquée par une rupture de glacier … Je vais voir su je retrouve ça, c’est pas mal 🙂

      • C’est surtout qu’avec un changement de pôle magnétique on ne sait pas vraiment ce qu’il se passe. Si un moment donné la Terre perd son magnétisme, peut-être que celle si ne tient plus en place, n’est plus maintenue à l’équilibre et change d’axe de rotation avant un nouveau couplage du champs magnétique.
        Il est à noter que l’équateur était très certainement situé sur un axe d’une différence de 30° il y a quelques milliers d’années (au moins 12 000 d’après les études menées sur les anciens édifices utilisant le même savoir tous alignés sur le même diamètre). A savoir quand l’axe de la Terre aurait été modifié, on pourrait se pencher sur la période du déluge entre 1500 et 5000 AV JC voir 7000 AV JC. Mais au vu de l’énorme quantité de glace sur l’Antarctique je pense que cela doit être antérieur à cette période.

  7. Il y a des milliers d’années de cela…bref, des palmiers SOUS les glaces, ça peut s’expliquer mais:
    Du pollen, de fleurs inconnues, SUR la banquise à certaine période de l’année…comment explique t-on ça?
    Sans parler de cendre volcanique alors qu’aucun volcan n’est en activité au pôle nord ou de mammouth pris dans un iceberg, j’en passe et des meilleurs.
    On ne sait pas tout, les moutons, on ne sait pas tout…

  8. J’ai déjà lu quelques théories loufoques concurrentes à la tectonique des plaques, mais j’avoue que celle-là je ne la connaissais pas ^^
    La théorie de la tectonique des plaques est très récente puisqu’elle n’a vraiment été acceptée qu’à la fin des années 60 (notamment parce qu’on avait enfin des cartes détaillées des reliefs sous-marins, avec de belles dorsales océaniques montrant clairement le processus de fabrication des plaques océaniques). Depuis il y a des millions de preuves de la tectonique des plaques, c’est une théorie fondamentale de la géologie qui explique tout, comme la théorie de l’évolution explique toute la biologie.

    Sinon l’article se demande comment des palmiers ont pu se retrouver sous la glace sans se décomposer puisque la tectonique des plaques est censée être lente… En fait ce ne sont pas vraiment des palmiers entiers et encore tous droits qui ont été retrouvés, ce sont des fossiles de pollens. Les pollens sont très pratiques pour reconstituer des paléo-environnements parce qu’on en trouve des millions dans de tous petits échantillons de sédiment et parce qu’il sont incroyablement coriaces et se fossilisent très bien.
    Et puis ce n’est pas genre avant-hier qu’il faisait chaud en Antarctique, mais il y a 52 millions d’années…
    On sait que la Terre a connu des périodes beaucoup plus chaudes (au Crétacé où la glace n’existait pas sur Terre, et visiblement à l’Eocène aussi), et des périodes beaucoup plus froides (plusieurs périodes au Précambrien, où tous les océans étaient entièrement gelés).

    Pour les débuts de l’histoire de la Terre (l’Hadéen et l’Archéen), il est vrai que l’on suppose que la tectonique des plaques était fondamentalement différente (la Terre était plus chaude et les roches formées à cette période sont très différentes de celles d’aujourd’hui). Mais si la dynamique de la Terre est très mal connue pour cette période reculée, elle est beaucoup mieux comprise pour ce qu’il se passe aujourd’hui…

    Je n’ai que jeté un coup d’oeil à l’article qui dit que la tectonique serait trop faible pour former des montagnes (parce que cela m’intriguait quand-même)… Et je suis resté bloqué sur le schéma de la coupe de l’Amérique du Sud qui est complètement faux… Ils se demandent comment peut se former la Cordillère des Andes si la plaque océanique tire sur le continent en plongeant… Euh… Non, ce sont les très vieilles plaques océaniques, épaisses, denses et froides qui plongent spontanément (typiquement à l’ouest de l’océan Pacifique). Sous l’Amérique du Sud c’est une plaque très jeune qui n’a pas du tout envie de plonger et sur laquelle bute le continent (diable, on connait même les angles de plongée de la plaque océanique…).

    • En fait le site qui parle de l’impossibilité de faire des montagnes est un site créationniste, ceci explique cela… Evidemment, les continents qui mettent des dizaines de millions d’années pour se déplacer lentement ça les emmerde un peu quand on veut faire coller ça à la Bible ^^

  9. Si vous regroupez les infos de l’article précédent qui situerait le continentt Antarctique trés proche de l’Afrique avec la theorie d’une modification de l’axe de la Terre et donc d’un un nouvel équateur , un scénario commence à se dessiner:
    Çe n’est pas l’Antarctique qui s’est déplacé , mais tout le reste, sauf elle.
    Hapgood serait heureux de lire tout cela et entre parenthèse beaucoup prétendent que sa mort n’est pas accidentel.
    Çe sujet est beaucoup plus important que vous pouvez le soupçonner .

  10. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yes.gif
    genre un grand secret de l’histoire de l’Humanité ! …

  11. L’Antarctique était plus ensoleillé qu’aujourd’hui…. car il n’était pas à la même place, résultat de la dérive des continents cumulé à la modification de l’axe de la terre dans ces temps reculés l. Je rejoins donc « Mistral » sur ce point.

  12. Si l’ on constate les variations du niveau des mers, c’ est parce que celui-ci est inversement proportionnel, à la surface des calottes glacières terrestres.

    Une calotte de glace est un glaçon posé sur la terre ferme, contrairement à une banquise qui est un glaçon qui flotte sur l’ océan. Seule la calotte de glace peut modifier le niveau des mers, contrairement à la banquise, en stockant sur terre l’ eau prise des océans (le niveau baisse), ou en la rejettant à la mer en fondant (le niveau monte).

    Parce que la glace est formée par la pluie ou la neige des océans, qui gèlent et s’ agglomèrent, alors et grossièrement, plus la surface des calottes sera grande (en excluant donc les banquises neutres), moins le niveau des océans communiquant sera élevé, et inversement.

    Or, comme les scientifiques constatent des variations du niveau des mers (constructions immergées sous quelques dizaines de mètres, par exemple) et que le remplissage des océans nécessite d’ énormes volumes d’ eau, donc un stockage/déstockage en « calotte », alors, au fil de l’ histoire de notre globe, les surfaces des calottes glacières varieraient forcément dans de grandes proportions.

    Autrement dit, pour faire varier le niveau des mers de quelques dizaines de mètres, il faut faire varier la surface des terres aux pôles. Or, si ces surfaces continentales ne variaient pas, le niveau des océans serait toujours le même, peu ou prou. Toute la question serait de savoir par quel mécanisme, la variation du niveau des mers constatée, les terres polaires « grandiraient » et se « rétracteraient » rapidement.

    Charles Hapgood dans les années soixante avait proposé, comme mécanisme, celui du déplacement brutal et rapide de la croûte terrestre (lithosphère), avec déluge mythologique à l’ avenant, sous l’ effet des masses glacières polaires asymétriques et pesantes (sous l’ effet de la rotation de la Terre, les calottes excentrées par rapport à son axe, pousseraient sur la croûte terrestre).

    Bien que la théorie de Charles Hapgood fut convaincante et argumentée, il ne trouva pas une meilleure explication que l’ excentricité des masses glacières qui, sous l’ effet de la rotation de la Terre, finissait par provoquer son déplacement superficiel et « instantané » (surface de sphère terrestre). Rien ne prouvait hélas, que celui-ci fut brutal (en une journée), plutôt qu’ imperceptiblement lent.

    Pour que sa théorie devienne franche, il aurait fallu un mécanisme supplémentaire, à l’ asymétrie des masses glacières pesantes, comme la deuxième partie de la mécanique de création des Déluge sur Terre: brutal, soudain et exterminateur. Malheureusement, la puissance mise en jeu, par son énergie colossale et sa très grande rapidité, ainsi que les traces de ses « pièces mécaniques », passent inaperçues.

    Inaperçues…sur Terre (quoique). Imaginons maintenant qu’ un objet céleste provoque une décharge électrique « planétaire », entre lui-même et la Terre.

    Parce que l’ univers serait aussi électrique, parce que le Soleil serait une titanesque source d’ énergie électrique (courant continu), parce que les planètes qui gravitent autour de ce Soleil électrique, deviendraient des surfaces de sphères électriquement chargées (potentiel électrique), parce que le « vent solaire » n’ est qu’ un banal courant électrique (électrons, protons et ions en mouvement), parce que les planètes solaires sont reliées entre-elles par des bras de poussière électrisée (queue de plasma), parce que selon les lois de l’ électricité, ce gaz isolant raréfié peut « claquer » sous certaines conditions (densité, nature et pression électrique), parce qu’ enfin le champ électrique régnant entre le Soleil (+) et son héliopause (-) est asymétrique (héliosphère).

    Pour toutes ces excellentes raisons: source d’ énergie balèze, différences de potentiel entre planètes et queues de plasma fragiles, alors oui, s’ il existait un corps mystérieux et « inconnu », situé pas très loin de la Terre, et si ces deux planètes étaient reliées entre-elles par un bras de plasma « claquable », un éclair céleste pourrait effectivement foudroyer la Terre, de toute sa puissance électrique.

    Dans ce cas de figure, sachant que les océans salés sont moins conducteurs de l’ électricité que la Terre, d’ énormes courants électriques circuleraient en sous face de notre surface, ils vaporiseraient les fluides ou pâtes souterraines, leurs vapeurs coincées sous terre pressuriseraient une certaine couche lithosphérique, et la Terre alors placée sur ce coussin d’ « air », n’ aurait plus qu’ à déraper, propulsée par les fameuses masses glacières, asymétriques et pesantes, de notre cher Charles Hapgood… Introduisant, enfin, le Déluge.

    La source d’ énergie électrique est identifiée, c’ est le Soleil, le bras de plasma semiconducteur est identifié, c’ est le tore de poussière qui entoure l’ orbite de la Terre, la deuxième électrode invisible, dans ce contexte, se localiserait alors: à l’ autre bout du « fil » (l’ anneau de poussière écliptique), soit, la planète Vulcain ou l’ AntiTerre, qui serait cachée derrière le Soleil.

    • Je cite : « les traces de ses « pièces mécaniques », passent inaperçues. »
      Depuis une certaine altitude aérienne ou devrais-je dire, spatiale (satellite), on peut aisément déceler ces traces.
      Certains reliefs que l’on nous a toujours dit qu’il s’agissait de la glaciation, sont en fait les traces de frottement d’avec un autre astre. Sinon comment expliquer une glaciation en Afrique du sud, avec un relief strié et rectiligne et des volcans dont il ne reste qu’un résidu de cratère et non une prétendue caldeira ! Le même relief strié est observable dans le grand nord, nord est du Canada, dans les steppes russes et ailleurs encore !
      C’est comme pour la lune, les spécialistes finissent par l’admettre, la Terre n’a pas toujours été là où elle est actuellement. Car des impactes lunaires se sont produits à angle droit, or actuellement la Terre se trouve droit dans cette trajectoire

      • Je vais sans doute dire une connerie, mais la ceinture d’astéroïde n’est pas là pour la déco…
        Destruction d’un corps céleste ou reste de copeaux d’une collision ou que ne sais-je point !
        http://fr.ubergizmo.com/2015/03/03/mystere-dawn-ceres-asteroide.html
        En revanche ce que j’ai appris niveau correspondance analogique entre le système solaire et les fonctions organiques dans la tradition chinoise s’étalonne comme suit :
        -Soleil, Coeur/Feu-
        -Mercure , Intestin Grêle/Feu+
        -Vénus, Vessie/Eau+
        -Terre, Estomac/ »notion de centre »+ & Lune, Rate/ »notion de centre »-
        -Mars, Poumon/Métal-
        -ceinture d’astéroïdes, Maître Coeur/ »Feu de la terre »-
        -Jupiter, Gros Intestin/Métal +
        -Saturne, Triple Réchauffeur/ « Feu de la terre » +
        -Uranus, Vésicule Biliaire/Bois +
        -Neptune, Foie/Bois –
        -Pluton, Rein/Eau –

        Maître Coeur et Triple Réchauffeur sont un couple, de même que Vénus et Pluton en énergétique traditionnelle.
        Vous remarquerez que contrairement à tout les autres « couples élémentaires » les supports denses ne sont pas mitoyens.
        Ce n’est pas anodin…

        (il me semble qu’en spagyrie cela soit identique, pas chez moi pour vérif, désolé)

        Après si quelqu’un retrouve le doc youtube sur « l’hypothétique » (pincettes recommandées…) impact entre Nibiru/ »Vulcain » et la « Terre » en vf ça sera toujours mieux que ce lien anglophone
        http://www.youtube.com/watch?v=5_QJX-bFtgE

        Bref tout ce galimatias pour dire que vos théories « conspirationnistes » sont plausibles Pi÷2, surtout sur ce qu’implique ce que vous avancez niveau énergétique, ça me parle carrément !

        • Je ne connais pas la tradition chinoise, mais les approches différentes sont toujours instructives, pour ne pas dire complémentaire.

          Je ne comprends pas pourquoi la ceinture d’ astéroïdes, entre les planètes Mars et Jupiter, n’ a pas fini par s’ agglomérer pour former une planète (selon l’ explication officielle), comme les autres ? Même s’ il existe une théorie scientifique pour l’ expliquer.

          Le principe de simplicité (« les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables »), suggérerait une catastrophe astronomique, bien évidemment.

          • Le simple fait de ces deux taches qui « réverbèrent » la lumière sur Ceres implique soit une présence de glace, soit de sel.

            Si je dis que l’eau de mer contient les deux, est il judicieux de dire qu’il y a eu de l’eau salé sur l’agrégat premier dont est issu la ceinture d’astéroïdes ou que celle ci provienne d’une autre planète du système solaire sur laquelle a pu se briser ce « corps céleste/agrégat premier » dont cette ceinture d’astéroïde est issue ?

            Pour en revenir à la « non agglomération », qu’est ce qui se produit quand on frappe une barre de fer sur un acier plus dur (chargé en carbone) ?
            Ne serait ce pas de l’électricité statique ?

            Si ce que vous avancez sur les polarités « internes et externes » des différents feuillets de cet oignon qu’est cette énorme Matriochka qu’est notre système solaire induit un phénomène de « résonance polaire de potentiel » (Résonnance de Schuman (?), « tenségrité » étant un terme synonyme de cette conception duelle que la tradition chinoise nomme yin yang, clef de voute de ce logisme), entre toutes ces « poupées gigognes faisant la ronde » se révèle être admis comme une réalité possible par les scientifiques, l’éventualité que les « charges de champs » aient stabilisé orbitalement le « statisme »(énergie, pas matière dense) et donc « les copeaux » d’une probable collision est loin d’être l’idée la plus saugrenue dont débattraient les traditionalistes orientaux…
            De là à penser que la fameuse 10ième planète est sur ce plan mais derrière le soleil par rapport à la terre, c’est séduisant.

            Après je peux me tromper mais pour mon lobe gauche c’est le plus logique car je ne connais pas l’explication scientifique officielle du pourquoi de la ceinture d’astéroïde et j’essaye de comprendre avec ce que j’ai sous la main.
            (excusez mon incurie, je chercherais ça plus tard)

            De même il est démontré que la gravité inhérente à chaque atmosphère est induite par la distance planète-soleil.
            Donc en jouant au cancre, est ce qu’un changement de taille des espèces peut être provoqué par une différence conséquente de cette distance.
            Et si oui, est ce que la disparition des dinosaures est plus vraisemblable avec ce concept ou avec celui de la glaciation ?

            Merci de votre lecture.

      • Les reliefs striés du Canada sont bien le résultat du lent déplacement de l’inlandsis durant la dernière période glacière. D’ailleurs quand les glaciers ont fondu ils ont laissé les blocs de roche qu’il transportaient un peu partout, notamment en équilibre sur les sommets et les crêtes, un phénomène qui amuse les géologues de 7 à 77 ans quand il s’agit de les pousser un peu pour qu’ils dévalent une pente ^^ Les astres ne se frottent pas entre eux, ils entrent en collision… Le planétoïde de la taille de Mars qui a heurté la Terre au début de son histoire et conduit à la formation de la Lune, ce planétoïde a éventré la Terre et éjecté un tiers de son volume, jusqu’à une petite partie du noyau terrestre.

        Les impacts observés sur la Lune (comme sur la plupart des autres planètes et satellites rocheux du système solaire) sont le résultat du « grand bombardement tardif », il y a 4 milliards d’années. La Terre a aussi été impactée par ce bombardement, mais elle possède une surface dynamique qui a effacé tous ces impacts depuis longtemps.

        • Si les corps astronomiques électrisés peuvent entrer en collision, pour le plus, alors et pour le moins, ils devraient être capable de se frôler, comme la dernière comète a frôlé le Soleil à son périhélie, et suivant les circonstances, se décharger entre-eux au passage.
          https://archivesmillenairesmondiales.wordpress.com/2013/10/10/decouverte-dune-etrange-planete-flottant-seule-dans-lespace/

          En ce qui concerne la création de la Lune à partir de la Terre, ce n’ est qu’ une théorie qui devrait se conjuguer au conditionnel (qui était né pour le voir ?). Certaines datations des blocs lunaires montrent qu’ elle existait avant la Terre elle-même ! Les mythes ignoreraient la Lune avant 12 000 ans…
          http://www.jardin-secret.org/legendes-verites.html

          Comment la formation des planètes par agglutinement de poussière et de roches, pourrait enfanter une quasi parfaite sphéricité, plutôt qu’ une banale patate ? Pourquoi ne retrouverait-on pas les morceaux, ou les traces de ce puzzle planètaire chez elles (autrement que par un raisonnement magique) ?

          La théorie de l’ univers életcrique, en jouant avec une force infiniment plus vigoureuse que la gravité, change complètement la donne là-haut et en bas aussi car, la décharge électrique astronomique serait capable, par son plasma, de modifier l’ horloge des matériaux là ou elle frapperait et donc, de modifier les dates mesurées.
          http://www.thunderbolts.info/tpod/2007/arch07/071128fireandice.htm

          Avec la théorie de l’ univers électrique, curieusement ignorée par les médias, les écoles et les savants, TOUT change.

          • La plupart des roches lunaires sont datées d’autour de 4 milliards d’années, ce qui a d’ailleurs beaucoup étonné les scientifiques au début parce qu’ils pensaient qu’elle avait à peu près le même âge que la Terre (4.55 Ga). mais maintenant on sait que sa surface a été fortement remaniée par les grand bombardement tardif et que c’est précisément cet événement qui est ainsi daté.
            Sinon la Lune existe depuis beaucoup plus longtemps que 12000 ans, vu que sans elle l’existence de la vie aurait été difficile sur la Terre. En effet la Lune stabilise l’axe de rotation de la Terre et sans elle cet axe de rotation bougerait de façon chaotique entraînant des bouleversements climatiques difficilement compatibles avec la vie (et puis encore une fois les cailloux lunaires sont pratiquement tous datés autour de 4 Ga, soit vachement plus que 12000 ans).

            Les planètes ont une forme sphérique parce que leur champ de gravité est suffisamment fort pour atteindre cet équilibre. Les plus petits corps (moins de 1000 km de diamètre) ne sont effectivement généralement pas sphérique, parce la gravité n’y est pas suffisamment forte.
            Concernant par exemple la Terre, on ne retrouve pas un puzzle de « morceaux » parce que c’est une planète active. Au début de son histoire elle était très chaude, d’abord à cause de l’énergie des chocs de collision, puis à cause des éléments radioactifs qui la composent. Cette source de chaleur interne a permis la migration des éléments sidérophiles en son coeur pour former le noyau. Si vous voulez voir un astre qui forme une sorte de puzzle cosmique, regardez la tête de Miranda, un satellite d’Uranus (trop petit, trop peu de chaleur interne, pas de remaniement, etc…).

            Je ne vois pas du tout comment des décharges électriques pourraient « modifier l’horloge des matériaux » sachant que les datations sont faites à partir de rapport isotopiques qui sont très stables et très cohérents. J’ai moi-même effectué des datations U-Pb sur des roches alors pour le coup dans ce cas précis je sais de quoi je parle.

            La théorie de l’Univers électrique est ignorée parce que nous disposons déjà de théories qui fonctionnent foutrement bien, et que des prétentions extraordinaires demandent des preuves extraordinaire. Après avoir jeté un oeil à cette théorie, j’ai l’impression qu’elle résulte surtout de raisonnements hypercritiques. La méthode hypercritique implique de rejeter en bloc l’intégralité d’une théorie pour le moindre petit détail merdique qu’elle aurait du mal à expliquer. Ce n’est pas comme ça que marche la science. Les théories scientifiques resteront toujours à préciser dans les détails, mais observer maintenant un changement de paradigme est très peu probable. Par exemple la théorie de la gravité de Newton marche très bien en gros, mais pas suffisamment en détail et à de très grandes échelles. C’est pour ça qu’il a été nécessaire d’élaborer la théorie de la relativité générale, qui complète la théorie de Newton pour les détails, mais ce n’est pas pour ça que cette dernière serait fausse et rejetée ^^
            Et puis les théoriciens de l’univers électrique aiment beaucoup converser sur la nature de comètes, objets bien mystérieux… Jusqu’à ce qu’on mette une sonde en orbite autour de l’une d’elle et qu’on envoie une autre petite sonde à sa surface ^^ Et oui, les comètes sont bien des agglomérats de poussière et de glace…

            • Bonjour Sana
              Ce n’est pas les théories « mathématique » que nous mettons en cause mais les intépretations humaines et lorsque une intérpretation emporte un consensus elle a tendance à se prendre pour une théorie mathematique !
              Nous somme si ignorant sur beaucoup de choses que nous la compensons par une certitude innébranlable!

               » Quand un homme de science réputé et âgé déclare que quelque chose est possible, il a fort probablement raison
              Quans il déclare que quelque chose et impossible, il a presque certainement tort. »
              Artur C.Clarke

            • Mathématiquement, tu admettras que l’Homme n’a toujours pas trouvé la formule reliant les 4 forces avec une seule équation, pour ma part cette théorie d’univers électrique viendrait tout à fait (potentiellement lol) s’ajouter à notre physique admise en la complétant, pour ça il faudrait l’étudier … ce qui ne semble pas dans la volonté officielle d’aujourd’hui.

              Sans tout remettre en doute mais juste en complétant le bout d’équation manquant, cette théorie électrique prend tout son sens et donnerait (conditionnel) l’équation générale des forces recherchée par les physiciens depuis belle lurette …
              (ex du sourceur qui trouve ses sources grâces aux champs magnétiques (officiellement appelé électricité statique) d’un cours d’eau sur des roches/terres comme on fait dévier un flux d’eau d’un robinet avec de la magnétite).
              ps : ce que j’explique n’est rien de plus ni de moins que le principe de supersymétrie étudié au cern … (une particule distante de plusieurs km avec sa particule jumelle se comporte exactement de la même manière (100 % des cas)).

              Il nous reste tant à découvrir … mais comme disait Einstein (le prend pas pour toi mais plutôt pour nos politiques qui laissent les multinationales diriger la recherche fondamentale pour du extra lucratif) : Deux choses sont infinies, l’univers et la bêtise humaine … mais pour l’univers j’ai des doutes.

              • http://www.cornelius-celsus.org/fr/2_0_recher/cont_2_energ.html
                https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

                Système énergétique et Fractales

                Dans les années soixante, le Dr Borsarello, Médecin Chef de l’armée de l’Air, décrivait dans son cours d’acupuncture, les relations existant entre les 64 hexagrammes du Yi Jing chinois, système énergétique traditionnel, et les 64 codons du code génétique. Plus tard, le Dr. Martin Schönberger1 puis Fritjof Capra2 développèrent cette idée, sans cependant déboucher sur une application pratique.
                Nous appuyant sur la théorie des « fractales » élaborée par Benoît Mandelbrot3 en 1975, le génome humain de même que les gènes du génome, ne constitueraient-ils pas, chacun, un système énergétique complet répondant aux lois de régulation et de fonctionnement que le Yi Jing et la tradition chinoise4 nous permettent de préciser en prenant pour modèle l’organisme humain ? En effet, « une fractale est un objet mathématique qui a comme propriété première d’être identique à lui-même quelle que soit l’échelle à laquelle on l’observe; c’est la propriété d’autosimilitude »5. Cette propriété est facilement décelable dans les cristaux de neige ou encore dans les feuilles de fougère.
                Cette itération, horizontale, peut être étendue aux différents degrés d’organisation de la matière: organique, cellulaire, moléculaire… Il s’agit alors d’une fractalité verticale ou itération de qualités et de fonctions utilisant des énergies ou des structures de différents types, propres à chacun des degrés considérés, mais définissables selon un même schéma mathématique.
                ibid http://www.cornelius-celsus.org/fr/2_0_recher/index_2.html

                https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

              • @kita et @Bélier enragé

                En occurrence, les théories cosmologiques sont basées essentiellement sur des objets mathématiques, et leurs prédictions sont généralement bien corrélées avec les observation (avec quand-même quelques bizarreries qu’on a encore du mal à expliquer…)
                Je ne dis pas que la théorie de l’Univers électrique est « impossible », je dis juste qu’on a déjà des théories qui sont extrêmement solides. Ces théories peuvent s’effondrer un jour, c’est vrai, mais pour les contrer il faut apporter des preuves vraiment ultra-solides.

                Et je ne pense pas que la théorie de l’Univers électrique pourrait compléter les théories déjà existantes, parce qu’elle est furieusement contradictoire avec ces dernières.
                Par exemple j’ai lu que selon cette théorie, le Soleil serait chargé électriquement et ne créerait pas de l’énergie de lui-même, cette énergie étant apportée par des courants de plasma reliant les étoiles et probablement d’autres objets (parce qu’in fine il faut bien qu’elle vienne de quelque part cette énergie…). Du coup cette théorie rejette totalement la théorie des réactions nucléaire au coeur du Soleil… Alors que ces réactions nucléaires sont prouvées de très nombreuses manières ^^ Ce n’est pas comme si l’énergie émise par le Soleil était mystérieuse, on sait précisément d’où elle vient, et on peut même reproduire ce phénomène sur Terre ^^ (dans les différentes sortes de réacteurs à fusion). Et puis ça explique tout, la nature des rayonnements émis par le Soleil, la nature des éléments créés, les différents variétés d’étoiles qui composent l’Univers ainsi que leurs compositions, etc…

                Et voilà une vidéo qui explique un peu comment on essaie aujourd’hui de faire une théorie qui relie les 4 forces, et à laquelle on comprend vaguement quelque chose…

                http://www.youtube.com/watch?v=rXhzeKh8yBk

                • « Par exemple j’ai lu que selon cette théorie, le Soleil serait chargé électriquement et ne créerait pas de l’énergie de lui-même, cette énergie étant apportée par des courants de plasma reliant les étoiles et probablement d’autres objets (parce qu’in fine il faut bien qu’elle vienne de quelque part cette énergie…). Du coup cette théorie rejette totalement la théorie des réactions nucléaire au coeur du Soleil… » –> je ne sais pas où tu as vu cette théorie fumeuse mais ce n’est aps ça la théorie de l’univers électrique, elle diraot plutôt : le Soleil serait chargé électriquement (avec la réactio nucléaire) et serait relié par des courants (pas de plasma selon moi) à d’autres objest célestes …

                  Si tu veux une preuve que même sur notre planète il y a des choses bizarres lié à la gravitation (et donc l’électricité), je te conseille de chercher sur you tube : anomalies gravitationnelles avec des expéreinces faites par des étudiants qui montretn que deux gyroscopes lachés du mm endroit (et en CNTP) et l’un tournant sur lui même et l’autre pas n’arrivent pas en même temps en bas …
                  aucune explication physique et logique … si ce n’est que potentiellemnt le gyroscope tournant influerait sur l’électricité ambiante et jouerait sur la gravité….
                  https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

                  • L’armada des vidéos de bizarreries pseudo scientifiques sur le web sont bonnes pour tester la valeur d’un scientifique en lui demandant de trouver où sont les erreur ou arnaques !!
                    http://www.youtube.com/watch?v=h8rL0CaGOPQ
                    On ne voit rien de probant mal filmé !!
                    http://www.youtube.com/watch?v=uURb6powPX8
                    http://www.youtube.com/watch?v=FiYnKDj7xag
                    et un ou deux pixels douteux :
                    http://www.youtube.com/watch?v=LTmohM_YIbI

                    • sur ces vidéos je ne vois rien de flagrant dans un sens ou dans l’autre, elles ne m’avaient pas convaincu … par contre celle du haut de l’immeuble est déjà bcp plus convaincante (ce qui ne veut pas dire vrai) …
                      Du coup je veux bien que tu m’aiguilles … arnaque ? ceci dit je ne me prétendrai pas scientifique (bien qu’ingé) et suis très très loin d’être infaillible …
                      si tu peux m’éclairer … tu es le bienvenu

                    • Un travail scientifique sérieux c’est beaucoup de travail soigneux à considérer toutes les erreurs possibles, surtout pour des mesures très précises, et fort loin de rêves simplistes.
                      Les gyroscopes fascinent, mais ce n’est que l’application de l’inertie avec des forces, comme la force centrifuge ou de Coriolis, qui cherchent à maintenir un mouvement rectiligne de chaque atome tournant du gyroscope.
                      http://www.youtube.com/watch?v=jQEKhIovKA0
                      http://www.youtube.com/watch?v=TUgwaKebHTs
                      On met plein d’équations, mais le principe reste simple : essayer de bouger le plus droit possible !!! Sinon si c’était complexe, il n’y aurait pas d’équations possibles !! .
                      Au lâcher (lui complexe, tenu par en dessous ) chaque gyroscope subit une petite rotation (car le point d’accrochage n’est pas à son centre de gravité) qui, seulement pour celui qui tourne, entraîne une réaction à angle droit du gyroscope tournant, qui change les frottements transitoires au lâcher, et qui se retrouve à l’arrivée de la chute !!
                      Tester cet effets subtils demande beaucoup plus de travail que sur ces vidéos, fonction des modes de lâcher, etc… !!
                      Un exemple d’erreur amusante de ce type avec un effet bien plus fort de gyroscopes lui très visible !!
                      http://www.youtube.com/watch?v=vYliuFLMIHY

            • La plupart des roches lunaires sont datées d’autour de 4 milliards d’années, ce qui a d’ailleurs beaucoup étonné les scientifiques au début parce qu’ils pensaient qu’elle avait à peu près le même âge que la Terre (4.55 Ga). mais maintenant on sait que sa surface a été fortement remaniée par les grand bombardement tardif et que c’est précisément cet événement qui est ainsi daté.

              Peut-être, voilà un extrait d’ article de Fred Idylle à ce sujet:
              Préoccupons-nous maintenant de l’ancienneté des roches lunaires : La revue américaine, trimestrielle de Juin 1976 intitulée « UFO REPORT » contenait un article remarquable de huit pages de Don Wilson tiré probablement de son livre « Our mysterious space ship Moon » paru aux États-Unis en 1975 et seulement en 1979 en France. Jetons, voulez-vous, un coup d’œil furtif sur l’information hors norme que contient cet article, qui est en anglais bien sûr et dont nous vous donnons une modeste traduction ci-dessous :

              …Mais le premier spécimen de roche que l’astronaute Neil Armstrong ramassa dans la Mer de la Tranquilité après son alunissage se révéla dater de plus de 3,6 milliards d’années. Mais ce ne fut qu’un début dans l’histoire de ce mystère d’ancienneté. L’une des pierres rapportées au cours de ce premier voyage, se révéla d’un âge déconcertant de 4,3 milliards d’années. Une autre roche (la n°13) atteint la datation encore plus exceptionnelle de 4,5 milliards d’années..

              Et un échantillon de sol rapporté par Apollo 11, se révéla vieux de 4,6 milliards d’années – l’âge même que les scientifiques attribuent à la Terre et et au système solaire. De même, les sondes inoccupées soviétiques, décelèrent dans l’une des plus anciennes mers de la Lune , la Mer de la Fertilité, des pierres âgées de 4,6 milliards d’années.

              Cependant selon le périodique d’astronomie bien connu , « Sky and Telescope », la Conférence sur la Lune de 1973, à laquelle participèrent la plupart des spécialistes lunaires de la NASA, révéla que l’on avait découvert une roche lunaire datant de 5,3 milliards d’années. Un autre rapport, fondé sur la méthode potassium-argon qui est aujourd’hui, le système de datation, le plus précis, établit que « certaines pierres » ont atteint l’âge incroyable de 7 milliards d’années.

              Et s’il faut croire un autre rapport « deux pierres rapportées par Apollo 12 ont été estimées pour avoir l’âge de 20 milliards d’années. » Incroyable ? Apparemment, car il s’agit là de 4 fois l’age de notre planète et notre système solaire… Autant que nous le sachions, c’est la limite d’âge extrême qui ait jamais été attribuée à une partie de l’Univers….

              Dans un article de « Chemistry » de Février 1974 , le Dr Urey avance que des pierres lunaires ont révélé qu’elles contenaient des isotopes du Xenon produites par la fission du plutonium 244 , qui n’existe pas sur la Terre, ce qui indiquerait que la Lune est beaucoup plus ancienne.

              Que dire de plus, si ce n’est encore que: Le sol et les roches lunaires ont suscité tant de contradictions qu’une équipe de savants de l’Institut Technologique de Californie (Caltech) a présenté un rapport intitulé « The Lunatic Asylum  » ( L’Asile de Fous)… »

              Sinon la Lune existe depuis beaucoup plus longtemps que 12000 ans, vu que sans elle l’existence de la vie aurait été difficile sur la Terre. En effet la Lune stabilise l’axe de rotation de la Terre et sans elle cet axe de rotation bougerait de façon chaotique entraînant des bouleversements climatiques difficilement compatibles avec la vie (et puis encore une fois les cailloux lunaires sont pratiquement tous datés autour de 4 Ga, soit vachement plus que 12000 ans).

              Oui effectivement, la Lune aurait un effet vital et protecteur sur la Terre, j’ ai apparemment dit une bêtise. D’ un autre côté, il y a les mythes et les témognages anciens, qui semblent ignorer la Lune au delà de 10 000 ans avant JC, d’ une part, et cette date est en rapport d’ autre part, avec le cataclysme qu’ il y aurait eu à cette époque (-10 500 ans).

              Ceci expliquerait cela, si associé à une évolution humaine cyclique et antérieure, qui aurait été trop primitive par une cruelle solitude et un cruel manque de temps (effacement des signes de la Lune, s’ il y en avait).

              Les planètes ont une forme sphérique parce que leur champ de gravité est suffisamment fort pour atteindre cet équilibre. Les plus petits corps (moins de 1000 km de diamètre) ne sont effectivement généralement pas sphérique, parce la gravité n’y est pas suffisamment forte.
              Concernant par exemple la Terre, on ne retrouve pas un puzzle de « morceaux » parce que c’est une planète active. Au début de son histoire elle était très chaude, d’abord à cause de l’énergie des chocs de collision, puis à cause des éléments radioactifs qui la composent. Cette source de chaleur interne a permis la migration des éléments sidérophiles en son coeur pour former le noyau. Si vous voulez voir un astre qui forme une sorte de puzzle cosmique, regardez la tête de Miranda, un satellite d’Uranus (trop petit, trop peu de chaleur interne, pas de remaniement, etc…).

              Les petits corps, comme Miranda, ne peuvent être qu’ entier selon cette théorie qui, n’ est qu’ une théorie ! Qui peut se vanter d’ être né à cette époque pour le constater de visu ? Le problème avec cette théorie, c’ est qu’ elle sous-entend que la vie dans le cosmos y est tranquille, une fois le chaos primordial et « créateur » endormi.

              Je ne vois pas du tout comment des décharges électriques pourraient « modifier l’horloge des matériaux » sachant que les datations sont faites à partir de rapport isotopiques qui sont très stables et très cohérents. J’ai moi-même effectué des datations U-Pb sur des roches alors pour le coup dans ce cas précis je sais de quoi je parle.

              Simplement parce que tu ne saurais pas tout. La radioactivité pourrait être réduite par des processus physiques. Si l’ on peut obtenir une fusion froide avec une prise de courant, il serait raisonable d’ envisager une modification de l’ « horloge des matériaux », lors d’ une décharge électrique d’ énergie planétaire.

              La théorie de l’Univers électrique est ignorée parce que nous disposons déjà de théories qui fonctionnent foutrement bien, et que des prétentions extraordinaires demandent des preuves extraordinaire. Après avoir jeté un oeil à cette théorie, j’ai l’impression qu’elle résulte surtout de raisonnements hypercritiques. La méthode hypercritique implique de rejeter en bloc l’intégralité d’une théorie pour le moindre petit détail merdique qu’elle aurait du mal à expliquer. Ce n’est pas comme ça que marche la science. Les théories scientifiques resteront toujours à préciser dans les détails, mais observer maintenant un changement de paradigme est très peu probable. Par exemple la théorie de la gravité de Newton marche très bien en gros, mais pas suffisamment en détail et à de très grandes échelles. C’est pour ça qu’il a été nécessaire d’élaborer la théorie de la relativité générale, qui complète la théorie de Newton pour les détails, mais ce n’est pas pour ça que cette dernière serait fausse et rejetée ^^
              Et puis les théoriciens de l’univers électrique aiment beaucoup converser sur la nature de comètes, objets bien mystérieux… Jusqu’à ce qu’on mette une sonde en orbite autour de l’une d’elle et qu’on envoie une autre petite sonde à sa surface ^^ Et oui, les comètes sont bien des agglomérats de poussière et de glace…

              La comète Lovejoy a prouvé en 2011, en cuisant durant une heure dans le four de la couronne solaire, thermostat 1 à 3 millions de degrés, qu’ elle n’ était pas une grosse boule neige sale, parce qu’ en sortant du four, elle n’ avait pas sublimée (les sondes posées sur une comète ne montrent pas de glace).

              Les sites relatifs à la théorie de l’ univers électrique, prennent bien soin de préciser que cette théorie, vieille d’ un siècle (bonjour la transmission des connaissances), n’ a pas pour prétention de supprimer la théorie de l’ univers newtownien, mais de compléter ces lois de la gravition, par les nouvelles lois de l’ électricité, qui serait omniprésente dans l’ univers.

              Bien que je n’ en croie pas un traître mot (toi non plus sans doute), les astrophysiciens et les astronomes « sérieux » nomment officiellement le flot des particules, émises par le Soleil (principalement des protons), de « vent solaire ». Or, n’ importe quel lycéen sait, grâce à ses cours de physique, que des particules électrisées qui se déplacent dans l’ espace, cela s’ appelle un courant électrique.

              Parce que ce « vent solaire » est soumis à une accélération constante observée, il est donc le sujet d’ une force constante, qui trahit la présence d’ un champ électrique (déplacement linéaire). Dans la théorie de la chaudière nucléaire solaire, seule la libération « protonique » par énergie thermique (directement ou indirectement), permettrait de justifier ce « vent ».

              Malheureusement, cet effet analogue à celui d’ une cathode thermo-émissive, engendre une force de rappel (due à l’ absence de la charge libérée), qui au bout d’ une certaine distance et comme son nom l’ indique, ramènerait la particule vers son origine (le Soleil). Ainsi une « bulle » électrisée apparaîtrait autour de l’ émetteur solaire, remplie de particule qui vont et viennent (admettons l’ héliosphère).

              Or, ce « brouillard solaire » n’ est pas observé (pas de déplacement à double sens des charges), donc, le Soleil émetteur de protons est une anode, dont la cathode ne peut être que son héliopause et son héliosphère le champ de leur influence. Le système solaire est observé et déduit électrique et les étoiles de l’ univers le seraient aussi, probablement.

        • bonjour Sana-Kan,

          J’ai vécu durant plusieurs années dans la région de Grande Rivière, et lors de mes nombreuses randonnées j’ai ramassé moult caillasses de toutes formes et de matières très différentes.
          J’en ai conservé deux spécimen ramassés en 1966 à deux endroits différents, et ce n’est qu’en 1988 lors de l’analyse de leur composition, l’un argenté et doré non corrodé depuis, et l’autre de par sa texture étrange et sa forme de cigare, que nous en sommes arrivé à la conclusion qu’il ne s’agissait pas de matériaux terrestres connus.
          L’argenté est parti de labo en labo depuis janvier 2015 et à ce jour, les trois analyses déjà effectuées, nous donnent la même conclusion.
          Quant à la composition de l’échantillon collecté par le deuxième labo, reste toujours en cours de détermination. Une première analyse a permis de définir une forme d’alliage avec du tungstène, à 98% de pureté. Ce même métal en usinage atteint de nos jours, 99,99.
          Ces pierres ont été ramassées dans le creux de sillons dont on ne peut parler ni d’Esker, ni de Drumlin qui eux ne s’étendent que sur une centaine de mètres pour l’un ou se présente pas sous forme bombée pour l’autre. Ici les sillons courent sur plusieurs centaines de kilomètres !!

          D’autre part, l’origine de la glaciation est un refroidissement brutal des températures ayant modifié le climat sur un laps de temps court, on parle de quelques semaines tout au plus un à deux mois. Les analyses des carottes de glaces et des échantillons alluvionnaires de divers cours d’eau, vont tous dans le même sens. Donc s’il s’agit d’un refroidissement climatique pour ainsi dire subit, la couche de neige de départ s’étant compactée avec les couches successives, remplissant au fur et à mesure les moindre anfractuosité du terrain, il devient dès lors impossible d’avoir un quelconque mouvement de déplacement. La glaciation telle qu’elle est suggérée, s’assimile à avoir versé un gros seau d’eau par le pôle et qu’en se figeant, elle aurait acquis son mouvement en tombant du nord vers le sud.

          Non mais ! On ne réfléchit pas ou quoi ! On a le plus bel exemple sous les yeux avec l’Antarctique, avec ses 3 à 4 km d’épaisseur d’inlandsis, on y détecte des pics aussi acérés que des aiguilles. Alors où est le rabotage comparable à celui prétendu pour la glaciation ??
          Pour preuve voici une image topographique dans le cadre de Bedmap2 de la Nasa : http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/builds/images/thumbs/9/95bf7504f6_antarctique_bedmap2_nasa.jpg
          Via les éléments en possession depuis ces données, il apparait que certaines vallées étant à près de 2800 m sous le niveau des océans, qu’à un moment donné, ce niveau devait être très bas au moment où la glaciation a débuté. Ce qui est confirmé avec les topographies faites sur le Groenland où par ailleurs on y a aussi trouvé des pics rocheux parmi des gouffres vertigineux !!!

          • Bonjour Eaglefeather ^^

            Pour vos deux étranges échantillons, pouvoir dire qu’il ne s’agit pas de « matériaux terrestres » est très compliqué puisqu’il faut au moins faire une analyse isotopique de certains éléments. Mais peut-être que vous vouliez distinguer matériau naturel de matériau artificiel ?
            Sinon, si, on peut évidemment reconnaître des matériaux extra-terrestre sans analyse isotopique quand on arrive à reconnaître une météorite.

            Je n’ai jamais entendu parler de glaciation aussi brutale, à ce que j’en sais cela prend quand-même un certain temps pour que la Terre refroidisse autant, et encore plus plus accumuler de telles épaisseurs de glace (surtout avec des climats très secs comme en Antarctique).
            Sinon, si, les glaciers se déplacent, extrêmement lentement mais ils se déplacent. Cela se voit assez facilement pour les classiques glaciers en forme de langues qui creusent les vallées en U. C’est un plus plus difficile à voir pour les inlandsis mais en accumulant de la glace ils vont avoir tendance à s’étaler. C’est d’ailleurs comme ça que d’immenses icebergs (certains de la taille de la Belgique) finissent par se détacher du continent Antarctique, l’inlandsis s’étalant lentement vers les côtes. Cela s’oppose à l’image que l’on a de la glace qui est un matériau solide, mais c’est juste une question d’échelle et de temps.

            Sur l’image topographique que vous postez, l’échelle verticale est très exagérée, c’est pour ça que l’on voit des « pics » ^^ C’est ce qui est très souvent fait sur les cartes topo en 3D parce que sinon on ne voit rien (à une telle échelle, même l’Everest paraîtrait tout plat).
            Et si certaines vallées sont aujourd’hui à 2800 m sous le niveau de la mer, ce n’est pas parce que la mer était dramatiquement plus basse à l’époque du début de la glaciation, mais parce que l’inlandsis avec son épaisseur et son poids énorme a enfoncé l’Antarctique à l’intérieur de la Terre. C’est un phénomène l’on observe aussi très bien en Scandinavie, où la mer Baltique n’existe que parce que la croûte terrestre a été enfoncée par l’inlandsis qui s’y trouvait lors de la dernière glaciation. Et depuis la fin de cette dernière, la croûte sous la mer Baltique remonte lentement, et c’est ainsi qu’on trouve d’anciennes plages d’il y a 8000 ans qui se trouvent aujourd’hui à 400 m au-dessus du niveau de la mer…

            • Matériaux étrangers et non comparables à ce que l’on a déjà dans la base de donnée des matières rencontrées lors d’études de roches météoriques. Ces analyses sont très étendues et comprennent une multitude de procédés, entre autre iso et spectro, d’autres plus spécifiques suivent.

              Je cite « cela prend quand-même un certain temps pour que la Terre refroidisse autant », que dire alors, lorsqu’en à peine deux semaines après une grosse éruption on perde deux degré dans tout l’hémisphère concerné.
              Jamais entendu parler de glaciation aussi brutale ! Et les arbres avec feuillage et fruits dessus, des mammifères encore debout avec du fourrage frais dans le gosier, tous parfaitement figés dans la glaces.

              Un glacier n’est pas une calotte, de plus il est situé sur une pente la calotte se compose de couches successives sur un plan horizontal après remplissage des valons et vallées.
              S’étaler ? Depuis combien de temps existe la couche recouvrant l’Antarctique ? Seules les glaciers ont bougés mais pas le reste, il est totalement immobile. Inlandsis définit un ensemble d’éléments, non pas un seul et unique.

              Vous suggérez que Bedmap2 n’est pas correcte dans son imagerie, alors que les données fournies font suite à leur conversion en mesures métriques, celles-là mêmes qui fournissent la profondeur la plus extrême de 2800 m !!! Vos propos sous-entendent que toutes les imageries de reliefs ne sont pas correctes non plus alors. Quant à avoir des plages à 400 m d’altitude, ce n’est pas par absence de calotte qu’elles se retrouvent là, mais bien consécutivement par les poussées engendrées par la formations des crêtes océaniques et du déplacement de plaques tectoniques et autres strates lithosphériques, dont le mécanisme de mouvement commence seulement à être découvert !

              Pour en finir, si comme vous dites, la masse de glace qui forme la calotte glaciaire de l’Antarctique étant si lourde et aurait dû enfoncer tout le continent, et bien il n’y aurait depuis bien plus longtemps avant cela, plus un seul sommet ni relief !!

              Veuillez me pardonné si ma franchise pourrait vous froisser, mais vos propos résonnent comme une leçon récitée par cœur malgré le petit côté scientifique qui transparait !

              • Oui, bien sûr qu’un hiver d’impact (ou un hiver nucléaire) serait extrêmement brutal, mais cela ne durerait pas (dès que les cendres contenues dans l’atmosphère retombent, la température redevient normale). Ou alors il faudrait un volcanisme très actif de façon continue pendant longtemps, genre du volcanisme de trapps, mais ce type de volcan laisse de sacrées traces ^^ La dernière période glaciaire a duré environ 100000 ans, et le cycle de périodes glaciaires et inter-glaciaires est assez bien expliqué en lien avec les cycles de Milanković (surtout avec les variations de l’excentricité de l’orbite terrestre).
                Sinon non, je n’ai jamais entendu parler ni vu d’arbres portant leurs fruits ou d’animaux encore debout pris dans des glaciers.

                Je crois que l’inlandsis d’Antactique existe depuis au moins 800000 ans (en fait ils disent sur le wiki anglais que l’Antarctique a commencé à cumuler de la glace depuis 45 millions d’années…). Donc même avec de très faible précipitation, ça fini par en faire beaucoup de la glace, et elle ne peut pas monter à l’infini, à ces échelles tout matériau solide devient plastique et s’étale (c’est pour ça que les planètes sont rondes d’ailleurs…).

                Je ne suggère pas que Badmap2 n’est pas correcte, je suggère que l’échelle vertical n’est pas la même que l’échelle horizontale, comme pour toutes les cartes en 3D, sinon on ne voit rien ^^ Je sais de quoi je parle, j’en ai fait moi-même des cartes topo en 3D. Le but d’une figure n’est pas d’être réaliste mais de pouvoir y lire des informations.

                Les plages de la baltiques sont bien arrivées à 400 m d’altitude en 10000 ans seulement par « rebond isostatique » après la fonte d’un inlandsis. La croûte continentale (densité 2.7) « flotte » sur le manteau (densité 3.1), et si on l’épaissi elle va plus s’enfoncer que s’élever. C’est ainsi que les chaînes de montagnes qui atteignent 8000 m d’altitude possèdent des racines qui s’enfoncent à plus de 100 km sous la surface. C’est comme si vous ajoutiez un glaçon par-dessus un autre glaçon dans un verre d’eau, le premier glaçon ne va pas rester à la même hauteur d’eau, il va s’enfoncer. C’est exactement pareil avec le poids monstrueux des inlandsis qui vont enfoncer la croûte sous-jacente.
                Et puis le continent Antarctique s’enfonce ainsi d’un seul bloc, cela n’écrase pas les reliefs à sa surface)

                http://fr.wikipedia.org/wiki/Isostasie

                Pour votre ton, ne vous inquiétez pas, tant que vous ne m’accusez pas d’être à la solde du complot des géologues qui veulent que les inlandsis s’étalent, cela me va ^^ Et si je suis froissé, je ne réponds tout simplement plus. On ne peut quand-même pas s’énerver pour des histoires de glaciers…

                • Avoir une bonne explication Sana ne veut pas dire que c’est l’explication , c’est là où je veut attirer ton attention.
                  Avoir des années de formation dans un domaine altère parfois ton objectivité sur des faits qui sont parfois trés troublant et qui vont à l’encontre de ton  » éducation  »
                  Çe blog traite des mensonges et diverses manipulation et si il existe c’est sûrement pour une bonne raison…
                  Suivre son prof c’est bien, mais écouter ses ancêtres c’est pas mal aussi 🙂

                  • Bonsoir Mistral,

                    Il est vrai que je n’ai pas le profil type du contributeur de se blog et que je suis rarement d’accord avec les articles… Mais je pense que les débats sont ennuyeux quand tout le monde est d’accord ^^ Et je n’interviendrai que dans les domaines pour lesquels j’ai au moins une vague expertise… Et comme je suis géologue ce sujet me parlait ^^ (et en intervenant je ne veux absolument pas faire le troll, je dis juste ce que je sais, ou crois savoir).

                    On peut toujours s’intéresser aux théories alternatives, mais c’est quand intéressant de s’intéresser d’abord aux théories « officielles » ^^ Surtout en ce qui concerne les domaines qui n’ont pas un intérêt économique immédiat comme la tectonique des plaques, ou le principe de l’isostasie qui explique très bien l’enfoncement de l’Antarctique. Je ne recrache pas ces histoires simplement parce que je les connais par coeur, mais parce qu’elles font sens à mes yeux, et qu’elles présentent des preuves très solides.

                    • Bonjour,
                      Il n’y a aucun souci et au contraire , continue ton travail d’explication et de pedagogie car il nous fait avancer.
                      Si je bloque sur certains truc, c’est l’argument contradictoire des scientifique..
                      Leur argument principale est : ou sont les preuves archéologiques viable ?
                      Tu réponds : ici, il y en a trois ( pyramide ) et elle ne sont pas assez grosse pour vous ?
                      Face au preuve ( construction parfaite, alignement orion…) leurs arguments deviennent des fabulations ( ils ne connaissaient pas la roue etc…)
                      C’est ici que je bloque Sana https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

                    • Sana n’as – tu jamais entendu parler du mammouth de Jarkov?

                      c’est un mammouth qui a été trouver dans le pergisol de la toundra siberienne gele sur pieds, il fut congele si rapidement que on a retrouve dans son estomac de l’herbe non digèrée……………

      • C’est comme pour la lune, les spécialistes finissent par l’admettre, la Terre n’a pas toujours été là où elle est actuellement. Car des impactes lunaires se sont produits à angle droit, or actuellement la Terre se trouve droit dans cette trajectoire

        Tu oublierais la deuxième possibilité Eaglefeather (le principe de simplicité et les mythes):

        – la Lune n’ aurait pas toujours été là, où elle se trouve aujourd’hui.

        • C’est vrai ! Mais une chose me dérange dans cette possibilité, que je ne nie pas, ce sont les âges !! Cela en rapport avec les roches météoriques prélevées dans certains cratères 😉
          Notre ciel étoilé d’aujourd’hui n’était pas celui d’avant non plus.

          Quant aux mythes et légendes, je reste persuadé qu’une part d’eux, est une vérité, celle qui dérange certains. Ceux-là même qui tentent désespérément de les classifiés sous ces deux labels. Pour revenir à notre ciel étoilé, le cas de Sirius démontre la volonté de nier des observations ancestrales (sa couleur rouge durant une époque) en les classifiant de mythes ou de légendes, en dépit du plus ancien texte chinois (-2430 av JC) qui le mentionne déjà ! Les Hopis, les Dogons et la tribu du Chien au Nebraska, en connaissait l’existence. Fait partie de la constellation connue sous le nom de Cannis Majoris. Etonnant que ce nom latin apparaisse bien plus tard que sa connaissance par ces peuples, pour qui le lien était pourtant fait avec une période de chaleur et de sécheresse, pouvant détériorer les cultures par les vagues de chaleur qui survenaient lors de son apparition dans le ciel. Etonnant aussi que nait le mot canicule, dérivant du latin et signifiant période de chaleur. Etrange, vous avez dit étrange ?

        • Tu vois…on continu de découvrir des choses qui etaient inconnu hier par les grands scientifiques et cela grâce à une étudiante !

  13. Pas mal ton analyse Pi:2
    Ne pas chercher une seule cause mais plusieurs facteurs qui s’enchaînent et mettre Nibiru dans ce scénario est cohérent.
    J’ai pas vérifié mais le gars trouve aussi un lien entre cette planéte et les pyramides. http://www.poureuxlelivre.fr/les-clés-de-la-pyramide/
    Voir aussi LRDP http://youtu.be/znYc–p2EjM

    • Merci mistral. Il ne s’ agit pas de la naine Nibiru dans mon premier commentaire, mais de la planète Vulcain (planète hypothétique et invisible parce que située derrière le Soleil par rapport à la Terre). Cela dit, pourquoi pas une « deuxième couche » pour finir le chaos ? (j’ y crois aussi)

  14. Perso j’ai toujours cru à cette Planéte X et on peut la trouver sur YouPorn https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yes.gif
    Ok je sors…

  15. Je n’ai pas tout lu, mais déjà sur les premières lignes, il y a un phénomène qui, en ces temps-ci, fait également débat, notamment chez les spécialistes dans ce domaine. On dispose d’assez d’indices sur un cataclysme très reculé dans le temps, maintenant dire que l’un est lié à l’autre, il n’y a qu’un pas. Il y a eu un cataclysme sans précédent dans les temps très reculés, était-il en lien avec une inversion magnétique ou pas ???
    Toujours est-il que la lithosphère (solide) flotte sur une substance à mi-chemin entre fluide/visqueuse et semi-liquide. Sachant que cette croûte contient des caractéristiques magnétiques, une modification de polarité soudaine peu très bien faire bouger cet ensemble de plaque d’une seule pièce, du moins si la source est suffisamment puissante. Or dans la jeunesse de notre soleil, il ne peut être exclu, qu’il n’y ait pas eu des EMC bien plus conséquentes que celles d’aujourd’hui !
    Rien n’est dit non plus qu’un cataclysme interplanétaire n’ait pas eu lieu ce qui pourrait expliquer la présence d’une planète en trop sur les tablettes sumériennes. Notre système encore en formation, aurait vu des astres s’entrechoquer, à l’instar d’un billard et, voire l’une d’elles, expulsée en dehors mais restant sur ellipse, ce qui nous la ramènerait tout lex X temps !

    • et que ça collerait avec les monolithes de Mars et Phobos …

    • Pour savoir qui du savant ou de l’ amateur serait le moins éloigné de la réalité cosmique, l’ arbitre serait peut-être le privilégié arrogant qui, justement, y aurait été initié.

      Peut-être que son jugement se trouverait dans ses allégories culturelles (avant internet et l’ aveu de sa nécessaire désinformation), donc avant 1993 en gros. Comme ici ou là:
      http://www.youtube.com/watch?v=FGeNnaGGQsw
      http://www.youtube.com/watch?v=A6SBm9HPjnM
      (le meilleur est à la fin sur la deuxième video)

      Personnellement, des dates avec six ou neuf zéros avant le long fleuve tranquille de la vie sur Terre, je n’ y crois plus (les Déluge d’ il y a 12 000 ou 6 000 ans ne seraient pas des mythes).

      • Pas mal d’indices de cette partie du passé de notre planète réside dans la culture des Peuples Premiers, j’en partage un brin avec certains.
        Tout n’est pas dévoilé, mais bien plus est tu ! Essentiellement par ceux qui ont le devoir d’instruire, mais voilà, ils ont converti ce qui fut découvert et qui les dérangeait dans leur ignorance, en mythes et en légendes.

        Tellement bien ancrés dans la mémoire collective, comme tel, qu’en apporter la preuve du contraire, même avec toute l’évidence requise, cela restera toujours un mythe ou une légende, donc improbable.

  16. Un des multiples intervenants dans la possibilité de voir un changement de climat.
    C’est ce qui influe sur notre barrière protectrice naturelle : https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2015/06/ionos-2.jpg
    peu en tient compte, mais si notre champ magnétique terrestre vient à s’affaiblir (ce qui semble de + en + le cas) on ne peut qu’avoir des soucis et du mouron à se faire !

    • Il y a quelques temps d’ici on me demandait s’il y avait une corrélation possible entre les fluctuations de la ionosphère et les séismes. Après six mois de collecte de données, imageries et anomalies du TEC, et celles sur la sismicité mondiale, rien ne permet d’étayer une quelconque relation.
      Des séismes se sont à plusieurs reprises, produits alors que l’activité ionosphérique était au plus bas, voir inexistante.

  17. Je voulais simplement noter que je suis très agreablement surpris par la qualité des commentaires .
    Écoute , critique , partage, qualités des interventions etc…
    Merci à vous de nous éclairer.

Les commentaires sont clos.