La renaissance française commence par toi !

Par Phil BROQ. pour Blog de l’éveillé

La France sombre dans une spirale de déclin orchestrée par des élites déconnectées et manipulatrices qui cherchent à nous éliminer par tous les moyens. Tout le monde le sait ! Mais derrière ce tableau sombre se cache une vérité fondamentale qu’il est toujours bon de rappeler. La capacité à renverser cette situation ne dépend que de nous, individuellement et collectivement. Or, reprendre le contrôle de notre destin exige d’abord un premier pas, une prise de conscience, un acte de courage… Et ce n’est qu’en sortant de l’illusion du confort, en refusant d’être des moutons passifs et en s’armant de connaissance, de force intérieure et de détermination, que nous pourrons lutter efficacement contre un système oppressant. Je l’ai déjà écrit dans de très nombreux billets d’humeur ! 

« Être humain », ce n’est pas attendre qu’un sauveur se manifeste, mais se lever soi-même, assumer ses responsabilités et devenir un acteur opiniâtre du changement. Dans cette bataille pour la souveraineté et la liberté, le véritable pouvoir est entre nos mains et nulle part ailleurs. Et le moment est venu de choisir entre continuer à subir comme un lâche ou agir avec audace et panache, pour créer un avenir digne de notre évolution. 

En ce 5 janvier 2025, les agriculteurs, encore une fois, se laissent enfermer dans une manifestation aussi stérile qu’inutile à Paris, (alors que les décisions sont prises à Bruxelles) sous le regard oppressant des forces de l’ordre qui les attendent de pied ferme. Malheureusement, ils ne comprennent définitivement rien au joug qu’ils ont sur le cou. Et plutôt que de paralyser le pays tout entier en ciblant les infrastructures régionales, les postes de communications, les  préfectures et autres « agences sanitaires » de cette mafia républicaine, ils se contentent de subir nasses et matraques, alimentant une frustration qui ne mène qu’à leur propre affaiblissement. Or, il n’y aura jamais assez de policiers et gendarmes pour stopper une mobilisation véritablement stratégique, éclatée dans tous les départements ou régions, sur tous les points et nœuds décisionnaires, au lieu de se rassembler comme un troupeau en perdition. 

Avec leurs engins et leur nombre, rien ne serait plus simple que de renverser toutes les grilles ou les barrages, de détruire les radars et les péages, de faire s’effondrer des bureaux entiers de technocrates, de poser des tonnes de fumier chez les « Zélus », bref, de gagner ce bras de fer au lieu de se suicider ! Si seulement les agriculteurs y avaient pensé et en avaient eu la volonté. Mais voilà, ils sont aussi peureux que leurs bêtes…

Mais peut-être faudra-t-il cette énième humiliation pour qu’enfin leur colère devienne un appel national et que leurs esprits s’éveillent à l’idée de souveraineté et d’une véritable stratégie de résistance, loin de ces normes et autres taxes abusives. Car, sachez-le, la liberté ne se demande pas elle se prend ! Alors, combien de temps encore faudra-t-il leur répéter ?

Notre Nation, ce pays jadis fier de son héritage, se trouve donc aujourd’hui plongée dans cette spirale du déclin, orchestrée hors de nos frontières par la caste mafieuse qui a créée et dirige l’Union Européenne – non pas les nazis, mais leurs enfants ! – Ce que l’on appelait autrefois la « Grande Nation » n’est plus qu’un terrain de jeu pour des élites déconnectées, des technocrates arrogants et des financiers étrangers qui manipulent à leur guise les fils du pouvoir à des milliers de kilomètres de notre sol. Cette caste, bien ancrée dans les couloirs de Bruxelles et des grandes capitales mondiales, grâce aux Young Leaders du WEF, a pour seule vocation de maintenir ses privilèges et ses intérêts, en écrasant les peuples sous le poids de politiques néolibérales dévastatrices basées sur le racket et l’intimidation.

Le marasme économique, amplifié par les escroqueries d’un Bruno Le Maire, ancien ministre de l’Économie, dont les décisions semblent plus dictées par les intérêts des grandes banques et des multinationales que par le bien-être de la population, plonge la France dans une crise si profonde, qu’elle ne s’en sortira jamais sans un brutal coup d’arrêt. Les impôts écrasent les classes moyennes et populaires, tandis que les grandes entreprises, trop souvent étrangères, et leurs actionnaires bénéficient de subventions et de traitements fiscaux de faveur, renforçant ainsi l’injustice sociale et la fracture économique. Les petites entreprises, les artisans, les agriculteurs, ces véritables piliers de l’économie nationale, sont étouffés par une bureaucratie toujours plus complexe, des taxes toujours plus nombreuses et une concurrence déloyale.

La destruction sociale, quant à elle, est soigneusement orchestrée par un enchevêtrement de lois qui ne visent qu’à diviser et affaiblir les individus. L’instauration de réformes « sociétales » menées sans concertation, de lois toujours plus coercitives et sectaires, détruisent les fondements mêmes de la cohésion sociale. L’immigration massive et non régulée, les droits des travailleurs érodés, l’inégalité grandissante entre les élites et le peuple, tout cela s’inscrit dans une stratégie de déstabilisation à grande échelle. Dans le seul but de créer une société sans repères, où les individus sont atomisés et où les valeurs communes s’effondrent, pour que la caste puisse mieux régner.

Mais le plus grave, et peut-être le plus insidieux, réside dans l’annihilation de notre culture. Les valeurs chrétiennes, qui ont façonné l’âme de ce pays pendant des siècles, sont attaquées ouvertement, souvent par ceux-là mêmes qui devraient les protéger. Les institutions culturelles sont désormais des instruments de propagande, subventionnés par nos impôts pour mettre en avant la décadence, la déviance et la folie des « Zélites » qui nous gouvernent. Ils financent un cinéma, une musique, des projets artistiques qui ne servent qu’à délégitimer nos traditions, nos croyances, et notre histoire, au profit de discours cosmopolites, postmodernes et surtout déconnectés des valeurs du peuple.

Le tout est manigancé par cette petite caste de malfaisants, une élite de moins en moins occulte qui a pris le contrôle de nos institutions, de nos entreprises, de nos forces armées, et surtout de nos médias. Par la fraude, la manipulation et l’inaction volontaire des autorités compétentes, ces criminels en bande organisée se sont octroyés les plus hautes fonctions de l’État, sans aucun respect pour la volonté populaire. Ils ont su se maintenir au pouvoir grâce à un réseau dense de complicité, où les banquiers apatrides jouent un rôle central, – et les policiers, celui de traitres ! – Ces banquiers, qui prônent l’effondrement des États-nations et la mise en place d’un ordre mondial sans frontières, financent et contrôlent discrètement les politiques publiques, pour maintenir un système mortifère mais qui leur est toujours favorable, tout en accablant les peuples sous les poids de dettes impayables.

Les grandes institutions internationales comme l’Union Européenne, qu’ils ont eux-mêmes façonnée à leur image, ne sont rien de plus qu’un instrument de domination et de soumission des nations, une machine qui broie les peuples au service d’intérêts globalistes. L’idée même de souveraineté nationale est devenue une insulte dans ce système ; la démocratie populaire, une façade. Tout a été fait pour étouffer l’indépendance des États, et faire disparaître les derniers vestiges de notre autonomie collective.

Dans ce contexte, la France, loin de ses idéaux révolutionnaires, semble résignée à son destin, à l’image d’un vieil empire qui, une fois glorieuse, se laisse désormais dévorer de l’intérieur. En subissant une guerre qui s’attaque à nos racines, à notre culture, à notre foi, et surtout à notre autonomie. En démantelant nos industries, en privatisant nos ressources stratégiques, en imposant des lois toujours plus liberticides, et en entretenant un système de corruption galopante, ils veulent faire de nous des esclaves modernes, dépendants et impuissants. Il est grand temps de comprendre que la seule manière d’en sortir est de se relever, de prendre notre destin en main, de cesser d’être des moutons suiveurs et de devenir des lions ravageurs.

Et puisque la guerre contre le peuple a été déclarée, alors il est plus que temps de riposter  et de rendre coups pour coups. Pas en attendant une « solution miraculeuse » de la part de ceux qui nous ont trahis, mais en nous réappropriant notre destin, en redonnant vie à notre souveraineté, en nous remettant debout, et en combattant, ensemble, ce petit groupe de malfrats qui nous a pris en otage. Car le système actuel n’a qu’un seul objectif avoué de maintenir les élites dans leur position de pouvoir, sans se soucier des souffrances qu’il inflige à la population, et cela jusqu’à ce que mort s’en suive. 

Alors, allons-nous continuer à laisser ces parasites gouverner nos vies ? Allons-nous encore accepter longtemps que des personnes incompétentes, corrompues, et déconnectées de la réalité dictent notre avenir ? Ou allons-nous enfin nous lever, nous battre et reconquérir notre liberté ? La réponse doit être évidente, sauf pour les lâches !

La souveraineté n’est pas un concept théorique ou abstrait. Elle se traduit dans la réalité par notre capacité à contrôler nos propres ressources, à prendre des décisions politiques qui servent l’intérêt du peuple, et à garantir un futur digne pour les générations à venir. Pour cela, plusieurs pistes doivent être explorées, et il est essentiel de revenir à une vision claire et pragmatique de ce que nous pouvons accomplir, non par la violence aveugle ou des manifestations stériles, mais par un mouvement conscient, réfléchi et surtout audacieux. 

Or, la lutte pour la souveraineté commence en nous-mêmes. « Nous sommes en guerre », a dit Macron. C’est un fait incontestable. Mais cette guerre, comme toutes les guerres, nécessite une préparation rigoureuse avant d’aller confronter et renverser l’ennemi. Nous devons être prêts, non seulement sur le plan intellectuel et politique, mais aussi sur le plan physique. La soumission ne se combat pas seulement par des idées, mais aussi par la force intérieure.

Nous devons remuscler notre corps autant que notre esprit. Car la véritable indépendance commence par une meilleure santé physique et mentale. Une population éveillée et prête à l’action, c’est une population qui se connaît, qui connaît ses ressources, ses capacités et qui est prête à s’unir pour une cause commune. Les entraînements physiques, les pratiques de développement personnel et d’autodiscipline sont des outils indispensables pour affronter les épreuves à venir. Ce n’est pas une question de simple bien-être, mais de préparation à la résistance réelle, au combat et peut-être à la mort.

Tout d’abord, nous devons réinventer notre système démocratique. La démocratie n’est pas un luxe dont nous disposons, mais un outil de lutte. Le référendum d’initiative populaire, les assemblées citoyennes, et les mécanismes de contrôle doivent être au cœur de nos actions. C’est à nous, peuple, de reprendre les rênes, de revendiquer nos droits et de participer activement aux décisions qui nous concernent. Il ne s’agit plus de simplement choisir un dirigeant tous les cinq ans, mais d’être des acteurs permanents de notre destinée. La politique ne doit plus être l’apanage des Zélites, mais l’affaire de tous. Nous devons donc refuser la passivité et réclamer notre droit à décider, à orienter les politiques publiques selon nos besoins, et non ceux des puissances économiques. Nous devons chasser systématiquement ces acteurs méphitiques des podiums et des médias, où qu’ils soient !

Un autre aspect crucial de notre lutte est la dénonciation et la mise en lumière de la corruption. Le pouvoir en place se nourrit de la fraude fiscale, des conflits d’intérêts, et des réformes qui ne servent qu’à enrichir ceux qui sont déjà riches. Cela doit cesser immédiatement, en commençant par refuser de payer les impôts et la TVA puisque les comptes de l’état ne sont pas sincères ! Et c’est légal, renseignez vous… 

Il est impératif aussi de mettre en place des mécanismes de contrôle stricts sur les dépenses publiques et d’impliquer la population dans cette démarche. A l’heure d’internet, c’est enfantin, et les Geeks assis sur leurs canapés doivent nous aider, comme les comptables qui ne sont pas encore corrompus. Si nous voulons reconquérir notre liberté, nous devons d’abord assainir notre société. L’évasion fiscale n’est pas qu’un mal économique, c’est un mal moral, un vol de notre avenir commun.

Leur système néolibéral est conçu pour nous exploiter, pas pour nous élever. C’est pourquoi il est crucial de revenir à une gestion plus locale, plus autonome, de nos ressources et de nos industries. Les grandes entreprises, souvent responsables des injustices économiques, doivent être tenues responsables et rembourser toutes les subventions qui leurs ont été allouées. Les patrons sont milliardaires mais encaissent les dividendes et débuchent du personnel, comme avec ZARA. Nous devons imposer des réformes fiscales plus justes, plus transparentes et soutenir les entreprises locales et solidaires. Par exemple, les secteurs stratégiques de l’énergie, des transports, de la santé doivent être réappropriés par l’État et contrôlées par les citoyens, pour garantir une gestion dans l’intérêt général, et non dans celui d’une poignée de privilégiés.

Il est également essentiel d’accepter que la résistance contre cette oligarchie ne viendra pas sans une véritable mobilisation de masse. Et cette mobilisation doit cesser d’être pacifique ! Les manifestations, les grèves, la désobéissance civile sont des armes de combat légitimes, mais sans y joindre la force, la volonté réelle de les détruire, sans faire des exemples médiatisés de punitions populaires à l’encontre des malfaiteurs connus, rien ne bougera jamais. Faites des pompes, des abdos et de la course à pied au quotidien ! Et surtout jetez vos télés !

Les têtes des coupables au bout des fourches sont le symbole le plus marquant de ce qu’est être un véritable révolutionnaire souverain ! Les élites qui nous méprisent ne comprennent qu’une seule chose : la peur ! Et cette peur, nous devons la leur insuffler. Nous devons l’inverser et la rendre réelle dans les ministères comme dans les quartiers d’indigents. Car le peuple ne retrouvera sa place qu’en brisant les structures d’un système gangrené, quitte à employer des moyens radicaux si l’opposition policière se fait pressante.

Car rien ne doit pouvoir empêcher un peuple de retrouver sa liberté et il faut pour cela nettoyer le terrain avant de l’occuper, il faut purger les institutions et récurer dans les coins. Nous ne pouvons plus attendre passivement que les choses changent dans les urnes ou en faisant confiance à des institutions gangrénées jusqu’au dernier des « Zélus ». Nous devons être les catalyseurs musclés et déterminés de ce changement. Chaque action, chaque voix, chaque geste compte. À travers des mobilisations populaires, des actions symboliques ou réellement incitatrices et percutantes, nous pouvons briser le cycle de soumission.

Ce qui est en jeu ici, c’est aussi notre identité, notre culture, et nos valeurs profondes. Nous devons, sans détour, remettre en question cette agression contre nos racines et remettre hors de nos frontières ceux qui se pensent à l’abri dans leurs cités. Il ne s’agit pas seulement de préserver nos traditions culturelles et religieuses, mais de défendre l’essence même de ce qui fait de nous des êtres humains libres. Nous devons faire face à cette déstabilisation planifiée, et reconstruire une identité française fondée sur des principes de liberté, de justice, et de solidarité. Oui, c’est tout cela qui est en jeu !

Le combat pour la souveraineté, pour la liberté, pour notre culture, pour notre foi, est un combat de longue haleine. Mais il n’est pas impossible ! Or, nous devons agir une bonne fois pour toutes et rapidement. Car le système actuel repose exclusivement sur notre passivité, sur notre soumission, et sur notre croyance en son inéluctabilité. Il est temps de leurs démontrer que ce système n’est pas inébranlable, ni même indestructible. Nous avons les moyens de changer toutes les choses qui nous déplaisent. Nous devons nous libérer des chaînes que nous nous sommes laissés imposer. Nous devons être les architectes de notre avenir. Il n’y a pas d’autre alternative entre la résistance ou la soumission.

L’histoire nous a montré que les peuples ont toujours su se relever, lorsque le dernier souffle de dignité leur dictait de le faire. Il est donc temps de redevenir maîtres et souverains de notre destin. Mais ce premier pas vers le changement, c’est Toi, Ami lecteur, qui dois le faire ! Toi qui a lu jusque-là pour savoir quoi faire, Toi qui te demande comment agir. Toi qui râle en te sentant impuissant… Pas un politicien, pas un sauveur providentiel, pas une organisation miraculeuse. Non, rien de tout cela, juste Toi ! Ici et Maintenant ! 

Et tout commence par une chose essentielle : s’informer ! Comprendre le système qui nous asservit, identifier ses rouages, ses complices et ses failles. Sans cela, tu es condamné à être manipulé, à rester prisonnier de cette illusion confortable dans laquelle ils veulent t’endormir. Mais s’informer, ce n’est qu’un début. Sache qu’une fois que tu auras ouvert les yeux, il te faudra aussi agir.

Le temps est venu de reconstruire. Pas simplement de résister ou désobéir. Non ! Il faut marquer ton territoire, réfléchir et créer un nouveau modèle, ancré dans nos valeurs, fidèle à notre Histoire, et résolument tourné vers l’avenir. Car l’avenir appartient à ceux qui osent se lever. Pas demain, pas après-demain, mais aujourd’hui ! 

Et cela signifie d’abord de sortir de ton canapé, de ce confort illusoire qui te maintient si docile. Scroller sur ton téléphone ou te plaindre sur les réseaux sociaux ne fera pas de toi un acteur du changement. Être humain, ce n’est pas simplement consommer, suivre le courant ou attendre que les choses s’arrangent d’elles-mêmes. Être humain, c’est se battre, c’est affronter l’adversité, c’est bâtir quelque chose de plus grand que soi. Cesse de chercher des excuses, arrête de te cacher derrière la peur ou la paresse. Si tu veux changer les choses, commence par te changer toi-même. Renforce-toi, physiquement et mentalement. Prends soin de ton corps, discipline ton esprit, dépasse tes limites. Ce n’est pas un luxe, ni une lubie, c’est une nécessité ! Car seul un peuple fort et éveillé sera insoumis.

Alors, prends-toi en main ! Assume pleinement que tu refuses d’être un mouton et agis dès maintenant comme un lion. Tu n’es pas un simple rouage dans cette machine infernale. Tu n’es pas destiné à suivre aveuglément, à être un numéro dans la masse. Tu es un individu, unique, capable de penser, de décider et d’agir ! Mais cette capacité n’a de valeur que si tu la mets en pratique. Le chemin vers la liberté commence par cette prise de conscience, car tu es le seul responsable de ton destin ! Refuse la passivité, rejette la soumission, et choisis d’être un acteur conscient de ta propre vie. Car le véritable pouvoir – celui de dire non, celui de créer, celui de résister – est entre tes mains et nulle part ailleurs !

Si nous agissons en pleine possession de nos moyens physiques et intellectuels, alors nous pourrons non seulement redresser la France, mais aussi montrer au monde entier qu’il est possible de vaincre et d’écraser cette oligarchie sans âme.

Alors voilà, maintenant tu sais ! En ce début d’année, tu connais la solution et tu as pris dorénavant conscience que tout changement ne commencera que par Toi !

Alors hop ! Au boulot…

Phil BROQ.

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