Le découpage de l’Hexagone initialement prévu en zones vertes, orange ou rouges, accélère un dépeçage amorcé depuis déjà longtemps. Preuve supplémentaire, s’il en était besoin, que le coronavirus n’est qu’un prétexte pour imposer l’agenda mondialiste.
Le gouvernement a décidé de déconfiner les Français de manière différenciée, selon les régions et départements.
Initialement, était prévu ceci :
Vert : déconfinement relativement étendu. Orange : déconfinement plus restreint. Rouge : déconfinement encore plus restreint.
Avec ces zones de différentes couleurs, la carte du déconfinement dessine une France morcelée en quelques grandes entités.
Des régions électorales aux euro-régions
Peu ou prou, cette configuration se base sur l’architecture des régions électorales.
En effet, chaque grande zone de couleur regroupe, en gros, plusieurs de ces régions.
Or, les régions électorales préfigurent les euro-régions.
Autrement dit, le gouvernement n’est pas allé jusqu’à diviser exactement le pays en autant d’aires de déconfinement et autant de couleurs qu’il y a d’euro-régions. Cela risquait de mettre la puce à l’oreille des personnes averties. D’ailleurs, finalement, le pouvoir a préféré garder seulement deux grandes aires de déconfinement. Cela permet d’occulter ce que le zonage en trois couleurs rendait plus évident.
Le pouvoir a préféré procéder progressivement, en se cachant encore un peu : il a inclus telles euro-régions dans telle grande zone de couleur, laquelle coïncide donc à peu près avec cet ensemble d’euro-régions.
Malheureusement, pour des questions de droits, nous ne pouvons pas reproduire ici les cartes des projets de démantèlement de la France. Mais, le lecteur les trouvera facilement ailleurs et se livrera aisément à une comparaison.
Lutte contre le coronavirus … ou euro-régionalisme ?
A terme, les euro-régions sont destinées à faire disparaître la France. En effet, une certaine oligarchie veut que l’Hexagone, en tant que pays ou Etat-nation, s’évanouisse. Dans cet objectif, les euro-régions qui composent cet Hexagone doivent acquérir une pseudo-indépendance. Elles ne relèveront plus de la France, qui, en tant que telle, n’existera plus. Par contre, elles seront dans une situation d’étroite dépendance et de totale sujétion par rapport à l’Union européenne.
Si ce projet, déjà ancien, réussit, il n’y aura plus de France.
Par exemple, il n’y aura plus une Alsace et une Lorraine appartenant à la France et solidaires de la Normandie, ou de la Bretagne, ou de la Corse etc. A la place, il y aura un Grand Est. On lui donnera tel ou tel nom. Ce Grand Est sera soi-disant indépendant, mais, en réalité, totalement soumis à l’Union européenne.
Le même dépeçage est prévu pour d’autres pays, notamment l’Espagne. On voit d’ailleurs que certaines provinces de cette contrée revendiquent ouvertement leur (pseudo-)indépendance.
C’est ce que l’on appelle aussi le régionalisme. Un mouvement qui vise à détruire ce qui reste des Etats-nations, singulièrement ceux d’Europe.
A certains égards, le démantèlement de la Yougoslavie en était une illustration.
Le Covid-19 est un prétexte pour l’agenda mondialiste
Ainsi, contrairement à ce que l’on nous raconte, la carte du déconfinement ne repose absolument pas sur des impératifs sanitaires.
La supposée pandémie du coronavirus sert, entre autres choses, à accélérer le projet ancien d’euro-régionalisation et de disparition de la France.
Ce n’est qu’un exemple supplémentaire d’un fait que nous avons déjà dénoncé dans notre article Coronavirus : le coup d’Etat permanent … jusqu’à quand ? Ce fait est que la prétendue pandémie de covid-19 est une ingénierie qui sert plusieurs objectifs inavouables.
Les mesures prétendument transitoires vont durer
Si la carte du déconfinement préfigure et accélère le morcellement de l’Hexagone, il en découle que ce morcellement va certainement perdurer et s’accentuer, sous différentes formes.
De même, les autres mesures censées nous protéger contre la supposée pandémie, loin d’être temporaires, comme on veut le faire croire, vont se pérenniser.
Contrairement à ce que répètent nombre de naïfs, il n’y aura pas de retour à la normale. Ce sont les mesures dites d’exception qui vont devenir la norme. Ce devrait être le cas, en particulier, des contrôles d’identité et de déplacement à n’en plus finir, contrôles qui ne seront pas le pire.
La distanciation comme séparation … et séparatisme
Du morcellement du pays participent plusieurs mesures.
Nous l’avons vu, le découpage de l’Hexagone en plusieurs zones.
L’impossibilité de sortir de chez soi plus d’une heure et à plus d’un kilomètre, dans un premier temps. Puis, l’interdiction d’aller à plus de 100 kilomètres de son domicile.
La mise à l’arrêt des transports en commun (train, bus, métro, RER etc), d’où découle l’absence de circulation entre les territoires, entre les régions, entre les départements, entre les villes, entre les quartiers d’une même ville.
L’interdiction de se promener à certains endroits, comme les berges de Seine à Paris.
L’interdiction des rassemblements de plus de tant de personnes (d’où découle, de fait, l’interdiction des manifestations, mais aussi la prohibition des rassemblements festifs ou rituels) : le pouvoir ne veut pas de foule, il préfère, là aussi, un morcellement, et l’éparpillement des individus.
La distanciation sociale : rester à 1 mètre, ou plus, des autres; éviter tout contact physique avec eux; ne pas les approcher pour leur parler, leur serrer la main etc.
Ainsi, ce sont et les Français et leur territoire en tant que tel qui sont à la fois confinés et séparés, morcelés, divisés.
Croit-on vraiment que de tels phénomènes pourraient n’avoir aucun impact sur le sentiment d’appartenir à une même communauté, à un même peuple, à une même nation ?
Tout est fait pour que les populations se sentent étrangères les unes aux autres, voire ennemies, puisque le voisin est celui qui peut apporter la contamination, donc la mort.
Comme leur pays, les Français sont dé-membrés, en ce sens qu’ils sont appelés à ne plus être membres, et à ne plus se sentier membres, d’une quelconque communauté française.
La séparation mène au séparatisme.
Dépeçage du pays en euro-régions. Réglementations différentes selon les départements, ou selon les villes (autrement dit, morcellement des réglementations). Injonctions contradictoires du pouvoir (par exemple, il ne faut pas porter de masque; finalement, si, il faut, et ce sera même obligatoire dans les transports en commun, mais, en principe, pas ailleurs). Fracturation géographique au sein d’un même quartier, avec des parcs fermés et des zones interdites à la promenade. Séparation des individus, fortement incités à s’éloigner les uns des autres.
Le démembrement de la France est en marche.
Hedy Sellami
Oui, même si je ne suis pas tout à fait d’accord sur le fond, notamment sur le maintien de l’État-nation, reste que l’imposition de la distanciation sociale comme nouvelle normalité, est à mon sens, comme à celui de l’auteur, le plus dangereux, d’où ma proposition de lutter au lieu de subir, il est temps de (se) choisir ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2020/05/19/raoul-vaneigem-decretons-lauto-defense-sanitaire-17-mai-2020/
C’est encore le Pr. Alexandra Henrion-Caude qui aura le mieux expliquée pourquoi c’est plus dangereux que le virus lui-même, car cela va s’inscrire dans notre génome et aura des conséquences mortifères jusque dans notre spiritualité, c’est assez rare pour le souligner ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2020/05/02/peur-du-virus-ou-virus-de-la-peur-video-pdf-liens-et-analyse/
C’est Zbig & David Rockefeller qui avaient annoncés cela, en 1994/1995, avec l’Agenda21 alors que la mission première des pays signataires de l’Agenda 21 (dont la France) est de détruire les gouvernements représentatif pour le remplacer par un Conseil ou une Commission Gouvernementale non élu !
Le Zbig avait prévenu en 1995 ; « On ne peut imposer une mondialisation directe, de façon totale, on doit le faire progressivement et cela se fait grâce à la régionalisation » et le David Rockefeller de rajouter « Nous arrivons vers l’émergence d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la crise majeure et le peuple acceptera le Nouvel Ordre Mondial ».
Et c’est nous les vilain-e-s konspis ► https://jbl1960blog.wordpress.com/le-dossier-rockefeller/
Il est encore temps de refuser la nouvelle normalité de distanciation sociale, et de se choisir, même s’il semble inévitable le passage obligé par le « chaos » organisé par les zélites, au moins, pourront nous en limiter au maximum les effets grégaires, en se regroupant en associations libres, volontaires et autogérées, plutôt que de défendre un État-nation qui nous ravale, toujours au rang de dominés face à des dominants toujours plus fous et puissants que nous croyons élire démocratiquement, alors que le terrain est balisé pour que nous veautions pour tel ou telle…
JBL
Ne pas voté
Simple
Rapide
Efficacité énergétique.
Et alors ?
Où serait le problème ?
Alors que certains militent pour l’indépendance de la Corse, de la Bretagne, du Pays Basque, de la Catalogne, de la Flandre, de l’Occitanie Gasconne, etc…
Et que bons nombres hurlent haro sur le gouvernement jacobin et centralisateur, ses lenteurs et lourdeurs dans son fonctionnement centralisateur technocratique…
Quels seraient le problème, de voir disparaître un niveau de la hiérarchie territoriale ?
De fait, il y en a plusieurs. Et ils sont plutôt nombreux.
Tout d’abord, il y a la question militaire et celle de l’arme nucléaire ?
De même, quid de la péréquation fiscale inter-régionale entre régions riches et pauvres ? Entre régions très peuplées, et désertifiées ?
Pour des droits égaux et communs à toutes et tous, concernant l’accès à l’éducation, aux soins, à une couverture sociale, à la retraite, à la prise en charge de la fin de vie, … ?
Il faudrait dons une uniformisation européenne, non ?
Donc, que les citoyens européens aient les mêmes droits, les mêmes salaires, la même couverture sociales, etc, dans toutes les régions constituant l’Europe.
De Lisbonne à Helsink, et de Nicosie à Dublin…
L’Allemagne est composée de 16 Landers, la France de 18 régions (en comptant les 5 ultra-marines…)
L’Italie de 20 régions, L’Espagne de 17, le Portugal de 12, la Finlande de 19, la Pologne de 16, etc…
Soit en Europe, un minimum de 72 Super-régions, en oubliant les territoires et villes autonomes, et en se limitant aux NUTS1.
Ou 148 en passant aux NUTS2.
Déjà qu’à 28 états, c’et « un peu » le bordel pour se mettre d’accord…
Très franchement, les souverainistes et nationalistes ont encore de beaux jours devant eux.
Ce n’est pas pour rien que Michel Onfray lance la revue « Front Populaire ».
C’est un bon filon pour les années qui viennent.
Bon, ben, moi qui suis Terrien, je retourne à ma brouette pour finir de préparer mes bacs pour la deuxième série de plantations de patates demain (c’est un jour racine…)
Ah les jours racines
Le démembrement de la France est en marche..
Oui, merci,j’me prends un p’tit kf serré.
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