Pas suffisant de saccager la Terre, il faut viser plus haut vers l’espace. Vu le coût probable, à quel prix seront vendues ces « ressources spatiales » ?
Les acteurs privés intéressés devront obtenir un agrément du ministère de l’économie afin de pouvoir ramener les ressources sur Terre ou les utiliser pour construire des bases.
C’est une première européenne. Le Luxembourg a voté à la mi-juillet une loi autorisant l’exploration et l’utilisation des ressources de l’espace, qui entre en vigueur mardi 1er août. Le texte permet aux entreprises établies dans ce pays de moins de 600 000 habitants d’extraire et de s’approprier des ressources spatiales, telles que des métaux, des hydrocarbures ou de l’eau.
Avec ce projet, baptisé spaceresources.lu, « le Grand-Duché [fait] un pas majeur supplémentaire pour se positionner comme pôle européen en matière d’exploration et d’utilisation commerciales des ressources spatiales », avait expliqué, mi-juillet, Etienne Schneider, ministre luxembourgeois de l’économie.
Un intérêt économique
Le Luxembourg devient ainsi le seul pays européen à permettre aux acteurs privés d’exploiter les ressources de l’espace. Ceux-ci devront obtenir un agrément du ministère de l’économie, et pourront ensuite ramener les ressources sur Terre ou les utiliser pour construire des bases.
En se dotant d’un tel cadre législatif sur les ressources spatiales, le Grand-Duché, dont l’économie est principalement portée par le secteur financier, cherche avant tout un relais de croissance. Le pays ambitionne de développer une industrie du « New space » (« nouvel espace »).
Quatre entreprises du secteur spatial sont installées au Luxembourg : les américaines Deep Space Industries et Planetary Resources (qui veulent développer l’exploitation des ressources présentes dans l’environnement spatial, notamment sur les astéroïdes), la japonaise Ispace (spécialisée dans la robotique) et la société germano-luxembourgeoise Blue Horizon (qui veut rendre possible la vie dans l’espace).
L’Etat luxembourgeois, qui détient 17 % du deuxième opérateur mondial de satellites, la Société européenne des Satellites (SES), est aussi actionnaire de Planetary Resources.
En avril, le pays a annoncé la mise en place, pour octobre 2018, d’une agence spatiale luxembourgeoise et d’un fonds d’investissement dédié au financement de cette dernière. La Banque européenne d’investissement et l’Agence spatiale européenne se sont associées au projet. Un accord est également attendu, en octobre, avec l’UAE Space Agency, l’agence spatiale des Émirats Arabes Unis.
Interrogé par Le Figaro, Etienne Schneider a assuré que soixante entreprises étaient « intéressées par le programme » spaceresources.lu et souhaitaient s’installer au Luxembourg.
Lire aussi : Les odyssées de l’espace
Le Luxembourg veut se lancer dans le forage spatial
Un projet controversé
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Source Le-Monde
Voir: Plusieurs expulsions locatives traumatisantes illustrent l’absence d’une prévention efficace
Les mises à la rue pour impayés de loyer n’épargnent plus les personnes âgées.
Le privé qui s’accapare encore une fois des ressource…
On va rigoler, si la Russie ou les us disent het
Le but de la vie est l’évolution spirituelle et non pas le pillage de la terre et des autres planètes, surtout lorsqu’on voit que les espèces végétales et animales n’ont pas le temps de se reproduire !
Parfois je me dis que l’être humain est une espèce non viable. De toute façon, à force de détruire les écosystèmes pour le profit, nous finiront par disparaitre définitivement et cela plus rapidement que prévu, mais en espérant que ces espèces de bipèdes en manque de joie et de bon sens qui décident en hauts lieux, disparaissent avant tout le reste.
Pour commencer, arrêtons de consommer, car c’est la consommation qui détruit notre planète. Ne plus consommer les produits qui détruisent les écosystèmes, qui font souffrir les animaux ou des populations autochtones, voilà un geste juste pour notre avenir et de plus, en faisant cela, nous ne contribuons plus à enrichir les multinationales et autres projets pharaoniques responsables de nombreux maux.
L’idéal serait même que les peuples arrêtent de travailler, de consommer et de payer les impôts, ainsi le système tel que nous le connaissons s’effondrerait mais tant que la société est régie par l’argent, il n’y aucune chance à l’heure actuelle pour que l’être humain raisonne intelligemment car la cupidité l’emportera toujours sur la raison et la sagesse, cependant il ne nous reste plus beaucoup de temps pour réagir, la terre se meurt par la faute des hommes et si elle vient à mourir, alors l’humanité s’éteindra avec elle, ce qui serait un gâchis immense et irrémédiable et une erreur incommensurable et irrattrapable.
ça va être rigoll le jour ou avec leur arrogance habituel ils vont vouloir revendiquer des choses appartenant ou protéger par une espèce ET
Encore un qui a visionné Avatar …
…Le luxo est déjà un avatar en lui-même.