Rappelons tout d’abord que cette loi permet en principe à chaque femme de porter plainte pour viol pour peu que son partenaire-dans le feu de l’action- ait oublié de lui faire dire « oui » avant l’acte sexuel ou tout simplement parce qu’elle aurait changé d’avis pendant le rapport. Pour démolir le peu de confiance qui pouvait encore subsister entre un homme et une femme, il est difficile de faire mieux.
Cette loi, bien évidemment, est en soi aberrante, absurde et contre nature. Elle tend à éradiquer tout désir sexuel basé sur le respect et la confiance réciproque. En effet, dire « oui » signifie implicitement que le partenaire choisi, est potentiellement un violeur (ou un porc, comme elles disent…) en qui la partenaire ne saurait faire confiance. Obliger un homme juste avant l’acte sexuel à dire : « dis-moi oui », c’est, au-delà même de l’humilier et dans une certaine mesure d’anéantir tout sentiment érotique, porter atteinte aux relations homme-femmes tout court (tant sexuelles qu’affectives) et donc, au fond, détruire la vie. La vie, qui jusqu’à preuve du contraire se développe à partir de la rencontre entre un homme et une femme, non? Eh oui, encore une fois, et comme toujours dans les avancées du wokisme, il s’agit en s’attaquant à la relation porteuse de vie homme-femme, de s’attaquer en réalité au principe même de la création voulue par Dieu. Tout est là;
Obliger un homme à devoir entendre un «oui» de sa partenaire, c’est lui dire en creux : « si tu veux une relation sexuelle, reconnais d’abord que tu es un violeur qui s’ignore, bref, un porc». Pour rétablir la confiance entre les deux sexes, je reconnais que c’est pas mal, il fallait y penser, les filles…
Certes, en regardant de plus près les personnes qui se trouvent à l’origine de ce texte, les choses s’éclaircirent…. La principale instigatrice du texte étant Marie Charlotte Garin députée écologiste féministe et lesbienne (elle ne s’en cache pas, donc ce n’est pas une divulgation mensongère de ma part…).
C’est que, contrairement aux homosexuels mâles qui eux sont homosexuels point barre, les lesbiennes véhiculent, elles, une haine pathologique à l’endroit du sexe opposé, elles véhiculent une philosophie de culture de mort antichrétienne. Elles ne supportent pas qu’il puisse encore y avoir des rapports normaux hétérosexuels entre hommes et femmes. Elles deviennent folles et écument de rage à l’idée même que des hommes et des femmes puissent s’aimer, fonder une famille et être heureux.
Derrière toutes ces lois qui bien comprises reflètent le désir de faire sortir l’homme de l’histoire, d’abord symboliquement et ensuite biologiquement, se tapit, encore et toujours, la détestation des lois naturelles concernant le développement de la vie. Car ne nous leurrons pas, l’explosion de l’homosexualité n’est pas seulement le fruit de la pourriture que nous pouvons voir dans les films de netflix (cette infâme boite à merde), elle est le résultat d’un travail de sape de la famille catholique commencé il y a plusieurs siècles (protestantisme, franc-maçonnerie, philosophes de la mort de Dieu, « Lumières », coup d’état jacobin et mai 68 qui accouchera de cet immonde bébé nommé « politiquement correct » (dont le wokisme n’est qu’un simple synonyme).
Alors pourquoi cette « homosexualisation » forcée des masses dont la loi sur le consentement n’est que la dernière avancée en date? C’est que dans l’esprit de ces fous (ou folles? Je ne sais plus comment il faut dire…) quand tout le monde sera homosexuel, seules les femmes seront en mesure de se reproduire (notamment par clonage ou technique des CSPI-Cellules souche embryonnaires induites. Pour approfondir, voir mon essai « le complot inconscient »).
Un monde « parfait » et indifférencié, un monde enfin débarrassé des « porcs », les hommes. Un monde où les femmes, nécessairement lesbiennes et peut-être clonées, pourront faire semblant de s’aimer; mais il s’agira d’un faux amour, il s’agira en réalité d’une pitoyable masturbation, fruit de l’égoïsme et de la peur d’aimer le grand autre, c’est-à-dire l’homme, le sexe masculin.
Certes, Dieu ne laissera pas faire…
Jean-Pierre Aussant
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Merci pour ce texte !
Honte aux habitants du Rhône qui élisent n’importe quoi : une gamine qui a, semble-t-il, des problèmes psychologiques et des comptes à régler avec ses parents !
Honte aux députés qui l’ont appuyée dans son délire !
Le mieux est de signer un contrat conforme au code civil, l’enregistrer chez un notaire, toutefois, subsiste le risque d’être accusé d’avoir extorqué la signature sous contraint voire par ruse !
Les galipettes restent possible devant deux témoins assermentés.
Quel monde de cons !
Le contrat selon le code civil :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070721/LEGISCTA000032006712/
( Article 1109 Le contrat est consensuel lorsqu’il se forme par le seul échange des consentements quel qu’en soit le mode d’expression. ) Ouf !
Quitte à me faire massacrer par la gente masculine des ME, je nuancerais les propos de cet article qui me semble exagéré.
Je précise que je n’ai pas lu le texte en question, je réponds à l’article.
Ceci dit, nous sommes à une époque où l’acte sexuel n’est plus uniquement un acte de procréation. Il est depuis longtemps, aussi, un acte de plaisir. Et c’est bien ainsi quand il s’agit de respect mutuel.
Nous savons, et ce n’est pas vous qui allez me contredire, que les besoins masculins – le plus souvent – sont supérieurs aux besoins féminins en la matière.
La femme a t-elle obligation de se soumettre à ces besoins si elle les trouve excessifs ? Que ce n’est pas le bon moment pour elle ? D’autant plus qu’elle a beaucoup plus de choses à gérer, bien souvent, que le mari ?
Depuis si longtemps, on a confondu le « devoir conjugal » avec la soumission de la femme à l’acte sexuel. C’est ce qu’elle a fait, elle s’est soumise.
Alors non, les mâles, ne vous sentez pas insultés, mis à l’index … par ce type de comportements.
Si cela peut vous aider à être plus doux, plus respectueux – si tant est que vous ne le soyez pas, bien sûr -, alors cette prise de conscience aura été bénéfique. Si au contraire vous ne pensez qu’à vous venger et à continuer à exercer une domination sur le sexe féminin, alors c’est que vous êtes des .. Bref. Et c’est regrettable. C’est pour vous qu’il faut dans ce cas légiférer. Et c’est contre vous en effet que certaines femmes changent de côté.
D’autant plus si, dans leur enfance, elles ont été abusées sexuellement par le père, l’oncle … L’image du mâle est alors celle du dominant, de l’abuseur … Et si elles se sont construites avec ça, le résultat, s’il est triste, paraît évident. Toutes les femmes n’ont pas guéri de ces traumatismes.
Voilà, j’espère vous avoir apporté un peu de douceur, de compréhension, pour vous éviter la violence d’un comportement extrême. Et je re-précise, je ne réponds qu’à l’article, et à vos propos.
Ça pourrait être si simple : quand un des 2 partenaires n’a pas envie, il n’y a pas coït. Sinon on n’est plus dans la relation mais dans le rapport ….. avec possiblement contrainte.