Froid roide..

Auteur Gilgu pour Imagiter

…des évènements nous ont fait vivre un froid…mordant. Celui qui ne nous lâche pas, qui prend toute la place des sensations, qui obsède la moindre des cellules. Qui ne laisse pas en paix ! Pourquoi le dire ? Puisqu’un léger moment de répit, 2 heures de léger chauffage suivi de marche dans la rue, nous a fait comprendre ceci :

Les Griffes du froid ne nous quittent jamais. Crispantes, elles nous crispent fortement. Les peaux se tassent sur nous, nous pelottent les corps comme roulés en boule, nous rendent pesants. Sans nous apercevoir nous sommes tout courbés. Le froid nous sculpte dur, la silhouette. Il nous agrippe, toujours blessant. Il nous force à nous replier au plus serrés, nous comprimer. Mais. Mais ? L’espace de détente du peu de chauffage, sur de forts caractères, peuvent forger la situation au mieux. Genre ? Le fil de résilience qui amplifie la laconique bonne sensation, parmi le malaise corporel général, nous le transformons en un bien plus ample brasier. L’image reste plantée dans les têtes. La marche ? Le corps reprend ses droits. Les parties végétales des peaux se redressent et dardent leurs fougères de vivacités. Nous nous déplions un peu…

Oui un soulagement. Une décrispation, une relâche. Une suspension des pressions barbelées…et soi de se rétablir plus complètement, de se sentir dépoussiérer les douleurs, de les épousseter. L’apaisement est puissant si toute la tête reste concentrée à le ressentir. S’ébrouer. De quoi prendre pleine conscience que le carcan de griffes n’est plus là. Et que ce roide froid ne peut lutter complètement contre les volontés ontologiques et leurs envols ontiques. Qu’il demeure une souplesse d’adaptation accessible. Souplesse qui fait toute la différence dans les situations difficiles. Entre qui mordent les obstacles et qui se font mordre par eux, gaspillant le peu d‘énergie résiduelle dans des plaintes inutiles.

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Inutiles car depuis quelques années nous avons assez vérifié que le bourgeois, le bloc bourgeois, est inhumain. Un monstre enserré dans un bunker de préjugés d’insensibilités. Il est devenu inaccessible aux habiletés mentales et aux capacités de comprendre qui n’est pas exactement comme lui, son clone. Très « petit monde » que son existence. Donc tout ce qui est humais lui est devenu très étranger. Il ne vit plus dans ce monde. Preuves ? Froid, soif, faim, faiblesses, malaises, etc…il sait à peine ce que c’est. En tout cas, il ne les a jamais ressenti au ras des concrets. Sinon il chanterait, en 2023, on n’a plus le « droit » d’avoir froid ou d’avoir faim…Soit l’expérience partagée : aucun humain ne doit vivre cela. Réaction saine et normale. Si… anormal de ne pas même y penser…Absente ? Tout le vérifiable qu’il ne comprend pas très bien doit être…éloigné à coups de fourches de leurs abstractions glaciales. Soit ce qui les mettent en retrait, qui les…abstraient des vécus vilainement existants. …Leurs bablablalalas, si inadaptés, écartent cela comme si ce n’était pas si… malsain et si anormal de balayer cela. L’état de froideur antisociale se voit carrément identifié.

Et nous allons aller chercher tellement plus loin encore. Assez pour entamer le célèbre ce qu’il reste à dire. Que les humais veulent quitter définitivement toute la barbarie bourgeoise, ces décivilisés flagrants. Les absences de sensibilité et de sociabilité deviennent ce qui dont, en premier, se voit sanctionnées. Ce n’est pas tout que de sanctionner autrui, à sens unique, il faut aussi, et avec la même mesure, balayer devant sa porte. Et ? Et plus vous serez riches, et plus vous seriez sanctionnés ? Il y a de ça. Les pestilentiels préjugés bourgeois ont assez détruit le monde. Nous leur opposons, désormais le « devoir de sociabilité ». Qu’ils ne remplissent jamais. Faudra bien…Jusqu’à ce jour, ces amputés du cœur faisaient leurs ravages sans protestations. Ce temps est fini. Le règne glaciaire du bourgeois est clos !

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>><<> – Savoir que « l’enfant à vie », que demeure le bourgeois, toujours « langé » dans des glacés conforts sans réconforts, si néfastes à nos vraies vies. Et dont cet hurluberlu délire « notre style de vie n’est pas négociable » (alors que c’est le seul qui doive être Transformé à…100 % – rien à garder dans ses hystériques caprices…destructeurs !). Il se prend pour un dieu sur terre, ses pieds d’argile appellent à sa chute complète. Il n’a déjà pas les qualités pour être un simple…humain, alors pour un dieu il n’a même pas commencé. D’abord – ce n’est surtout pas un « terrien », jamais les pieds ancrés au sol, pas l’arbre du corps résistant aux effets et causes contraires. Jamais solidaire de la vraie vie… Jamais debout, soit toujours aux deux bouts des situations…incarnées puis maitrisées. C’est un fantôme, un extraterrestre palot, lunatique en diable, toujours « absent » – égaré dans des monologues insensés où l’Autre n’a pas la moindre place…Face à ce « fétu » inadapté, hors des concrets, toujours subissant (et faisant subir aux autres) nous devons examiner la conclusion. Qui est ? Qu’il reste le plus Grand Inadapté au monde, à la nature à la vie directe…et que sans ces autres, qu’il mal traite tant, il…ne survivrait pas. Aucune autonomie adulte chez lui ce n’est qu’un grand dépendant suintant…les ingratitudes pleins pots. Un parasite oui…Dans ces conditions, il a assez fait de dégâts, de bêtises, faut le brider et de partout. C’est un démon fou, pour qui ses lubies (injustifiables) sont plus importantes que l’Humanité et que le monde entier. Ce dépravé complet Sacrifie tout le monde à ses indéfendables idées folles. Pourquoi le souligner ?

** C’est que incapable d’entendre (donc d’écouter) les appels des autres – c’est bien un bloc de béton où ils perdent leurs vies dans d’artificielles serres (tiens, serres, telles les griffes du froid roide). Sa vie uniquement… « artificielle » est un immense danger pour le Futur commun. Il est le suicidaire… des Autres, après moi le déluge, ricane-t-il…Inapte à entendre raison…il est, aussi, impuissant à aimer (seule sa personne immature compte – oui un exemple détraqué de « solipsisme », solipsismes qui siègent complètement autour des amants des tyrannies puériles (Voir)…Ce pourquoi il est si urgent que d’admettre que le bourgeois est un « apathique de sentiments » – si incapable de la moindre empathie (dont le contraire reste la plus congelée des…apathies !). Si l’autre est roide de froid il demeure inapte à ressentir la douleur que cela provoque. Son imagination est plus que frigorifiée. Il est en ...panne de tant de choses…essentielles. Ce bloc de glace est un intégral…antisocial – destructeur des sociétés. Il est plus qu’un immoral, un incapable de la moindre moralité. C’est le seul marginal à vie : le plus éloigné des socialités, des attentions aux autres, des méticuleuses attentions que nous prenons pour eux.. Tous les trésors du social sont souillés par cette brute…Nous n’allons pas citer…tous les trésors du social, seulement un seul : cheminer sur les traces des pas des pensées bien…concrètes de cet autre. Soit vivre de l’intérieur ses interrogations, ses mises aux points tremblées, ses résonances affectives – mieux qu’un film, crois-nous. Ce qui appelle de nouvelles Qualités humaines que de parvenir à cet état bien plus englobant. Qualités non encore écloses…

— Et le balourd pesant de piétiner les autres par tous ses « oublis », oublis incessants qui constituent sa seule mémoire. Ces savoirs qui se forgent au contact proche d’avec la nature telle qu’elle est, face aux respects de toutes les formes de vie et surtout surtout à la fin de l’aliénation de croire à la Supériorité « divine » de l’esprit bourgeois…Nous venons, trop durement, de vérifier ses infériorités saturées ; puceau des vraies pensées, il reste aussi puceau du sociable – un seul exemple sonique peut l’attester…jamais sa confiance ne se fiance à autrui…toujours il se dé fiance dans ses défiances illettrées ! Toujours lui qui… casse l’ambiance. Il ne sait vraiment pas vivre !). Prenant illégitimement la place des autres, il nous babille qu’il est le plus « représentatif » alors qu’il ne représente personne ; pas même lui-même. C’est un solitaire mauvais genre. Un handicapé lourd du cœur et du social. Faut l’admettre : jamais tu ne trouveras en lui le moindre élan…spontané. Tout est sordidement…calculé… Toujours corseté dans son armure de conneries, il n’est à l’aise nulle part et ne met personne à l’aise. C’est que son énergie reste « captive », captive de devoir Dissimuler tant de choses. Oui le bourgeois = qui a tout à cacher…tout boooiiiooonggg..

— L’inattendue conclusion de ce monceau d’échecs (que représente un bourgeois) est que, sur Terre, il reste le plus INAPTE à GOUVERNER. Le fouteur de merdre, la source de tous les conflits…puérils, l’inexpérimenté en tout, l’étalage absurde de ses puérilités ravageuses…toujours embrasées de blablas…irréalistes. L’irresponsable lâche et fuyard. Quasiment tout le monde peut faire mieux qui lui. Oui en usant de trésors gratuits : écouter et regarder. Soit devenir scientifiques des autres sans cacher sa vraie sensibilité. écouter et regarder c’est Accueillir en toute…égalité l’autre, c’est lui accorder la Moitié de tout… c’est se mettre à sa place …enfin… c’est Enfin le vrai débat d’où…surgit la Lumière… écouter et regarder c’est sortir de…l’enfer bourgeois, cette forme d’autisme qui refuse d’écouter et de regarder (car…l’autre n’est rien et je suis tout…dit ce brûlé de narcissisme Toxique…alors qu’il ne vaut pas le détour ne ment…).

Plus vivre Et décider à la place des autres cela se nomme la… Paix. Foutez-nous la paix. Laissez-nous en pais…soit cessez d’être bourges…puisque ces non bourgeois ont déjà fait « toutes les guerres de la vie ». Et savent paisser la paix. La guerre des cœurs est close et enclise. Ne reste qu’à la déguster sans déguster. Être et non-être égaux…la violence bourgeoise (..la pire qui ait jamais existée puisqu’elle se nie comme un puceau…) est Domptée à vies…Ils se sont tellement discrédités eux-mêmes. Bref le froid roide n’est plus…

….Le bourgeois aura été le plus congelé des…anti-humains…

https://www.imagiter.fr/2023/02/froid-roide.html

Complément

PARASITES les milliardaires, ils ne donnent pas au pays, ils lui …Coûtent énormément car ils lui PRENNENT en indignes… parasites…Consèquence ; la société n’a pas besoin d’eux…
Volti

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