Questions pour les défenseurs du climat (du magazine « Schweizerzeit »)..

Manifester c’est bien, encore faut-il savoir pourquoi. Quand les informations sont biaisées et que le combat tourne à l’idéologie, on se demande pour quelle finalité, puisqu’aucune mesure drastique n’est envisagée par aucun gouvernement. instrumentalisation ? Partagez ! Volti

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Transcription

Le magazine suisse « Schweizerzeit » – « pour le fédéralisme, l’indépendance et la liberté » – est publié toutes les 2 semaines en version papier et en ligne. Depuis 1979, « Schweizerzeit » rapporte ce qui doit être dit – et ce que d’autres préfèrent passer sous silence !

Dans son n°3 du vendredi 8 février 2019, le journal aborde la tendance à l’émotion, et comment de manière de plus en plus flagrante l’instrumentalisation des mineurs est mise au service de campagnes politiques. Lors du Forum économique mondial (WEF) qui s’est tenu cette année à Davos, la Suédoise Greta Thunberg, âgée de 16 ans, a été fêtée comme une « super star ».

En grève tous les vendredis depuis août 2018, la militante pour le climat a poussé des dizaines de milliers d’écoliers à quitter l’école sans excuse pour aller « manifester dans la rue contre le changement climatique ». Vous trouverez ci-dessous trois extraits du magazine « Schweizerzeit » du 8 février, dont l’objectif était d’amener à la réflexion les nombreux militants pour le climat:

1. Une composition vidéo qui circule actuellement sur Facebook, etc : Chers enfants, en Allemagne et en Suisse, Vous êtes en train de sécher les cours pour manifester contre le changement climatique, contre le CO2, ainsi que contre le charbon et le nucléaire. Super. Nous, les enfants du Congo, nous voudrions aller à l’école, mais nous devons extraire du cobalt pour que les messieurs et dames propres puissent conduire une voiture électrique propre et condamner les véhicules diesel.

Deux questions à un défenseur du climat par Robert Imberger. M. Imberger a étudié la physique des réacteurs et la thermohydraulique à l’Université Technique d’Aix-la-Chapelle : Récemment, j’étais sur un marché local. Il y avait une action de rue sur le thème de la « protection du climat ». On m’a abordé sur le problème du CO2. J’ai pris la liberté de poser quelques questions au militant d’une trentaine d’année. « Quelle est la proportion de CO2 dans l’air ? » « Très haute ! Beaucoup trop haute ! » « Oui, combien ? » – « Quel pourcentage ? » « Mmh, je ne sais pas, j’suis pas la bonne personne ! » « Aha un vrai connaisseur… » Alors je lui ai demandé : « Et qu’est-ce qu’il y a d’autre dans l’air ? » « Mmh, je crois de l’oxygène ! » « Oui, c’est vrai ! Quel pourcentage ? » « Aucune idée. Je ne sais pas ! » Je lui ai expliqué que cela doit être environ 21 %. Cela lui paraissait plausible. « Et qu’est-ce qu’il y a d’autre dans l’air ? » « Je ne sais pas ! » « Des gaz rares ! Xénon, argon, krypton, néon… ! Vous en avez déjà entendu parler ? Mais cela ne représente qu’environ 1% ! » Il est tout étonné et pensif. J’ai répété ma question encore une fois, et il hausse les épaules et paraît tout abasourdi. « Avez-vous déjà entendu parler de l’azote ? » « Oh oui, oui, oui, oui, oui l’azote ! Oui, il y a encore ça, oui, oui, oui. » « Et quel pourcentage ? » « Je ne sais pas ! » Il hausse les épaules. Mais je n’ai pas lâché prise, je lui ai expliqué que c’est environ 78 %.

Sa main tenant les flyers s’abaissait de plus en plus. Après un court calcul mental (qui m’a paru durer 60 secondes), il a dit : « Ce n’est pas possible, je ne vous crois pas, car alors il ne reste plus de place pour le CO2 ! » « Exactement ! Vous avez raison ! Du moins presque ! Car Il n’y a que 0,038% de CO2 dans l’air que nous respirons. » « C’est une belle théorie tout ça, mais c’est pas pour moi ! Bonne journée, adieu, salut, salut. » Il ne m’a tout simplement pas cru et il m’a laissé planté là.

Si vous voulez continuer à calculer : Nous avons 0,038 % de CO2 dans l’air. La nature elle-même en produit environ 96 %. Le reste, soit 4 %, est produit par l’homme. Cela représente 4 % de 0,038 %, soit 0,00152 %. La part de l’Allemagne est de 3,1 %. Donc, l’Allemagne influence le CO2 dans l’air avec 0,0004712 % (pour la Suisse, c’est encore une fraction de ce pourcentage). Notre objectif est de devenir le leader mondial dans le monde, ce qui nous coûte chaque année environ 50 milliards d’euros en impôts et taxes. Réfléchissez-y, s’il vous plaît.

3. Réflexions du magazine « Schweizerzeit » pour conclure : Déjà aujourd’hui dans les médias du Mainstream un article sur deux sur l’émission de CO2 est encadré par une image de tours de refroidissement d’où pourtant – pour qui le sait – ne sort pas du CO2, mais seulement de la vapeur d’eau blanche qui monte vers le ciel. Maintenant que la mission éducative du gouvernement est de plus en plus de contrôler les comportements plutôt que de transmettre des connaissances, seule une minorité saura à l’avenir que 70 % des fluctuations de température sur terre sont soumises aux hauts et aux bas de l’activité solaire selon l’effet De Vries et ne sont que marginalement liées aux émissions de CO2.

de d.d.

Sources / Liens : SOURCES : „Schweizerzeit“ 40. Jahrgang Nr. 3 vom Freitag, 8. Februar 2019 https://epaper.schweizerzeit.ch/
https://epaper.schweizerzeit.ch/abo-bestellen/
https://www.journalistenwatch.com/2019/01/20/hat-klimawandel-gehirn/
https://de.wikipedia.org/wiki/Luft


7 Commentaires

  1. Est ce que ces jeunes militants « du climat » sont prêts à laisser tomber leurs smarts phones et autres technologies pour éviter le « réchauffement » tant haï (en suède https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif par exemple ?)
    (Perso, je ne me plaindrais pas d’un réchauffement hypothétique si j’habitais en suède…)

    • J’ajouterais, sont-ils prêts à travailler physiquement pour cela ?
      Nettoyer les berges, repeindre les immeubles, nettoyer les eaux des fleuves (en inventant des systèmes de filtres, etc.

      Ou sont-ils en train de vouloir donner des ordres aux adultes ?

      Comme le voudraient, bien sûr, ceux que leur ont communiqué les personnes qui ont lancé la propagande de la jeune Norvégienne.
      Ces ordres étant ceux définis par ces manipulateurs en arrière-plan.

  2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Positionnement_de_la_communaut%C3%A9_scientifique_envers_le_r%C3%A9chauffement_climatique

    John Cook et al. (2016)

    En 2016 dans un article intitulé « Consensus sur le consensus », au vu des études disponibles Cook et ses collègues concluent que ce consensus est partagé par au moins 90 % des scientifiques du climat (le résultat est de 90 à 100% selon la question exacte considérée, la date de l’étude et la méthodologie d’échantillonnage). Ils estiment que ce taux est solide et qu’il est cohérent avec les résultats d’autres enquêtes sur les scientifiques du climat ainsi qu’avec les résultats des études évaluées par des pairs. (Une seule étude concluait à un taux de consensus plus bas, mais elle comprenait deux biais méthodologiques)

    Le 15 mai 2013 Cook et d’autres auteurs dans Environmental Research Letters avaient déjà analysé 11 944 résumés de recherches menées par 29 083 auteurs entre 1991 et 2011. Les auteurs concluent que 97,1 % des 3896 articles qui prennent position sur les causes du réchauffement climatique appuient le consensus scientifique selon lequel ce réchauffement est attribuable à l’activité humaine. En outre ce consensus va en augmentant légèrement avec le temps.

    En août 2013, un article publié dans Science & Education a critiqué la méthode statistique utilisée par Cook et al. D’autres critiques ont également été formulées, montrant notamment que beaucoup de scientifiques climato-sceptiques étaient inclus dans les 97%.
    Anderegg, Prall, Harold, et Schneider (2010)

    Un article de 2010, publié dans Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States, a analysé les données de publication et de citation pour 1372 chercheurs des sciences du climat et émis les deux conclusions suivantes:

    « (i) 97–98 % des chercheurs dont le sujet principal de publication est la science du climat soutiennent la thèse du réchauffement anthropique telle que décrite par le GIEC, et (ii) l’expertise climatique et la notoriété scientifique des chercheurs qui contestent cette thèse est nettement plus basse que celle de chercheurs qui la supportent. »

    Étude de Peter Doran et Maggie Zimmerman (2009)

    Une étude publiée en 2009 par Peter Doran (en) et Maggie Zimmerman, du département des sciences de la Terre et de l’environnement de l’Université de l’Illinois à Chicago, et à laquelle 3146 scientifiques ont répondu, révèle que 90 % des scientifiques interrogés sur le sujet jugent que les températures mondiales ont « globalement augmenté » depuis le XIXe siècle, et 82 % sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle les activités humaines « contribuent significativement au changement des températures moyennes globales. » Ces taux montent respectivement à 96,2 % et à 97,4 % chez les 79 spécialistes en climatologie (ceux qui ont indiqué « science du climat » comme domaine d’expertise et qui ont publié plus de 50 % de leur articles récents sur le sujet). À l’inverse, seulement 47 % des 103 géologues interrogés pensent que l’activité humaine est un facteur significatif du changement climatique. En conclusion l’enquête affirme:

    « Il semble que le débat sur l’authenticité du réchauffement global et sur le rôle joué par les activités humaines soit largement inexistant parmi ceux qui comprennent les nuances et les bases scientifiques des processus climatiques à long terme. »

    Étude de Bray et von Storch (2008)

    En 2008, Dennis Bray and Hans von Storch ont sondé 2058 climatologues répartis dans 34 pays. Au total, 373 scientifiques (18,2 %) ont répondu à l’enquête de 76 questions. Plusieurs de ces questions utilisaient une échelle de 1 à 7 (« pas du tout » à « fortement ») pour les réponses. À la question 20, « À quel point êtes-vous convaincu que des changements climatiques se produisent présentement, qu’ils soient d’origine naturelle ou anthropique ? », 67,1 % ont répondu fortement (7), 26,7 % dans une large mesure (5-6) , 6,2 % dans une faible mesure (4-2) et 0 % pas du tout. À la question « Croyez-vous que les changements climatiques (récents ou dans un futur rapproché) sont d’origine anthropique, 34,6 % ont répondu fortement (7), 48,9 % dans une large mesure (5-6), 15,1 % dans une faible mesure (2–4), et 1,35 % (1) « pas du tout ».

    Analyse de Naomi Oreskes (2004)
    Les tenants de l’existence d’un consensus concernant la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique s’appuient sur la prise de position de plusieurs institutions scientifiques et sur le nombre de climatologues impliqués dans les analyses du GIEC. Ce consensus a parfois été mis en doute par des responsables politiques, en particulier aux États-Unis. Mais selon une étude publiée dans la revue Science par une historienne des sciences, Naomi Oreskes, l’analyse de 928 résumés d’articles scientifiques sélectionnés dans une base de données à l’aide des mots clés « climate change » et publiés entre 1993 et 2003 montre qu’aucun d’entre eux ne remettait en cause le consensus défini par le GIEC.

    Voltigeur, te laisse pas embobiné avec les conneries des climato-sceptiques. Que le réchauffement climatique sois utilisé à des fins politique ça c’est dans l’ordre du possible, mais y’a un consensus quand à son origine et ça fait l’unanimité.

    • « Un consensus quand à son origine ». Tu veux parler de la bête immonde nommée humain ? Admettons. Mais alors qui donc peut bien être à l’origine du réchauffement qui s’abat sur d’autres planètes du système solaire ? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

      Je ne nie pas le fait que nous participons, un peu, au dérèglement de nos écosystèmes, notamment en déforestant comme des malades (que nous sommes), mais il faut quand-même remettre l’humain et ses activités à leur juste place, c’est à dire une insignifiance à l’échelle d’une planète et des modifications constantes qui l’animent et l’animeront encore après notre départ.

      Au fait, sais-tu que l’humanité entière pourrait tenir dans un cube de 1,34 Km de côté ? C’est juste pour mieux nous situer. Eh non, nous ne sommes finalement pas grand-chose …

      M.G.

      • Qui peut bien être à l’origine des constatations de la hausse des températures sur certaines autres planètes du système solaire ? La NASA ? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif
        Et ce malgré le minimum solaire ? …

        La masse des corps humains n’est peut-être pas très volumique mais ça n’inclue certainement pas tout ces infrastructures/véhicules/routes/émissions/etc. Donc cet affirmation est très biaisé/manipulatrice/minimaliste. Pourquoi ?

        • Je n’affirme rien ni ne souhaite manipuler qui que ce soit, surtout ici, je partage juste mon ressenti et mes interrogations. De toute façon personne n’est en mesure de certifier quoi que ce soit concernant le climat tellement l’information est biaisé dans ce monde, et la plupart des scientifiques doivent être largement corrompus par des intérêts supérieurs …

          Encore une fois je ne nie pas notre participation à la dégradation de notre biotope, mais je ne pense pas que l’activité humaine soit la principale cause des modifications du climat …

          M.G.

          • Sort alors des scientifiques pas corrompus…

            Cela me semble tellement de la branlette intellectuelle sur des broutilles alors que le monde est en feu, mais on discutes et parlons de choses sur l’humain ou pas, qui est responsable ou pas, putain, beaucoup ici on le temps de réfléchir (selon quoi et quelle informations ? ) Chez vous rien ne brule ????
            Merde le feu est parti d’une allumette et pour certain d’un éclair, putain, que la difference est énorme… quand tout part en couille dans tout les sens..

            Les gens débâtent sur la misère, mais pour un affamé c’est pas des idées qu’il lui faut, mais des aliments, c’est beau de parler quand tout va bien. Ne serait-ce juste une seule fois, voir ou vivre les choses de la réalité du monde. Demain on va en blablabla et demain encore blablabla et je connais des gens qui connaissent à font l’histoire ( mais de ou, des livres ? ), leurs vie sont souvent misérable et moi l’ignorant selon eux…

            C’est ouf, vous êtes plus sur la connaissance des choses que les choses elle même, vous êtes plus sur des images et des broutilles que l’immensité d’une pierre, ou d’un brin de vie…

            Ce qui va tuer l’homme et la vie ( oui la vie qui EST là, pas sur mars… ) , c’est la pensé, pensant être le centre de toute choses, car c’est dans sa nature propre, de « penser « qu’elle est isolé…

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