Donald Trump annonce la guerre civile aux États-Unis …

A force de mettre le souk partout sur la planète, ils vont voir la difficulté à gérer la violence chez eux. Merci à Duke. Partagez ! Volti

**********

Source Dedefensa via Réseau-International

Pour la première fois de manière explicite, le président Trump a parlé des élections de novembre (midtermquasiment comme d’un enjeu de “guerre civile”en les désignant comme un “référendum sur la religion, un référendum sur la liberté de parole”. Trump parlait en dîner semi-privé mais largement fait pour qu’on diffuse l’essentiel de son intervention, devant une centaine de personnalités religieuses ou apparentés, exclusivement des dirigeants et personnalités évangélistes, de ces diverses “églises” nées aux USA des grands courants protestants et puritains de l’origine. (Cette intervention a été largement reprise par la presseSystème. Le site censuré et proscrit, et spécialisé en complots et FakeNews, donne un rapide aperçu de ces réactions nombreuses de la presseSystème, sur Infowars.com le 29 août 2018.)

Les passages principaux de l’intervention de Trump sont d’une force et d’une précision inaccoutumées pour lui, dont le discours est d’habitude plutôt véhément, désordonné, mêlant plus ou moins volontairement des arguments contradictoires…

« Le niveau de haine et de colère est absolument incroyable de puissance. Cela est dû en partie aux choses que j’ai faites pour vous, et pour moi et ma famille, et comme je les ai faites… Cette élection du 6 novembre est beaucoup plus un référendum, et non seulement sur moi, c’est un référendum sur votre religion, c’est un référendum, sur la liberté de parole et le Premier Amendement.

« Si le GOP [parti républicain] perd, ils pulvériseront tout ce que nous avons fait, et ils le feront vite et violemment, et très violemment. Il y a de la violence partout. Si vous regardez les Antifa et d’autres groupes du même genre, – ce sont des gens très violents. »

Ayant une assistance composée de personnalités religieuses, Trump a évidemment insisté sur cet aspect des événements en cours et des possibilités de violence à l’occasion et après ces élections. Le cas est en effet connu que cette gauche ultra qui est à la fois hors des structures politiques normales, à la fois soutenue indirectement par le parti démocrate, et ouvertement par la gauche de ce parti, a une très forte composante anti-chrétienne, ce que Trump a symbolisé à sa manière bien entendu : « Vous vous trouvez à une élection de perdre à, peu près tout ce à quoi vous tenez… Des petites choses comme ceci : “Joyeux Noël”, vous voyez ? Vous ne pourrez plus dire “Joyeux Noël”… » Michael Snyder, qui rend compte de cette intervention de Trump sur son site AmericanDream.org le 28 août, commente : « Et même s’il est assez improbable que nous perdions le droit de dire “Joyeux Noël” dans un temps rapproché, la vérité est que nous allons voir rapidement l’érosion de nos libertés religieux » à l’occasion de ces élections, dans tous les cas si les démocrates l’emportent,  – sans d’ailleurs qu’il s’agisse d’une condition décisive.

• Quelle est la situation actuelle pour ce qui concerne les perspectives de ces élections de novembre ? Les derniers signes électoraux concrets, hors des sondages qui ne donnent pas une image nationale précise et qui peuvent toujours être contestés, – et contestables, – montrent sans aucun doute des signes qui justifient l’inquiétude de Trump, du point de vue de son parti, si tant est que les intérêts et les conceptions de Trump et des républicains coïncident. Snyder : « À un peu plus de deux mois seulement des élections de mi-mandat, je pense que le président Trump commence à se rendre compte de la gravité de la situation. Les républicains pro-Trump ont perdu dans les primaires en Arizona, en Idaho et ailleurs. Les candidats démocrates recueillent beaucoup plus d’argent que les candidats républicains, et la gauche a beaucoup plus d’énergie et d’enthousiasme que la droite en ce moment. »

Plus encore, il est notable que, du côté démocrate, les primaires montrent que les candidats les plus radicaux, les plus proches des groupes tel Antifa, et souvent des candidats jeunes qui sont très peu impliqués dans les structures traditionnelles du parti démocrate mais très impliqués dans le courant doctrinal progressiste-sociétal, et souvent venus de minorités ethniques, créent souvent la surprise en remportant des primaires désignant le candidat démocrate pour les élections de novembre. Parmi les cas les plus significatifs, il y a eu en juin à New-York la victoire d’Ocasio-Cortez et celle, avant-hier en Floride, de Andrew Gillum. Cette sorte de candidats, s’ils sont élus, implique l’injection d’un activisme politique très peu contrôlable à l’intérieur d’un parti démocrate, et dans les assemblés du Congrès (surtout à la Chambre), très peu inclinés à suivre des directives politiques classiques ; au contraire, un afflux de cette sorte de candidats peut tout simplement faire basculer de plus en plus le parti démocrate vers l’activisme politique, y compris extra-parlementaire.

• Au reste, Snyder (qui est lui-même candidat républicain à la Chambre pour ces élections) estime assez justement que les troubles et la violence sont susceptibles de survenir même en cas de défaite des démocrates, tout simplement parce que les groupes extra-parlementaires de l’ultragauche raisonnent et agissent selon la recherche d’une prise de pouvoir par la rue (ou par la communication si celle-ci peut se transmuter en une dynamique de prise de pouvoir par terrorisation psychologique).

« Et Trump a raison  d’estimer qu’il y aura probablement des violences si les républicains perdent l’élection, mais il y aura probablement également des violences si les républicains gagnent. Dans les deux cas, les Antifa et les autres groupes de l’ultragauche continueront leur escalade rhétorique et violente. »

• Enfin, Snyder évoque l’autre aspect d’une éventuelle victoire démocrate en novembre, qui serait une quasi-certaine “guerre civile” à l’intérieur du pouvoir, entre le Congrès et la présidence, avec comme objectif dans le chef des démocrates d’une procédure de destitution. Cette hypothèse et tout ce qu’elle signifie si elle se réalise viennent naturellement sous la plume en raison de l’assistance devant laquelle parlait Trump, parce qu’une destitution de Trump donnerait la présidence à Mike Pence, qui est d’une tendance évangéliste radicale. On évoque peu ce point à cause de l’incroyable haine que Trump suscite chez les démocrates mais il est admis par nombre d’analystes de gauche s’affichant anti-Trump qu’un Pence serait sans nul doute pire que Trump pour leur point de vue de la situation intérieure, à cause de ses positions idéologiques et religieusesconduites par une foi inébranlable.

« Dans son nouveau livre sur Pence, le gauchiste radical Michael D’Antonio cherche à dresser un portrait de Pence comme un “suprémaciste chrétien” fonctionnant quasiment comme “un président-en-attente”… Bien qu’il ne soit certainement pas du côté de Pence, l’intervention [de D’Antonio] a parfaitement montré mardi sur CNN les valeurs chrétiennes qui orientent l’action du vice-président. D’Antonio a déclaré à John Berman, de CNN, qu’il jugeait sans le moindre doute que Pence estimait être “commandé par Dieu” pour se conduire comme étant “en attente de devenir président”. Le biographe, qui faisait la promotion de son livre ‘The Shadow President’ a estimé qu’“absolument tout ce que fait” le vice-président montre qu’il a  comme “objectif de devenir président”.»

Inversion du “déchaînement de la Matière”

… Bien sûr, lorsqu’on dit que “Trump annonce la guerre civile”, nous ne parlons que de communication ; et nous ajoutons aussitôt que le système de la communication est aujourd’hui la principale puissance politique et que les “guerres“ se font essentiellement par son canal (“guerre de la communication”, “guerre de l’information”). Ainsi se situent l’apparence et l’importance des paroles du président US en fonction des situations potentielles par rapport aux moyens employés pour les batailles intérieures, ou plus simplement pour les batailles en général pour le pouvoir. On peut donc comprendre que Trump, en parlant en des termes si tranchés et si impératifs de la situation qui accompagnera et suivra ces élections de novembre, a bien parlé de ce que décrivent ceux qui, aujourd’hui, parlent de la possibilité d’une “guerre civile” aux USA.

D’une façon générale, le discours conforme était jusqu’ici de bannir toute allusion à cette situation potentielle de “guerre civile”, et d’éviter absolument l’emploi de cette expression, – et ceux qui, de plus en plus nombreux, l’ont fait ces derniers temps ont été fort mal vus… Du point de vue de la sémantique et donc de la communication, Trump a franchi une “ligne rouge”. C’est certainement un argument de plus contre lui dans le chef de ses adversaires, mais ce n’est pas ce qui importe. L’essentiel relève plutôt de la psychologie : en abordant ce problème de la violence à venir, donc de la “guerre civile”, Trump parlant en tant que président des États-Unis a libéré les psychologies de ce tabou érigé par la bienpensance, – ou la biendisance du Système. Ce faisant, il ouvre la perspective de la “guerre civile” pour les psychologies, en même temps que l’on réalise qu’aucune situation n’est aujourd’hui raisonnablement concevable, qui ne mène justement à cette “guerre civile”. Compte tenu de ce qu’on sait de Pence, qui s’avèrerait très vite comme pire que Trump pour l’ultragauche et le parti démocrate gauchisé, les trois possibilités envisageables sont toutes trois productrices de la violence enfantant la “guerre civile” :

• Les républicains l’emportent dans les deux assemblés (cas le plus improbable), Trump reste en fonction, et l’ultragauche activiste dans la rue se verra de plus en plus soutenue par un parti démocrate frustré par sa défaite et poussant à tous les moyens possibles pour déstabiliser Trump.

• Les démocrates remportent une demi-victoire (majorité à la Chambre), mais pas suffisamment pour arriver à une destitution, et nous nous retrouvons dans la même situation de déchirement. (C’est le « Thus we are in for a hellish year » de Patrick Buchanan.)

• Les démocrates emportent une large victoire et trouvent un soutien chez certains républicains, et ils obtiennent la destitution. Ils héritent de Pence, le “suprémaciste chrétien”, et donc une situation pire qu’avec Trump : c’est plus que jamais l’heure des violences et de la “guerre civile”.

« Finalement, l’élimination de Trump ne changerait pas grand’chose, observe Snyder… Au point où l’on en est, il n’existe aucun conservateur que la gauche accepterait à la Maison-Blanche, et il y en a beaucoup à droite qui ne supporterait pas un progressiste comme président. L’Amérique approche rapidement du point d’être totalement ingouvernable et, quel que soit le vainqueur en novembre, il est très probable que nous verrons très vite apparaître les premiers signes de cette évidence dans nos rues. »

Il est vrai qu’on trouve là l’effet des passions qui se sont déchaînées à l’occasion de l’élection-intrusion de Trump, – haine et colère à la fois, d’une intensité incompréhensible sinon d’en appeler à des forces suprahumaines irrésistibles ; mais en plus, une terreur panique du Système de voir un homme extérieur au “système du pouvoir américaniste” (système dans le Système, Trump étant par ailleurs un américaniste pur sucre). Cette terreur panique aveugle le Système sur les impasses de la situation, la poursuite effectivement aveugle de la liquidation de Trump conduisant à un Pence, – homme du “système dans le Système” certes, mais désormais se révélant à leurs yeux “suprémaciste chrétien” comme ils disent… C’est-à-dire qu’en trois ans, les références d’honorabilité selon le Système auxquelles Trump ne répondait pas (“un homme extérieur au ‘système du pouvoir’”) ont été les seules admises par les directions politiques, alors que se développait pour les satisfaire un extraordinaire climat de haine et de colère aboutissant à une irréversible fracture du pays. Aujourd’hui, les passions déchaînées règnent : lorsque vous aurez un Pence, homme honorable du “système du pouvoir”, la haine et la colère ne verront plus en lui qu’un “suprémaciste chrétien”.

Aujourd’hui, aux USA, le déchaînement des passions atteint l’intensité de ce que nous avons désigné comme “le déchaînement de la Matière”, et s’y identifie. Selon cette analogie à partir d’une image où le mot “Matière” désigne ce qu’il peut y avoir de mauvais dans la matière en général lorsque le Mal l’investit, le déchaînement des passions en cours aux USA restitue le même processus et met en avant, comme seul moteur de la vie politique, tout ce qu’il y a de mauvais dans cet artefact antihistorique que sont les USA. Nés de ce Moment métahistorique de la fin du XVIIIème siècle que nous nommons “déchaînement de la Matière”, les USA doivent selon une logiqueme supèrieure en mourir en imitant ce processus par inversion, – aussi bien selon l’équation surpuissance-autodestruction que selon le mot de Lincoln devenant une sorte de devise faisant fonction d’oraison funèbre (« … En tant que nation d’hommes libres, nous devons éternellement survivre, ou mourir en nous suicidant » ? Faites donc…)

source:http://www.dedefensa.org/article/trump-annonce-la-guerre-civile

via Réseau-International

Voir aussi :

En guerre, traditionnellement les provocations s’aggravent Par Paul Craig Roberts

Note Volti : Pour ceux qui ont pu regarder hier au soir, « les mensonges de l’histoire » sur RMC Découvertes, dont le premier volet était consacré à la guerre en Irak manipulée et déclenchée par les USA, ces inconscients ne reculeront devant rien, quitte à mentir pour mettre la planète à feu et à sang…

 

10 Commentaires

  1. Déchainement de la matière ou FISSION de celle-ci ????

    $$$ Quand la nourriture vient a manquer, les rats n’hésitent pas longtemps avant de s’entre tuer….$$$

    Personnellement, je prendrais presque ça pour une bonne nouvelle, s’il n’y avais pas tous ces innocents qui vont encore en baver…..

    Bonne journée à tous….

  2. Trump a réussi à briser le mur de la dictature politiquement correcte (faite par la gauche et l’extrême gauche américaine), et a libéré la parole de nombreux américains qui n’osaient plus parler malgré la constitution protégeant la liberté d’expression.

    Comme disait Tim Allen, un acteur de droite, à propos d’avoir certaines idées à Hollywood: “You’ve got to be careful around here. You’re going to get beat up if you don’t believe what everybody believes. This is like 30s Germany,”
    https://www.theguardian.com/film/2017/mar/21/tim-allen-urged-to-apologise-for-comparing-hollywood-to-1930s-nazi-germany-jimmy-kimmel
    Comme par hazard il n’y a pas eu beaucoup d’articles en français sur cette remarque…
    Les remous de l’effet Trump n’ont pas encore atteint la France, mais certains pays d’Europe moins enfermés dans le dogme mondialiste se réveillent et donnent l’exemple.

    • Exactement ! Et il n’y a pas grand monde à le comprendre en France, même dans les milieux dits alternatifs et éclairés. Pendant toute la campagne présidentielle il remplissait les stadiums et a été élu malgré la tricherie monumentale en faveur de la folle de DC, des sondages totalement pipés et un traitement médiatique ignoble. Le deep state est en état de panique totale, 45000 actes d’accusation sous scellés attendent patiemment le bon moment. Trump a été appelé à se présenter par des patriotes de l’armée (Dunford, Mattis …) et d’autres services, et voir la plupart des français, notamment sur ce site et d’autres prétendument ‘alternatifs’ détruire Trump en le décrivant comme un abruti sans couilles ça fait peur. Il a été le premier, et peut-être même le seul à déclarer publiquement qu’il ne croyait pas à la fadaise des avions pour le 11-9, et se continuer sa campagne sans broncher et avec le sourire malgré tout ce qu’il a pu subir durant la campagne, moi ça me laisse admiratif, et il faut en avoir de sacrément grosses pour faire ça. Perso, je n’en aurais jamais été capable, non seulement il l’a fait, mais en plus il avait prédit ce qu’il allait avoir à subir des médias et qu’il le ferait avec plaisir.
      Comme il l’avait amplement dit lors de la campagne, c’est le combat de la dernière chance, et de très nombreux millions d’américains l’ont parfaitement compris. Ça n’est apparemment pas le cas des français, qui me semblent être des moutons, et vraiment enragés pour certains.

  3. Trump fait sans cesse dans l’excès, pour finalement faire moins que ce qu’il avait annoncé.
    Comme ça, tout le monde se dit que finalement, c’est pas si grave que ce qu’on redoutait. Et il fait ainsi passer relativement tranquillement le noyau dur de ses mesures.
    Le changement, c’est gênant quand on est dans une perspective d’immuabilité, mais c’est bien accepté si on s’attendait à un cataclysme.

    Donc bon, je reste très circonspect vis-à-vis des annonces du bonhomme.

    • Bien vu. Contrairement aux avis haineux des médias et des bien-pensants sur le personnage, il serait réducteur de voir en ce dernier un simple pitre raciste et réactionnaire. Trump est nettement moins populaire en Europe de l’ouest que dans son propre pays et c’est tout ce qui lui importe. Il s’est donné pour mission de protéger exclusivement les intérêts US même au détriment de ses alliés-vassaux. A ceux-ci de jouer leur propre jeu. On ne peut lui reprocher de jouer sa partie. A nous de jouer la nôtre et d’adopter une autre attitude que celle de tafioles pleurnichardes.

  4. Les funérailles de la haine satanique

    … Entendons-nous bien : je ne veux pas dire que c’est la haine que l’on a enterrée mais tout au contraire, que c’est la haine, et peut-être plus encore, qui a présidé à l’enterrement de John McCain, – lequel l’avait voulu ainsi, donnant ses instructions pour son enterrement et incitant ainsi à en faire la poursuite de sa bataille soi-disant “politique”,– et que je qualifierais plutôt de “satanique”. On pourrait dire sombrement, et pour mélanger les genres comme les manipulateurs de l’enterrement l’ont fait suivant les consignes du mort, que “c’est la haine satanique qui menait le bal de l’enterrement”. Outre d’être “le dernier degré de la corruption” de la psychologie, c’est aussi et d’abord un détournement satanique.
    […]
    https://reseauinternational.net/les-funerailles-de-la-haine-satanique/

  5. Encore un de ses nombreux « Théatre de Marionnettes » destiné a détourner l’attention pour faire passer des
    « choses » en coulisses,
    tout en irritant les reseaux sociaux dont les Trolls payés a « mettre de l’huile sur le feu » pour faire réagir les differents groupes,
    ainsi pour mieux en collecter des Giga-Données de Comportement, analysables par les psy partenaires des lobbysts et de l’Elite Mondiale…
    dévoilant en méme temps les reseaux/internautes les plus rebelles a ficher auprés de la NSA et autres Big-Brothers des differents pays…

    Plus les défenseurs des Libertés se dévoilent de la sorte, et plus ils seront analysables, et ainsi se mettrons en péril de censures a venir ( voir pire )

    Plus vous réagissez, mieux vous serez analysables. Internet est devenu une Arme, et ils vous laisse justement vous exprimer, pour mieux vous cerner, et vous « punir » si vous depasser certains « seuils ».
    (en se remplissant les poches au passage)

    Internet est devenu un piege a cons, une gigantesque salle de cinéma pour les « Théatres a Marionnettes »…dont vous étes les spectateurs.
    Laissez les jouer « leurs roles » de marionnettes, sa leur va si bien.

  6. « C’est moi ou le chaos » … un grand classique chez les presque démocrates qui n’ont que la haine de l’Autre comme programme

Les commentaires sont clos.