Si ça continue, et que les parlementaires LREM n’arrive pas à étouffer cette affaire, malgré leur zèle pour le faire, ça va être le feuilleton de l’été, devons-nous nous attendre à d’autres révélations ?. . L’audition des témoins est d’une affligeante platitude, les questions reviennent en boucle sous différentes formulations, certains parlementaires semblent avoir du mal à comprendre l’excellent français employé par les témoins. Il n’est pas étonnant que l’opposition se soit exclus de ce qu’ils nomment, une mascarade. La liste des « vrais crimes » du banquier élyséen, ne cesse de s’allonger et fort de son impunité, il profite tout sourire de ses voyages pour « laisser passer l’orage », en n’oubliant pas de se faire plus royaliste que le roi puisqu’il se permet d’arriver avec deux heures de retard et, il a contraint le roi d’Espagne Felipe a patienter, ce qui ne se fait d’ordinaire pas d’après le protocole. On en a pas fini avec le ridicule. Partagez ! Volti
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Auteur Liliane Held Khawam pour son blog
26 ans, lieutenant-colonel, habilité « secret défense » , et défendu par le président de la république lui-même! Joli parcours de M Benalla quand on sait qu’un Saint-cyrien normal très doué peut espérer décrocher ce titre vers les 40 ans…
Le problème de cette affaire n’est pas tant au niveau du parcours de M Benalla que de la gêne que la position de cette personne semble cristalliser au plus haut de l’Etat. L’observateur standard a l’impression qu’il existe un schisme entre les organes de la république et une entité privée et parallèle qui relève de zone d’influence du président.
Or, le président est un élu issu de la haute finance internationale. Tout le monde le savait lors de son élection. Il l’a lui-même toujours assumé.
Nous savons aussi que la haute finance internationale est constituée d’entités privées qui ont en horreur absolue la chose publique. En tant que créanciers ultra-choyées et d’ores et déjà propriétaires, directement ou indirectement, des espaces et des services publics, ils sont en train de réformer la Constitution nationale sous l’autorité de M Macron. Rien de plus normal au vu des lignes qui précèdent.
Une gouvernance privée est en cours de finalisation. Alors est-ce anormal que des entités privées, en l’occurrence de sécurité, cohabitent sous les ors de la république aux côtés de Services d’Etat, devenus obsolètes?
Mais voilà M Macron qui a voulu joindre deux mondes, celui de la république et celui de la haute finance a fait des faux pas.
Les journalistes du Monde se sont sentis trahis dans le cadre de la gestion de l’ouverture du capital de leur journal (Voir le témoignage de Adrien de Tricornot. Et l’affaire Benalla a été dévoilée par Ariane Chemin du Monde…
Cette lecture des évènements pour dire aux journalistes qu’ils représentent un pouvoir puissant dont les peuples ont besoin pour rétablir les faits, et tourner les projecteurs vers les représentants de la haute finance et leur prise de pouvoir politique!
Eat or be eaten, est la maxime de Wall street.
La démocratie a besoin des journalistes et de leur quête de la vérité.
Liliane Held-Khawam
Comment Macron m’a trahi. Streetpress.com 2017
En 2010, le journal Le Monde est au bord de la faillite et Emmanuel Macron propose son aide « bénévole » aux journalistes. Mais le banquier d’affaires roulait en fait pour un des groupes qui voulait racheter le journal…
Je suis Adrien de Tricornot, je suis journaliste au Monde. En 2010, le groupe Le Monde avait de grosses difficultés financières et j’étais vice-président de la Société des Rédacteurs du Monde.
Nous les journalistes, au travers de la Société des Rédacteurs du Monde, étions les principaux actionnaires du groupe*. Nous savions que nous allions devoir faire appel à de nouveaux investisseurs, et voir nos parts diminuer. Nous allions perdre le contrôle actionnarial du journal. Il fallait nous entourer de spécialistes : avocats, banquiers d’affaires.
Macron, jeune banquier d’affaires, propose de nous aider
C’est à ce moment là qu’Emmanuel Macron, jeune banquier chez Rothschild, fait savoir à une journaliste, qu’il est prêt à nous aider « pro bono ».
Emmanuel Macron se présente à nous comme un banquier d’affaires qui fait de l’argent, mais n’y trouve pas du sens, membre de la Fondation Jean Jaurès, voulant défendre la liberté de la presse, ancien assistant de Paul Ricoeur… Et donc prêt à nous aider bénévolement.
« On allait voir Macron le soir chez Rothschild, quand tous ses collègues étaient sortis, pour se tenir au courant discrètement. »Adrien de Tricornot, journaliste au Monde @tricornotEt Emmanuel, puisque c’est comme ça qu’on l’appelait à l’époque, devient vite un conseiller important pour nous. On allait le voir le soir chez Rothschild, quand tous ses collègues étaient sortis ou dans des cafés pour se tenir au courant discrètement. On le trouvait formidable, super brillant…
J’aperçois Macron avec Alain Minc…
Le 2 septembre 2010 après-midi, on se retrouve une nouvelle fois dans le bureau d’Emmanuel Macron. On lui rend compte de l’état de nos négociations. On s’apprête à conclure avec l’offre Bergé-Niel-Pigasse, qui n’était pas la direction vers laquelle il nous avait conseillé d’aller. Mais l’entretien reste très cordial.
Le 3 septembre au matin, nous avions une réunion avec les conseillers de Pierre Bergé [un des futurs repreneurs du Monde], 10 avenue George V. La coïncidence, c’est qu’à la même adresse, il y a les bureaux… d’Alain Minc. Or Minc, ancien président du Conseil de Surveillance du Monde, conseille à l’époque le groupe Prisa qui est un des autres candidats au rachat de notre journal.
… Macron disparaît et part se cacher
Après notre rendez-vous, nous discutons quelques minutes entre nous avec Gilles Van Kote, président de la Société des rédacteurs du Monde, notre avocat et sa collaboratrice, en bas de l’immeuble. Je vois la porte de l’immeuble s’ouvrir. Un petit groupe sort autour d’Alain Minc, pour aller déjeuner ; le dernier à sortir est Emmanuel Macron. Je croise son regard, il me semble qu’il me voit également ; il échange quelques mots avec Minc tout en restant sur le pas de la porte, puis Macron disparaît derrière la porte cochère et ne sort pas.
Là je dis à mes collègues : « vous n’allez pas me croire, mais avec Minc, il y avait Macron ». Mes amis me disent que je suis peut-être un peu fatigué, mais que ça n’est pas possible.
La partie de cache-cache commence
Je décide d’aller voir si Macron est toujours derrière la porte. Je ne vois personne dans l’entrée, personne derrière la porte, personne dans la cour.
Je reviens sans l’avoir trouvé. Mais avant que nous séparions, je décide de faire une autre tentative, et je demande aux autres de m’attendre.
Je monte à l’étage et je sonne au bureau de Minc, mais tout le monde est parti manger. Et je me dis, tiens, si j’allais monter voir aux autres étages.
J’avais une sorte de pressentiment. J’avais vu que Macron se cachait, or quelqu’un qui se cache doit continuer à se cacher. Je monte les marches. Mon téléphone sonne en appel masqué. Je n’ai pas su qui c’était, j’ai raccroché.
Je retrouve Emmanuel au dernier étage
Et puis j’arrive au dernier étage de l’immeuble. Je vois que la porte de l’ascenseur est bloquée – et effectivement quand j’avais essayé de prendre l’ascenseur, il n’était pas dispo. Et tout au bout de l’étage, sur le palier, il y avait Emmanuel Macron qui s’était bien « replié » au moment où il m’avait vu !
« J’ai retrouvé Macron caché au dernier étage de l’immeuble. Il avait bien pris la fuite au moment où je l’ai vu avec Minc »Adrien de Tricornot, journaliste au Monde @tricornotIl avait bloqué la porte de l’ascenseur, et je ne sais pas si c’est lui qui m’avait appelé en masqué pour savoir si c’était moi qui montait les marches. On s’appelait beaucoup à l’époque, mais pas en appel caché ! Ceci dit, c’est peut-être juste un hasard.
Surtout, étrangement, quand j’arrive sur le palier du dernier étage, Macron regarde ses pieds et a son portable à l’oreille et fait comme s’il ne me voyait pas. Et précisément au moment où j’arrive sur le seuil du dernier étage, j’entends « Oui allô c’est Emmanuel… » : Il se met à démarrer une conversation au téléphone. Pile au moment où j’arrive. Je ne sais pas s’il y avait vraiment quelqu’un à l’autre bout du téléphone…
Et moi je vois ce type juste devant moi, qui fait comme si je n’étais pas là. Je suis totalement sidéré. Je pourrais être en colère de la trahison, car on voit bien qu’il a essayé de nous cacher quelque chose, mais je suis assez content de l’avoir trouvé !
Je me rapproche à quelques centimètres de lui, mais toujours rien… il continue à « parler » au téléphone. Je lui tends la main et lui dis : « Bonjour Emmanuel. Tu ne nous dis plus bonjour ? Mes autres collègues t’attendent en bas ». J’ai senti à ce moment l’angoisse en lui. Il avait du mal à respirer. Son cœur battait à 200 à l’heure.
Je lui demande ce qu’il fait là. Il me répond :
« – J’attends des clients »
« – Tu attends des clients, comme ça, sur le pas de la porte ? Pourquoi tu ne rentres pas? »« – Bah, parce qu’en fait on nous prête des locaux ici, mais j’ai pas encore la clé… »« – En tout cas mes collègues t’attendent en bas, ça serait bien que tu descendes leur dire bonjour »« – Non je ne peux pas, j’attends des clients… »Finalement, je lui force la main pour qu’il descende dire bonjour à mes collègues. Macron retrouve petit à petit son aplomb, pendant qu’on redescend au rez-de-chaussée.
« Tant pis pour l’humanité »
Je repasse la porte d’entrée de l’immeuble, cette fois avec Macron. Là, mes amis, goguenards, s’attendaient à me voir revenir bredouille. Ils passent de l’état goguenard à celui de la sidération. Parce qu’effectivement Macron était bien là !
Macron discute quelques instants avec notre petit groupe. Parmi mes collègues, notre avocat d’affaires, qui est assez rompu aux négociations d’affaires, sait que dans ce domaine tout est permis, mais était sidéré. Et Gilles Van Kote [à l’époque président de la société des rédacteurs du Monde, puis directeur du journal de 2014 à 2015], qui était aussi présent ce jour-là, m’avait dit un jour :
« On a été trahis par tellement de gens que si même Emmanuel nous trahit, c’est à désespérer de l’humanité. »
Quelques minutes plus tard après être parti, Gilles Van Kote m’envoie ce texto :
« Tant pis pour l’humanité. »
Je pense que Macron a été se cacher parce qu’il a été surpris. Le fait qu’il soit surpris avec Alain Minc est une sorte d’aveux qu’il a des relations qui ne sont pas connues de nous avec lui. Or Macron est notre conseiller. Il a le droit de rencontrer Minc, soit pour des dossiers qui ne nous concernent pas et où il ne parle pas de nous. Mais s’il parle de notre dossier, il doit nous en rendre compte.
Cela signifie que, pendant la négociation, Macron avait déjà eu des relations avec Minc, sans nous le dire. Or Minc était le soutien d’une offre qui nous paraissait particulièrement dangereuse, celle de Prisa !
Plus tard, d’autres éléments ont conforté ces très forts soupçons. Dans le livre de Marc Endeweld, L’Ambigu Monsieur Macron, j’ai appris qu’un courrier que nous avions nous-mêmes [la Société des rédacteurs du Monde] adressé à Xavier Niel, Pierre Bergé et Mathieu Pigasse pour demander un délai de 15 jours supplémentaires de négociations avec les différents repreneurs potentiels, avait en fait été rédigé à l’origine par Alain Minc Conseil, la société de Minc. Or, c’est Emmanuel Macron qui nous avait transmis la trame de ce courrier !
Et d’ailleurs, quand Macron propose de repousser le délai de remise des offres de 15 jours supplémentaires, cela permettait à Prisa de rester encore dans le jeu ! Et ensuite, Macron nous a même poussés à ne pas rentrer en négociations exclusives avec Niel-Bergé-Pigasse lors d’une réunion d’information avec les journalistes du Monde où nous l’avions invité, et où sa position a été très mal reçue, compte-tenu du risque qu’il nous conseillait curieusement de courir dans notre situation délicate, puisque nous risquions alors d’être placés sous mandataire de justice par le Tribunal de commerce…
Encore une autre preuve du double jeu de Macron…
En fait Macron roulait pour lui-même
Je pense qu’en cours de route, Macron, en se présentant comme conseil de l’actionnaire majoritaire, a obtenu une certaine visibilité dans Paris, la possibilité de discuter avec des gens… Et puis, il a vu arriver dans la négociation des gens avec qui il était rival, comme le banquier d’affaires Mathieu Pigasse de la banque Lazard.
Et au final, j’ai l’impression que Macron roulait pour lui-même.
C’est d’autant plus choquant qu’il prétendait rouler pour une cause d’intérêt général. Nous étions pour notre part, élus, bénévoles, et on n’a rien retiré de cette opération qui visait à sauvegarder un groupe de médias indépendants !
Je n’ai plus eu de contacts avec Emmanuel Macron depuis ce jour, sauf à un prix du livre d’économie, quelques années plus tard.
Je crois être la seule personne à avoir joué à cache-cache avec un candidat à l’élection présidentielle… et à l’avoir trouvé !
* Au sein du « Pôle d’indépendance », qui était l’actionnaire majoritaire, il y avait la Société des Rédacteurs du Monde, mais également les lecteurs et les autres salariés.
Propos recueillis par Johan WeiszRelayé par Liliane Held Khawam
bonjour
bin voui…tous pourrris…..
Et quand c’est un « collaborateur de collomb qui se promené avec un brassard police et un gilet pare balle, c’est normal.
PS: quand a dire que le triste sire est habilité secret défense est une gigantesque connerie.
Benalla refuse de passer devant la commission d’audition mais passe sur tf1 en heure de pointe… L’intox continue.
Comme si chaque criminel avait « un droit télévisé », depuis Cahuzac, ce style d’intervention est sans intérêt.
Son discours est simpliste : « Une histoire banale », bien relayé par les merdias alignés qui bloquent les commentaires.
Donc comme il le dit, « c’est arrivé près de chez vous », « tous les matins, je me fais un facteur », c’est bon pour la forme.
Alors qu’il a frappé un homme à terre sans légitimité policière puis tenté un grand balayage sur une femme qu’il maintenait fermement par derrière.
Hannah Arendt expliquait la progression du fascisme par la « banalisation du mal », et Benalla (qui ose tout) s’en est vanté sur une chaîne macronique.
https://www.midilibre.fr/2018/07/27/une-histoire-banale-interviewe-par-tf1-alexandre-benalla-persiste-et-signe,4664972.php
L’Élysée et le « Gladio B » par Thierry Meyssan
http://www.voltairenet.org/article202160.html
Maintenant vous serez au coureant. vous ne pourrez pas dire que vous ignoriez.
https://youtu.be/VOGceSbf3JI
On a beau savoir, ça reste impressionnant… Tout est vraiment bien orchestré !
Les députés insoumis, communistes et socialistes se sont mis d’accord pour déposer une motion de censure commune contre le gouvernement sur l’affaire Benalla – ce qui ne signifie pas, à les entendre, le retour de l’union de la gauche.
https://francais.rt.com/france/53000-affaire-benalla-gauche-surmonte-ses-divisions-motion-censure
Or, les députés LR vont déposer une motion de censure contre le gouvernement
https://francais.rt.com/france/52787-affaire-benalla-deputes-lr-vont-deposer-motion-censure-contre-gouvernement
Mais bon, vu la répartition de l’hémicycle :
C’est suite à cela qu’on peut dire, qu’au regard de l’Histoire, l’UPR marque des points…mais c’est tout.
Et qu’il n’y a donc aucun parti d’oppositions :
Les français se feront ils encore avoir avec les FI/FN « anti-système » qui ne font pas ce que propose l’UPR?
En même temps, depuis le « venez me chercher » j’ai eu la chance de rencontrer une cinquantaine d’individus chauds bouillant pour monter à Paris… Comme d’hab, la question c’est …………… »tu t’es vu quand t’as bu »!
Deux précautions valent mieux qu’une. Chaque camp a déposé sa motion pour que le camp opposé ne la vote pas. Pas question de se compromettre les uns avec les autres.
Et puis, si une motion était adoptée, il y aurait plus que probablement une dissolution. Entre leur fauteuil et le sort des Français, les députés n’hésitent jamais.
Le père et la mère d’Emmanuel Macron ont regardé l’interview de Benalla hier soir sur TF1. Ils viennent de déclarer: « Ce Benalla, il est beau, il est adorable, c’est vraiment le gendre idéal. »
« Que révèle l’affaire Benalla? »
Que le peuple est soumis avec son libre consentement par pure paresse intellectuelle et manque de testo..
Aujourd’hui j’ai reçu un mail , où des génies du monde libre 2.0 se la pètent d’avoir trouver le numéro de standard de l’Elysée
Et c’est pas tout!!!! Ils disent qu’ils faut téléphonner pour demander si on peut venir chercher Macron
C’est dans ces moments là que je me rapproche toujours plus du basculement dans le camp d’en face… Bref.
La commission d’enquete de l’assemblée nationale est vérolée par la racaille en marche.
Qu’en est il de la commission sénatoriale. Regardez les vidéos pour vous faire votre idée.
http://videos.senat.fr/commission.capl.p1
http://videos.senat.fr/video.802101_5b57a8265e943.article-13-de-la-constitution—audition-m-jean-raphael-alventosa-candidat-fonctions-de-mediateur-
26 ans, lieutenant-colonel, habilité « secret défense » , et défendu par le président de la république lui-même ! Joli parcours de M Benalla quand on sait qu’un Saint-cyrien normal très doué peut espérer décrocher ce titre vers les 40 ans…
Le patron des gendarmes, le général Richard Lizurey, a défendu mercredi sa décision d’octroyer à Alexandre Benalla le grade de lieutenant-colonel spécialiste de la réserve opérationnelle dans la gendarmerie.
« J’ai pris cette décision en mon âme et conscience et je l’assume. Mais je comprends la colère qu’elle a pu susciter », a affirmé le patron des gendarmes, le général Richard Lizurey, devant la commission d’enquête du Sénat qui l’auditionnait mercredi matin dans l’affaire Benalla.
« L’expérience » de Benalla. En cause : sa décision d’octroyer à Alexandre Benalla le grade de lieutenant-colonel spécialiste de la réserve opérationnelle dans la gendarmerie. Un grade justifié selon lui par l' »expérience » de l’ex-conseiller du chef de l’Etat dans la protection des personnalités. « Ce n’était pas au titre de sa fonction qu’il a été recruté, mais au titre de son expérience » dans la protection des personnalités, a-t-il précidé, ajoutant que ce titre était « temporaire » et « ne lui permettait ni d’encadrer ni de commander ».
Les cinq barrettes or et argent sur l’épaule sont une question de crédibilité, a plaidé Richard Lizurey : « Dans le monde militaire, quand on discute avec de gens, souvent, le premier réflexe c’est de regarder le code-barres, on regarde ce qu’il y a sur les épaulettes », a-t-il relevé. « Il me paraissait important que je le positionne à un niveau où les gens l’écoute, mais encore une fois, ce grade n’emporte aucune autorité sur quel que personnel de la gendarmerie que ce soit », a-t-il insisté.
source : http://www.europe1.fr/societe/le-chef-de-la-gendarmerie-assume-le-grade-octroye-a-alexandre-benalla-3718994
… alors, si ça, ce n’est pas de la langue de bois, alors qu’est-ce que la langue de bois ?
Encore une ineptie colportée par les merdias.
habilité « secret défense » ,
Personnellement, concernant cette affaire Benalla, qui est somme toute très jeune (26 ans… on est encore « gamin » ainsi que lui-même l’indique…) :
Je ne l’accable pas (trop)… Il se l’est pété, comme on dit, mais à bien y réfléchir, il n’est que parfaitement fautif et responsable de cette situation.
En hauts lieux (pourquoi ?) :
– on le bombarde Lieutenant-Colonnel. Et pourquoi pas la légion d’honneur ? (c’était peut-être prévu si l’incident n’avait pas éclaté ?)
– on lui fait des ponts en or,
– on lui accorde des privilèges extraordinaires…
– il gravite auprès du plus haut « gratin »
Mais le pauvre petit gars, de 26 ans, être autant adulé par tant de « personnalités » et pas des moindres… il a pété les plombs !