Des scientifiques suisses alertent sur les dangereux effets secondaires du dénosumab…

Proposé par Itsmie, une alerte sur un médicament le Dénosumab OU PROLIA dont la notice peut être consulté ICI. Ce qui n’est pas dit dans l’article qui se réfère à « la revue médicale suisse » et est noté par celle ci, c’est que, à l’arrêt du traitement, l’administration d’un bisphosphonate puissant (zolédronate, alendronate) permet de pallier cet effet rebond. Néanmoins, se référer à la notice du médicament, qui note des effets secondaires pour la prise des bisphophonates dans des cas précis. L’article signale les effets secondaires des bisphosphonates, mais pas les cas précis, ce qui peut induire en erreur les utilisateurs? Dans tous les cas si vous êtes concernés, parlez en avec votre praticien.

Un médicament prescrit contre l’ostéoporose… qui provoque des fractures chez le patient dès l’arrêt du traitement !

C’est l’inquiétante alerte lancée par des médecins suisses, après l’observation chez plusieurs patientes de fractures « spontanées et multiples » suite à l’arrêt du dénosumab.

Il ne s’agit pas là de résultats d’études cliniques, mais d’effets secondaires constatés d’un médicament prescrit depuis le début des années 2010.

Il stoppe la destruction de l’os… avant de l’accélérer

Le dénosumab, distribué en France et en Suisse sous le nom de Prolia, est un médicament prescrit contre l’ostéoporose.

C’est une solution injectable qui a pour effet de faire taire, dans le corps du patient, l’expression d’un antigène qui favorise la perte osseuse, et donc le risque de fracture.

Le médicament est, de l’avis des médecins, plutôt efficace. Le problème survient lors de l’arrêt du traitement : la perte osseuse contenue lors du traitement semble littéralement rattraper le temps perdu, et même s’accélérer.

Tous les facteurs cellulaires de la destruction osseuse qui avaient été endormis par la médication semblent se réveiller en même temps dès l’interruption du traitement.

C’est ce qu’on appelle un « effet rebond » – ici total, puisque sa gravité se mesure à la durée du traitement.

Plus le traitement au dénosumab a été long, plus la fragilisation de l’os est importante.

Des fractures sans accident

La conséquence n’est pas uniquement une augmentation du risque de fracture : en 2016, neuf patientes suivies par le CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois), à Lausanne, ont cumulé à elles seules 50 fractures spontanées et multiples !

Des fractures très particulières puisqu’elles se produisent :

  • dans un court laps de temps après l’arrêt du traitement ;
  • sans choc ou accident ;
  • chez des personnes n’étant pas considérées comme à haut risque.

Ces phénomènes, accablants pour le dénosumab, ont donné lieu à un article dans le numéro 559 de la Revue médicale suisse.

La Suisse est, de fait, aujourd’hui le premier pays à reconnaître officiellement ce très grave danger lié à au dénosumab.

En 2016, des chercheurs suisses avaient déjà lancé une mise en garde internationale en publiant, sur Pubmed, le site américain des études médicales, une « prédiction » des effets secondaires de ce médicament. Sans que cela fasse particulièrement réagir.

C’est Ubu médecin

Je ne vous ai pas encore livré la morale ubuesque de cette histoire : il n’est pas souhaitable pour le moment de retirer du marché ce médicament car la seule façon de se prémunir de cet effet secondaire désastreux… est précisément de continuer à le prendre !

C’est un parfait cercle vicieux, comme seule l’industrie pharmaceutique est capable d’en dessiner : les patients auxquels a été prescrit le dénosumab sont condamnés à subir régulièrement des injections, sans quoi leur squelette se détériorera à vitesse grand V.

En une année, leur perte osseuse serait telle que leur colonne vertébrale serait gravement fragilisée.

Si le dénosumab est un médicament d’un genre nouveau contre l’ostéoporose, ses effets secondaires sont du même genre que ceux de la précédente catégorie de médicaments prescrits contre la maladie, les biphosphonates.

Ces derniers avaient, eux aussi, été reconnus coupables de provoquer, sans qu’il y ait de traumatisme, des fractures nettes et transversales.

La vérité est qu’il n’existe aucun médicament, à l’heure actuelle, qui puisse stopper voire inverser l’ostéoporose sans effet secondaire dangereux.

Il est capital que cette information soit diffusée, et que le dénosumab cesse d’être prescrit à de nouveaux patients. Mais quel média diffusera cette alerte hors de Suisse ?…

En attendant, la seule mesure efficace de prévention est nutritionnelle – et implique le mode de vie en général.

Notamment :
– les nutriments indispensables à la formation et la solidité des os (et ce n’est ni le calcium, ni la vitamine D !) ;
– les meilleurs aliments pour renforcer vos os ;
– les compléments alimentaires de base pour prévenir l’ostéoporose ;
– les exercices les plus simples et efficaces pour solidifier vos os.

Source: C’est un « club » et ma contributrice ne m’en a pas fourni les coordonnées que je n’ai pas retrouvé. Mes recherches m’ont tout de même incitées, à vous proposer l’article. N’oubliez pas! Si vous ou un de vos proche est concerné, consultez votre médecin!! …

 

5 Commentaires

  1. Quand les veaux bêlants comprendrons que rien de bon ne peut provenir de cette médecine chimique dite allopathique, prescrite aujourd’hui par des charlatans, formés à la petite semaine par des VRP (délégués médicaux) à la solde des labos big-pharma !

  2. Pour l’instant on a rien trouvé de mieux que le silicium organique naturel pour l’ostéoporose.
    Ce remède est pire que le mal.

  3. Rien que le nom, j’ai mis dix minutes avant de le prononcer correctement. Faut être sacrément tordu pour pondre un tel nom ! Bon, n’étant pas adepte des pilules (oui, je tiens à ma vie) explique peut-être mon manque d’expérience en la matière. En tout cas, la partie positive de l’histoire c’est qu’il y ait des gens pour informer des dangers. Y en a-t-il pour les écouter ?

    M.G.

  4. Bonjour les ME,
    l’ostéoporose ne concerne pratiquement que certaines femmes ménopausées. les hommes sont exclus de cette affection (sauf en cas de cancer des os ou du poumon). le rein en tant qu’organe est responsable de cette maladie. « curieusement » , les patientes atteinte d’ostéoporose ont toute le meme profil psycho ; une certaine rigidité affective…néanmoins, il existe des petits exercices simples a pratiquer tous les jours et qui consistent a se frapper le corps a l’aide des poings. il faut pratiquer des percussions légeres sur tous les membres, le bassin et le thorax. ensuite on peut effectuer des roulades avant et arriere qui stimulent fortement la colonne vertebrale. six mois de ce traitement 20 minutes par jour et l’osteoporose diminuera naturellement. le corps réagit aux stimulis qu’on lui envoie.! comme un arbre battu produit des fruits plus de d’ordinaire pour assurer « sa survie ». au contraire, toute supplementation ( medication) fera diminuer la reponse naturelle du corps qui perdra la capacite de se défendre !

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