Les prédictions de Graham Bell au début du XXe siècle étaient incroyablement exactes….

Visionnaire monsieur Graham Bell.

Alexandre Graham Bell, l’inventeur du téléphone, a également réfléchi aux épreuves que notre monde affronterait plus tard et parlait dès 1917 de la crise énergétique que nous traversons aujourd’hui !

Une « prophétie » qui date de 1917

Alors que l’Europe célébrait encore fièrement le succès de la révolution industrielle et les avancées technologiques qui ont été intégrées dans le quotidien, Alexander Graham Bell, l’inventeur du téléphone, sonnait déjà l’alarme. Au cours d’une conférence où il a évoqué des sujets très différents les uns des autres, il a averti la communauté scientifique des dangers de l’utilisation d’énergies fossiles, allant jusqu’à proposer la création de panneaux solaires.

Reconnu comme un inventeur de génie, Alexander Graham Bell avait inventé le téléphone, a fait de grandes découvertes dans le domaine de l’audition mais aussi en aéronautique. Il était également membre fondateur de la National Geographic Society. C’est justement dans la célèbre revue de cette société qu’a été retranscrite l’une de conférence donnée en 1917, qui faisait office de testament puisque le scientifique américain est mort en 1922.

Évoquant des sujets variés tels que la possible utilité du timbre dans le cadre du transport d’êtres humains, il démontre au cours de ce discours ses talents de penseurs, remettant en question toutes les connaissances scientifiques de son époque.

Certes, comme il le disait, le début du 20e siècle avait permis de « passer de la bougie à l’électricité en quelques décennies », mais cela ne serait pas pour autant sans conséquences. Son premier avertissement concernait l’utilisation d’énergies fossiles. Le chercheur assurait alors que « la consommation de charbon et de pétrole était en constante hausse mais que les quantités sont extrêmement limitées. Nous pouvons prendre le charbon d’une mine, mais nous ne pouvons jamais le remettre. Nous pouvons puiser le pétrole des réservoirs souterrains, mais nous ne pourrons jamais les remplir ensuite. »

L’effet de serre et ses conséquences

Graham Bell allait à contre-courant de son époque : alors que la pensée courante était que plus l’air deviendrait pollué, plus le climat se rafraîchirait à cause de la baisse des rayonnements solaires, lui pensait l’opposé. Il a développé la théorie selon laquelle « alors que nous perdrons un peu de la chaleur du soleil, nous gagnerons de la chaleur terrestre, qui est normalement émise dans l’espace ».

Il utilise alors le terme d’effet de serre, assurant que « la serre deviendrait alors une serre chaude ». Même si l’expression viendrait plutôt du physicien John Henry Poynting, Bell est le premier à l’employer et à développer ainsi sa théorie, de façon la plus proche de la réalité actuelle, mais aussi à proposer des solutions à ce problème.

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Source Dailygeekshow

Voir aussi: Des usines hors-la-loi détruisent la couche d’ozone en rejetant un polluant interdit depuis plusieurs années

 

 

2 Commentaires

  1. Le père spirituel du GIEC https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif ? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cry.gif

  2. Prophétie

    Monte en douceur tel un nuage,
    Discrète et plus légère qu’une plume,
    Transporte la terreur et l’orage,
    Directe et claire elle allume,
    Ou s’efface sous le paysage,
    Une lumière dans la brume,
    Une lueur sur les âges,
    Qui ressurgi comme l’écume,
    Sur une mer sauvage…

    Elle est présente et ignorée,
    Dans le plus grand irrespect,
    Résidente place de la Rareté,
    Aux nombreux présages de paix,
    Elle est source des semences,
    Mais on sème peu de bonheur,
    Les récoltes de l’enfance,
    Sont à l’image de ses pleures,
    Elle est le fruit de la vie,
    Qui contredit tous nos récits,
    Tous les bandits tombent assis,
    Lorsque sourit sa prophétie…

    Les cloches sonnent,
    Ça brûle, tout s’écroule,
    La pluie et les larmes coulent,
    Un mal approche, y a plus personne,
    Seule une atmosphère austère,
    Un arrière goût amer de folie sanguinaire,
    Pour cette masse d’humain de tous bords,
    Pressés de tirer le destin au sort,
    Qui finissent par trouver la mort,
    En cherchant un brin de réconfort…

    Une petite flamme qui fume,
    Un adieu pour l’éternité,
    Perdu dans les agrumes,
    L’alcool et l’Été,
    Au cœur d’un corps étranger,
    S’observant laisser se mélanger,
    Des vibrations dans un verre de lait,
    Où chavire le début d’une histoire vraie…

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