Que devient le traité de non prolifération nucléaire et que fait l’AIEA, garante de l’application de ce traité de 1968?? Avec l’histoire de l’USS Donald Cook, victime d’une simulation d’attaque de la part des russes, qui s’inquiètent de l’avancée de l’OTAN vers leurs frontières. C’est sur le sol européen, que les USA avec la complicité des gouvernements de UE, positionnent leurs missiles, en violation flagrante avec le traité TNP. C’est inquiétant et pas très médiatisé. Pourtant ça nous concerne tous. Merci Balou.
Les Etats-unis ont feint la surprise lors de la simulation d’attaque de l’aviation russe contre l’USS Donald Cook, en mer Baltique. Pourtant, comme nous l’avons déjà signalé, la Russie a été capable d’inhiber les Communications & Commandes du navire. Et elle l’a fait, observe Manlio Dinucci, parce que le navire était en train de violer le Traité INF. Par ailleurs, le déploiement nucléaire US intervient alors que la Chine développe des lanceurs hypersoniques dont une partie de trajectoire se fera en vol plané, inspirant de nouvelles recherches au DARPA. D’ores et déjà Raytheon et Lockeed Martin participent au Tactical Boost Glide Program.
La Maison Blanche est « préoccupée » parce que des chasseurs russes ont survolé à une distance rapprochée un navire US en mer Baltique, en effectuant une « attaque simulée » : ainsi rapportent nos agences d’information. Sans nous informer cependant de quel navire il s’agit et pourquoi il était en mer Baltique.
C’est l’USS Donald Cook, un des quatre unités lance-missiles déployées par l’US Navy pour la « défense des missiles de l’Otan en Europe ». Ces unités, qui vont être augmentées, sont dotées du radar Aegis et de missiles intercepteurs SM-3, mais en même temps de missiles de croisière Tomahawk à double capacité conventionnelle et nucléaire. En d’autres termes, ce sont des unités d’attaque nucléaire, dotées d’un « bouclier » destiné à neutraliser la riposte ennemie.
Le Donald Cook, partant le 11 avril du port polonais de Gdynia, croisait pour deux jours à 70 km à peine de la base navale russe de Kaliningrad, et a été pour cela survolé par des chasseurs et hélicoptères russes. Outre les navires lance-missiles, le « bouclier » USA/Otan en Europe comprend, dans sa conformation actuelle, un radar « sur base avancée » en Turquie, une batterie de missiles terrestres états-unienne en Roumanie, composée de 24 missiles SM-3, et une autre analogue qui sera installée en Pologne.
Moscou prévient : ces batteries terrestres, étant en capacité de lancer aussi des missiles nucléaires Tomahawk, constituent une évidente violation du Traité INF (forces nucléaires à portée intermédiaire), qui interdit le déploiement en Europe de missiles nucléaires à moyenne portée.
Que feraient les États-Unis —qui accusent la Russie de provoquer avec les survols « une escalade inutile de tensions »— si la Russie envoyait des unités lance-missiles le long de leurs côtes et installait des batteries de missiles à Cuba et au Mexique ?
Personne ne se le demande dans les grands médias, qui continuent à mystifier la réalité. Ultime nouvelle cachée : le transfert de F-22 Raptors, les plus avancés des chasseurs bombardiers états-uniens d’attaque nucléaire, de la base de Tyndall en Floride à celle de Lakenheath en Angleterre, annoncé le 11 avril par le EuCom. D’Angleterre les F-22 Raptors seront « déployés dans d’autres bases de l’Otan, en position avancée pour maximaliser les possibilités d’entraînement et exercer une dissuasion face à toute action qui déstabilise la sécurité européenne ».
C’est la préparation à l’imminent déploiement en Europe, Italie comprise, des nouvelles bombes nucléaires états-uniennes B61-12 qui, lancées à environ 100 km de distance, frappent l’objectif avec une tête « à quatre options de puissance sélectionnables ». Cette nouvelle arme entre dans le programme de potentialisation des forces nucléaires, lancé par l’administration Obama, qui prévoit entre autres la construction de 12 sous-marins d’attaque supplémentaires (7 milliards de dollars pièce, le premier étant déjà en chantier), armé chacun de 200 têtes nucléaires.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=Xbi5EWjG7DE[/youtube]Le New York Times rapporte qu’est en cours de développement un nouveau type de tête nucléaire, le « véhicule planant hypersonique » qui, au retour dans l’atmosphère, manœuvre pour éviter les missiles intercepteurs, en se dirigeant sur l’objectif à plus de 27 000 km/h [1]. Russie et Chine suivent, en développant des armes analogues.
Pendant ce temps Washington récolte les fruits. En transformant l’Europe en première ligne de l’affrontement nucléaire, il sabote (avec l’aide des gouvernements européens eux-mêmes) les relations économiques UE-Russie, dans le but de lier indissolublement l’UE aux USA par l’intermédiaire du TTIP. Il pousse en même temps les alliés européens à augmenter leur dépense militaire, à l’avantage des industries guerrières états-uniennes dont les exportations ont augmenté de 60 % dans les cinq dernières années, devenant le plus fort poste de l’export états-unien.
Qui a dit que la guerre ne paye pas ?
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=xWsOHJ9MGE0[/youtube]Auteur Manlio Dinucci
Traduction Marie-Ange Patrizio
Source Il Manifesto (Italie)
Voir aussi: Communiqué du Sommet 2016 sur la sécurité nucléaire
USS Donald Cook ! ! ! ! Hé, c’est le même bâtiment qui c’est retrouver aveugle et sourd en Mer Noire, en 2014……. avec en plus un Sukoi-24 non armé qui lui a frôlé les moustaches…..
htXXtps://youtu.be/32VJkmx6ZgIhttp://www.youtube.com/watch?v=32VJkmx6ZgI&feature=youtu.be
tant mieux…. quand l’homme disparaîtra .. bon débarras
La Russie a déja les moyens de stopper les missiles hypersonique us. Il sont en cours d’amélioration.
Propagande.
En vérité une infime partie seulement, en cas d’attaque massive.
Ces salopards de faiseurs de guerre ne font jamais la guerre dans leurs pays respectifs.
Non non, le terrain de jeux pour leurs guerres mondiales est toujours l’Europe.
…Seulement cette fois-ci, OFFICIELLEMENT ses salauds prévoient l’usage d’armements nucléaires…chez nous !!!
De plus, en cas d’agression la première réaction de “l’ennemi” est de détruire tous les sites adverses potentiellement dangereux… à fortiori si ils sont nucléaires!
…Dans ce cas, pas de sentimentalisme ni de retenu.
En conclusion, faudra pas s’étonner de se faire atomiser nous les petits pays lèchent bottes.
…Mais ce n’est point grave, le frigo est toujours plein et le courant est encore fourni.
Il faut pas plus que 3 Centrales nucléaires détruites pour rendre l’Europe INHABITABLE pour 100.000 ANS.
Vous vous dites “IMPOSSIBLE”?
.
Cherchez par vous même,la dissémination de ces centrales en général aux frontières des autres par ex,n’oubliez pas l’effet DOMINO svp.
Ces américains ont vraiment de la paille dans leurs têtes : Si on ne les agresse pas (et personne ne les agresse jamais), il ne cherchent quand même qu’à se défendre !
Et leur champs de bataille sera encore une fois le continent européen.
Du coup, c’est un peu foutu pour les projets au delà de 2022 …
USA —> 222 ans de guerre en 239 ans d’existence –> 93% de leur existence consacrée à la guerre.
En même temps, les USA n’existent que grâce à la guerre. Bah oui, où sont les Indiens natifs d’Amérique du Nord ? Décimés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Même s’il n’y a plus aucun espoir à fonder en l’humain, sachez que les États-Unis seront bientôt rayés de la carte. Lorsque la Russie aura officiellement gagné cette nouvelle guerre froide, plus jamais nous n’entendront parler des USA.
Utopiste, me direz-vous. On verra.
Hormis la guerre, les USA ne savent rien faire d’autre. Comme ils s’entraînent depuis des décennies, ils pensent qu’il faut pratiquer.
Et puis ils aiment bien taper sur les gens basanés et asiatiques aussi. Sur toutes leurs guerres et attaques, seule une visait des blancs : contre l’Allemagne dans les années 1940.
Bref, USA = abrutis = guerre = NOM (ou NWO en anglais)
Comme dirait J.Debbouze, “ça c’est grâce à Dieu”. On va aller loin avec ça !!!
Comme le disait un humoriste américain:
https://
http://www.youtube.com/watch?v=F1r2xuCDJ74