Et si nous nous posions LES bonnes questions, sur toutes ces lois et “conseils” donnés par les non élus de Bruxelles, qui régissent nos vies et pas en bien. Est ce que toutes ces aberrations, qui ont mis notre/nos pays à genoux sont légitimes? Souvenez vous en 2005, nous avions refusé le traité européen à 55%. Partant de cette évidence, pouvons nous considérer que notre gouvernement, qui devrait agir au nom du peuple en vertu de l’article 1er de la constitution qui stipule que, « la Souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum » (art. 3). Elle pose le principe de la République comme étant le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » (art. 2) Voir la suite, et qui dit en conclusion Le peuple peut par ailleurs exprimer directement sa volonté dans le cadre des référendums, qui peuvent porter sur certains projets de loi ou sur les révisions constitutionnelles. Encore faudrait il que, pour toutes décisions qui engagent l’avenir de la France, celui qui est sensé nous représenter, nous demande notre avis, ce dont il se garde bien. Donc question! est il lui aussi légitime, quand il agit contre le peuple qu’il est sensé représenter? Est ce que, d’avoir retiré de notre constitution, le crime de haute trahison pour le tenant du pouvoir, laissait présager qu’il agirait contre les intérêts du pays et du peuple qui l’a élu, pour le représenter? Lisez cet article de Laurent DAURÉ et Dominique GUILLEMIN, écrit en 2008 (ratification du traité de Lisbonne, copie conforme du traité européen, que nous avons refusé) qui nous expliquent comment nous avons été trahis. J’ai souligné dans l’article, certains passages importants. Qui sont ceux qui l’ont voté ? Voir aussi l’analyse de F. Asselineau qui nous explique le stratagème du PS pour faire croire qu’il a voté contre. “OUI: Le PS a bel et bien approuvé et soutenu très largement le traité de Lisbonne et toute la construction européenne”. Est il possible juridiquement de remettre en cause ce texte ?
Le 4 février 2008, le parlement réuni en Congrès à Versailles a voté le projet de loi modifiant le titre XV de la Constitution française. Trois jours plus tard, le 7 février, l’Assemblée ratifiait le traité de Lisbonne. Sa publication au Journal Officiel le 14 février entérine l’adhésion de la France au nouveau traité européen.
Qu’est-ce que le traité de Lisbonne, également appelé « traité simplifié » ou « mini-traité » ? C’est un accord réformant les institutions de l’UE à vingt-sept. Il a été rédigé à partir de la Constitution européenne de Valéry Giscard d’Estaing qui fut rejetée par référendum en France le 29 mai 2005 (55%) et aux Pays-Bas le 1er juin 2005 (61%).
Que s’est-il passé entre ces refus exprimés et l’adhésion des parlementaires en 2008 ? Avant le vote de 2005, Valéry Giscard d’Estaing déclarait : « C’est une bonne idée d’avoir choisi le référendum, à condition que la réponse soit oui. » (1) Un an après, il persiste : « Le rejet de la constitution était une erreur, qui doit être corrigée. » (2) Même après les Non français et hollandais, des états adoptèrent une Constitution qui n’avait pourtant aucune chance d’aboutir légalement, signe que le projet initial n’était pas amendable : « Si c’est Oui, nous dirons : « allons-y ! » ; si c’est Non, nous dirons : « on continue ! » (…) Il faudra attendre la fin du processus de ratification dans l’Union européenne. Si à la fin de ce processus, on n’arrive pas à résoudre les problèmes, les pays qui auront dit Non devront se reposer la question » (3). Pourquoi donc avoir soumis un texte aussi impératif aux aléas des consultations populaires ? Convaincus que leur projet recevrait l’onction populaire, les promoteurs de l’UE ont fait preuve de trop d’optimisme. En 2005, le texte de la Constitution fut envoyé aux citoyens qui, invités à suivre massivement la campagne, ne s’en privèrent pas. Le débat déborda rapidement le cadre des grands médias, marqués par leur préférence affichée pour le Oui (4), en s’animant à travers de nombreux forums, rencontres, blogs et publications diverses. Durant cette période, les partisans de la Constitution défendirent leur projet en recourant à de grandes généralités aussi vagues qu’impératives (« Il faut faire l’Europe », « Il faut relancer l’Europe », « Il faut plus d’Europe », etc.) ; en somme, il faut faire l’Europe parce qu’il faut faire l’Europe. La méthode, fort commode, consista à faire passer les arguments du Non pour de dangereux archaïsmes. La prédiction de grands désastres devait convaincre les plus hésitants (5). Ces incantations grandiloquentes occultèrent la nature politique du projet en question ; Europe fédérale ? Super-état européen ? Europe des nations ? Quoi qu’il en soit, pour les tenants du projet de Constitution, il n’y avait pas de « plan B », il fallait donc trouver un moyen pour « sortir l’Europe de l’impasse. » Cette expression et ses variantes, omniprésentes en 2005 comme en 2008, relèvent du récit fondateur qui devait unir les peuples de vingt-sept nations souveraines dans un nouveau cadre politique. L’UE reste persuadée que la légitimité populaire va parachever son œuvre légale.
Les Non de 2005 provoquent une crise qui interrompt ce scénario idéal, sans qu’il soit question de redéfinir le projet : ceci n’a tout simplement jamais été envisageable. La « crise de l’Europe » ne résidait finalement pas dans le choix d’une orientation institutionnelle et politique, mais n’était qu’une péripétie passagère à laquelle il convenait de remédier. Pourtant, aucun nouveau texte ne fut proposé avant l’été 2007, et ceci pour deux raisons : 1. Le calendrier électoral français, Jacques Chirac ne pouvant revenir sur le verdict des urnes, ce rôle était donc dévolu à son successeur. Nicolas Sarkozy promit de tenir compte du vote du 29 mai et proposa « un traité simplifié pour rassembler les mesures qui font consensus dans la Constitution de Valéry Giscard d’Estaing » (6) qui serait ratifié par voie parlementaire. 2. Il fallait prendre le temps d’élaborer ce traité sur le principe suivant : « Toutes nos propositions seront dans le nouveau texte, mais cachées ou déguisées » (7).
Ainsi l’UE maquille la Constitution Giscard qu’elle se refuse à abandonner pour en faire le traité de Lisbonne. La démarche du Président était légitime dans la mesure où le « mini-traité » devait être fondamentalement différent du texte précédent (8) (plus protecteur, moins libéral, réconciliant le Oui et le Non…) ; alors comment expliquer ces déclarations : « La substance de la Constitution est maintenue. C’est un fait » (9) ; « Nous n’avons pas abandonné un seul point essentiel de la Constitution » (10) ; « Il n’y a rien du paquet institutionnel originel qui ait été changé » (11) ; « Seuls des changements cosmétiques ont été opérés et le document de base reste le même » (12) ; « C’est essentiellement la même proposition que l’ancienne Constitution » (13) ; « En n’appelant pas ce traité une Constitution, ce qu’il y a de bien, c’est que personne ne pourra demander un référendum » (14) ; « La substance du traité constitutionnel a été préservée du point de vue du Luxembourg… Bien entendu, il y aura des transferts de souveraineté. Mais serais-je intelligent d’attirer l’attention du public sur ce fait ? » (15) ; etc., etc. ? Comme autant de soupirs de soulagement, ces aveux célébraient la sauvegarde du traité originel mais trahissaient une volonté explicite de dissimulation, à l’opposé de l’esprit de transparence qui visait à recueillir l’adhésion des citoyens européens en 2005. « Le but du traité constitutionnel était d’être plus lisible… Le but de ce traité est d’être illisible… La Constitution voulait être claire alors que ce traité voulait être obscur. C’est un succès. » (16) Le traité de Lisbonne n’est pas un texte homogène, mais un assemblage de modifications à la Constitution européenne, de références aux traités antérieurs et d’annexes permettant d’isoler les parties trop critiquées en 2005. La méthode « consiste à vouloir conserver une partie des innovations du traité Constitutionnel et à les camoufler en les faisant éclater en plusieurs textes. Les dispositions les plus innovantes feraient l’objet de simples amendements aux traités de Maastricht et de Nice. Les améliorations techniques seraient regroupées dans un traité devenu incolore et indolore. L’ensemble de ces textes serait adressé aux Parlements, qui se prononceraient par des votes séparés. Ainsi l’opinion publique serait-elle conduite à adopter, sans le savoir, les dispositions que l’on n’ose pas lui présenter en direct. » (17) Peu importe dès lors que le « mini-traité » fasse 267 pages, environ 3000 avec les annexes (18). Cette supercherie permet de contourner les peuples réticents, procédé qui jette rétrospectivement un voile de suspicion sur les étapes précédentes de l’intégration européenne. Car, après tout, comme l’a dit José-Manuel Barroso, « Si on avait organisé un référendum sur la création de la Communauté européenne, ou sur l’Euro, vous croyez vraiment que ce serait passé ? » (19)
Avec ce genre de méthode, la ratification française n’était plus qu’une formalité une fois Nicolas Sarkozy élu et disposant d’une majorité au Parlement, puisque « [Les modifications] ont été conçues pour permettre à certains chefs de gouvernement de vendre à leur peuple l’idée d’une ratification parlementaire, plutôt que par référendum. » (20) Les étapes suivantes du processus s’enchaînent sans difficultés : le 13 décembre 2007, le traité est signé par les chefs d’état des vingt-sept à Lisbonne ; la France est le cinquième pays à le ratifier. Un climat d’approbation médiatique et politique, accompagné d’un discours apaisant de « sortie de crise », permet de ne soulever aucun débat sur le contenu du projet rejeté par le peuple en 2005. L’année 2008 sera consacrée aux ratifications nationales, la mise en application des nouvelles institutions européennes interviendrait dès le 1er janvier 2009. A ce jour, l’Irlande est le seul pays à organiser un référendum, sa Constitution l’y obligeant. La date initialement prévue a été repoussée, les sondages n’étant pas favorables. Favorables au Oui, s’entend.
« Il est plus facile de légaliser certaines choses que de les légitimer » Chamfort.
Sources:
1 Le Monde, le 6 mai 2005.
2 Discours devant la London School of Economics, le 26 juin 2006.
3 Jean-Claude Juncker, Premier Ministre luxembourgeois, quelques jours avant le référendum français en 2005, Daily Telegraph, le 26 mai 2005. D’ailleurs, le Luxembourg ratifia la Constitution le 10 juillet 2005.
4 29% d’interventions télévisées en faveur du Non contre 71% en faveur du Oui selon l’émission « Arrêt sur images », France 5, le 10 avril 2005.
5 Deux exemples parmi d’autres : « Si vous votez Non, vous nous exposez à un risque de guerre. » Pierre Lellouche, député UMP de Paris, France 2, le 26 avril 2005 ; « Ceux qui font la fine bouche devant la Constitution européenne devraient avoir en mémoire les photos d’Auschwitz. » Jean-Marie Cavada, dépêche AFP datée du 22 janvier 2005.
6 Nicolas Sarkozy, Europe 1, le 31 janvier 2007.
7 Valéry Giscard d’Estaing, Sunday Telegraph, le 1er juillet 2007.
8 « Il va de soit que ce traité simplifié, ça ne peut pas être une nouvelle Constitution, car la Constitution, les Français ont dit non, et d’autres ont dit non également. Mais il faut doter l’Europe d’institutions qui font consensus. » Nicolas Sarkozy, rencontre avec José-Manuel Barroso, Bruxelles, le 23 mai 2007.
9 Angela Merkel, chancelière d’Allemagne, The Daily Telegraph, le 29 juin 2007.
10 José Luis Zapatero, Premier Ministre du Royaume d’Espagne, discours du 27 juin 2007.
11 Astrid Thors, ministre des Affaires européennes de la République de Finlande, TV-Nytt, le 23 juin 2007.
12 Vaclav Klaus, Président de la République Tchèque, The Guardian, le 13 juin 2007.
13 Margot Wallstrom, commissaire européen, Svenska Dagbladet, le 26 juin 2007.
14 Giuliano Amato, ancien vice-Président de la Convention européenne, discours devant la London School of Economics, le 21 juillet 2007.
15 Jean-Claude Juncker, Premier Ministre du Grand Duché de Luxembourg, Agence Europe, le 24 juin 2007.
16 Karel de Gucht, ministre belge des Affaires étrangères, Flandreinfo, le 23 juin 2007.
17 Valéry Giscard d’Estaing, Le Monde, le 14 juin 2007.18 A comparer aux 191 pages de la Constitution européenne et aux 30 pages de la Constitution française.
19 Président de la Commission européenne, Daily Telegraph, le 14 novembre 2007
20 John Bruton, ancien Premier Ministre d’Irlande, ambassadeur de l’Union Européenne auprès des Etats-Unis, Irish Times, le 30 juin 2007.
Auteurs Laurent DAURÉ, Dominique GUILLEMIN pour Le Grand Soir
URL: http://www.legrandsoir.info/traite-europeen-que-s-est-il-passe-du-referendum-de-2005-a-la-ratification-de-2008.html© Copy Left Le Grand Soir – Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
“Au nom de la loi” :
Le 4 février 2008, le parlement réuni en Congrès à Versailles a voté le projet de loi modifiant le titre XV de la Constitution française en retirant le crime de haute trahison. Trois jours plus tard, le 7 février, l’Assemblée ratifiait le traité de Lisbonne.
Tu ne t’es pas trompé ?? c’est en 2007 que le playmobyl à fait modifier la constitution (pendant qu’il préparait sa trahison du peuple en 2008??)
L’ambiguïté et la connotation pénale de la haute trahison
Les 4 cas de haute trahison commis par l’ex président Sarkozy
Ben, c’est ce qui est marqué dans l’article au-dessus.
Interview de Zinoviev en 1999 qui explique très bien ce que nous vivons
https://lilianeheldkhawam.wordpress.com/2016/03/27/quand-alexandre-zinoviev-denoncait-la-tyrannie-mondialiste-et-le-totalitarisme-democratique-entretien-1999/
– la propagande
– la création de l Union européenne pour casser les peuples
– la difficulté de trouver un appui extérieur dans un système qui s auto protège
…. mais nous somme 16 ans après et la Russie s est redressée …
donc si nous faisons ouvrir les yeux à nos concitoyens, nous pouvons nous appuyer sur d autres forces …. c est d ailleurs ce qu’a compris la Syrie.
Le “NON” massivement voté par les Français s’est magiquement transformé en “oui” sous Nabot 1er.
Et avant Nabot 1er, il y a eu Jaco et ses Raffarinades:
– Win the yes need the no to win against the no!
– La route est droite mais la pente est forte
– Il y a les gens d’en haut (1%) et les gens d’en bas (99%)
– etc.
Quand le plus grand nombre forcera sa destinée, rien ne pourra protéger ces traîtres.
…Pas plus leur lois de circonstance que la fuite du lâche.
Ils l’ont voulu leur mondialisation, ils l’ont eu.
…Et en prime, l’impossibilité de se cacher où qu’ils iront.
Tu y crois encore Engel ? vu que nos concitoyens sont des mollassons de première, moi je n’y crois plus du tout. Il faudra attendre que la jeunesse actuelle mûrisse un peu plus, car c’est elle qui se soulèvera, d’ailleurs les plus âgés d’entre elle commencent à monter aux créneaux, mais ce n’est pas pour autant que le peuple bougera d’un cil.
Nous ne sommes plus en Mai 68 avec ses réussites mais aussi ses débordements dont nous payons les pots cassés. Il y a toujours un revers à la médaille c’est connu et le revers a été plus important hélas.
Oui graine de Piaf c’est ce que me disait un guérisseur, ce sont les jeunes qui vireront le pouvoir en place. D’après lui, vers 2030 une nouvelle civilisation se mettra en place.
Aujourd’hui nous pouvons sentir les prémisses de cette prédiction, notre civilisation arrive à son apogée, ce n’est plus à prouver et une autre doit renaitre avec de nouvelles règles, de nouvelles lois plus justes et équitables pour tous.
Nous ne pouvons plus espérer avoir un avenir avec des représentants corrompus et achetés par la finance. Vivre ensemble demande de penser à tout le monde, or le pouvoir en place ne pense qu’à en ajouter d’avantage à cette finance qui nous appauvrir, détruit notre planète et notre avenir.
Il était prévue depuis longtemps que la civilisation matérialiste et industrielle devait disparaitre au tournant du 21 éme siècle. Notre civilisation ne peut plus continuer ainsi car nos vies sont en jeux et celle de notre planéte. Le réveil commence à se faire, il nous faudra résister à l’assaut de ce ceux qui veulent encore se gaver sur le dos des peuples, nous soumettre et nous contrôler mais cela ne se fera pas sans résistance.
“En définitive, une partie de l’humanité s’enfonce de plus en plus dans un matérialisme démoniaque, où l’immoralité et la destruction sont les seuls moyens pour accéder à la classe dirigeante.
L’autre partie de l’humanité émerge de ce chaos, pour affirmer son identité et faire valoir ses droits à la libre pensée et à la fraternité”.
“Pierre Lassalle”.
Même la pourriture, rien ne dur éternellement.
en résumé on ne doit pas suivre les directives de bruxelles !
le fermier ne doit pas respecter les quotas
le pêcheur ne doit pas respecter les quotas
le maraicher ne doit pas respecter les prix
les mèdecins ne doivent pas ns vacciner de force
les banques ne doivent pas appliquer le taux négatif sur nos économies
le chiffon bleu de l’europe ne doit pas être étalé sur nos facades
FAUDRAIT QUE DES JURISTES DES TENORS DU BARREAU SE PENCHENT SUR
CE TRAITE, LES CONDITIONS DONT IL A ETE MIS EN PLACE, MALGRÉ NOTRE NON
MASSIF
ET QUE CES AVOCATS AVEC NS DERRIÈRE….ON ATTAQUE EN JUSTICE TOUS LES
PRÉSIDENTS QUE TOUTES CES LOIS DEPUIS SOIENT EFFACEES
EN CONCLUSION CE CONTRAT ENTRE LES FRANCAIS ET EUROPE N’A PAS DE
LEGITIMITE
DONC LES MILLIARDS QUI PARTENT CHAQUE MOIS VERS BRUXELLES POUR
PAYER LES SALAIRES DE CES CONNARDS EN TAILLEUR, COSTARD, PAYER REPAS
PAYER DEPLACEMENTS, PAYER LOCAUX…… CE FRIC DOIT RESTER DANS NOS
CAISSES POUR PAYER NOS BESOINS !!!!!!!!!!!!!!!!!!
CE QUI M’ETONNE C QU’AUCUN AVOCAT NE SE SOIT JAMAIS PENCHER SUR CETTE
ILLEGALITE MONDIALE
y en a-t-il UN enfin qui aura les bourses et l’intelligence pour le faire ?
merci Volti pour ce rappel il faudra d’autres piqûres….