Comment devenir nomade : vivre, travailler et voyager autour du monde

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Quand le besoin de liberté est plus forte que tout !

Il n’y a pas vraiment d’explication pour justifier ses choix. Ce choix de vie est très intime et personnel, propre à chacun, le nomadisme est un état d’esprit, un mode vie à part entière. Pas de contrainte ni d’obligation (ou très peu), la liberté de temps et de lieux.
Où on veut, quand on veut !
Non M’sieur, Dame, les nomades ne sont pas tous des marginaux ! Rappelez vous dans un passé pas si lointain d’ailleurs, nous étions tous nomades, la sédentarité est arrivée bien plus tard.
Le nomadisme est perçu par la majorité de la société comme un manque de repère, une instabilité permanente, la précarité… mais dans certains pays il est ancré depuis toujours et appréhendé avec un oeil totalement different, voir même envieux.


Aux usa et canada pas moins de 6 millions de personnes vivent à temps plein sur les routes, on les appellent les « Full-Timers » (temps plein) ! Et quand vous les voyez se déplacer avec leur maison et leur voiture accrochée dernière, j’peux vous dire qu’il non rien de marginaux. Leur motor home, ou bus sont de vrai bijoux.
Alors vous traitez toujours les nomades de « marginaux » ? ha ha ha ^^

Comment devenir nomade : vivre, travailler et voyager autour du monde.
Du rêve à la réalité… quelles formalités ?

Tout dépend le pays dans lequel on se trouve, et si l’on souhaite ou pas parcourir le monde. En général il faut toujours avoir ce fichu fil d’Ariane qui vous tient, la fameuse « adresse de domiciliation » ! Bah le principe d’être nomade justement c’est de ne pas en avoir, j’me trompe ?! Si on se déplace de pays en pays tout en ayant un logement fixe (appart/maison) cela ne pose pas de difficulté, sauf celle de faire régulièrement des changements d’adresses. Mais quand on décide d’être nomade sur roues (camion, van, bus, camping car) à l’année, ça se complique puisque votre maison se déplace avec vous et que c’est votre résidence principale.

 

 

Deux solutions :

Votre adresse est chez vos parents ou amis, mais mieux vaut ne pas gagner « des mille et des cents » car les impôts (France) prennent en compte vos revenus et les additionnent avec ceux du titulaire de l’adresse. Belle surprise quand on reçoit la feuille d’impôt. Autan vous dire que le Trésor Public est pas mal borné et qu’il ne cherche à comprendre, même si vous expliquez que vous ne vivez pas là et que vous ne participez pas au frais du ménage. Pour vous il sagit juste d’une adresse postale mais, l’adresse fiscale c’est tout ce qu’il voit !

– Vous déclarez itinérant et faire les démarches pour acquérir un livret de circulation. Vous choisissez une commune de rattachement et demandez qu’elle puisse vous fournir une attestation, qui vous permettra d’aller à la préfecture demander un livret de circulation. Il existe plusieurs types de livret de circulation. La seule contrainte que vous ayez et celle de faire tamponner 1 fois par an au commissariat pour valider votre présence sur le sol français. Ce statut de « SDF » (il serait temps que la France se réveille et crée un nouveau statut), vous permet de vous inscrire à la CAF pour les aides des enfants, aux différentes administrations, de voter, et de jouir de vos droits comme tout le monde. Cela ne posent aucun problème pour les assurances et la banque. N’oubliez pas de vous ouvrir une boite aux lettres à La Poste ou aux courriers du voyageur.

Le travail dans tout ça ?!

On nous pose souvent cette question, comment travailler et gagner sa vie (il faut bien manger !)
De multiples solutions s’offrent à vous…

Encore une fois si vous êtes en France, dans l’Union Européenne, ou à l’étranger cela peut varier : Beaucoup de personnes vivant à l’année sur la route travaillent par intermittence et se déplacent selon les saisons, été « fruits picking », hiver dans les stations de ski. Si vous n’aimez pas le froid, l’hiver se fera au soleil dans les pays voisins Portugal, Espagne, Italie pour faire saisonniers ou profitez de la vie.
Pour beaucoup cela parait précaire mais il faut bien comprendre qu’un nomade n’a pas besoin d’autant d’argent qu’un sédentaire pour subvenir à ses besoins. Moins de frais (factures, impôt) donc  besoin de moins de ressources financières. Votre consommation est différente, vous vivez plus simplement et vous ne « créez » pas de besoin superficiel.

A l’étranger, selon le type de visa obtenu, les plus jeunes peuvent profiter des WHV(working holiday visa), PVT (permis vacance travail) ou permis étude mais des qu’on a passé la trentaine et pour peu qu’on ait des gosses, les options sont un peu plus restreintes.

 

 

Suite et fin sur Uneviesurlaroute.com

 

48 Commentaires

  1. Merci de mettre en lumière ce mode de vie et ce site très complet que j’avais évoqué il y a quelques temps. Je pense que certains réfractaires au nomadisme, certainement par méconnaissance, devraient prendre le temps de feuilleter ses pages, peut-être comprendront-ils enfin qu’un nomade n’est pas forcément un « punk à chien » ou un « clodo » comme je l’ai lu récemment ici-même 🙁
    De plus, il existe mille et une façons de vivre sur la route, toutes plus enrichissantes les unes que les autres. Chacun devrait au moins une fois dans sa vie sortir de sa zone de confort et expérimenter ce mode de vie qui permet d’ouvrir les esprits, mais surtout de découvrir sous un autre angle la planète qui nous héberge ainsi que quelques personnages inoubliables croisés au détour d’un chemin …

    Pour ceux qui seraient tentés par le voyage au long cours, il y a le blog de Fabrice : instinct-voyageur

    M.G.

  2. Rien de simple.
    1) Avez-vous des contraintes familiales? Quid de vos parents âgés ou des études des enfants… par hasard?
    2) Barrière linguistique : rien de plus pénible que de ne pas pouvoir communiquer même si un brin d’anglais ou d’espagnol facilitera cela.
    3) Santé : facile à envisager de partir quand on se sait jeune et en bonne santé. Que suggérer à ceux qui ont un suivi médical? Quel solution si vous devez subir une intervention chirurgicale imprévisible?
    4) Insécurité : de par le monde j’ai ouï dire pas mal de vols ayant visé des globe-trotteurs (attaque en sortant d’une banque, voilier vidé, etc…).
    5) Travailler sur place : facile à dire. Travailler légalement dans la plus part des pays du monde c’est administrativement difficile, sans oublier l’hostilité des autochtones (y compris dans nos DOM-TOM).
    Si vous avez vraiment une solution relative aux points évoqués ci-dessus, alors bon vent!

    • Jean-Pol c’est sûr en pensant comme tu le fais il vaut mieux que tu restes en France. Décider de changer de vie ou de simplement voyager demande un peu de courage et surtout de se défaire de nos conditionnements et de nos peur enracinées depuis notre enfance. C’est pas administrativement difficile de travailler à l’étranger où as-tu été péché ça ? par contre c’est administrativement difficile de travailler en France, ça oui !

      • PS: j’ai vécu expatrié pendant 32 années, dans divers lieux. (Ce qui m’a permis de visiter 149 pays souverains et environ 130 îles ou territoires sous tutelle.). J’ai donc aussi rencontré pas mal de compatriotes m’exposant leurs soucis.

        • D’accord alors pourquoi autant de crainte dans tes propos, c’est sûr qu’il doit y avoir des lieux dans le monde où les conditions de vie ne sont pas facile comparé à chez nous qui avons tout mais c’est justement parce que nous avons tout que nous avons peur de manquer de tout ça ailleurs. Le voyage c’est l’inconnu est parfois l’inconnu peut faire peur.

          • Je n’ai exposé que ce que j’ai entendu x fois, ce sont des mises en gardes disons, les soucis n’arrivent pas qu’aux autres.
            Quelques exemples (les noms, voire les lieux sont changés).
            1) Michel, installé à Tamatave, Madagascar, se fait diagnostiquer par erreur un paludisme alors que c’était un érysipèle. Evacué, car il était conscient avant son départ et avait les fonds, en catastrophe et dans le coma à la Réunion par avion privé. Sauvé de justesse.
            2) Philippe, divorce conflictuel, se cache dans la forêt en Guyane, mais compte sur un ami de Cayenne qui lui passe sa carte vital quand il a des problème de santé.
            3) Jean-Pol, marié à un thaïlandaise, ruiné sur un achat hôtelier, en quasi slip à l’ambassade de France.
            4) Jacques, héritier d’une forte somme, ruiné par un faux vendeur, faux notaire, aux Philippines sur un achat d’une plage où il voulait construire un hôtel.
            5) Maryse, infirmière, repartie en métropole complétement écoeurée par les mentalités dans un hôpital aux Antilles où ses collègues faisaient l’effort devant elle de ne parler qu’en créole.
            6) Jean et Patrick, arrivés dans un DOM avec un camion restaurant, mais n’ont jamais eu une autorisation d’une mairie pour avoir une place de stationnement. Camion revendu (pertes). Les acheteurs, autochtones, ont eu une place, eux. (Un classique).
            7) Jean-Jacques se marie à une vietnamienne au Vietnam, mais découvre qu’il a été marié à une autre. A oublié de vérifier les papiers que l’on lui faisait signer en mairie. (Un classique d’après d’un employé d’Ambassade).
            8) Hugo : laisse à une relation en Côte d’Ivoire le soin de s’occuper de la vente de son 4×4. N’a jamais eu le produit de la vente.
            9) Bruno et Marie : partent en ville faire des courses, de retour à la marina (à Manille) le voilier avait été vidé.
            10) François, professeur muté en DOM (là, pas de souci), mais son épouse n’a jamais pu se faire embaucher (quelques stages, mais on lui avouait que son embauche n’était en fait pas possible…. sinon des soucis avec les syndicats car elle n’était pas autochtone).
            11) X et Y (beaucoup d’exemples): mariés a une locale (de 10 à 20 ans de mois : un classique) et escroqué par l’épouse sous la pression de sa famille. Le mari devant subvenir à toute la famille.
            12) Michael et Martine: fonctionnaires mutés en Nouvelle Calédonie, et rapatrié 3 mois après (Dépression, mal du pays, inquiétudes sur leur fille faisant ses études en métropole, grands parents en santé délicate…).
            13) Un employé d’un consulat au Brésil me confiait que beaucoup (pas tous) de français se cachent là car ils ont des casseroles au derrière.
            14) Paul et Marie: font du voilier/charter inter-îles pour touristes dans le Pacifique mais ne voient leurs enfants que 2 mois par an, étant chez leur grand-mère en métropole.
            15) Beaucoup d’épaves un peu partout (oisiveté, alcool) passant leur retraite : Madagascar, Cambodge, Thaïlande, Philippines, Surinam, etc… pays offrant un pouvoir d’achat notable comparé au Canada, à l’Australie, les DOM-TOM, USA, Japon, Nlle Zélande.

            A noter que le « confort », reste la mutation dans nos Dom-Tom (être fonctionnaire : militaire, prof etc.. mais des mutation dans le privé existent aussi), même si vous n’y êtes pas attendu avec un tapis rouge. Le dépaysement (climat) est là.
            Autres lieux, c’est plus compliqué de tous côtés.

    • @ jean-pol: j’ai vécu des années sur les routes, un peu partout en Europe; jamais aucun problème et énormément de rencontres enrichissantes.

      J’ai ensuite vécu dans les DOM, je n’y ai pas spécialement subi « l’hostilité des autochtones »; par contre j’ai été horrifié par la mentalité colonialiste de nombre de métros.

      Ceux qui rencontrent des problèmes au contact d’autres cultures feraient bien de se remettre un tout petit peu en question.

      • Il y a du vrai dans ta remarque. Ceci dit je n’ai rien inventé de ces histoires ci-dessus. J’ai vécu aussi dans des Dom, il y a aussi un racisme dans un sens que l’on n’a pas le droit d’évoquer…

  3. Bonjour ! 🙂
    Ne sommes-nous pas tous des Ames voyageuses, à travers le temps et l’espace ?
    J’encourage aussi tous les esprits à s’ouvrir à d’autres paysages, à d’autres cultures que celle choisie au départ.
    C’est un enrichissement, à mon avis, tout à fait essentiel au cheminement de la vie. Le voyage donne du sens à l’existence. Il en montre la beauté, l’épaisseur et la vulnérabilité dans le regard de l’Autre, cette sœur, ce frère difficile à reconnaître en période de trouble.
    Le déplacement physique, le changement de couleurs, d’odeurs, de langue, de repères permet un décentrage par rapport à ses conditionnements, donc à ses actions/réactions.
    Le voyage nous secoue, remue, éprouve, nous fait, défait, refait par des expériences variées et montre combien rencontrer, faire connaissance avec l’étranger nous transforme, nous fait prendre conscience qu’on doit accepter l’altérité.
    Le voyage nous permet de remettre nos certitudes en question, de nous ajuster à l’Autre par nous-même, à nous-même par l’Autre. Il nous donne les ailes de la liberté.
    J’invite depuis longtemps mes enfants, leurs amis, les miens, tous, à visiter le monde pour en mieux prendre soin.
    Initiation qui repousse nos limites au delà d’une « identité monolithique ».
    Je suis citoyenne du monde, fille du vent de la terre. Toujours prête à partir. 🙂

  4. Une année je suis parti 3 mois en Crète avec deux amis. Nous avons mis 3 jours de voiture pour arriver à Athènes et 6 heures de traversé en bâteau jusqu’à la Crète, c’était fin novembre et là bas l’hiver c’est la période des olives, citrons, oranges, avocats, mandarines et pamplemousses.

    Lorsque vous arrivez en Crête vous accoster à Rania, vous allez dans les terres à quelques kilomètres là où sont les vergers et vous attendez au café du village tôt le matin que quelqu’un vienne vous chercher pour vous amener ramasser les fruits.

    C’est ainsi que les Crétois procèdent depuis longtemps et les touristes saisonniers comme ils les nomment là-bas viennent l’hiver de partout pour travailler, profiter des conditions climatiques plus agréable que chez nous et gagner quelques sous pour continuer leur voyage.

    La crête est vraiment un lieu où se retrouve toutes sortes de gens cosmopolites, j’ai passé des soirées avec des Portugais, Espagnol, Français, Anglais, Irakien, Polonais, Yougoslaves… et tous venaient pour faire les saisons donc les soirées étaient souvent animé mais après quelques verres de ouzo on se comprenait tous. LOL

    De plus, des maisons sont mises à disposition des saisonniers, vous n’avez pas tout le confort moderne mais vous avez le minimum vital. Avant d’arriver, je ne m’imaginais pas rencontrer autant d’étranger et aussi beaucoup de Français semi-nomades qui la plupart étaient arrivés en bus, camions, voitures et même en stop.

    Donc oui, il est possible de voyager tout en gagnant de l’argent. Je connais même un couple qui voyageait gratuitement jusqu’à la Guadeloupe. Pour se faire, ils arrivaient dans les ports et demandaient aux capitaines des bateaux de les faire traversé en échange de services (cuisine, nettoyage …) sur le bateaux et ça marché, une fois en Guadeloupe, ils travaillaient comme saisonnier dans les restaurants et hôtels.

    • Je connais même un couple qui voyageait gratuitement jusqu’à la Guadeloupe. Pour se faire, ils arrivaient dans les ports et demandaient aux capitaines des bateaux de les faire traversé en échange de services (cuisine, nettoyage …)

      —->

      Faire la cuisine ou le ménage, moi j’appelle ça travailler.

      Pour le reste c’est payé combien tes petits boulots et ramasseur de fruits en Crète ? Parce que ceux que j’ai connu qui voyageaient en camion, leur budget annuel était de 30 000€ rien qu’en carburant + mécanique ( très important ). Vivre sur un voiler j’en parle même pas, les places au port sont rares et le ponton visiteur inabordable en Europe … Reste l’option du mouillage forain ou partir en Guyane comme ci-dessus, plutôt crever tout de suite !

      • 30000€ / an en camion? Rien qu’en carburant et en mécanique?

        Tes connaissances t’ont raconté des conneries ou ils se demerdent très mal (ou ils faisaient 4,5 fois le tour du monde en 80 jours).

        Je vivais très bien avec environ 500€/mois tout compris dans un camion de 4,5T pas particulièrement économique.

        • https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif 4.5T, ça sent le 508 ou 608 ! jme trompe?

          • 410 caisse, en forte surcharge pondérale…

            • https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif je comprends mieux les 15L !

              Au vue de ton expérience, quel est ton avis sur les C25?
              J’ai rendez-vous lundi pour en voir un…

              • Je n’en ai jamais eu, mais d’après ce que j’ai pu entendre dire autour de moi c’est des moteurs rustiques et a priori assez fiables, on peut mettre les pattes dedans et tu trouveras facilement des pièces en casse… Je crois qu’ils pêchent un peu au niveau châssis et carrosserie (corrosion).
                Vérifie bien que l’embrayage est bon si tu ne veux pas avoir à sortir le moteur dans les mois qui viennent.

                Ma préférence va aux mercedes, ils sont presque increvables; et aux caisses pour l’habitabilité (le top étant bien sûr les caisses frigo).

                • Ok, merci pour le tuyau.

                  Je suis du même avis pour les mercos, aussi beaux qu’increvables. Mais les gens qui les vendent se tripotent beaucoup trop la nouille sur le prix… Et quand le prix est abordable, c’est que l’état est pitoyable, ou qu’il est pour export…

        • Avec mon Trafic qui est pratiquement ce qui se fait de plus économe ( 7.5L en mixte ) , 500€ = 5 – 6 pleins = 5000 – 6000 km ce qui est pas énorme en 1 mois.

          J’en déduis donc que tu devais pas trop bouger voir quasiment pas ? Bref, faisable mais aucun intérêt … Si tu bouge pas du tout, autant acheter un mobil-home, surement plus spacieux et confortable.

          • Je devais parcourir 800 à 1200 km par mois, parfois plus (et parfois pas du tout), ce qui aurait été compliqué avec un mobil-home…
            L’intérêt du nomadisme, c’est de pouvoir se déplacer mais aussi passer du temps dans les endroits ou tu te sens bien.
            Il n’est pas indispensable de passer sa vie au volant, ce n’est pas du transport routier!

            Je reprends ton calcul, mais en l’appliquant à tes connaissances qui prétendent que « leur budget annuel était de 30 000€ rien qu’en carburant + mécanique ».
            Partons de l’hypothèse que le camion consomme 15L/100 et qu’ils ont autant de frais de mécanique que de frais de gasoil (ce qui me semble douteux): ils dépensent donc 15 000€ par an en carburant.
            Le gasoil étant à environ 1€/L, ils devraient parcourir environ 100 000km (soit 4 fois le tour de la planète) par an. C’est en moyenne ce que parcourt un routier professionnel.

    • Le plan de la Crete, etait-ce avant…https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cry.gif?

  5. un TRAVAILLEUR NOMADE ,ok,j’ai fini par pigé le plaisir de ne pas avoir de domicile fixe et de prendre le train,sa bagnole pour aller travailler et payer des taxes,assurances ,électricité,eaux,loyer,frais de santé,NON.
    C’est NOMADE une vie LIBRE,AGRÉABLE,pleine de surprises.
    Ben les gars j’ouvre une Chimay .
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

  6. Le « MAIGRE » en VIP ?c’est curieux,est il responsable ?
    Il dit romanichel des gens qui désirent s’accomplir dans une vie nomade ,et alors?
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

  7. Le livret de circulation n’existe plus, il a été abolit l’année dernière ! C’est même une des rare bonne chose, qu’ait fait ce gouvernement !

    Le soucis quand on a pas d’adresse maintenant, c’est d’obtenir une carte grise. Pour ça, on est souvent contraint d’aller se prostituer auprès d’un CCAS, qui ne manquera pas d’exiger des démarches dans la région, en contrepartie d’une domiciliation. Sous entendu, on vous ressortira le bon vieux discours de merde sur l’insertion sociale …

    Pour le reste, le Combi VW est totalement surcoté. C’est un véhicule pour bobos, inadapté pour vivre à l’année dans son camion, car impossible à isoler. Sans parler que les pinots n’aiment pas les hippies et vous feront chier à la moindre occasion …

    Mieux vaut un Trafic, Ducato ou autre, si possible rallongé et rehaussé pour y mettre un lit permanent et une douche …

    Sinon, perso je pense qu’il est préférable de garder un petit appart ou même une chambre pour passer l’hiver, au moins au début.

  8. Je rejoins Jean Pol, ce type de vie, c’est bien jeune (ou jeune retraité) sans enfant à charge, ayant quelques économies de préfèrence, la galère sinon au moindre pépin, bateau ou CC qui tombe en rade, problème de santé et pas de couverture sociale..
    Je reviens de Guyane et j’en ai vu des épaves métros, traînant, tant à Cayane qu’à Saint Georges de l’Oyapock, pauvres ères usées avant l’heure. Etre aventurier c’est bien mais cela ne s’improvise pas, on ne trouve pas du boulot, comme ça, d’un claquement de doigt, et malgré tout, bouffer du manioc à longueur d’année demande du matos, du temps, de l’entraînement et du savoir faire!

  9. Oui ben, c’est bien d’être nomade un temps pour voir d’autres endroits, d’autres gens, d’autres paysages, mais quand on part longtemps on perd souvent tous ses amis, puis quand on les revoit à l’occasion ce n’est plus pareil.
    Je sais de quoi je parle, j’ai pratiqué une sorte de nomadisme avec mes parents qui déménageaient tout le temps et finalement je n’ai pas beaucoup d’amis, et dans mon pays d’adoption actuel je ne suis qu’une étrangère et donc j’ai des connaissances, des « copains ou des copines » mais de vrais amis non
    Et pourtant je n’avais pas coupé les ponts en partant du dernier village où je m’étais faite des amis, on se téléphonait, on s’écrivait mais comme je n’étais plus là, le peu d’amis que j’avais s’en sont allés aussi.
    Le nomadisme c’est bien pour les grands solitaires ou pour quelques temps entrecoupés de pauses mais rien ne remplace les liens à sa terre natale

    • Etre nomade c’est etre de NULLE PART ,donc pas besoin d’avoir de nationalité comme les gens du voyage ,VOYAGEZ .
      https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

      • Pas de Nationalité, pas de Passeport !

        1 Explique moi alors, comment tu voyages

        2 Comment tu te débrouilles au premier contrôle d’identité

        3 Toi, tu n’as jamais voyagé ! pour écrire cela !

        • Excellente question cher ATLANTE.
          Vous répondre point par point me semble pas valable dans le contexte évoqué qui est je vous le rappelle. »Comment devenir nomade : vivre, travailler et voyager autour du monde »
          Pour vous être agréable (je l’espère)
          Point 1..je voyage pour allez en vacance et voir d’autres gens et cultures.
          Point 2.Pas de PB ,pige pas.
          Point 3.oui,et des bons souvenirs,toi pas ?
          https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

    • @Michèle, Il est vrai qu’une véritable amitié se construit en général sur le long terme, hormis un coup de foudre, et que le fait de voyager constamment peut devenir un handicape pour nouer des liens durables. Ceci dit, la vie de nomade permet aussi un tri naturel parmi ceux que nous apprécions. C’est quand on est loin de ses amis que l’on reconnaît les plus fidèles d’entre eux, car ce sont les seuls qui témoignent de leur soutien inconditionnel à votre choix de vie.

      @tous, La vie nomade ne veut pas forcement dire tour du monde perpétuel, ni même de quitter son propre territoire. Comme je le disais plus haut, il y a une multitude de vies nomades. Certains travaillent 8h par jour via internet et gagnent très bien leur vie, d’autres sont plutôt orientés simplicité volontaire ou sobriété heureuse et n’ont besoin de travailler que quelques jours par mois pour subvenir à leurs faibles besoins …

      M.G.

    • Je suis parti depuis longtemps.

      Je n’ai perdu aucun ami, seulement quelques « potes ».
      Pas une grosse perte du coup.

      Et quand je revois mes amis, ce n’est plus pareil… C’est mieux!

      • ça fait combien d’années???
        et ce doivent être des amis de longue date avant ton départ non???

        • Entre le nomadisme en Europe et ma vie caribéenne, je suis parti depuis plus de 7 ans.
          En effet les ami(e)s qui sont restés sont pour la plupart des ami(e)s que j’ai fréquenté au quotidien pendant 5 à 10 ans, voir plus.
          Mais certains potes perdus ont une ancienneté égale ou supérieure.

          L’important n’est pas vraiment la durée, mais la confiance.

          Cependant je n’en veux à personne, j’ai toujours su faire la différence entre la véritable amitié et la camaraderie.

          • ben c’est bien, pour moi au bout de 5/6 ans, j’avais perdu les 90% de mes ami(e)s, copains ou copines
            je te dis pas au bout de 30 ans ce que ça fait!! et pourtant j’en ai revu, mais c’est comme si ils ne me connaissaient pas et pourtant il n’y avait pas si longtemps que ça que je les avais revus et qu’ils avaient quand même dit bonjour et on avait échangé des nouvelles
            La vie est moche parfois, heureusement pas pour tout le monde

  10. la caravane c’est pas pour moi ces trucs c’est pour les sans dents c’est nul ça fait bas de gamme.
    je préfère l’avion en 1er classe le lux c’est commode et tu vas partout et plus vite
    sinon le bateau mais sur un bateau je vomis ceux qui font les bateaux sont pas des lumières au moindre coup de vent ça bouge dans tout les sens c’est loin d’être stable
    avec un bateau qui ne bouge pas je peux faire le tour du monde plusieurs fois même.
    j’écris des livres je fais des films, tu achètes des trucs partout tu revends ailleurs, la contre-bande toussas
    t’as pleins de possibilités
    non le mec avec sa caravane c’est un ringard.

    • C’est pas toi qui traitait les nomades de « clodos » la dernière fois que le sujet a été abordé ?
      Sinon tu fais quoi dans ta vie nabilla, à part faire office de cousine de G.ros, version bas de gamme ? Parce que là, ton message n’est pas vraiment constructif, toussas toussas …

      M.G.

      • Surement une chioniste.
        bisous MG
        https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

      • le mouton grain déjà je ne dis pas clodo mais sdf et non j’ai aucun problème avec les sdf
        et ce n’est parce que tu as une caravane qu’il faut croire que c’est une attaque contre toi
        c’est comme pour Charlie dés que tu ne dis pas que tu es charlie tu en prends plein la poire.

        • @Emy, apprend à t’exprimer alors, car attaquer son commentaire en se rependant en invective pour terminer en dénigrant les possesseurs de caravane peut agacer celui qui se trouve au bout du câble ! Et pour info, je ne possède pas de caravane, je voyage en jet privé …

          M.G.

          • M G, je suis nabilla, cousine de G.ros, version bas de gamme, une cruche agnostique
            je me tape des réflexions à longueur de journée donc je m’en fous en peu avant je répondais
            là je fais je ne te vois pas et je ne t’entends pas

            mais quelqu’un pas moi traite les nomades de clodos tout de suite c’est pas normal
            on s’indigne il est facile de voir les défauts des autres et pas les siennes

    • Tu as tout à fait le droit d’être une cruche superficielle.
      Surtout que tu le fais très bien.

      • Salut cher verisheep,serait il malvenus de vous demandez à qui s’adresse votre invective svp ?
        merci
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        • A Emy, c’est d’ailleurs pour ça que j’ai répondu sous son commentaire.

          A la tienne / Yer’mat / nasdrovia …

          • Mon petit fils vient de rentrer d’Ukraine LVOL ,désolé ,j’ai pas l’ortho,il m’a rapporter un papier WC avec Poutine imprimé,il sait que ces gens sont dispersés dans la compréhension et c’est grave ,du bol qu’il est comme moi et ferme sa gueule.
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  11. Avec plaisir ,à ta santé Emy,
    Ouep,le Figaro et autres Obs font des dégâts.
    hahah,tu les repères plus vite que l’ombre de LUCKY LUCKE .
    Bisous verisheep.
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