3 millions d’arrivants : comment la Commission européenne favorise le chaos migratoire

Cela fait des mois maintenant qu’il est annoncé que tout cela est voulu et organisé, que rien n’est du au hasard et que les vagues migratoires sont organisées à des fins politiques, géopolitiques et bien sûr financières, mais les médias n’abordaient pas ouvertement ce sujet, trop délicat, trop sensible, et il ne faut pas trop informer les masses sur le sujet. Étrangement, Le Figaro a publié une tribune parlant ouvertement de ce sujet, et reconnaissant que l’UE favorise l’immigration.

N’oubliez pas qu’en géopolitique, l’humanitaire n’existe pas, la compassion non plus, les migrants ne sont que des pions déplacés suivant les intérêts en jeu. Si réellement nos élites souhaitaient faire dans l’humanitaire, vous ne pensez pas que la situation en Éthiopie ou au Darfour seraient réglées depuis longtemps?
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Alexis Théas est universitaire, juriste, et spécialiste de l’immigration.


«Au total trois millions de personnes supplémentaires devraient arriver dans l’Union européenne» de 2015 à 2017, révèle aujourd’hui la Commission européenne, dans son rapport de prévisions économiques. Selon elle, l’impact de cette arrivée devrait être «faible mais positif». Les mots utilisés sont ambigus. Chaque année, depuis vingt ans, le chiffre des entrées de nouveaux migrants publié par Eurostat fait état de bien plus d’un million de ressortissants non communautaires qui s’installent dans l’Union européenne: 1.455.953 en 2010, 1.399.934 en 2011, 1.170.665 en 2012. La nouvelle annonce de Bruxelles semble ainsi paradoxale. Les arrivées massives de migrants clandestins en Europe, en plus du flux habituel, sans aucun précédent historique, étant évaluées à un million en 2015, (250 000 pour le seul mois d’octobre) comment une baisse globale de l’immigration pourrait-elle se concevoir pour les années 2015, 2016 et 2017? La clef du mystère réside probablement dans le mot «supplémentaire». Les trois millions de migrants «supplémentaires» en trois ans annoncés par le rapport publié ce jour, sont probablement à comprendre comme «en supplément» du flux habituel, normal. Dès lors, on observerait, à compter de 2015, un quasi doublement du flux migratoire sur l’Europe qui avoisinerait, dans cette hypothèse, deux à deux millions et demi chaque année en incluant toutes les formes d’immigration: des chiffres considérables.

Le plus surprenant est le ton sur lequel cette annonce est faite: comme un événement banal, sans grande conséquence, sinon qu’il serait plutôt positif pour l’économie européenne… La Commission a fait de l’accélération de l’immigration sur le continent européen l’un de ses objectifs depuis longtemps. Le 3 juin 2003, delà, dans une communication sur l’immigration, l’intégration et l’emploi, elle déclarait «les flux d’immigration vont continuer à s’accroître et seront plus que jamais nécessaires.» La Commission se déclarait attachée au droit d’asile, à l’accueil en Europe des victimes de persécutions qu’elle a favorisé à travers de nombreux règlements et directives. Pourtant, jusqu’alors, Bruxelles tenait un discours équilibré, souhaitant une hausse de l’immigration régulière et un respect scrupuleux du droit d’asile, mais acceptant le principe de la lutte implacable contre l’immigration clandestine.

En 2015, un spectaculaire basculement idéologique est intervenu. Depuis l’été 2015, le verrou a sauté. Les distinctions classiques se sont effacées. Tout est désormais confondu: immigration légale destinée au travail ou à une vie familiale, réfugiés fuyant les persécutions, et immigration illégale, par voie maritime, aérienne, routière, qui jusqu’alors devait être farouchement combattue. Les flux de personnes sont désormais englobés sous le vocable de «migrants» et considérés sans nuance comme un bienfait que l’Europe doit accepter sinon favoriser, pour des raisons multiples, démographiques, économiques, civilisationnelles – favoriser la diversité – morales et humanitaires. Les barrières ont été levées. Sous l’impulsion de la Commission, l’Europe a renoncé à contrôler ses frontières, à reconduire dans leur pays d’origine les migrants clandestins. «Il est temps de faire preuve d’humanité et de dignité» a proclamé le président de la Commission M. Juncker le 9 septembre 2015 devant le Parlement européen, en plaine harmonie avec la chancelière allemande Mme Merkel, en appelant à une large ouverture de l’Europe. Un gigantesque appel d’air a été ainsi déclenché, dont nul ne voit quand et comment il pourrait prendre fin ou se ralentir.

Pourquoi cette soudaine conversion de l’Europe officielle, jusqu’alors prudente, à un accueil désormais massif et inconditionnel? Il faut y voir d’abord un aveu d’impuissance. Puisque ces événements nous échappent, feignons de nous en féliciter! En outre, la presse, les médias, les lobbies humanitaires, certains milieux patronaux, exercent une pression constante sur les hauts responsables européens et les bureaux pour les convaincre du devoir d’ouverture généralisé et de sa nécessité sur le plan économique et démographique.

L’ouverture inconditionnelle fait désormais partie d’une stratégie de la Commission. Quand M. Juncker exigeait des Européens qu’ils se répartissent les migrants par quotas, il était dans une logique de pouvoir. La Commission est en quête d’un nouveau rôle, absolument décisif, s’attribuant un pouvoir colossal, sans équivalent historique, celui de plate-forme de répartition des populations sur tout le continent. Alors que le marché unique est achevé, elle tente ainsi de se replacer au cœur du processus de décision européen.

Enfin, à long terme, dans une Europe en crise, l’acceptation voire l’encouragement de mouvements considérables de populations vers le vieux continent sont vécus comme un levier de relance du rêve européen: puisque les passions nationales ne s’effacent pas d’elles-mêmes, les flux migratoires massifs, grâce à l’arrivée de nouvelles cultures, nouveaux modes de vie en Europe, vont contribuer peu à peu à l’effacement des vieux réflexes nationaux au profit d’un homme nouveau, vierge, propice à l’émergence d’une culture européenne multiple et fondée sur la diversité. Dans le même texte du 3 juin 2003, la Commission en appelait à «un engagement clair à promouvoir des sociétés pluralistes

Article en intégralité sur Le Figaro

 

14 Commentaires

  1. c’est dingue …

    je vois déjà à l’horizon les poli-tiques reprendre le thème ..

  2. Parle pas de Kalergi sur le figaro … Ah ! Ok …

    • Ils ne risquent pas de parler de Kalergi. Déjà cet article a été publié parce qu’il provient d’une tribune du Figaro, ce n’est pas un journaliste. Eux ne s’intéressent aux causes des migrations.

      Peter Sutherland, conseiller spécial auprès du Secrétaire Général de l’ONU pour les migrations internationales (ex Goldman Sachs), a déclaré vouloir importer 1 million de migrants par an en Allemagne pendant 30 ans.

      “Si vous prenez l’Allemagne comme exemple, l’Allemagne a le plus faible taux de naissance du monde. Ce plus faible taux de naissance nécessite d’accueillir plus d’un million de migrants par an sur les 30 prochaines années pour maintenir une situation où le nombre de retraités est équivalent à celui des actifs de 30 ans”.

      http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=52126#.VkBtsLcveUk

      Ce brave bonhomme est aussi directeur de la Commission Trilatérale et surtout membre de la direction du Groupe Bilderberg…ceux dont on entend jamais parler mais qui, d’après notre ancien premier ministre François Fillon, gouverne les Etats en amont des gouvernements. Et après on nous dit que ceux qui parlent de ces sujets sont des conspirationniste dingos…

      En reliant les points, tout devient plus claire pour tout le monde. Seulement, les médias ne les relieront jamais ces points.

  3. l‘ONU a coupé les fonds de camps de réfugiés au Liban et en Jordanie pour les pousser à venir vers l’Europe.

    http://newobserveronline.com/new-wave-of-300000-invaders-coming/:

  4. Torrent migratoire : Le président tchèque Milos Zeman dénonce une “invasion organisée” et appelle au déploiement de l’armée:

    http://breizatao.com/2015/11/07/torrent-migratoire-le-president-tcheque-denonce-une-invasion-organisee-et-appelle-au-deploiement-de-larmee/

  5. Bonjour à tous.
    Personne ne doute plus que cette invasion soit orchestrée. La divergence se fait quant à la finalité de la chose . Certains y voient une raison économique . Moi j’y vois une raison stratégique .
    Ceux qui ont lu  » la stratégie du choc » de N.Klein , ne manqueront pas de faire le parallèle avec la situation que nous vivons .
    Pour permettre un  » printemps européen » il faut dans un premier temps que les forces en présence soient équilibrées , d’où l’arrivée massive de jeunes hommes en pleine forme .
    Ensuite il faut faire monter dans les populations autochtones une sentiment de frustration et de colère par des injustices flagrantes .( Il n’échappe à personne que le moindre migrant fraichement débarqué est mieux traité que nos SDF et nos pauvres ) .
    Ensuite il ne manque plus que l’étincelle qui mettra le feu aux poudres .
    Cette étincelle pourrait bien être l’élection de Marine Le Pen en 2017. Souvenez vous de ce qui s’est passé pour l’élection du gros tout mou .
    http://www.france24.com/fr/20120509-france-hollande-presidentielle-victoire-gauche-socialiste-drapeaux-etrangers-polemique-communautarisme/
    Imaginez maintenant la réaction de ces masses à l’annonce d’une présidente FN…
    Je sais que les choses n’en sont pas encore là, mais de plus en plus d’indicateurs nous laisse supposer que ce scénario n’est plus aussi invraisemblable qu’il le paraissait auparavant .

    • Pas con : et en cas d’élection de MLP 2 camps se formeront, les blancs contre les autres.
      En cas de guerre civile même les blancs hostiles au FN finiront pour la plupart par rejoindre leurs congénères.
      C’est instinctif et naturel.
      La finalité serait d’en profiter pour écraser les Blancs afin de tuer toute trace de culture autochtone pour laisser la place à l’homme nouveau, apatride et métis.

      Bon là c’est le scénario ultra complosite à tendance parano 😀

  6. Le but secret est sans doute de former une UE musulmane car si vous remarquez il n’y a pas d’arrivées de bouddhistes ou autres personnes de religions hautement spirituelles et pacifistes;sans être de mauvaise foi(!)il faut admettre que l’islam se prête facilement à la dictature:analysez tous les pays sous cette coupe,lequel vit sans dictature du pouvoir et des mâles?(merci de répondre à cette question)
    Donc le but doit être la fabrication d’une méga dictature UE ou les indigènes ,nous,seront en minorité ou noyés dans la masse,réduits à la fermer et au système D,ou une élite de pachas se la pètera d’une façon jamais vue ,pas même par Gros Louis à Versailles(un smicard à comparer)
    Autre chose savez vous que la natalité baisse en France?Les autorités se demandent pourquoi!!!

    • Richard Nikolaus de Coudenhove-Kalergi, y a bien pensé
      Il parle par exemple pour l’Europe de la nécessité d’une « geistigen Führerrasse Europas3 » (p32), soit d’une élite intellectuelle, au sens d’une race des seigneurs; en même que d’une « eurasisch-negroide Zukunftsrasse4 » (p22) soit d’une future race à inventer, une race unique, indifférentiée, métissée et brassé d’eurasien-négroide. Dans sa conception, il défend un projet de séparer une élite éclairée qui se reproduirait par un principe de « Freie Ehe (…) aus den göttlichen Gesetzen erotischer Eugenik5 », cad d’union libre, fruit des lois d’un Eugénisme divin ou c’est la personnalité qui compte, et non plus l’appartenance à un peuple; les autres devant se satisfaire de leur condition de « Mindervertige5 », cad de race inférieure… Il y fait également une critique radicale du sentiment national et recommande « eine Soziale Eugenik6 » et culturel, cad un eugénisme social et culturel indolore et progressif favorisant l’émergence d’une société
      de caste inégalitaire, radicalement à deux vitesses, et un modèle juridique social adapté.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Nikolaus_de_Coudenhove-Kalergi

      • Il a également écrit : Dans « la noblesse de sang et le judaïsme, (…), dans ces deux races hétérogènes réside le noyau de la noblesse européenne du futur : dans la noblesse de sang féodale, si tant est qu’elle ne se laisse pas corrompre par la cour, dans la noblesse cérébrale juive, si tant est qu’elle ne se laisse par corrompre par le capital. »

        « Dès qu’une nouvelle et véritable noblesse se sera constituée, la démocratie disparaîtra d’elle-même. »

  7. Selon les mots du ministre des affaires étrangères Russe, Sergueï Lavrov , l’Union Européenne est en train de se suicider en laissant entrer les hordes d’invasions du moyen orient.
    http(s)://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2015/11/03/le-chaos-des-refugies-en-allemagne-une-strategie-de-sortie-pour-les-traitres/

  8. … »vont contribuer peu à peu à l’effacement des vieux réflexes nationaux au profit d’un homme nouveau, vierge, propice à l’émergence d’une culture européenne multiple et fondée sur la diversité. »
    Stupéfiant de naïveté ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

    Je le vois, bien, cet homme nouveau, en chemise de nuit, avec sa femme voilée qui marche devant lui, près à abattre de sang-froid toute personne dont les critères d’habillement, la longueur de la barbe, ou toute femme qui aura eu l’outrecuidance de mettre un anorak rouge sur son linceul noir (j’ai vu la vidéo !), ceci au nom d’un Dieu dont les paroles ont été transformées et adaptées à la soif de pouvoir de certains.

    Je ne vois pas où sera la culture européenne dans ce melting-pot d’où une caste dirigeante surgira à coups de kalash… (ça s’écrit comment au fait ?), caste venue d’ailleurs, dont la ferme intention n’est pas du tout cachée.

  9. Un texte de Maurice Bardèche qui mérite réflexion.

    La condition de notre salut
    Maurice Bardèche

    Je n’aime pas la politique. Si vous pensez que le fascisme consiste à faire défiler des garçons bottés en chemises brunes ou noires, dites-vous que ce n’est pas ma définition du fascisme. J’ai défendu les fascistes, c’est tout différent : parce que j’ai connu des fascistes et parce que je déteste le mensonge. J’ai protesté contre une falsification des faits et contre une entreprise de dénaturation des âmes et de confiscation des volontés, fondée sur cette falsification. Je reste convaincu que j’avais raison.
    On nous a menti et on continue à nous mentir : parce que ce mensonge est indispensable aux politiciens en place. Mais ce mensonge s’effrite aujourd’hui, il s’effondrera demain. On finira par regarder les expériences fascistes comme des expériences politiques qui ont été obérées et défigurées par les nécessités dramatiques de la guerre, mais qui ont pour caractère essentiel l’exaltation de certaines valeurs morales : le courage, l’énergie, la discipline, la responsabilité, la conscience professionnelle, la solidarité, dont la disparition est le drame des sociétés qui ont suivi. Etre fasciste aujourd’hui, c’est souhaiter que ces mots aient un sens pour les peuples.
    […] Avant de détester le fascisme, il faudrait essayer de le comprendre. Le fascisme est né, historiquement, de la colère des anciens combattants contre les politiciens. Mais il a été, plus profondément, une opposition spontanée contre la démoralisation de la guerre et de l’après-guerre qui accompagna la transformation d’une société rurale stable, économe, patiente, courageuse, attachée à l’honnêteté et au civisme, en une société de salariés ayant pour horizon l’augmentation des salaires, pour guide l’idéologie, pour instrument la politique.
    Les mouvements fascistes sont nés d’une réaction contre cette dénaturation des peuples. Cette réaction eut partout le même point d’appui. Dans leur désarroi, ceux qui refusaient ce monde nouveau de l’après-guerre se sont reportés à une image-type de la grandeur passée de leur peuple, pour l’Italie celle des légions de Rome, pour l’Allemagne celle des Germains d’Arminius qui avaient vaincu l’armée du consul Varus, pour la Roumanie ou la Hongrie celle de leurs paysans combattants, pour l’Espagne l’image de l’honneur castillan : non pas une idéologie, mais un modèle moral, celui qui incarnait le mieux ce qu’ils étaient ou ce qu’ils avaient voulu être dans les tranchées où ils s’étaient battus.
    En détruisant, après la Seconde Guerre Mondiale, cette renaissance de la conscience nationale sous prétexte d’anéantir l’idéologie raciste, on a détruit une solution politique originale qui permettait à la fois de briser les idéologies destructrices de l’unité nationale et les excès du capitalisme sauvage.
    Or, le racisme constitué en idéologie ne fait pas partie de la définition du fascisme ni même de la définition du national-socialisme. Comme les autres idéologies, il part d’une idée juste qui a été outrée et déformée en devenant un système. Ses excès ont été les excès auxquels aboutit toute pensée systématique.
    En réalité, les régimes fascistes n’ont pas été des régimes de contrainte pour les individus. Ils ont généralement respecté les libertés individuelles et n’ont réprimé que le sabotage, le parasitisme et la spéculation. En revanche, ils ont assuré aux peuples la plus précieuse des libertés, celle d’être eux-mêmes et non pas ce qu’on a décidé qu’ils sont : liberté que nous ne connaissons plus.
    […] Les régimes fascistes ont été ou ont essayé d’être des régimes de solidarité et de justice sociale, qui ont été ensuite déformés par les contraintes de la guerre. Tout régime de solidarité et de justice sociale exige un Etat fort : mais un Etat fort n’a pas besoin d’idéologie : il a besoin seulement de bon sens et de générosité.
    Je ne crois pas à l’histoire des régimes fascistes et de la Seconde Guerre Mondiale telle qu’on la présente aujourd’hui. Cette histoire n’est pas encore faite : et ce qui en a été fait, on nous le cache. Le dossier des falsifications est copieux : il porte sur les faits, les documents, les omissions. Je laisse à chacun la tâche d’en dresser ce qu’on aperçoit, dès maintenant, de ce catalogue. Tout homme qui réfléchit devrait prendre conscience de nos illusions : nous broutons comme des bêtes sans raison le mensonge de notre victoire, le mensonge de la Résistance, le mensonge de notre liberté. Ces mensonges ont nourri des idéologies d’autodestruction, l’antiracisme, la lutte des classes. Et cette nourriture frelatée est le secret de notre impuissance.
    Très bientôt, dans vingt ans, dans dix ans peut-être, la race blanche en Europe devra lutter pour sa survie. Cette bataille suprême exigera des régimes forts, des gouvernements de salut public. Elle ne pourra être conduite que dans le dépérissement des idéologies et par le recours aux qualités viriles que je disais. Il ne faut pas se demander aujourd’hui si ces régimes forts sont possibles, il faut savoir qu’ils sont inévitables: sous quelque nom qu’on leur donne.
    Car ils sont la condition de notre salut.

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