Rien de nouveau sur la planète, mensonges, entourloupes, crocs en jambe, mise à l’écart, rien n’arrête Monsanto and Co pour acheter le semblant de conscience des « scientifiques » et de ceux qui nous veulent du…bien!. Tout est à vendre! il suffit d’y mettre le prix! (J. Fouché ).
Pour enterrer définitivement l’étude controversée du professeur Gilles-Eric Séralini tendant à démontrer la nocivité potentielle d’un maïs OGM et de l’herbicide Roundup,ses détracteurs ont trouvé un moyen simple : obtenir de la très sérieuse revue Food and Chemical Toxicology (FCT) qui l’a publiée, qu’elle se rétracte et « retire » l’étude de la liste de ses publications.
C’est à quoi s’emploient de nombreux experts, dans une bataille qui ressemble à une opération savamment orchestrée. Une véritable guerre de relations publiques où tous les coups sont permis.
La revue scientifique a publié en ligne une vingtaine de lettres de détracteurs ainsi qu’une « réponse aux critiques » rédigée par l’équipe Séralini. Débat scientifique légitime, me diriez-vous ?
Pourtant, derrière la cohorte des titres universitaires affichés, se dessine une « biotech-sphère » où s’entremêlent chercheurs en biotechnologie, spécialistes en politique de régulation et représentants de l’industrie.
La tactique de ces partisans de la biotechnologie ? Dénoncer la « mauvaise science » (« junk science ») de ces « chercheurs-militants » systématiquement présentés comme des « activistes liés à la cause écologiste » et « animés d’intérêts personnels ».
(…)
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Un article de Benjamin Sourice, publié par blogs.rue89.com et relayé par SOS-planete
Note de Jacques :
Comme nous le prévoyions dès le début de cette affaire, le Pr Séralini est fusillé par ses pairs, ces derniers préférant la vente de leur âme à la recherche de la vérité.Voir aussi:
ALIMENTATION – Le Mexique, la nouvelle République transgénique ?
A quelques semaines de la légalisation de la culture commerciale de maïs transgénique, Catherine Marielle, chercheuse au Groupe d’Études Environnementales (GEA), nous alerte sur ses conséquences sur l’environnement et l’économie.
« Nous allons franchir un point de non-retour », affirme Catherine Marielle Meyer, coordinatrice du programme de Systèmes Alimentaires Durables au sein du Groupe d’Études Environnementales. Pour la chercheuse, « si les permis de culture commerciale de maïs transgénique sont accordés, les ministères de l’Agriculture et de l’Environnement auront échoué dans leur obligation de protéger la vie au Mexique »…………………
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Un article de Arthur Lorot, publié par lepetitjournal.com et relayé par SOS-planete
Tien, les voilà les fouteurs de merde !
J’adore l’image d’illustration qui résume bien la mentalité pouvant s’apparenter à une cours de récrée, décrédibiliser quelqu’un et ses études en se moquant de lui. Quel meilleur moyen dans n’importe quelle situation, que de jouer la carte du « rigolo » en se moquant de quelqu’un pour qu’il ne soit plus crédible ?
on est au coeur de la MAFFIA MONDIALISTE…sans coeur …
secrète pour qui ?
on voit bien leur jeu … ils sont comme des enfants, ooouuuuuiiiinnnnnnnnnnn !!! panique a bord !!!
quand on voit la qualité des arguments mis en avant pour « défoncer, éclater, laminer, etc » la fameuse étude,
ben on se dit que l’argent amène plus bas que la pire des drogues « j’entends le cannabis, bien sur » …
ayant vu le film de l’étude, plusieurs fois, et en plus l’audition de M Seralini a l’assemblée nationale, qui vaut le détour, je vous conseille ceci
intervention du deputé gersois, qui fait rever
https://www.youtube.com/watch?v=u9vQVN_X_nU
vers 45.00
donc, le résultat est que, comme on le savait depuis le début les ogm, ben c’est de la merde !!!
les ogm, c’est a peu prés aussi pire que la chimie petroliere !!!
sans compter sur ceci :
pour les ogm :
http://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/les-moissons-du-futur-36701
pour la petrochimie :
http://www.dailymotion.com/video/xbbbcv_jack-herer-l-empereur-du-chanvre-1_tech
euh … ca va couper …