Lettre d’un prêtre catholique que le New-York Times ne diffusera pas..
On vit dans un monde où, faire appel à l’émotionnel est monnaie courante. Ça induit des réactions où l’objectivité est absente, où tout le monde est mis dans le même sac nauséabond. En mettant toujours l’accent sur le pire, on occulte souvent le meilleur. Partagez ! Volti ****** Proposé par…