Nucléaire : accord entre L’OMS et L’AIEA…
Du concevable à l’inconcevable…Alors que les news sur Fukushima, sont de moins en moins présentes dans nos médias (on se demande pourquoi!) un article à retenu mon attention, l’AIEA déciderait de ce que l’OMS doit donner comme informations, sur les conséquences des catastrophes comme Tchernobyl ou Fukushima. Alors que l’on nous dit que les taux de radio-éléments, sont revus à la hausse dans nos produits de consommation et que toujours pas de danger à l’horizon…….Que c’est beau la langue de bois…
Un ancien de l’Organisation mondiale de la santé dénonce des liens malsains avec l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Ancien président de l’association Enfants de Tchernobyl-Bélarus, aujourd’hui professeur émérite à l’université de Bâle, Michel Fernex relève, lors de l’accident de Tchernobyl comme actuellement à Fukushima : une « étrange absence » de l’Organisation mondiale de la santé.
Médecin tropicaliste à l’OMS, il mène une carrière paisible nourrie d’idéaux, jusqu’à ce qu’il découvre fortuitement l’accord qui lie son institution à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) : en 1995, il participe à un congrès sur les conséquences de Tchernobyl, Hiroshima et Nagasaki. Les actes ne sont pas publiés. Pourquoi ?
Son enquête commence au sein de l’OMS. Finalement, un ancien directeur général de l’agence de santé lui confiera que c’est l’AIEA qui a bloqué la publication, grâce à l’accord WHA 12-40 qui lie les deux institutions. Un accord inacceptable d’après lui, puisque l’OMS a pour but la santé publique dans le monde, et l’AIEA, le développement du nucléaire civil.
Lire la suite