Conférence – Une société non marchande…

Voilà une conférence très intéressante. Merci à Martraire…

 Les crises financières se succèdent, la répartition des richesses n’a jamais été aussi inégalitaire qu’aujourd’hui, les politiques sont plus que jamais au service de la finance, etc.
Alors que la question d’une réforme du système marchand semble inévitable, pourquoi ne pas envisager de se diriger en douceur vers une société non marchande ?
Intervenant: Valentin Radlo
[youtube width= »525″ height= »344″]https://www.youtube.com/watch?v=aeH5YxC5b8E[/youtube] Mis en ligne par CauseToujours

10 Commentaires

  1. Ce qu’il dit est juste pour certaine chose, on peut rendre des services aux autres sans attendre de retour ou de merci mais entre gens responsable et solidaire il faut qu’il y est quand même un échange sinon on devient vite l’esclave ou le serviteur des autres. Dans tout il faut un échange et peut importe l’échange ou avec qui si cela permet de renvoyer ce qu’on nous a donné.

    Certaine population du monde font des offrandes à la nature ou à leur Dieu, c’est une forme naturelle d’échange ou de remerciement pour tout ce qu’ils reçoivent. Pour ces populations un remerciement ne coûte rien, il permet au contraire de reconnaitre la générosité de la nature ou d’un Dieu. Ainsi le remerciement et l’échange apporte l’abondance, pour ces gens le donner et le recevoir sont les deux faces d’une même énergie, si on n’apporte rien en échange, on coupe cette énergie d’abondance.

    j’ai rencontré un jour un gars qui venait de Mayotte, il me disait que là-bas l’entraide entre les villageois était vitale. Effectivement quand vous habitez dans un endroit où la misère est présente, l’entraide permet la survie de tous. Vous pouvez emprunter de la farine, du blé, du sucre, de l’huile… à votre voisin et vous le lui rendez lorsqu’à son tour il manque de quelque chose. On peut dire que dans beaucoup de pays pauvres c’est monnaie courante d’utiliser l’entraide pour survivre.

    Ma mère me disait qu’autrefois quand c’était la période de ramasser les foins dans les campagnes, tous les voisins s’entraidaient, ainsi lorsqu’ils avaient tous fini de ramasser le foin dans un champ, ils passaient au champ du voisin et ainsi de suite. Pour elle c’était le moment de l’année le plus joyeux car ce rassemblement donnait lieu à des soirées festives où tout le monde pouvez manger à profusion contrairement au reste de l’année où la nourriture venait parfois à manquer.

    Aujourd’hui dans les pays dit civilisés, c’est du chacun pour soi, les machines ont pour beaucoup remplacé la main d’œuvre et l’entraide. Notre pensé est devenu froide, nous avons perdu pour beaucoup la notion de coopération, de partage et d’entraide. Ces valeurs ont laissé place au chacun pour soi, à l’indifférence, au profit personnel. C’est pour cela qu’aujourd’hui nos sociétés dites développés, se meurent.

    • Je suis entièrement d’accord avec toi le Veilleur, les gens ici sont égoïstes et n’échangent plus, ils profitent des autres plutôt.
      Je sais c’est dur à dire mais j’en ai fait les frais plus d’une fois, j’ai bossé dur pour aider une personne, et un jour j’ai dit que je ne pouvais continuer parce que j’avais moi aussi des choses importantes à faire, et tout ce que j’ai reçu comme remerciements ce sont des insultes, alors que le travail était fait, mais que la personne voulait encore changer tout ce qui avait été fait
      Le monde occidental n’est pas encore prêt pour ce genre de vie, et le reste du monde qui a tendance à nous copier feraient bien mieux de ne pas changer leur façon de vivre, ils vont vraiment en avoir besoin

      • C’est arrivé à une connaissance, elle prêtait souvent sa voiture à un couple qui n’en avait pas et le jour où elle as dit stop ils lui ont massacré la voiture à coup de batte de baseball. Bon cette situation n’est pas générale heureusement, il y a des gens qui comprennent et respectent mais si vous avez le malheur d’aider les mauvaise personnes qui ne supportent pas qu’on leur rappelle les limites de la générosité alors vous êtes pas dans la m***e et certaines situations peuvent vraiment dégénérer, d’où l’importance de bien choisir son entourage.

        • et ben…heureusement que ce n’était que mon temps que j’offrais
          Oui il y a des gens biens, mais des fois, on ne sait pourquoi, ils disjonctent

          • Il y a des gens qui ne sont pas détachés, il peuvent paraître bien mais ils sont pourtant animés d’un intérêt caché qui se révèle lorsqu’ils n’ont pas obtenu ce qu’ils convoitaient, ils entrent alors dans une colère noire qui révèle la face caché de leur intentions.

            Avec le temps et les expériences de la vie on finit par vite repérer les gens intéressés qu’il est préférable de fuir. Vivre une relation symbiotique demande le détachement et un amour sincère et cela se voit dans les actes.

  2. Nous ne sommes pas prêts ça évidemment, mais après un choc systémique mondiale, il est peut être bon de garder tout ça dans un coin de l’esprit!

  3. ça n’existe que chez les bisounours
    rendre service ça donne mal au dos et ça rapporte rien quand quelqu’un me demande si je peux l’aider je lui répond même pas en rêve
    le loup n’aidera jamais l’agneau.
    dans la bible ça dit aide toi et le ciel t’aidera en clair aidez-vous vous même
    c’est pour ça que quand on vote on placent des gens pour prendre les bonnes décision a notre place on se fait avoir. Ne jamais rien attendre de bon des autres
    ayez toujours un œil sur l’autre, méfiez vous l’autre c’est l’ennemie.
    bon il arrive parfois que je donne quelque oranges ou des mangues a un inconnu qui passe parce qu’ il y en a plein ça tombe ça pourri et le geste ne coute rien par contre les bananes les ananas je ne garde pour moi c’est trop bon j’aime trop ça.

  4. pur gauchisme, aucun intérêt.
    Aucun de ses arguments ne tient debout.
    Il oublie que tout le monde est pas zentil sur cette planète, donc on a besoin de se défendre, et d’armes, et de guerriers. Si c’est pas l’argent qui crée les inégalités, c’est … les inégalités: ceux qui sont plus beau, forts, intelligents, courageux. Peu importe le système.
    Son système non marchand, ca existe, c’est la famille.
    C’est lié à la confiance. Confiance limitée par le nombre de Dunbar, à 150. Il peut aller vivre son utopie dans un kiboutz si ça lui chante.
    Je donne juste quelques pistes, inutile de s’étendre, tout est à jetter dans cette conférence, même si, en apparence, elle a tout du raisonnable et de l’utopie de l’homme pacifiée (l’homme sans couille, domestiqué en somme).
    C’est le refus du conflit, de la violence inhérente à la vie. C’est une réflexion d’enfant qui veut pas grandir pour assumer la responsabilité de la difficulté de la vie.

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