Matteo Renzi, ex-banquier de la finance américaine, souhaite voir aboutir un accord de libre-échange entre l’Union Européenne et le Japon, et cela, quels que soient les risquent puisque le seul but reste le profit des multinationales, avec le risque de voir débarquer dans les rayons de nos magasins des produits radioactifs. En effet, l’UE a relevé les taux admissibles de radioactivité des aliments provenant du Japon début 2014, sachant que ce n’était pas la première fois que ces taux étaient relevés, en 2011 déjà, cela avait été fait suite à l’accident de Fukushima.
Est-ce pour cet accord de libre-échange que les taux ont été relevés? Sinon, qu’arriverait-il à l’économie japonaise déjà dans un état effroyable (près de 250% d’endettement) ? Si jamais le Japon cessait d’exporter, cela risquerait d’être cataclysmique, un tel pays en défaut malgré les nombreuses planches à billets, et quel effet sur l’économie mondiale?
Surtout que la commission européenne compte retoucher aux taux admissibles de contamination des aliments comme l’explique ce document de la Criirad:
Dans le cadre du projet de refonte du règlement Européen sur les normes maximales admissibles de contamination radioactive dans les aliments (NMA) en cas de catastrophe nucléaire, la CRIIRAD a conçu trois amendements qui ont été débattus le 9 Juillet au matin par les Eurodéputés, ceux-ci ayant ensuite procédé à leur vote.La mobilisation a porté ses premiers fruits, puisque notre proposition relative aux aliments de « moindre importance » a été adopté. Nous vous remercions chaleureusement pour votre soutien qui a fortement contribué à ce résultat !Mais les deux autres votes sont décevants car les amendements concernant la réduction par 10 du niveau de contamination dans les aliments et par 100 dans l’eau de consommation ont été rejetés.Certains députés, comme madame Griesbeck du groupe ALDE, nous ont expliqué les raisons de leur vote et nous avons répondu à leurs arguments (voir notre site, ou le lien http://www.criirad.org/aliments-nma-accidentnucleaire/2015-07-24_reponse-a-griesbecb.pdf ). Nous espérons que d’autres auront la même démarche.Le vote du Parlement Européen ne constituait qu’une étape. Le Conseil de l’Union est maintenant susceptible de tout remettre en cause, en tenant compte ou pas des résultats du vote du 9 juillet.Il est par conséquent primordial non seulement de poursuivre ensemble la mobilisation, car nous en avons vu l’efficacité, mais de l’étendre et la faire connaître dans tous les pays européens !Vous pouvez nous aider de plusieurs manières :· Si vous souhaitez distribuer la pétition plus largement sur des salons ou dans tout autre lieu, nous pouvons vous adresser une version imprimable de la pétition.· Plusieurs d’entre vous ont déjà proposé de collaborer au travail de traduction. Certains textes existent maintenant en Allemand, Anglais, Catalan, Espagnol, Portugais et sont en ligne. Des propositions de traduction en Danois, Suédois, Néerlandais et Polonais et en Esperanto nous sont parvenues. Mais il nous manque toujours une solution pour les autres langues : Finnois, Grec, Hongrois, Norvégien, Roumain, Slovaque, Tchèque etc… Nous réitérons donc notre appel à compétence pour toutes ces langues.· Nous avons besoin d’identifier les associations de tous les pays Européens qui militent dans le domaine de l’alimentation, de l’environnement et de la santé. Merci de nous mettre en relation si vous disposez de tels contact, ou de leur faire passer l’information et en leur demandant de la relayer.
Selon le premier ministre italien, un accord de libre-échange entre le Japon et l’UE pourrait tout à fait voir le jour d’ici la fin de l’année. Un article d’EurActiv Italie.
Matteo Renzi, le Premier ministre italien, s’est rendu à Tokyo pour rencontrer son homologue japonais, Shinzo Abe. Il a assuré ce dernier que l’Italie ferait tout son possible pour que l’UE valide rapidement l’accord de libre-échange entre avec le Japon.
Sommet UE – Japon
À la fin du sommet bilatéral UE – Japon du mois de mai, Donald Tusk, le président du Conseil, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, et Shinzo Abe ont assuré dans une déclaration commune que Tokyo et Bruxelles œuvraient à la résolution de « questions d’une importance vitale pour les citoyens et pour le monde » sur la base de « valeurs et de principes communs ».
La rencontre des représentants des deux entités a permis « des avancées dans les négociations » sur un accord de libre-échange et sur un accord de collaboration stratégique sur la sécurité et la défense. Ces accords ont le potentiel d’« amener les relations entre l’UE et le Japon à un nouveau niveau stratégique » et « amélioreront la coopération bilatérale et la prospérité commune ».
L’accord de libre-échange permettra de renforcer les rapports commerciaux des deux puissances et de « paver la route de l’avenir ». Tokyo et Bruxelles ont toutes deux exprimé leur volonté de conclure cet accord le plus rapidement possible. Donald Tusk a notamment souligné deux « objectifs ambitieux » : l’élimination des droits de douane et des barrières non tarifaires, et l’ouverture des services, de l’investissement et des appels d’offres publics.
Le président du Conseil a également souligné que l’accord doit arriver rapidement et contenir des mesures importantes. Il n’a pas hésité à dénoncer des progrès jusqu’ici trop timorés.
L’Italie veut voir cet accord aboutir rapidement
Le 3 août, à Tokyo, Matteo Renzi a déclaré que l’Italie ferait tout son possible pour que l’accord soit approuvé sans délai. « Nous faisons partie du G7 et du G20 et nous partageons souvent la même opinion sur les dossiers principaux [qui nous touchent] », assure le Premier ministre italien. « Je pense qu’il est important que nous continuions sur cette voie ».
Il estime important que l’UE donne rapidement son feu vert à l’accord de libre-échange et « tous les accords qui doivent être approuvés par l’Europe ».
Shinzo Abe, le Premier ministre japonais a assuré son homologue italien qu’il était également décidé à faire passer l’accord d’ici la fin de l’année « tant pour le partenariat stratégique que pour l’accord de libre-échange », parce qu’il s’agit d’une « opération gagnant-gagnant », aussi bénéfique pour le Japon que pour l’Europe.
Commerce UE – Japon
Si en 2004 le Japon faisait partie des cinq principaux partenaires commerciaux de l’UE, il a à présent reculé à la septième place.
Selon les derniers chiffres d’Eurostat, la valeur des importations dans l’UE de biens japonais s’est accrue après la crise financière, jusqu’en 2011, année à laquelle elle s’est mise à décliner. En 2014, les importations japonaises dans l’UE ne valaient plus que 54,6 milliards d’euros, le chiffre le plus bas depuis dix ans. Les importations japonaises ont aussi diminué de 4 % l’année dernière.
Article en intégralité sur Euractiv
Et pour en terminer avec le nucléaire, n’oubliez pas la revue de presse spécialisée dans le domaine de Pectines.
C’est bon, là ils veulent tous nous tuer. D’abord les Japonais devraient exiger des dédommagements et intérêts pour la catastrophe de Fukushima et arrêter eux aussi de consommer et d’exporter les produits contaminer par la radioactivité, il faut être lucide, ils ne peuvent pas continuer à exporter la mort dans le monde, sinon attention au retour du bâton.
L’Europe va devenir une nation expérimentale au nom du profit, j’espère qu’on ne laissera pas faire ça, consommons local ou munissons nous tous d’un détecteur de radioactivité vite !
J’ai un radex depuis plus de dix ans, j’en suis très satisfait .
http://www.criirad.org/laboratoire/radiametres/compteur-geiger.html
finalement, des trucs radioactifs dans les rayons, c’est assez logique, non ?
Sérieux, ils ont peur à ce point de la révolte « des sans dents » pour vouloir en finir aussi vite avec leurs gueules !
Les Ritals sont assez cas-couilles en ce moment ; …qu’est-ce qui leur prend à réclamer la même chose que Hollandouille : http://fr.sputniknews.com/international/20150805/1017383494.html
…ont-ils besoin à ce point de sauver leur navire troué, …seraient-ils au bord de la faillite , …non pas possible ! …en tout cas ça chlingue grave la panique à bord là !
Quand l’accord sera signé nous serons enfin à bord. Tous dans la même alliance celle qui permettra d’accioner le NOM sans aucune barrière.
Pour la suite,l’effacement de la dette sera possible par l’introduction d’une nouvelle monnaie dans l’espace UOA union occident asie. On se croira â l’abri d’une guerre.
Le bloc BRIC se verra acculé et poussé à la faute et je vois bien les japonais se faire de nouveau atomisé par les chinois et là la guerre mondiale sera déclarée.
L’accord est phase de finalisation, il y a encore un petit grain de sable les Japonais ne sont pas prêts a signé………..