Comment devenir indépendant par rapport au réseau de distribution d’eau et par rapport aux égouts
Le but de l’EAUTARCIE
Le système EAUTARCIE constitue un ensemble de techniques complémentaires pour la gestion durable de l’eau dans le monde. En examinant les propositions formulées sur ce site, le lecteur découvrira que la voie vers la maîtrise des changements climatiques passe par la gestion conjointe de l’eau et de la biomasse. L’élimination des problèmes d’eau dans le monde n’est, dans les faits, que le «sous-produit», la conséquence de cette démarche. La mise en place d’un tel programme mondial relève de la compétence des décideurs économiques et politiques. L’individu n’y a que peu de prise.
Notre but premier est de donner l’information à ceux qui ont le pouvoir de décider de l’avenir de cette belle planète bleue. Après les scénarios catastrophes dont le public est gavé par les médias, EAUTARCIE est un message d’espoir. Il est navrant de voir qu’en dehors de l’inventaire de la dégradation, aucune solution n’est esquissée pour sortir de l’impasse. Nous disons haut et fort: l’humanité peut sortir de cette voie qui mène vers la destruction de notre cadre de vie. La nouvelle voie est tracée, mais il est temps de prendre les bonnes décisions à l’échelle mondiale, mais aussi à l’échelle individuelle.
La partie pratique du site EAUTARCIE s’adresse aux individus pour les aider à prendre les bonnes décisions. Ce qui est merveilleux sur le chemin vers un monde durable, est que les solutions proposées ne remettent pas en question notre confort moderne, elles sont plus simples, plus fiables et coûtent moins cher que les techniques actuellement imposées. Elles garantissent aussi une meilleure gestion de notre santé. Elles ont cependant un «défaut grave»: elles remettent en question la gestion centralisée, bien de monopoles et génèrent moins de bénéfices à l’industrie qui élimine la pollution. Cependant, sans s’engager sur la voie proposée ici, pour certains, la tentation est grande d’utiliser l’eau comme moyen de chantage dans le but d’augmenter leur pouvoir. On note d’ailleurs que l’obstacle majeur devant l’extension des techniques basées sur la prévention des problèmes à la source, est la législation actuelle qui privilégie les techniques de réparation et de destruction. La plupart des techniques proposées sur le site EAUTARCIE sont actuellement marginalisées voire interdites.
Il est urgent de stopper l’usage des techniques de destruction massive de la biomasse comme l’épuration des eaux urbaines, la valorisation énergétique de la biomasse (pellets de bois, biométhane, biocarburants, etc.) et la production agricole basée sur les spéculations financières.
Les techniques proposées ici, comme la valorisation intégrale de l’eau de pluie (système PLUVALOR), peuvent se placer dans n’importe quelle habitation, tandis que d’autres, relatives au traitement des eaux usées (système TRAISELECT), se placeront près des habitations disposant d’un jardin d’au moins 100 m². Cependant, les concepts de base de l’EAUTARCIE sont transposables mêmes aux centres urbains. Dans un avenir, qu’on espère de proche, on construira des quartiers urbains équipés de ce système. On montre aisément que ces nouveaux quartiers, intégrant la gestion durable de l’eau, cesseront de polluer les eaux et auront une pression réduite sur nos réserves hydriques. Jusqu’à présent, les tentatives faites par des particuliers ou des groupements d’individus en ce sens ont essuyé le refus catégorique des autorités compétentes. Même pour des réalisations modestes et à titre expérimental.
Les techniques présentées sont le résultat de plus de 20 années de recherches scientifiques universitaires, testées sur le terrain aussi bien en Afrique qu’en Europe. Le présent site a pour objectif d’informer, sans la moindre prétention commerciale. /
LE SITE A EXPLORER :
http://www.eautarcie.org/index-fr.html
Source: Ticheval et Lesbrindherbes
Si « L’Eautarcie » se démocratise de trop, les pouvoirs publics la feront payer très chère!
C’est déjà le cas pour tous ceux qui refusent le raccordement des eaux usées aux réseaux collectifs.
..A travers les obligations PAYANTES de contrôle à la mise en place, d’entretien réglementaire du système d’épuration et le contrôle PAYANT et régulier par un agent privé mandaté par les pouvoirs publics.
..Et certains « dépités français » parlent déjà de taxer les toitures !!!
http://www.laterre.fr/article.php3?id_article=750
+1
« La mise en place d’un tel programme mondial relève de la compétence des décideurs économiques et politiques. L’individu n’y a que peu de prise. »
NON MAIS !!!
J’hallucine de lire une telle sonnerie !!!
Si nous voulons nous en sortir, c’est exactement l’inverse.
Depuis quand les « décideurs économiques et mondiaux » se préoccupent-ils de l’eau, hormis pour la privatiser, et la revendre de plus en plus chère ?
Si nous devons les attendre, nous avons le temps de crever de soif.
Virons les d’abords, et collectivisons, ou nationalisons les ressources en eau.
Autrement, à chacun (encore une fois) de se responsabiliser.
Tant pour la gestion de sa consommation d’eau, qu’en tant que citoyen.
Bof ,la flotte en bouteilles c’est mieux
petit bonsoir FENRIR
Fenrir : N’as-tu pas lu les travaux de Joseph Országh ?
C’est l’eautarcie. 🙂