Il y a un décalage flagrant entre la vieille Europe et les Etats-Unis, c’est qu’ici, la moindre blague, déclaration ou allusion pouvant passer pour étant raciste est non seulement dénoncée, mais cela peut être monté en épingle, médiatisé, et même finir devant un tribunal. La chasse aux inégalités fait figure de chasse aux sorcières, et pourtant, dès qu’il s’agit des Etats-Unis, il n’y a étrangement plus aucune critique, ou si peu… Les accusations de racisme structurel ne sont peut-être pas un mythe finalement, surtout en voyant ce fil Twitter sur lequel des « blancs » se vantent de crimes et délits pour lesquels ils n’ont pas été condamnés.
Il ne faut pas oublier ce que certains américains ont tendance à ne pas admettre, c’est que cette nation n’aurait jamais été ce qu’elle est sans les millions d’esclaves, en 1860, 4 millions d’esclaves noirs ont été recensés aux USA, et combien de morts? Combien de souffrance? Sans parler du génocide des amérindiens, sans parler des chicanos, des portoricains, et du reste…
Aux Etats-Unis, après le scandale national de Ferguson et la relaxe du policier blanc responsable de la mort d’Eric Garner, un Noir désarmé, des Américains Blancs s’emparent de Twitter pour dénoncer la justice à deux vitesses du pays.
Avec le hashtag (mot-clé) #CrimingWhileWhite (littéralement « commettre un crime en étant Blanc »), ils confessent des crimes ou des délits pour lesquels ils n’ont pas été punis ou alors légèrement.
Entre autres exemples relevés par le Nouvel Obs:
« A 13 ans, j’ai volé une voiture avec mes potes et on l’a conduite deux semaines avant de se faire choper. Un seul d’entre nous a été poursuivi : il était noir. »
« Arrêté pour conduite en état d’ivresse. Le flic me dépose au distributeur automatique, pour que je tire l’argent de ma caution. »
« Vol à l’étalage à 14 ans. Les flics me laissent partir parce que mes parents sont arrivés et qu’on “a l’air d’une gentille petite famille”. »
« Ai soufflé la fumée de mon joint au visage d’un flic en ouvrant ma porte, et lui a dit qu’il pouvait pas entrer sans un mandat. Il est parti. »
« Ai provoqué un accident grave et suis allé au tribunal sans ma carte d’assuré. Ai juré au juge que j’avais une assurance. Amende annulée. »
« Alors que je rentrais en voiture, après avoir acheté de la drogue, un flic me fait signe de m’arrêter et me dit que “j’étais dans un quartier chaud et que je ne devrais pas m’y aventurer seule”. »
« Shopping avec un pote noir à New York. Des vendeurs l’ont suivi tout le temps. Précision : il gagne cinq fois plus d’argent que moi. »
« La seule fois de ma vie où j’ai été arrêté et fouillé par un flic, c’était quand j’étais avec un ami noir. »
« Bataille de rue, six contre six. Les flics arrivent. On part tous en courant. Les flics poursuivent SEULEMENT mes potes noirs. »
Etc…..
Alors, devons-nous réellement continuer à écouter ces grands moralisateurs ou au contraire, devons-nous dénoncer ceux-ci. Et quelle leçon tirer de tout cela au final?
C’est à se demander ce qu’attendent tous les noirs américains pour quitter ce pays génocideur d’indiens et esclavagiste et réintégrer le continent de leurs aïeux.
A moins bien sûr qu’ils ne finissent par se réveiller de leur léthargie mac doïsée et prennent enfin les armes contre les dégénérés blancs !
De toutes les manières, tout ceci finira très mal !
Parce qu’ils sont nés aux Etats-Unis et y ont grandi. Ils sont américains, pas africains. Ils ont plus de points communs avec le raciste du coin qu’avec le blédard africain.
Chez nous c est le contraire.
J étais à l’école, a chaque fois qu’il y avait un élève noir, la maitresse nous prévenais qu’il fallait être très gentil, tolérant, et tout faire pour que cet élève s’ intègre. Du coup la tête de turc n’ a jamais été noir.
En france, à la télé, à chaque fois qu on voit un noir avec une femme, il est avec une blanche.
a coté de chez moi, il y a un centre de réfugié.
Je me suis toujours demander pour quel raison, il y a t-il que des hommes dans ce centre. Jamais vu une femme.