Voici, chose promise, chose due. Cet article pourrait constitué mon ultime, un legs en quelque sorte. C’est à prendre comme il est, tel que, vous y adhérez, c’est bon, vous n’y adhérez pas, pour moi c’est aussi bon. Aussi demanderais-je une suspension des commentaires, à Benji ou Voltigeur, aux fins de protéger l’intégrité de cette démarche et de ce texte qui, est la transcription directe d’un pan de la mémoire du Peuple Hopi. Je tiens à préciser que plusieurs versions de ces écrits existent sur la toile, mais elles se retrouvent très souvent, déformées ou incomplètes. Non seulement cela, il faut tenir compte que la perpétuation de cette mémoire c’est faite jusqu’à nos jours, de manière exclusivement « orale » de génération en génération et selon un processus bien établi depuis plusieurs siècles, empêchant oublis ou déformations des récits. Tout n’y est pas, vous vous en douterez, certains passages ne peuvent quitter les sphères claniques même du Peuple Hopi, faisant partie de leur patrimoine personnel et préservé, aussi se retrouvent-ils expliqués à demi-mots. Je remercie très respectueusement chefs et membres de la communauté ayant permis cette élaboration. Ce mépris et désintéressement vient d’abord de jeunes, membres de ce peuple, mais aussi d’autres communautés, d’autres ethnies, du monde entier.
L’histoire, cet éternel recommencement
Il y a longtemps, bien plus avant que tout ce qui nous est enseigné, il y avait un monde. Il débuta comme le nôtre, dans la plénitude l’abondance la joie et la luxure. Ce monde se développa, inventa moult objets pour sa vie, mais il arriva qu’ils devinrent le sujet de convoitises, de jalousies, même d’idolâtries et de perversions. Certains, étaient animés par le feu de la création et, permettaient de se mouvoir parmi les poissons et les oiseaux, et même d’approcher de plus en plus près, de la demeure du Grand-Créateur Taiowa.
Un jour les limites furent franchies, Taiowa fut dérangé jusque dans son sommeil. Encore ensommeillé, il chassa les intrus comme on le ferait avec un moustique, d’un revers de la main. Mais son geste heurta des astres et des étoiles, et l’univers s’en trouva aussitôt chamboulé. Quelques planètes se sont collisionnées et disparurent et leurs débris donnèrent ainsi naissance aux astéroïdes et aux anneaux de certaines autres planètes.
Par ailleurs c’est ainsi que la Lune et la Terre, trop proches d’une d’elles, connurent une chute massive de ces objets, à leur surface, mais ce fut de courte durée. Ces débris firent disparaître toutes traces du monde qu’il y vivait alors. Dérangée dans son axe, elle vit le soleil se lever à l’opposé et que les saisons changèrent de leurs périodes habituelles, et comme c’était l’époque de l’hiver, celui-ci dura donc deux fois plus longtemps.
Seul subsistait de ce monde, un des intrus, maintenant prisonnier de Taiowa et pour le punir, et l’empêcher de divulguer la demeure du Grand-Esprit, il dut rester à ces côtés, son nom était Sotuknang.
Le Premier Monde.
Alors que Sotuknang était seul, Taiowa lui donna pour compagne, Kokyang-Whuti, la Femme-Araignée, l’Esprit féminin. A eux deux ils façonnèrent la Terre cette masse chaude, bouillonnante et fumante et l’eau lui permit de se rafraichir.
Las que personne ne puisse contempler ces merveilleux décors, ils créèrent alors deux jumeaux leur permettant ainsi de contribuer à la Création de l’homme. Pour cela il leur fallu un chant, celui de la Création, chaque homme qui serait ainsi créé, se devait de le garder en lui sous peine de se voir perdre la voie.
Quatre couleurs de terre furent alors choisies par Mère Araignée, le jaune, le rouge, le blanc et le noir. Elle la mélangea à sa salive et couvrir les quatre pâtons de sa cape de sagesse. A son retrait les quatre hommes à l’image de Sotuknang, étaient ainsi créés. Elle recommença et les fit cette fois à son image, les partenaires femelles des premiers hommes.
Ils devaient toujours se souvenir et commémorer chacune des phases de leur création, la première « l’aube de la création » le prélude à son, « mystère », s’en suit « le souffle de la vie », puis se fut « la fierté d’être face au Créateur » alors qu’ils étaient face au soleil, « la chaleur de l’amour ». Chaque phase avait une lumière, la première était violet-sombre, puis le jaune, et enfin le rouge retenez à jamais ces phases et ces trois lumières et commémorez-les.
Le chant de la Création :
La lumière violet-sombre s’élève au Nord.
Une lumière jaune surgit à l’Est.
Et alors nous, les fleurs de cette terre, arrivons
Pour recevoir une longue vie de joie.
Le nom que nous nous donnons est Vierges-Papillons.
Mâle et femelle, tous deux adressent leurs prières vers l’Est,
Saluons respectueusement le Soleil notre Créateur.
Le tintement retentit dans l’air,
Diffusant sur la terre un son joyeux,
Et partout résonne son écho de joie.
Humblement je demande à mon Père,
Le parfait, Taiowa, Notre Père,
Le Créateur de la vie magnifique
Révélé à nous par la lumière jaune,
De nous donner la parfaite lumière au moment de la lumière rouge.
Le Parfait a tracé le plan parfait
Et nous a donné longue vie,
Créant le chant pour rendre la vie joyeuse.
Sur ce sentier de bonheur, nous, Vierges-Papillons,
Faisons selon son désir en accueillant notre Père Soleil.
Au tout début, nous avons été créés dans un monde, où tous étions égaux, sous forme d’une unité et dont la spiritualité était nôtre, pour une longue vie. Heureux et en paix entre tous, l’abondance venait de Terre-Mère, sur laquelle nous avions été placés. Nul besoin de planter ou de labourer, la maladie et la peine tout cela nous était inconnu et notre nombre augmenta.
A notre création le Grand-Esprit nous a donné des instructions et des règles de vie à respecter, il lui fut donc promis de les suivre. Néanmoins, il mit en garde que des tentations pourraient nous écarter du droit chemin et ainsi nous faire perdre cette vie harmonieuse.
Bien évidemment, la facilité et l’oisiveté nous ont amené à progressivement enfreindre les ordres, à faire ce que nous ne devions pas faire. C’est alors, pour nous punir, qu’il nous laissa nous débrouiller seul pour tout, vous connaîtrez la maladie, une durée de vie plus courte et la peine. C’est alors que nous avons appris ce qu’était le bien et le mal, le côté gauche était le bien car le cœur y habite, mais restera à jamais, maladroit et sage à la fois. Quant au côté droit, il sera désormais considéré comme mauvais, intelligent et fort mais manquant de sagesse. Ce sera depuis lors que débuta le perpétuel combat, du bien et du mal, et ce sera à nous, de par nos actions, de déterminer lequel sera le plus fort.
En ces temps reculés, déjà le mal montra qu’il était le plus fort, et il envahit la Terre, faisant oublier au plus grand nombre, les instructions, les lois et enseignements du Grand-Esprit. Le matérialisme s’installa, et entraina le développement de très nombreuses choses permettant le profit personnel, tout en effaçant progressivement le partage. Une division survint dans le monde, car un petit nombre de personnes désirait encore rester simple et suivre les directives originales.
L’inventivité et l’intelligence du plus grand nombre, mais manquant totalement de sagesse, mena le monde entier vers une destruction certaine. L’immoralité, la corruption, prospérèrent à cause d’une trop grande liberté sociale et sexuelle. Au point que les femmes et les descendances des leaders, même religieux, en furent atteintes, oubliant ainsi leurs obligations. La vie devenait de plus en plus incontrôlable.
C’est alors qu’un petit groupe entreprit de chercher une solution à ce mauvais état d’esprit et cette vie dissolue. Veillées après veillées, un petit groupe de personnes désireuses de trouver un remède à cette vie allant à l’encontre des lois et enseignements, parvint à une solution. C’est alors qu’il fut décidé que tous ceux qui voulaient respecter et suivre une vie saine et sereine telles décrétées par le Grand-Esprit, partent à la recherche d’un autre endroit. Persécutés de par leur foi inébranlable, Sotuknang leur fit abandonner leur possessions et se réfugier dans une fourmilière « le Monde Souterrain ». Une fois à l’abri, ce premier monde fut détruit par le feu du ciel et de la Terre.
L’émergence dans le deuxième monde
Après une longue période, Taiowa eu la force de recréer un nouveau monde. Moins beau que le Premier. C’est alors que les hommes émergèrent dans le second monde, nommé Topka (Nuit-Noire). Son orientation était au sud, sa couleur était le bleu et le minéral, l’argent. Quant à ses éléments principaux, ils étaient le sapin « Salavi », l’aigle « Kwahu », et enfin la moufette « Kolichiyaw ». Cette grande terre immense fut rapidement et complètement peuplée. La proximité spirituelle était partout, que les hommes pouvaient se voir par l’emploi d’un centre vibratoire situé au sommet de la tête, une « porte ouverte » vers Sotuknang et entonnaient joyeusement des chants envers le Grand-Créateur, Taiowa.
Seulement voilà depuis la création de ce nouveau monde était dépourvu d’animaux sauvages vivant en troupeaux, l’homme n’avait donc que de lui-même à s’occuper, maisons, chemins, entasser ses récoltes et biens d’autres choses pour son confort et bien-être personnel. C’est alors que naquit d’abord les échanges puis le commerce. Et peu à peu à cause de cela les disputes firent leur apparition, des disputes naquirent alors des querelles, puis des guerres, faisant oublier les prières, le plus souvent remplacées par celles vouées aux objets. A nouveau un petit nombre de fidèles se réfugia chez les fourmis et les deux jumeaux qui contrôlaient les deux pôles, les quittèrent et l’axe de la Terre tournoya de manière tellement désordonnée qu’elle devint un bloc de glace. Ce fut donc le fin du deuxième monde.
L’émergence dans le troisième monde
A nouveau, après une longue période, cette fois de glaciation, c’est Sotuknang qui s’employa à créer ce monde et il appela les derniers hommes à gravir l’échelle de la Kiva de la fourmilière pour émerger dans ce troisième monde. Ce monde s’appela « Kuskurzu » de direction Est, sa couleur le rouge. Ses éléments principaux étaient, le cuivre « Palâsiva », la plante, le tabac « Piva », l’oiseau, le corbeau « Angwusi » , et l’animal, l’antilope « Choôvio ».
Les hommes se multiplièrent et se dispersèrent très rapidement. Tellement rapidement qu’ils durent créer de très grandes villes, des pays, et se sont bâtis enfin une civilisation. Mais tout cela rendait à nouveau, la conformité aux lois du Créateur, beaucoup trop complexe et entraina les hommes, plus dans des préoccupations matérielles et terrestres, que religieuses. Quelques-uns gardèrent la sagesse tout en comprenant que leur développement entrainait des difficultés. Sous la direction du Clan de L’Arc, les hommes firent usage de leur créativité de façon destructive, on construit un bouclier de cuir, qu’ils arrivèrent à faire voler. Ils l’utilisèrent pour attaquer une autre ville et revinrent si vite que nul ne savait quels étaient les assaillants. Une fois encore, la guerre et la corruptions régna en maître au détriment des lois de la création.
Sotuknang alla voir Mère-Araignée et lui demanda de préservé les hommes qui ont la foi dans le cœur, afin qu’ils ne soient pas corrompus, anéantis par toutes ces guerres et violences, car il leur serait impossible d’atteindre les terres choisies pour eux. Ainsi il lui demanda de les sauver le temps que ce monde soit détruit par l’eau, mais comment le pourrais-je s’enquit Mère-Araignée ? Coupe des tiges de plantes creuses et met-les y dedans, ce qu’elle fit. Une fois terminé, Sotuknang lâcha les eaux de toutes parts, des océans et du ciel, les flots plus hauts que les montagnes, submergèrent la surface. Seuls les hommes dans les plantes creuses subsistèrent et ce ne fut que lorsqu’ils abordèrent que Sotuknang fit retirer les eaux, et une fois tous les hommes ayant mis pieds à terre, il leur dit.
Le Quatrième monde.
Voici le quatrième monde, son nom est « Tùwaqachi » le « monde achevé ». Vous découvrirez pourquoi, par vous-même. Il n’est pas aussi beau et facile que les précédents, il est fait de hauteurs et creux immenses, de chaleur et de froid, de beautés et de désolations, tout y est, pour vos choix et ce sont eux qui détermineront si vous serez capables de faire évoluer le Projet du Créateur ou, si ce monde lui aussi devra être détruit en son temps. Divisez-vous par groupes, et chacun d’eux ira par des chemins différents suivant son étoile et proclamera que cette Terre est celle du Créateur, vos divinités vous y aiderons. Chaque groupe s’établira là où son étoile s’arrêtera. Il est temps pour moi de vous quitter et disparut.
Les hommes quittèrent les rivages, et perçurent un bruit sourd, allant vers lui ils trouvèrent un homme et lui demandèrent si c’était lui à l’origine des bruits ? Oui, leur répondit-il, c’était pour vous aider à retrouver votre route! Et qui es-tu ? Vous ne me reconnaissez pas ? Je suis Maasau’u, le gardien et protecteur de cette terre et les hommes se rappelèrent alors de lui. Ils lui demandèrent la permission de pouvoir s’établir sur cette terre, et après quelques jours de réflexion, il finit par accepter. Les hommes une fois établis, lui demandèrent s’il pouvait devenir leur guide, il refusa catégoriquement en répondant « non » et que, celui qui est plus puissant que lui, leur avait donné en premier lieu, une tâche à accomplir. Il leur dit aussi qu’à l’immersion du monde précédent, cette terre fut poussée en surface en son centre pour en faire la colonne vertébrale du monde et vous êtes sur son « Utvilu » (pente vers l’ouest) « Hotvela » (Hotevilla). Mais vous devez encore entreprendre votre migration et suivre votre étoile vers l’endroit où elle vous indiquera de vous établir. Cela accompli, alors seulement je pourrai devenir votre guide. Mais prenez garde, si vous retombez dans le mal, je vous reprendrai cette terre.
Similitude ou présage ?
Selon la culture Hopi, l’émergence dans chaque monde se fait par un trou à la surface de la Terre. Cet orifice, le « Sisapuni », par lequel le peuple Hopi est apparu est reproduit dans le sol de la « Kiva » sorte de bâtisse circulaire à ciel ouvert et, comportant une pièce souterraine dans laquelle se déroule les cérémonies religieuses. Sa représentation fait curieusement penser à ce qui se produit à l’heure actuelle avec les « Sinkhole ». Il se pourrait donc probable que par le nombre grandissant de ces phénomènes, que nous assistions à l’émergence d’une nouvelle humanité. Si c’est réellement le cas, les adeptes de la Terre Creuse, ne se seront pas trompés de beaucoup. Juste à savoir, s’il s’agit du même monde aussi mauvais qu’ont fui le peuple Hopi, on est plutôt mal barré.
Plus qu’un mythe ou hypothèse.
On sait aussi, maintenant, qu’en plus de la dérive des continents il y eut pour le pôle nord magnétique des directions différentes à diverses époques, le pôle ayant été une fois au milieu de l’Océan Pacifique, et une autre fois dans l’actuel Sud-Ouest des États-Unis. Le mythe hopi de la création semble indiquer un semblable déplacement lorsqu’il affirme que l’axe polaire de la terre l’a quitté en s’inclinant dans la fin du Troisième Monde pour s’établir en terre hopi, dans le Quatrième Monde. Il y a des évidences zoologiques et botaniques pour confirmer l’hypothèse géologique, car bien des plantes et des animaux furent, selon la tradition hopi, apportés du « monde » précédent.
Nier ce qui précède, en revient à se suicider. Ce n’est pas dans les objectifs qui nous incombent !
c’est très beau et très intéressant, merci!
Il semble plus qu’évident que notre 4ème monde est bon pour finir comme les 3 premiers ; …mais comme à priori y a plus personne de valable pour être sauvé pour le 5e , et vu que c’est nos élites qui ont prévu d’aller se planquer sous terre ; …hé bien je vous le dis j’aurais tout sauf envie d’y être réincarné dans leur 5e monde moi !
Bonjour,
Ben voilà, les tracasseries administratives soulevées par l’officialisation de mon nom amérindien, l’an dernier, viennent d’être clôturées. Je parlais dernièrement d’un déménagement, c’était prévu pour rester en Europe, mais ce revirement de situation, me pousse vers la Colombie Britannique, au nord de Vancouver. Vu le peu de biens que nous avons, le choix de n’emporter que le minimum (des souvenirs) a facilement été décider, ce qui risque de nous retenir que très peu de temps.
Voilà la raison principale de n’avoir pas attendu le mois de novembre pour édité cet article. Quant à mes activités, resterons l’écriture, et l’enseignement de techniques dites de survivalisme en nature, pas évident avec les citadins ! Quant à l’internet (???) et tout ce qui est de la vie moderne (???) risque de rester au placard pour bien longtemps, NATURE NATURE quand elle nous tient, c’est pour de bon !
Je ne serai plus souvent sur le site, que très sporadiquement à plus du tout dans quelques temps.
Bon « vent » à tous, que celui qui veille là haut, le fasse sur vous !
Bonne route Eaglefather,
Tu vas me manquer
Que le Grand Esprit soit avec toi et les tiens ♥♥♥
Je suis persuadé que dans son infinie sagesse, il s’y emploie, pas que sur nous, mais sur ceux qui auront gardé en mémoire ses lois, et l’auront également vénéré comme étant celui par qui nous sommes là, qu’elle que soit l’image ou nom qu’on lui aurait attribué !
Et bien écoute je te souhaite bonne route vers un univers plus sain et surement plus épanouissant… Gros bisous Eaglefeather
et bien sure ♥♥♥♥♥♥♥♥…
Yael, résonne comme un nom d’ange, d’une consonance faussement Celtique, il est celui d’une héroïne ayant contribué à la délivrance de tout un peuple !!
Je te réciproque avec ferveur et enthousiasme, ton vœux, chère Yael, longue vie à toi et les tiens.
♥
Que le subtil, le maître de la vie, veille sur toi l’ aigle.
La nature il n’ y a que ça de vrai, elle ne ment pas, elle!
Mes voeux les plus sincères t’ accompagnent.
Merci Odin,
Que la demeure de ton homonyme, le Valhalla t’ouvre assurément ses portes le plus tard possible, pour que tu puisses te préparer à combattre Loki dans l’ultime bataille contre le mal au jour du Ragnarök.
Hi Eagle 🙂 Bon vent à toi. Qu’il te porte vers le partage, la compassion et la sérénité. Un jour, beaucoup d’entre nous se retrouveront. Mes pensées d’amitié t’accompagnent.
Merci Natacha,
En retour, qu’il épande sur toi et les tiens les spores de la foi, la sagesse et la persévérance, car la route menant aux portes ne fait que débuter.
High tone Bass temperature
http://www.youtube.com/watch?v=UojKW8g_4Ws
[CLIP] Little Big Man (Echo-Logik) – High Tone
http://www.youtube.com/watch?v=9BeJDoy2rRo
♥♥
Ye merci Lecteur
J’apprécie plus le deuxième, j’sais pas pourquoi
A méditer par beaucoup d’entre nous, « Merci de m’avoir fait, homme ». Cela implique d’avoir des obligations de reconnaissances envers le Créateur.
Déploie tes ailes belle aigle… et merci pour tout les mots de sagesse que tu as partagé avec nous… Mes meilleurs voeux <3<3<3
Merci à toi poisson volant, alors ne les perds pas de vue
Force et courage à toi Eagle, dans ta vie, dans ton cœur… et du bonheur pour tout le reste .
Merci pour tes paroles, qui à leurs façons, ont souvent éclairé mon chemin .
Aussi, puissions-nous n’être qu’amour, ainsi aurais-je peut être la joie de te rencontrer lors de la cinquième fois…
Merci Bonom,
Il serait intéressant qu’à chaque fois, le petit nombre soit de plus en plus important, au cinquième ça pourrait donné plus de 50% de bonnes personnes