Climat : 22 raisons de ne pas croire en la propagande du GIEC

Selon le discours officiel du GIEC, « la science a parlé », et tout opposant sceptique est passible d’être ostracisé. Car il faut faire vite, et cela fait plus de 20 ans que l’on nous rabâche qu’il y a extrême urgence et que la Planète ne pourra plus être sauvée d’ici trois à cinq ans (et même 500 jours selon Laurent Fabius !…) , sinon la Planète risque de devenir une « poêle à frire » (sur le feu, bien sûr) si nous ne réduisons pas drastiquement nos émissions de CO2, à n’importe quel prix, même au prix de la décroissance, de la misère et de la ruine de nos économies.

Or, toute personne ayant une assez bonne culture scientifique, et qui se donne la peine de travailler la question, en arrive très vite à la conclusion que les thèses du GIEC sont fausses, pour nombre de raisons, dont voici une liste non exhaustive.

1. La TMAG (température moyenne annuelle globale) est stable depuis 1997, malgré une augmentation continue du taux de CO2 : .comment alors soutenir un rapport de causalité entre croissance de concentration du gaz carbonique et température ?

2. Les émissions humaines de CO2 depuis 1997 représentent 40% de ce que l’homme a envoyé dans l’atmosphère depuis le début de la Révolution industrielle. Or, on vient de le voir, pendant cette période, la température s’est stabilisée. Comment alors soutenir un rapport de causalité entre émissions anthropiques de CO2 et augmentation de la TMAG[1. Depuis 1880, la seule période de covariation entre la TMAG et la teneur en CO2 fut 1978-1997.

De 1910 à 1940 la TMAG a progressé au même rythme que 1978-1997 alors que les émissions étaient insignifiantes. De 1950 à 1978, alors que les émissions de CO2 s’envolaient, la TMAG a baissé. L’analyse des carottes de Vostock montre que c’est la hausse de la température qui fait augmenter le CO2 dans l’atmosphère (par dégazage) et non l’inverse. Ce processus est toujours valable de nos jours, même pour de petites variations de température (le retard du CO2 étant alors de quelques mois).] ?

3. D’autant que la part anthropique du CO2 atmosphérique n’est que d’environ 5% (analyse isotopique) au lieu de 25-30% pour le GIEC…

4. Et que la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère est en moyenne de 5 ans au lieu de 100 ans pour le GIEC.

5. Les variations de la TMAG se font de manière sinusoïdale, avec une période de 60 ans qui correspond aux mouvements du soleil par rapport au centre de gravité du système solaire. Nous sommes au sommet de la sinusoïde, et donc les prochaines années devraient se refroidir, comme ce fut le cas après 1950.

6. Il y a un phénomène de saturation du CO2 sur une épaisseur optique de dix mètres environ. Si vous prenez une source d’IR à large spectre (corps chauffé à 1000°C, par exemple), et que vous mesurez avec un spectromètre le spectre restant après la traversée de quelques mètres d’atmosphère, vous verrez que les bandes du CO2 (4,3 et 15 microns) ont été entièrement absorbées. Donc l’atmosphère au-dessus de quelques dizaines de mètres ne voit plus les bandes d’absorption du CO2, et donc, le rajout de CO2 ne change plus rien, si ce n’est que l’épaisseur optique diminue. C’est cela le processus de saturation du CO2 atmosphérique, confirmée par les satellites, qui ne « voient » quasiment plus les bandes du CO2.

7.Dans le passé (Carbonifère), le taux de CO2 a été 25 fois supérieur au taux de CO2 actuel, et il n’y a pas eu d’emballement des températures, grâce au processus de saturation. Pourquoi nos misérables émissions de CO2 auraient-elles à présent un impact cataclysmique, alors que les lois de la Nature sont invariantes dans le temps et l’espace ?

8. Les niveaux océaniques montent de 1,7 mm/an (d’après les mesures au marégraphe de Brest), de moins 1,6 mm/an à Marseille depuis la fin du dix-neuvième siècle et aucune accélération n’a été mesurée ces dernières années.

9. Le hot spot (« point chaud ») prévu en zone tropicale, qui devait être LA preuve indubitable du rôle du CO2 sur la TMAG, n’a pas été détecté, donc il n’existe pas.

10. Le taux de vapeur d’eau atmosphérique diminue (alors que le GIEC avait prévu l’inverse – rétroaction positive – quand le CO2 augmente). La rétroaction réelle est donc négative.

11. La banquise australe atteint des records de superficie.

12. La somme des surfaces des deux banquises, dont les variations sont en opposition de phase, est à peu près constante, donc l’albedo de la cryosphère aussi.

13. Les mesures des 3000 sondes océaniques ARGO montrent, depuis leur mise en service en 2003, un très léger refroidissement des océans, entre la surface et 700 à 1000 m de profondeur (au mieux aucun gain de chaleur).

14. Le flux IR (infrarouge) quittant la haute atmosphère est supérieur aux prévisions des modèles (Il n’y a pas d’effet couverture par les GES de la troposphère).

15. La loi de Stefan-Boltzmann n’est pas applicable aux gaz, qui ne sont pas des corps noirs, ni des corps gris, alors que le GIEC l’applique aux gaz.

16. Les gaz émissifs, plus froids que la surface terrestre, ne peuvent en aucun cas la réchauffer (second principe de la thermodynamique, qui interdit le réchauffement d’un corps chaud par un corps plus froid).

17. Ce sont les températures qui ont toujours piloté les variations du CO2, jamais l’inverse. À notre époque, le retard du CO2 sur la température est de quelques mois.

18. Le projet CLOUD du CERN teste la théorie de Svensmark-Shaviv (rôle des rayons cosmiques, dont le flux est modulé par l’activité solaire, sur la formation des nuages) et les premiers résultats, assez positifs, ont été publiés dans Nature.

19. Les modèles ne savent pas modéliser la cryosphère, ni l’ennuagement, dont les variations ont un impact important sur la TMAG. Le projet Earthshine, qui mesure les variations de la réflectance de la Terre, vue de la lune quand elle n’est éclairée que par notre planète, montre que cette réflectance varie essentiellement en fonction de l’ennuagement. Elle a décru de 1984 à 1998 et augmenté par la suite jusqu’en 2004, ce qui suit assez bien les variations de la TMAG.

20. Les projections des modèles numériques divergent de plus en plus des observations. Un modèle numérique n’est pas une preuve scientifique, et, quand il est réfuté par l’observation, c’est qu’il est faux et doit être mis à la poubelle, ou, au mieux revu en détail. On attend toujours la mise à la poubelle ou la révision des modèles numériques du GIEC, mis en avant par le GIEC et financés par les contribuables…

21. De toute manière, il est impossible que des modèles numériques puissent prévoir les évolutions du climat, car il s’agit d’un système chaotique couplé et non linéaire, comme le précisait le GIEC dans son rapport de 2001, et comme le montrent les instabilités du climat passé et actuel. Pourquoi cela aurait-il changé actuellement ? Sûrement pas pour des raisons scientifiques…

22. Enfin le GIEC n’est ni un organisme scientifique, ni un organisme indépendant : le résumé pour les décideurs (SPM), qui seul est lu par les instances internationales, les politiques et les médias, est rédigé sous le contrôle étroit des représentants des États et la surveillance des ONG. La composition de ses instances dirigeantes montre une minorité de scientifiques très majoritairement engagés dans l’idéologie environnementale, et une majorité ONG + États.

Source: Contrepoint.org via Sott.net

 

26 Commentaires

  1. « Les mensonges ont la vie dure : une fois démasqués, ils croient qu’ils sont devenus vérités. »
    Stanislaw Jerzy Lec

  2. Depuis 2009 je n’y crois pas !
    Plus encore lorsqu’on lit les chroniques historiques, pour exemples :

    Le mois de juillet 1852 est quasi aussi chaud que celui de 1976, 33° en Belgique, 35° dans le nord de la France et 39° à Paris. Décembre 1854 ouragan sur le nord français. Mai et Juin 1856 des pluies diluviennes provoquent des inondations. En août 1857 il fait chaud au point que la Seine baisse et atteint des niveaux en-dessous de ceux de 1719. Vague de froid précoce en octobre 1869 jusqu’à 10cm de neige en plein Paris, par contre après un mois de décembre 1879 particulièrement glacial le mois de janvier 1880 enregistre un redoux tel, que c’est la débâcle sur les cours d’eau, emportant des ponts. Été frais en 1888 les 9 et 10 juillet la température ne dépasse pas 12° à Paris avec des chutes de neige en Grande Bretagne. Et ça continue les années suivantes.

  3. Contrepoint expert en climatologie de comptoir.

    « même au prix de la décroissance »… même oui, vous vous rendez compte les gens ! Il veulent qu’on arrête de se faire du fric pour sauver la « planète » ! Au bûcher, hérétiques !

  4. Donc ? On peux continuer à polluer sans se soucier de l’avenir ? Passez moi le pcb ! Je vais mettre le moteur de la bagnole à tourner toute la nuit et cramer des pneus !

     » les lois de la Nature sont invariantes dans le temps et l’espace » -> Omniscience ? Personnellement je n’ai pas assez de recul sur les 10 000 dernières années pour l’affirmer. Ni même sur les derniers millions d’années.

    Réchauffement climatique ou pas, la course à l’industrialisation actuelle n’a pas QUE des répercussions sur le climat ! Écrire cet article en ne prenant en compte que les effets sur le climat des pollutions diverses par gaz est une gabegie.

    A vous lire on croirait qu’on peux continuer à polluer comme ci de rien n’était….

    N’oubliez pas non plus que le GIEC a prévenu que les différents scénarios sur l’habitabilité de la planète dans le futur ne prévoyaient pas tous un réchauffement fatal aux espèces vivantes mais que certains prévoyaient des taux de pollution non résorbables entrainant une disparition progressive des fondamentaux à la vie sur terre.

    Alors après peut être se trompent-ils sur le réchauffement climatique, mais sur notre avenir j’aurai plutôt tendance à vouloir les écouter.
    De surcroît j’habite en zone rurale et je peux vous affirmer qu’au quotidien on constate les effets de l’augmentation de la population humaine, de la pollution due aux activités humaines et au manque de savoir vivre/civisme de nos concitoyens.
    – Les rivières ont perdu 95% de leurs populations de poissons, 100% de leurs populations d’écrevisses.
    – De nouvelles algues invasives ont fait leur apparition.
    – Les population de lapins ne sont plus régulées à cause d’une destruction systématique des animaux qui étaient leurs prédateurs auparavant et provoquent de grandes destructions sur les végétaux.
    – Le réchauffement, qui n’a pas lieu à vous lire, empêche la reproduction d’une espèce rare de libellule dont on ne voit plus que très rarement des spécimens.
    – Des plantes qui poussaient localement depuis toujours disparaissent massivement.
    ( cette liste n’est pas exhaustive ! )
    Mais non, le GIEC a tort. Très bien….. Alors à quoi est dû cette modification profonde des biotopes du bocage Normand ?
    Nous sommes en zone « natura 2000 » ( au passage une norme qui ne sert absolument à rien ). Des avions nous survolent désormais quotidiennement, des hélicoptères, un autoroute à été construit au dessus de 2 vallées qui étaient auparavant verdoyantes et extrêmement riches en biodiversité. Mais n’ayez pas peur, le GIEC à tort, alors VOUS POUVEZ CONTINUER A POLLUER.

    Dernier point : qui affirme que les banquises augmentent en surface ? Qui affirme qu’elles se réduisent ? Qui ment ? Qui a raison ?

    Je le disait avant que Matrix ne sorte et je continue à le répéter inlassablement : l’être humain est un virus. Il n’aura de cesse de se reproduire et de détruire son environnement jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’il est trop tard pour se sauver lui même.

    • Si, si, l’homme va se sauver: ce jour a lieu « la journée de la mobilité », challenge propagandiste pour économiser des rejets de CO2. N’étant pas climato-sceptique, cette propension du système à vouloir sa sauver par le biais uniquement du réchauffement climatique m’interroge. Rompu à la détection des manipulation des masses notamment utilisées par les entreprises, je crains le pire. Je ne sais quel penseur décroissant disait il y a déjà quelques années: « ce qui est le plus à craindre, c’est que ce sont les m^mes qui ont créé le chaos écologique via la Société technocratique de consommation qui voudront imposer la dictature verte pour la sauver ». Je crois bien que l’on est arrivé au début. Remarquez, Hitler a fait pareil: il a recréé des emplois alors qu’en m^me temps il détruisait par la militarisation la pérénisation de ses mesures.

    • Bonjour Eructite

      J’ai beau relire l’article, je ne vois pas où se situe le passage concernant la pollution et le droit de continuer à polluer et accessoirement de consommer de manière exponentielle dans un monde dont les ressources ne sont pas infinies. Mais ça c’est une autre histoire.

      Il n’est question ici que de réchauffement climatique, lequel ne serait pas la conséquence de l’activité humaine mais d’un phénomène naturel cyclique.

      Je suis complètement en accord avec vous pour affirmer que la pollution est un problème majeur et qu’il nous faudra, même si cela fait mal à notre confort immédiat, changer de paradigme en repensant rapidement désormais notre système de civilisation pour TOUT le monde.
      L’autre jour, sur la route j’ai vu un camion, chargé de bouteille d’eau de Vittel descendant dans le Sud en croiser un autre chargé lui de bouteilles d’Evian et montant vers le Nord…
      Cherchez l’erreur.

      Cependant, il est important de ne pas mélanger les genres pollution-réchauffement puisqu’il n’y a pas lieu de les mélanger au vu de cet article.

      La pollution est un sujet grave et le réchauffement, un sujet préoccupant.
      Il est certainement probable que la pollution influe sur le climat.
      Mais visiblement cela ne ce fait qu’à la marge, l’essentiel de la cause du réchauffement étant ailleurs ; soleil, noyau terrestre, cycles… A nous de trouver…
      L’histoire et la préhistoire nous prouvent que cela a déjà eu lieu sans intervention de l’homme. Le refroidissement également.

      Par contre, ce dont je suis persuadé c’est que certains ont intérêt à mélanger les deux genres pour leurs propres profits.

      Ne participons pas à cette confusion qui ne fait qu’alimenter les discours manipulateurs des gens avides de pouvoir et d’argent.

      • En introduction de l’article, le ton pris annonce la couleur. Le GIEC voudrait que l’on réduise les émissions de Co2 « à n’importe quel prix, même au prix de la décroissance, de la misère et de la ruine de nos économies. » selon l’auteur de l’article. L’effet dramatique est posé juste avant une longue liste d’informations visant à décrédibiliser les rapports de cet organisme. Rapport qui ne sont pas joints avec l’analyse. C’est ce que j’appelle une manipulation. On dit qu’un organisme à tort en démontant point par point leurs prédictions et en utilisant des échelles de temps différentes mais sans jamais fournir les sources pour permettre une analyse plus en profondeur du lecteur. Étonnant comme pratique où on prends une moyenne mondiale sur une période longue en oubliant que les températures ne sont relevées, de façon « scientifique » ( station météo, process de relevés rigoureux, etc ) en Europe, aux USA et en Asie que depuis les années 50. Que l’on possède des relevés partiels des températures en Terre Adélie pour des périodes courtes puis de façon continue depuis les années 80-90. Que les températures relevées dans des régions inhabitées ( deserts, océans ) ne sont rendues possibles par la technologie que depuis une vingtaine d’années. Et que la majorité des informations sur les températures avant le 19ème siècle sont des écrits rapportant des anomalies par rapport au quotidien des gens vivants à cette époque ( mini glaciation durant le moyen âge, canicule entrainant une baisse des récoltes avant la révolution française, etc )

        De surcroît, cet article ne se base que sur l’effet du Co2, pas sur les différents gaz, métaux lourds, produits chimiques. Démonter l’ensemble de la théorie sur le réchauffement climatique à partir d’une seule de ses causes possibles, est totalement absurde. Surtout que le réchauffement serait dû aux gaz à effets de serre HORS Co2 dûs aux émissions humaines ( N2O, Méthane, Halocarbures, Ozone, etc ).
        C’est comme çi je refutait le fait que les véhicules polluent en me basant sur l’étude d’une voiture électrique et en omettant le fait que l’acier qui constitue son châssis sort d’une fonderie, que ses batteries ont un impact environnemental important lors de sa fabrication mais aussi lors de sa mise au rebus, que ses pneus sont extrêmement polluants à la fabrication et à l’usage et enfin qu’une voiture électrique ne se recharge pas forcément avec de l’énergie verte étant donné que les volontés politiques se sont tournées vers le nucléaire pour subvenir aux besoins énergétiques de nos nations modernes. En bref, démonter une théorie en se focalisant sur un point de détail est absolument absurde et n’est pas la preuve d’un travail journalistique désintéressé.

        Il est aussi important de noter un point grammatical important.
        Quand on n’a pas les compétences d’un climatologue, d’un météorologue ou d’un omniscient, on utilise le conditionnel pour parler de climat. Cela viens surtout du fait que c’est un phénomène extrêmement compliqué et que les répercussions de chaque paramètre se mesurent sur des échelles de temps longues.
        Prenez l’effet de la marée noire du siècle dans le golfe du Mexique. On nous a dit à l’époque que ceux-ci pourraient ralentir, voire stopper, le gulf stream. Qu’en est il réellement ? Qui a continué à enquêter sur ce sujet ?
        Prenez le rejet d’eaux radioactives à Fukushima, il a été dit que celà provoquerait un réchauffement des eaux par radiation et que cela pourrait changer le climat des zones en bordure de l’océan pacifique. Qu’en est il réellement ? Qu’en sera t’il dans les prochaines décennies, pour ne parler que du côté « réchauffement induit par une activité humaine » ?

        Quand on a les compétences d’un manipulateur on utilise touts les temps sauf le conditionnel…. Affirmant que le Co2 est le seul gaz réchauffant étudié par le GIEC et qu’ils ont absolument tort sur ce point, donc tort sur tout.

        Voilà un article qui aurait plus sa place sur un site tel que Le Monde, ou Le Figaro mais pas sur un site internet de ré-information.

        P.S. : je suis ouvert à tout argumentaire, je ne suis pas impartial sur le climat et la pollution humaine étant moi même un adepte de la solution de la décroissance et de la limitation des populations humaines ( attention, je ne parle pas d’épuration de la planète mais de système visant à limiter les naissances. ne me traitez pas de néo nazi, je ne partage pas ce genre d’idéologie. )

  5. A bah y a plus de poissons dans les rivières! Ah ça fait 35 ans que le problème aurait due être résolu. Pour info toutes ces annonces de « il sera trop tard pour sauver la planète » n’ont aucune valeur. Tant que les modes de vies ne changent pas profondément rien ne change! Et cela fait bien longtemps qu’il est trop tard bande d’ahuris de mon cul! Serais-je vulgaire? Mais oui! L’incompatible monde avec la nature qu’aura créé le capitalisme est la plus obscène dérive de l’humanité. Vivons ce qu’il nous reste à vivre en essayant d’éviter les pièges. La guerre contre la nature est la seule que nous mènerons à bien. Extermination ou désintégration de la pureté et de l’équilibre terrestre.

  6. on ne peut pas prévoir le climat sur 50 ans ou 100 ans même sur un mois ce ne serait pas évident, ils vont avoir faux, faire des erreurs c’est sur.
    C’est comme faire des prévisions les tremblements de terre aussi .
    un super volcan qui fait boum ou gros caillou qui tombe du ciel beaucoup de chose peuvent se faire.

    nous sommes dans un monde qui sur-pollue si on prend des mesures pour diminuer la pollution pourquoi il faudrait être contre même si nous sommes des moutons.
    bien que je pense que ce ne sont que de belles paroles et que rien de sérieux ne sera fait.

    je ne lis pas le GIEC et a mon humble niveau je constate par moi-même que le climat change ce n’est plus la même chose qu’il a 15 ans.

    il y a une série de catastrophe dans le monde qui le prouve.
    le Gulf Stream subit des changement aussi. Dire que tout va bien dormez bien brave gens c’est mentir.

  7. aucun rapport d’études n’est présenté, c’est bien beau mais qui croire? Je ne suis pas un expert mais le fait que la surface de la banquise ne diminue pas ou augmente parfois ne prouve rien du tout. L’épaisseur de celle-ci par contre diminue chaque année.

  8. Je me demande toujours pourquoi le GIEC Groupement d’Intérêts Economique et Commercial s’occupe du climat ?

    😉

  9. Tout à fait d’accord avec toi eructite. Le CO2 n’est qu’une pollution parmi tant d’autres. En fait, où que l’on « regarde » ce ne sont que pollutions, pollutions, pollutions. L’air est pollué, les mers sont polluées, les terres sont polluées. Particules fines, pesticides, métaux lourds, déchets de toutes sortes, cent mille produits chimiques empestent nos chairs dès avant le moment où nous sommes conçus. Je hais ce monde et je ne peux pas m’en extirper, sauf par la mort. Jouer le petit magicien à actionner des boutons, interrupteurs et robinets divers ne m’amuse plus. Il reste un seul interrupteur que j’actionnerais avec le plus grand plaisir, c’est celui qui arrêterait toute cette folie. Ce bouton bien sûr n’existe pas mais heureusement la Nature avait tout prévu et les ressources qu’elle nous a offert gracieusement jusqu’à présent sont en quantités limitées… Donc toute cette folie s’arrêtera toute seule, faute de carburant si l’on peut dire… avec évidemment « quelques » « petits » problèmes chimiques et nucléaires à la clé.
    Si vous lisez l’anglais il y a là un excellent résumé de la situation par Gail Tverberg.
    Elle y énumère huit crises convergentes et les trois premières sont les crises principales selon elle: 1. problème de population; 2. épuisement des ressources naturelles; 3. dégradation environnementale.
    Voici ce qu’elle dit écrit à propos du changement climatique:
    Climate change modelers are of course mainly interested in their limit. They have started to incorporate some information of the effect of other limits into the “low end” of their range (that is, the 2.6 degree scenario), but the “high estimate”–which gets much of the press–assumes no limits of any other sort. It includes far more carbon from fossil fuels than seems reasonable, in my view.
    Ce qu’elle écrit en clair c’est que les estimations les plus élevées du GIEC ne prennent en compte aucune autre limite, or le déclin de la production mondiale de pétrole en est une de limite, et de taille, dans le sens où le GIEC s’est basé sur une hausse constante de la production des fossiles dans les années à venir, alors que c’est exactement le contraire qui va se passer.

    • Grand marabout 3.0.1

      moins de pétrole et surtout plus cher a extraire…
      (guerre comprise désormais)

      comme le nucléaire d’ailleurs

  10. Jean-Pierre Bardinet qui a écrit ce texte
    il écrit dans le site « boulevard voltaire » bien connu comme étant le nouveau site Internet lancé par les journalistes Robert Ménard et Dominique Jamet.Robert ménard est d’extrême droite
    tous les arguments cités ci-dessus sont bien les arguments des grands groupes pétroliers
    renseignez vous

  11. jamais l’industrie militaire n’a été mis en cause pourtant depuis la seconde guerre mondiale on en a jeter des bombes en tout genre (essais compris) plus tous ce dont’ on ne parle pas!plus notre course éffrenée a la consommation imaginer la pollution dont nous petits humains sommes responsable, mais nous ne sommes pas les seul reponsables l’activité volcanique ayant été très active depuis les années ’50 ajouté a cela déforestion et les incendies de forets cela donne un cocktail détonant.

    une autre théorie dont le giec ne parle jamais est l’assombrissement globale, une étude a été faite en divers endroits de la terre et ce de 1950 a 1985 en certain endroit la terre la luminausité aurait diminué de plus de 30%.

    pourtant quand j’ai commencer a m’intéresser a ce sujet dans les années ’90 on ne parlait pas de réchauffement mais de refroidissemnt de la planète et que nous nous dirigions ver une nouvelle ere Glacière maintenant tout les articles sur le suget parle de réchauffement – je n’y comprend plus rien y aurait’il de la manipulation des informations?

    http://www.chemtrails-france.com/articles/assombrissement_global/index.htm

    http://www.astronoo.com/fr/articles/assombrissement.html

    • Je clique pour le réchauffement/refroidissement aussi ,si TOUS on cliquent ça réchauffe quand même le refroidissement..

    • J’essaye juste de vous faire percevoir l’arnaque du clic que l’on retrouve ici à toute les sauces .
      Exc moi Lilith de profiter scandaleusement de ton message svp.

    • Grand marabout 3.0.1

      hello

      intéressant cet article,il est vrai que masqué les rayons solaires est un des but de la géo-ingenerie,et qui refroidissement,dit in fine plus de pétrole consommé.(entre autre)
      d’ailleurs ce fait a été révélé aux states.
      une belle saloperie c’est chems,qui ne dit pas encore ses limites et les problèmes lointains qui vont en découdre pour les générations futures.
      déja avec leurs perturbateurs endocriniens,l’insémination artificielle et les cancers ont de beaux jours devant eux!

  12. Grand marabout 3.0.1

    GIEC Groupement d’Intérêts Economique et Commercial

    des lobbys qui paient des chercheurs recalés des examens pour nous faire avaler des couleuvres…
    via les politicards tricards qui nous la mette par la voix législative et pécuniaire !

    • +++ dénomination beaucoup plus conforme à la réalité.

      Qui s’est appuyé les quelques centaines de pages du protocole de Kyoto (avec les annexes, là où le diable se niche dans les détails) ?

      Moi, j’ai commencé à le lire, « en diagonale » (je ne me souviens plus sur quel site « officiel ») lorsque les merdias ont commencé à nous intoxiquer sur la soi-disant réduction des émissions de GES.
      En creusant un peu, on aperçoit furtivement la pointe de l’iceberg, noyée dans le jargon technocratique : la réduction des émissions reste au stade des bonnes intentions. La seule chose qui soit effectivement actée est la monétarisation de la tonne de CO2. La création, en quelque sorte, d’une bulle spéculative sur le degré de pollution atmosphérique.

      Moi gros pays industrialisé, je pollue plus que toi, petit pays émergent (=apparemment pauvre) ; en fait je dépasse mon quota d’émissions autorisées, mais toi qui n’émets que le dixième de ton quota de « droits à polluer », je te rachète les neuf dixièmes restants ; moi, je PAIE pour continuer comme si de rien n’était (je m’achète une « bonne » conscience, verte et tout), toi tu t’enrichis, peu importe que la pollution augmente ou pas, si elle augmente, il suffira que je te paie plus cher ou que j’achète aussi les droits de ton voisin, de toute façon on pourra toujours s’arranger à ce moment-là. La vie est belle.

      • Grand marabout 3.0.1

        comme l’Allemagne qui ferment ses centrales et nous pompes de
        l’électricité produite au nuke en France
        l’exemple allemand parmi d’autres

        “L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse, qu’il ne peut croire qu’elle existe.”
        J. Edgar Hoover (1895-1972), Directeur du FBI de 1924 jusqu’à sa mort

  13. on déverse des tonnes l’eau radioactive dans la mer, on te dit la mer élimine tout il n’y a aucun danger.
    Tu peux te baigner dedans pécher du poisson et le manger

    moui puisqu’on te dit que c’est sans danger.
    il y a un brouillard de pollution sur la ville Pékin mais c’est pas graver ça se dissout dans l’atmosphère piouf ça disparaît.

    • un brouillard c’est un euphemisme Emy certain jours tu ne vois pas a 50 cm……………… un de mes collègue qui était a Pékin a du rentrè il est devenu asthmatique.

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