C’est pourtant simple: les accords de libre échange va lier l’UE aux États-Unis, et instaurer une politique uniquement axée sur le profit d’entreprises privées, et uniquement cela, sans prendre en compte ce qui pourrait empêcher la moindre idée de concurrence, comme l’écologie, la santé, la logique… Mais pour que le traité transatlantique puisse être réellement mis en place, il faut que celui-ci puisse être appliqué à l’Ukraine, d’où la précipitation pour valider un tel accord commercial…
L’Union européenne compte conclure « au plus tard le 27 juin » le second volet (commercial) de son accord d’association avec l’Ukraine, a déclaré mercredi le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, peu avant le début d’une réunion du G7 où la question ukrainienne devrait rester sur le devant de la scène.
Le refus de signer cet accord, par l’ancien président Viktor Ianoukovitch, avait mis le feu aux poudres de la révolution ukrainienne à la fin de l’an dernier. Le 21 mars, après des semaines de tumultes et sa fuite en Russie, l’Union européenne et l’Ukraine avaient signé un premier volet (politique). L’élection présidentielle du 25 mai dernier, qui a donné un mandat clair à Petro Porochenko, élu dès le premier tour, « changent la donne », a dit mercredi M. Van Rompuy. Aux yeux de l’Union européenne, il est désormais possible d’accélérer les préparatifs en vue de la signature du second volet, qui établira un libre échange avancé. L’UE compte également signer sous peu de tels accords avec la Géorgie et la Moldavie.
Cette extension de la sphère d’influence occidentale s’est manifestée par ailleurs avec le feu vert donné mercredi par la Commission européenne à l’adhésion de la Lituanie à l’euro. Si, pour les Européens, l’entrée d’un nouveau membre dans le club atteste surtout de l’attractivité de la monnaie unique malgré la crise, les responsables lituaniens y voient un rempart contre la Russie, qui n’hésite pas à bander ses muscles dans l’enclave voisine de Kaliningrad.
En dépit d’une légère accalmie ces derniers jours, les tensions restent vives entre l’occident et Moscou, comme en atteste la réunion du G7, initialement programmée à Sotchi, et délocalisée à Bruxelles – sans la Russie. Européens et Américains espèrent que l’élection de M. Porochenko ouvrira la voie à des négociations apaisantes entre Kiev et Moscou, mais la méfiance reste vive.
Source et article complet sur 7sur7.be
Si quelqu’un doute encore que L’ue est aux ordre de gpldmann sachs et du pentagone, je ne sais pas ce qu’il lui faut pour comprendre.
Cet accord fera automatiquement entrer l’ukraine dans l’otan pour mettre les missiles a la porte de Poutine.
Pourtant Omama devrait comprendre qu’il a tout faux.
Signer sur des cadavres
signer sur un carnage
saigner des pauvres gens
saigner abondamment
mais
soigner les amputés du coeur
soigner les députés en choeur
au chant des canons
des bombes,des avions
enfin
massacrer une Nation
pour qu’elle rentre dans l’Union
qu’elle n’ait plus de pognon
et prendre son blé en paix
Paix de l’union
Paix de l’UE
Paix pour la guerre
Guerre pour la paix
Fous moi la guerre,j’aurai la paix
Goldman de Saxe
et ses suffragettes
Goldman de Sexe :les FEMEN
Ca y est?
On a trouvé encore moins cher que l’ouvrier roumain?
Vive le partage du travail qu’on n’a plus.
..C’est pas grave, on va partager les subventions…